Prix "Page à Page"Autour de "La Cité" › La "naissance" dans la Cité

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15 avril 2013

Mes débuts dans La Cité

Je vagabondais dans mon appartement à la recherche d'une quelconque activité intéressante à réaliser. Je me souvins alors qu'il y avais déjà quelques jours, j'avais acheté un jeu qu'on disais formidable. Ce jeu se nommait "La Cité". Au début, il ne me disais rien, mais tout bien réfléchi, acheter un jeu à un prix pareil était totalement stupide si on n'y jouais pas. Ce comportement ressemblait à celui d'un enfant gâté et ça ne me plaisais pas du tout! Je prit alors le boitier noir et le branchais à mon ordinateur. Je n'avais pas suivis les séances tutoriels mais je m'en fichais car j'ai beau débuter, je suis quelqu'un d'autonome, tout de même! Je pris donc le casque et les gants, les enfilaient et alluma l'ordinateur. Une vive lumière blanche apparut et m'aveugla.

Je me trouvais dans un corridor lorsque je parvins à ouvrir les yeux. Je le connaissais, ce couloir! C'était celui de chez mes grands-parents! Incroyable! Je n'était pas déçu: Tout était formé avec la plus grande précision! A croire que j'étais réellement chez mes grands-parents. Je fus choqué lorsque je touchas un mur: Il était palpable, avec la même texture et les mêmes défauts! Pris d'euphorie, je sortit en courant dehors et fus éberlué par le réalisme de ce jeu! Cette rue donne sur un marché aux puces, plein d'antiquités. Je reconnais immédiatement un tableau du peintre Millet, "Les grainetières". Comme il n'y a personne dans les environs, je prend sans hésiter le tableau et part avec ce tableau sous le bras.

Pour passer le temps, je me met à réciter un poème que j'appréhendais particulièrement:

Naissance à l'orage 

Toute la face ronde
au coin sombre du ciel
L'épée
la mappemonde
sous les rideau de l'air

Des paupières plus longues
dans la chambre à l'envers
Un nuage s'effondre

La nuit sort d'un éclair

Pierre Reverdy

Soudainement, un éclair déchire le ciel et je le vois s'abattre dans la rue, juste là où je regardais! Quelle surprise! Je devine alors que, si j'en croyais mes yeux, avec un tel pouvoir, je serais promu à un grand destin. Peut-être même serais-je le maître de la cité! Je vois déjà les habitants de cette ville, avec leurs pouvoirs insignifiants, se prosterner devant moi!

05 mars 2013

ma poésie pour la cité

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Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux  trous rouges au côté droit.

26 février 2013

Ma naissance dans la Cité.

19 février 2013

Ma Naissance dans ce jeu tentant : "La Cité"

     Ce soir là, je ne trouvais pas le sommeil. Aucune de mes malicieuses techniques pour m'endormir ne fonctionna. J'avais passé la soirée à la campagne chez mon arrière grand-mère, une petite dame si tendre et gentille. Mes parents s'étaient absentés, je devais donc passer la nuit, ici, accompagnée de mes frères et sœurs. Étant donné que je ne parvenais pas à fermer les yeux, une envie soudaine de regarder la télévision me prit. Mais, en l'allumant, derrière elle, une vieille boîte toute poussiéreuse s'y trouvait, appelée "La Cité". Je lus "jeu pour ordinateur révolutionnaire en réalité augmenté". Très passionnée de technologie depuis longtemps et ne trouvant toujours pas le sommeil, la tentation d'essayer ne manquait pas. J'enfilai les gants puis posai délicatement le casque sur ma tête pour enfin mettre les lunettes sur mes yeux finalement peu fatigués.

      Je tombai directement en face de mon champ de Cyprès favori placé près de chez ma grand-mère, ce dernier ressemblant très fortement au tableau préféré de celle-ci signé Van Gogh. Me trouvant dans ce champ magnifique, je courais effleurant doucement chaque légère branche jaunâtre, tout cela me faisait penser à mon poème fétiche : Sensation d'Arthur Rimbaud...de si jolis vers que j'admirais tout particulièrement. Par ce soir d'été, le soleil tombait lentement, la couleur corail du ciel mélangée au bleu était époustouflante, quelques arbres demeuraient ici-bas, une forêt se trouvait en arrière-plan, peu de nuages se tenaient là ce soir-là. Des fleurs résidaient dans ce lieu majestueux. Le "roi" était sans aucun doute, ce grand arbre, aux immenses feuilles, placé devant moi. Au sol, une épine me caressa, la douleur d'icelle s'en ressentit, j'avais mal. Étais-je aspirée dans un jeu ou bien dans la vraie vie? La question me trotta longuement dans la tête...

lea_la_cite : Voix off. 

                   

   Sensation d'Arthur Rimbaud

Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, heureux comme avec une femme.

