Ma naissance dans ce jeu révolutionnaire: "La Cité"

J'errais dans mon appartement à la recherche d'une occupation que je puisse faire pour me divertir lorsque je vis a travers la fenêtre une pub qui passait sur un bus annonçant l'arrivée d'un jeu révolutionnaire pour bientôt... Je décidai de tester ce formidable jeu que l'ont disait en quatre dimensions, à la fois graphiquement ultra performant mais aussi étrange et malheureusement limité en distance dans l'espace. Malgré tout, le lendemain matin je pris plaisir a attendre plus de 2 heure devant le magasin... Je trouvai beaucoup de gens a attendre qui aimais ce jeu qui permettait de se faire d'autres amis. Je m'installais donc à mon fauteuil en mettant mon bonnet et mes gants, puis j'allumais mon écran. D'abord noir, il devint blanc et une lumière blanche apparut, qui enveloppa tout à fait.

Je me suis réveillé dans un couloir, donnant sur plusieurs pièces. Elles donnaient toutes sur des salles de classe... mais il y en avait une qui a porté ma curiosité à son apogée c'était celle de musique, où il y avait une affiche avec écrit dessus le poème de Charles BAUDELAIRE  "L'alchimie de la douleur" qui a pour moi une grande valeur sentimentale.

Poème: 

L'un t'éclaire avec son ardeur,
L'autre en toi met son deuil, Nature !
Ce qui dit à l'un : Sépulture !
Dit à l'autre : Vie et splendeur !

Hermès inconnu qui m'assistes
Et qui toujours m'intimidas,
Tu me rends l'égal de Midas,
Le plus triste des alchimistes ;

Par toi je change l'or en fer
Et le paradis en enfer ;
Dans le suaire des nuages

Je découvre un cadavre cher