17 février 2013

Ma naissance dans la cité

J'ai vu la publicité de ce jeu à la télévision.

Je me réveille dans une chambre qui semble être au grenier. Sur une table basse en bois,il y a un éventail géant, peint à la main, dessus il y a un soleil rouge au milieu de cette œuvre et autour de ce soleil tout est gris,noir et blanc. Ce style ressemble à une peinture japonaise. Je prends une photo de cet éventail et je commence à descendre les escaliers en bois. J'essaie d'ouvrir les portes de l'étage en-dessous mais elles sont fermées. Donc,je décide de descendre encore d'un étage,il y a cinq portes à l'étage d'en-dessous. Il y a deux portes que j'arrive à ouvrir , l'une mène à une salle de bain et l'autre,à l'étage en-dessous. Je descends les marches. J'arrive dans un couloir en forme de « T »,je prends à droite,je suis dans une cuisine,puis je reviens en arrière et je prends à gauche .Je trouve une salle à manger, entre la salle à manger et le couloir,il y a une portes en bois qui mène aux toilettes .Puis je reviens dans la cuisine et j'essaie d'ouvrir le réfrigérateur,mais je n'y arrive pas. La porte en verre qui se trouve dans la cuisine est ouverte,je sort dehors. Je me retrouve dans un jardin. Cinq mètre plus loin, il y a un portillon vert. J'explore un peu le jardin puis j'ouvre le portillon et je sors. Le portillon se ferme mon manteau et mets mes mains dans mes poches. Là,je remarque un papier dans ma poche. Je vois écrit dessus mille trente huit et entre parenthèse « code du portillon numéro 12 ».Puis je pars de cette maison pour trouver d'autres joueur.

Je créerai une secte avec les autres joueurs.Après quelque temps 

nous trouverons le « Livre du commencement ».Le Livre n'est pas complet.Nous partirons à la recherche des 7 feuilles manquantes.Nous avons entendu qu'un joueur se nomment Belzebuth aura une des feuilles qui se trouve sur une région qui s'appelle la terre du milieu.On l'aura retrouvé la trace de ce joueur qui sera dans une taverne qui se nomme la taverne du Hobbit.Nous l'aurons attrapé,il se trouvera qu'il aura les 7 feuilles et nous lui aurons toutes prises.Après avoir mis Belzebuth dans la cave de la taverne.Nous aurons remis les feuilles dans Le Livre du Commencement.Et une nouvelle Cité va apparaître.Mais cela est une autre histoire.

Le jeu plus que réaliste... La Cité !

Pendant la fin du cours de mathématiques il y avait une agitation anormale, la classe était impatiente de découvrir si oui ou non la vérité sur la rumeur était vraie. Apparemment un jeu-vidéo venant d'on ne sait où, serait sortit et s'intitulerait "La Cité".

Les cours se terminèrent et ma mère vint me chercher. Je lui expliquai et la suppliai de me l'acheter ; elle fut d'accord et, de retour chez nous, je ne perdis pas de temps avec mes devoirs. Tout de suite après, j'allumai ma console et ouvris la boîte qui sentait encore le neuf. En regardant à l'intérieur, il y avait des gants et un casque. Bizarre, me suis-je dit ! Une fois après avoir lu le mode d'emploi, je les enfilai, insérai le disque puis fus comme désintégré par une lumière tellement blanche que mes pupilles s'en rétractèrent.

 

Je suis reconstitué virtuellement dans un nouveau monde aussi vrai que nature. A peine arrivé, je distingue déjà une cuisine avec trois couleurs bien présentes: le blanc, le gris et le noir. Elle est divisée en deux parties: un bar assez haut et un plan de travail. Mes mains sont blanches comme dans la réalité, la fenêtre est ouverte et je peux sentir le froid ainsi que l'odeur fraiche de dehors. j'ai tout de suite pris peur et pensé à ce qui pourrait m'arriver si je tombais, chutais ou encore mourais. Est-ce que cela auraI des conséquences graves sur ma santé réelle ?


Il y a un livre posé sur le plan de travail, intitulé "Les Impressionnistes", ouvert à la page 25 avec une œuvre d’Édouard Manet : le clairon. J'ai aussi remarqué qu'il y a un poème découpé glissé à cette page, il s'appelle "Alors la trompette" :

 

Alors la trompette retentira à toutes les portes de la ville

 

Et des oiseaux s'envolerons au bruit des fanfares

 

Ils volerons longtemps au-dessus de la ville

 

Et, quand ils se poseront,

 

Déjà nous reposerons

 

Heureux, joyeux, le coeur contenté,

 

Dormant dans dans la nuit qui précédera le premier lever de soleil du bonheur retrouvé.

 


Les meubles sont fixés dans les murs de la pièce en hauteur, entre les placards se glisse une hotte aspirante au desus d'une plaque à induction où en dessous se situe une dizaine de tiroirs tenus par des pieds sur le carrelage gris.

 

Plus tard dans l'exploration de la pièce je decouvrirai un pouvoir magique qui me permettra de me transformer en oiseau et de distribuer le bonheur partout dans le monde.

 

 

 

 

Fin

 

 

 

12 février 2013

Mon apparition dans la cité

Lieu familier : La salle de français dans le collège Bel Air

Œuvre d'art : Le dé
 
Poème : "Nuits de juin" de Victor Hugo

L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte
La plaine verse au loin un parfum enivrant ;
Les yeux fermés, l’oreille aux rumeurs entrouverte,
On ne dort qu’à demi d’un sommeil transparent.

Les astres sont plus purs, l’ombre paraît meilleure ;
Un vague demi-jour teint le dôme éternel ;
Et l’aube douce et pâle, en attendant son heure,
Semble toute la nuit errer au bas du ciel.

Récit :

Il était jeudi apres-midi , lors d'un cours de francais ; le cours ne m'inpirais pas du tout donc je m'endormis. Je me réveilla , j'avais froid, il fesait jour d'un grand soleil. je m'appuya contre un mur de cette fameuse salle qui avait un étrange papier peint. Lorsque je toucha le mur, gémit en moi une douleur . Ce mur était en roche comme celle qu'on trouve dans les grottes ! Et je me rendis compte que cette étrange salle ressemblait fortement à la salle ou je m'étais endormi lors du cours de francais mais en moins rocheux . Donc je fouilla partout et je trouva dans le placard de mon professeur de francais , son fameux dé et une carte avec plusieur cases et une date a chaque coté de la case. Je contemplais cette carte et je vis : Vous êtes ici . Donc je regardais la date situé a coté de ma case et je vis : -2000 ! j'étais donc a la préhistoire . C'était donc pour sa que cettte salle ressemblait a une grotte , les chaises étaient des bancs, le tableau était un mur de grotte et qu'il fesait donc humide. Et je vis une photo de mme afonso au temps de la préhistoire et il était couvert d'énormement de cheveux, de barbe et de moustache tres soignée . Et je vis un papier ou il y avait une énigme : " Quel sera le professeur le plus performant ? " Donc je répondis sans hésitation : M. Afonso ! Et , tout a coup, le dé et la crate s'illuminèrent . Donc je lança le dé et je me téléporta d'un coup. Je me réveilla , j'avais chaud , il fesait très beau et cette salle ressemblait toujours a salle de francais donc je me précipita sur la carte et je vis que j'étais en 3508, j'étais dans le futur. Les chaises et les tables étaient en apesenteurs, sur les tables il y avait un écran pour chacun, et je vis une photo de M.Afonso qui avait l'air immortel dis donc ! et sur la photo il ressemblait a un robot ! Je voulais quitter cet endroit infernal donc je trouva le papier et l'énigme était : Quel était le professeur le plus performant ? et sans hésitation je répondis : M.Afonso et le dé et la carte s'iluminérent et je lança le dé et je me téléporta.

11 février 2013

réveil 2

 

le lieu: dans le collége (bel-air) mais dans la foret ou autre foret

la poèsie: le cancre de Jack Prevert:

Il dit non avec la tête
Mais il dit oui avec le coeur
Il dit oui à ce qu’il aime
Il dit non au professeur
Il est debout
On le questionne
Et tous les problèmes sont posés
Soudain le fou rire le prend
Et il efface tout
Les chiffres et les mots
Les dates et les noms
Les phrases et les pièges
Et malgré les menaces du maître
Sous les huées des enfants prodiges
Avec des craies de toutes les couleurs
Sur le tableau noir du malheur
Il dessine le visage du bonheur

 

L'oeuvre d'art la dent de Robert Doisneau en 1956:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le réveil:

     Je me suis réveillé ce matin et j'eus une envie de jouer a un jeux qui se nomme la cité donc j'allumais l'ordinateur je mis mon casque audio pour ne pas faire de bruit et ne pas me faire remarquer par mes parents et je comançais à jouer 2 heure et 1 minute sans allez au college et au bout de 2 heure et 1 minute l'écran devint noir et il y avait marqué transmutation en  cours je me dit que c'était un nouveau niveau du jeux puis je me retrouvais dans la foret du jeux la cité habillé en indien et je ne savais pas quoi faire j'étais paniqué puis au bout de 2 bonnes heure et 1 minute a me lamenter je me me dit que sa pourait etre cool et que je n'aurais plus de conte a rendre, que je pourais vivre ma vie à fond ,qu'il ni aurait plus de problème et que je serais heureux puis je me rendis conte qu'il n'y avait personne dans cette foret mais tous était beau les arbres , la douce carrece du vent et des feuille qui me venait au visage et je marchai courut sautai escaladai me trimbalant mon core davatar par tous entre les arbre et les rocher ou je ne pus me faire malle car en tans normale je serait ecorcher de partous ou mort ou avec un menbre du cort fissurer casser mais tou aitais lisse mais pourtant a la vut on naurait pas dit sa (que  saiter lisse)  et puis il y eu un beugue je ne pouvait plus bouger tous devenait noir et il y avait marquer dans le vide DESINCRONISATION en cours. et je me retrouvie chez moi.

fin

Vous pouvez retrouver mon texte lu ici :  Charles-Edward La naissance dans la cité.

04 février 2013

Ma naissance dans "la cité"

Lieu familier: Ma maison de campagne

Ouvre d'art: Un masque de Venise

Poésie: "Le diable en boite " de Corinne ALBAUT

Récit: Pour noël, j'avais commandé un jeu d’ordinateur. Alors, mes parents m'offrirent un jeu qui s’appelait "La Cité". Je n'en avais jamais entendus parlé. La couverture représentait plusieurs personnages, tous différents, en ligne au premier plan, puis une image d'une ville inconnue au dernier plan. Il m'avait l'air bien, alors je me suis vite mise à mon ordinateur pour y jouer. Au bout d'une heure, il était tellement bien que je ne pouvais plus m’en passer. Soudain, alors que je jouais, je vis une petite tâche blanche au milieu de l'écran, qui s'agrandissait de plus en plus avec comme des petites lumières qui bougeaient et étincelaient jusqu'à me rendre aveugle. Puis je me suis retrouvée dans une grande maison, au salon, près d'une cheminée. C'était exactement la même maison que j'avais crée dans ma partie de jeu, sauf que là je me suis retrouvée dedans ! Je me suis levée d'un grand canapé, j'ai regardé autour de moi puis je me suis avancée vers une grande salle à manger, et j'ai touché la table pour voir si tout ça n'était qu'un rêve, puis j'ai tournée une clé dans la serrure d’une porte d'entrée vitrée, et je suis sortis dans le jardin. Il était grand le jardin; il y avait deux ou trois sapins, des roses; mais je me rendis compte qu'il y avait des saisons dans le jeu parce qu'il n'y a plus de pétales de roses et il faisait froid; des arbustes et il y avait même une petite marre et des poissons. Dans la propriété il n'y avait personne à par moi. Je suis seule. Seule au monde avec des poissons rouges. Je suis rentrée au chaud, après quelques minutes dehors, mais sur le canapé j'ai vu un masque qui ressemblait fortement à ceux que l'on porte au Carnaval de Venise. Il avait un grand nez, il me faisait assez peur, je le prit puis je l'ai posé sur mon visage, ce masque me rappelais alors un poème: " Le diable en boite: Un, deux, trois; Que va-t-il sortir de là ? Un diable grimaçant ? Au secours, maman ! Une pieuvre à huit bras ? Au secours, papa ! Un gros crapaud tout vert ? Au secours, grand-mère ! Le vampire de minuit ! Vite, sous mon lit !" De Corinne ALBAUT. C'était ma maman qui me l'avait apprise quand j'étais petite. Quand j'avais mis le masque, j'ai eu un pouvoir de me transformer à une personne auquel je pensais.  Après m'être amusée avec le masque, je l'ai reposée et je me suis mise près du feu et une lumière blanche est réapparue puis je me suis retrouvée dans ma chambre, seule, et toujours aussi étonnée de l'aventure que je venais de vivre.

Ma naissance dans la cité

Un beau jour à la campagne j'étais avec mon ami Simon. Nous avions été avertis qu'une brocante se déroulait aujourd'hui à l'autre bout de la ville. N'ayant rien à faire, nous décidâmes de nous 'y rendre à vélo. Une fois devant la brocante , nous descendîmes de vélo, les attachâmes à une barrière. Nous pénétrâmes dans la brocante. Une fois engloutis par une foules de gens, nous vîmes un stand qu'un vieillard tenait. Curieux, nous décidâmes d'aller y jeter un coup d’œil. Sur la table était disposé une cinquantaine de jeux, des livres, des tableaux etc. il y avait «le Déserteur » de Boris Vian, « Silver Liz » d'Andy Warhol... Un objet m'attira plus particulièrement l’œil . C'était un jeu. Sur la boîte, était inscrit : «La cité 4D le jeu qui a révolutionner le monde du jeu vidéo ». je lui demandai le prix du jeu , et d'une voix roque il me dit : 10 euros. Je le négociai à 8. D'un coup de pédale, nous rentrâmes chez moi. Une fois les vélos rangés au garage nous allâmes dans le salon et allumâmes la playstation. J'ouvris la boîte de jeu et nous vîmes qu'il contenait un CD, une paire de gants et un bonnet. Nous mimes le jeu dans la console et attendîmes... Cinq minutes plus tard, toujours rien. L'écran était noir. Je perdis patience, me levai et dit à Simon : « Viens, allons nous ballader. Le jeu ne marche sûrement pas. » Allant franchir le seuil de la porte, L'écran devint blanc je courus vers ma manette et enfilai les gants et le bonnet comme l'indiquait la notice, et d'un coup, je me sentis transporté dans le jeu. Je m'évanouis en l’espace d'une seconde. Je me réveillai plus tard, sans Simon, perdu dans la campagne. J'y étais...

Mon poème

Le Déserteur


Monsieur le Président je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir
Monsieur le Président
je ne veux pas la faire
je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens
C’est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
je m’en vais déserter

Depuis que je suis né
J’ai vu mourir mon père
J’ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants
Ma mère a tant souffert
Qu’elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers
Quand j’étais prisonnier
On m’a volé ma femme
On m’a volé mon âme
Et tout mon cher passé
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J’irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens
Refusez d’obéir
Refusez de la faire
N’allez pas à la guerre
Refusez de partir
S’il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n’aurai pas d’armes
Et qu’ils pourront tirer.

Boris Vian (1920 - 1959)





Mon œuvre:


"Silver Liz" d'Andy Warhol



29 janvier 2013

Ma naissance dans la cité voix off

video la cité

28 janvier 2013

Ma naissance dans la cité

Introduction: Lors d'un week-end à la campagne, avec mon ami Simon, nous sommes allés à vélo dans une brocante à l'autre bout de la ville. En traversant la brocante, nous vîmes une boîte de jeu vidéo la où était inscrit: "La cité 4D. Le jeu qui va révolutionner le monde du jeu vidéo." L'envie nous prit, et je demanda au brocanteur quel prix nous proposerez t-il. 10euros me dit-il. Je le négocia à 6. IL me donna une paire de gants et un bonnet sans me dire pourquoi. En un coup de pédale, nous rentrîmes chez moi, je me précipita vers mon salon où était instalé ma playstation 3. Le jeu charga. La notice indiquait qu'il falait porter les gants et le bonnet. Je les enfilas. Les yeux rivés sur l'écran, nous attendîmes avec impatience la première mission. L'écran resta noir. Je perdis patience et d'un air déséspéré je me leva et dit à Simon qu'on devrait peut être aller se ballader en ville et que le jeu était surement cassé. Avant que nous passions la porte, l'écran devint blanc. Je n'avais jamais vu un blanc aussi étincelant, et je me sentis aspiré, comme si je rentrais dans le jeu. J'y étais bien. Je n'étais pas avec mon ami. Il était résté de l'autre côté. Je me retrouva seul, perdu au milieu des champs, sans la moindre activité humaine à l'horizon...

Poème:

"Le déserteur" de Boris Vian (1920-1959)

Monsieur le Président je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir
Monsieur le Président
je ne veux pas la faire
je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens
C’est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
je m’en vais déserter

Depuis que je suis né
J’ai vu mourir mon père
J’ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants
Ma mère a tant souffert
Qu’elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers
Quand j’étais prisonnier
On m’a volé ma femme
On m’a volé mon âme
Et tout mon cher passé
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J’irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens
Refusez d’obéir
Refusez de la faire
N’allez pas à la guerre
Refusez de partir
S’il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n’aurai pas d’armes
Et qu’ils pourront tirer.

Boris Vian (1920 - 1959)

23 janvier 2013

"Ma naissance dans la cité..."

Introduction: 

Un mercredi dans mon appartement, je m'occupait à regarder le blog de français que mes camarades,le professeur de français et moi avons créer pour exercer des travaux collectifs. Quand soudain je me retourna et vis une boite où je pouvais lire "La cité: une expérience 4D..." Moi qui étais très intéressé par les jeux vidéos, pris la boîte, mis les gants et le bonnets qui était fourni avec le jeux et l’insérera dans ma Playstation qui était installée juste à côté de moi. J 'alluma ma télévision et vis l'écran tous blanc. Et d'un coup je fis téléporté dans un parc qui m’étais inconnue. Je regarda à gauche, à droite puis en haut et en bas; à mes pieds je vis une feuille blanche avec le poème de Victor Hugo "Demain dès l'aubes": le poème que j'avais appris à l'école primaire...

Poème:

"Demain dès l'aube" de Victor Hugo.

Clique ici!!

Oeuvre:

"Ma destinée" de Victor Hugo (1867)

Ma destinée

21 janvier 2013

" La naissance dans la cité "

Endroit "familier" (désert) : Mon salon

Une œuvre d'art connue (peinture, sculpture, photo) :

Ange assis avec une flute traversière

Une poésie:

Demain, dès l'aube...

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Introduction :

Un jour des amis me conseillèrent un jeu qui contenait un bonnet et des gants. Je l'ai acheté et je regardais la couverture, elle était toute bleu avec une écriture étrange de couleur or et c'était écrit : "La Cité". Je commençais à y jouer quand mon écran écrivit : "Veuillez mettre votre casque, ainsi que votre bonnet et vos gants". Je les ai mis puis une lumière d'une blancheur éclatante sorti de mon écran et m’éblouissais.

Texte :

Je découvrais les lieux, cette salle ressemblait fort à mon salon. Dans cette pièce, je trouvai un papier peint de coloris jaune allant vers le blanc et aussi de couleur grise. Je vis une porte de tonalité blanche avec une poignée de couleur argent, je m'approchai de celle-ci mais elle était fermée. Il y avait une télévision écran plat de couleur noir, un buffet en bois, de couleur marron, travaillé à la main, avec cinq portes dont trois en bas et deux en haut. Une table en bois avec des moulures et de couleur marron. Quatre chaises en bois et avec des tissus de coloris rouge. Une porte fenêtre avec des rideaux blancs. Un meuble en bois avec des tiroirs et une double porte où au dessus il y avait un aquarium avec des poissons rouges. Une chaine Hi-Fi de coloris or et métal avec des enceintes. Un canapé de couleur marron et blanc et un cadre ou dans lequel il y a un puzzle représentant un paysage devant un lac. Je me dirigeai vers le buffet quand je me cognai le genou contre la chaise et une douleur se fit ressentir "c'est étrange" car dans le jeu je ne devais pas ressentir cette douleur. J’aperçus une clé sur la table, je la pris et la mis dans la serrure. J'ouvris une porte du buffet, celle du milieu. Je découvris un ange tenant une flute traversière et assis sur une boule. Je le pris et le mis sur la table. Il était splendide, resplendissant, il y avait des couleurs blanches et grises. Je le laissai sur la table et m’en allai vers le meuble, quand je regardai ma montre, c'était écrit : "14H00", l'heure à laquelle ou mon père rentrait des courses. En me déconnectant je me suis dit : "Demain j'irai plus longtemps, je m'améliorai, découvrirai d'autres lieux et d'autres personnes".

ma naissance dans la cité

lieu familier: carrefour de la rue des longs réages.

poésie: L'appel du large

L’appel du large

 

Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.

 

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

 

Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

oeuvre d'art: la statue de la libertée

http://www.photoway.com/fr/dest/NY01_59.html

 Je me promenais dans une brocante sous un soleil de plomb. J'aime ce genre d'endroits: varié, un peu vieillot, poussiéreux, mais tout pleins de charme, avec ses objets mystérieux qui ont eu leurs temps, ou ils trônaient fièrement sur une étagère. Maintenant, ils attendent impatiemment dans l'ombre et la poussière; qu'un acheteur daigne lui offrir une nouvelle vie sur une de ses étagères. C'est alors que j'ai découvert un coffre, avec ses ornements si fins, son bois si tendre; que je ne pus résister à la beauté si écrasante de cet objet.

Arrivé chez moi, je décidais d'ouvrir ce coffre. Le loquet qui gardais son ouverture, me donnais l'irrésistible envie de découvrir avec appétit son contenu. C'est lorsque j'ouvris le coffre, que je trouvais un jeu. Le matériel qui l’accompagnait se composait simplement d'un bonnet et d'une paire de gants. Je mis cet attirail si étrange; et fut éblouit par une puissante lumière blanche sortit dont ne sait où... Tout à coup je me retrouve dans une rue inconnue mais avec l'étrange impression de déjà-vu. J'avance et eu la grande surprise de constater que je contrôlais mes pieds et avançais comme dans le monde réel. Je ressentis le vent glissé sur ma peau ; vis une grande affiche au coin de la rue qui représentait la statue de la liberté, correspondant étrangement à un symbole que j'affectionnais. J'avance ma main près d'un arbre touche une feuilles mais me coupe au passage. Une goutte de sang jaillit et je ressentis une vraie douleur. Je mis mon doigt dans ma bouche pour apaiser le saignement et eu dans la bouche le vrai goût du sang. J'étais surprise et intriguée de savoir par quel miracle les créateurs de se jeux avait réussi à créer un univers si réel, et sortant en même temps de l'ordinaire.

 

Plus tard, grâce aux attrais de la poésie; j'eu comme on dit, un super pouvoir. Celui de lévitation (c'est à dire, en cas de danger je pourrais m'élevé en suspension dans les airs). Je repris à son rythme normal, le cour de la vie dans la cité; avec toutes ses étonnantes aventures et mystères à éclaircir.

16 janvier 2013

Ma naissance dans la cité

Lieu familier : le jardin

Poème de Théodore Agrippa d’Aubigné : 
 Ce doux hiver qui égale ses jours

Ce doux hiver qui égale ses jours
A un printemps, tant il est aimable,
Bien qu'il soit beau, ne m'est pas agréable,
J'en crains la queue, et le succès toujours.

J'ai bien appris que les chaudes amours,
Qui au premier vous servent une table
Pleine de sucre et de mets délectable,
Gardent au fruit leur amer et leurs tours.

Je vois déjà les arbres qui boutonnent
En mille noeuds, et ses beautés m'étonnent,
En une nuit ce printemps est glacé,

Ainsi l'amour qui trop serein s'avance,
Nous rit, nous ouvre une belle apparence,
Est né bien tôt bien tôt effacé.

Tableau de Giuseppe Arcimboldo : L'hiver

 

 

 

 

 

 

 

 

Introduction: 

Pendant ces très longues vacances, avec ce temps triste, couvers de nuages gris. J'étais seule dans cette grande maison vide; je m'ennuyais. Je décidai donc de découvrir le jeu que l'on m'avait offert pour Noël dernier. Je m'installai devant mon ordinateur, m'équipai d'un casque ainsi que des lunettes et le jeu s'alluma. L'écran devient tout blanc et tout d'un coup je me retrouvai dehors, dans un jardin couvert de neige. Je ne savais pas où je me trouvais, mais ce jardin était tellement magnifique et me paraïssait famillier, qu'il me rappelait de nombreux souvenirs d'enfance; quand mon frère et moi jouaient dans la neige. Il y avait une odeure de neige fraîche. Les arbres avaient perdu leurs feuilles et leurs branches ressemblaient à des doights crochus. Le jardin était couvers d'un blanc étincellant que j'avais presque mal aux yeux. Quelques minutes s'écoulèrent et au loin dans la neige, je remarquai une petite tâche marron. Je m'approchai pour mieu la voir et je découvris que c'était le célèbre tableau d'Arcimboldo, intitulé "L'hiver". Ce tableau était totalement étonnant et me paraîssait féérique avec ces éléments d'hiver qui forme un visage d'un homme. Ce mystérieux personnage avait pour cou le tron d'un arbre et pour cheveux des petites feuilles d'un vert foncé qui me rappelait un arbre où je jouais dedans quand j'étais petite. Quand je relevai la tête, je tombai de peur et d'étonnement car cet homme représenté sur ce tableau, se retrouva enface de moi!

11 janvier 2013

"Ma naissance dans la cité"...

    

Ouch! Ça fait mal!

     Pour mon anniversaire ma mère avait eu l'idée de m'offrir "ce jeu fabuleux en 3d" qui promettait d’être "très éducatif". Sur le coup je n'étais pas convaincue et même plutôt sceptique mais, après avoir enfilé les gants et le bonnet, j'ai été tout de suite absorbée par la Cité.

     Le jour où a eu lieu ma première vraie connexion, j'étais devant mon écran qui était devenu une sorte de blanc où toutes les couleurs se côtoyaient avec une singulière harmonie mais le charme fut rompu par un spectacle d'autant plus fascinant : une nouvelle réalité apparaissaient devant mes yeux ébahis, bien que le spectacle ne me plut pas énormément j'étais totalement fascinée . C'était une école aux murs jaunâtre et aux planchers en plastique bleu. Les lieux me paraissaient familiers bien que je ne sache pourquoi et JE SENTAIS la forte odeur acre du feutre ardoise qui me faisait tourner la tête, dans cette ambiance endormie- comme si le temps s'était arrêter- je décidais de me secouer et me mis à courir à toute allure dans cette école à la vague allure de prison. Je me perdis dans ce dédale de couloirs et essoufflée je m'appuyais sur le mur. Le mur était palpable, d'étonnement je me laissais tomber et me cognais la tête contre sol. Ouch, ça fait mal mon dieu! D'un réflexe je portais ma main à ma tête où se formait une grosse bosse d'où coulait un peu de sang... qui était réellement sur ma tête!!! Estomaquée, je me déconnectais et avant de disparaître, mes yeux de posèrent sur une toile que j'appréciais particulièrement "L'amour à mort" aussi appelé "Cupidon endormi" de Luigi Miradori (dit Genovesino). Puis j'allais panser ma blessure avec des mouvements saccadés et le soir, vers 02h00 environ, comme hypnotisée je me réveillais, me reconnectais et fis plus profonde connaissance avec ce nouveau monde ...    

Mon Tableau préféré : Cupidon endormi de Luigi Miradori

Mon poème préféré :

Il pleure dans mon cœur de Paul Verlaine

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un cœur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce cœur qui s’écœure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon cœur a tant de peine !

angelina la naissance

07 janvier 2013

Ma naissance dans ce jeu révolutionnaire: "La Cité"

J'errais dans mon appartement à la recherche d'une occupation que je puisse faire pour me divertir lorsque je vis a travers la fenêtre une pub qui passait sur un bus annonçant l'arrivée d'un jeu révolutionnaire pour bientôt... Je décidai de tester ce formidable jeu que l'ont disait en quatre dimensions, à la fois graphiquement ultra performant mais aussi étrange et malheureusement limité en distance dans l'espace. Malgré tout, le lendemain matin je pris plaisir a attendre plus de 2 heure devant le magasin... Je trouvai beaucoup de gens a attendre qui aimais ce jeu qui permettait de se faire d'autres amis. Je m'installais donc à mon fauteuil en mettant mon bonnet et mes gants, puis j'allumais mon écran. D'abord noir, il devint blanc et une lumière blanche apparut, qui enveloppa tout à fait.

Je me suis réveillé dans un couloir, donnant sur plusieurs pièces. Elles donnaient toutes sur des salles de classe... mais il y en avait une qui a porté ma curiosité à son apogée c'était celle de musique, où il y avait une affiche avec écrit dessus le poème de Charles BAUDELAIRE  "L'alchimie de la douleur" qui a pour moi une grande valeur sentimentale.

Poème: 

L'un t'éclaire avec son ardeur,
L'autre en toi met son deuil, Nature !
Ce qui dit à l'un : Sépulture !
Dit à l'autre : Vie et splendeur !

Hermès inconnu qui m'assistes
Et qui toujours m'intimidas,
Tu me rends l'égal de Midas,
Le plus triste des alchimistes ;

Par toi je change l'or en fer
Et le paradis en enfer ;
Dans le suaire des nuages

Je découvre un cadavre cher,
Et sur les célestes rivages
Je bâtis de grands sarcophages.

Charles Baudelaire, Alchimie de la douleur



05 janvier 2013

Mon réveil dans la cité

Le lieu: L'exposition Japon Paris Bretagne (Musée départemental breton à Quimper)

La poésie: Demain dès l'Aube

L’œuvre d'art: Sous la vague au large de Kanagawa d'Hokusai Katsushika

Ce Noël je tenais enfin entre mes mains le jeu tant attendu "La Cité".Sans perdre une seconde je l'installais sur mon ordinateur,casque sur les oreilles et gants enfilés. A peine l'écran allumé je fus  ébloui par une intense lumière blanche et, sans notion du temps écoulé, je me réveillais dans La Cité.

J'étais tombé dans une petite pièce inconnue. J'étais seul. En face de moi, dans une cage de verre, se dressait une immense armure de samouraï. Accrochés au mur des masques grimaçants me fixaient. A ma gauche se trouvaient des katanas et des petites sculptures de bois et de bronze.Tournant mon regard vers la droite je compris le sens de tout ceci: une impressionnante affiche annonçait l'exposition Japon Paris Bretagne, la gravure sur bois en couleurs.

Il y avait une odeur de vieilli, je pouvais respirer normalement et je me levais sans peine.Je décidais d'aller dans la pièce voisine. Tout autour de moi je pus contempler d'étonnants tableaux: des estampes japonaises, des paysages bretons, tous évoquaient la mer. Je fus attiré par un petit tableau que je reconnu avec plaisir. C'était une gravure sur bois que j'aimais tout particulièrement : Sous la vague au large de Kanagawa.

Mon fichier audio:thibault_la_cite.wav

24 décembre 2012

Ma naissance dans la Cité

poème: Les fleurs du mal de Charles Baudelaire

lieu:ma maison

tableaux:Les Nymphéas de Monet  

Le Bassin aux nymphéas

Tout a commencé il y a trois mois , j' étais sur le net et c'est la que j'ai découvert une pub qui a changer ma vie . C'etait une pub pour un nouveau jeu vidéo appelé "La Cité" avec ce message "Dans La Cité tout peut arriver ." . Alors j'ai commencé à faire des recherches sur internet , le jeu m'a plus et donc je l'ai commandé .

Aujourd'hui c'est le grand jour , j'ai enfilé mes gants , mon bonnet et j'ai allumé l'ordinateur et lancé le jeu . Une lumière blanche est apparu , et le jeu a commencé . Les images ont commencé à apparaître , c'etait incroyable à quel point chaque petit détail est travaillé et nous fais penser à la réalité ; un peu trop d'ailleur . Je suis apparu dans un couloir avec cinq portes trois étaient ouverte , elle menait à la salle de bain un placard et aux toilettes . J'avais l'impression de connaitre cette endroit . Une drole d'odeur flotait dans l'air . Ca voudrait dire que les autres sens marchent eux aussi ! Je me suis mis à cogner une table , j' eux mal . Je ris . Après avoir longtemps ris je décidais de sortir d'ici , mais comment ? Réléchissons. Deux portes étaient encore fermées . Je sais , il me faut des clées . J'ai chercher dans toute les piece , rien . C'est là que j'aperçu une séries de tableaux : "Les Nymphéas" de Monet . Mes tableaux préféré. C'était signé Nacet . Nacet ! C'est mon nom de famille ! Comment pouvait-t-il connaitre mon nom de famille ? c'est surement une coinscidence . . .

 

Plus tard , je rencontrerais Rebby . Nous avons un pouvoir en commun tout les deux . En récitant ce poème :

  

Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

nous pouvons lire dans les penséees des autres .

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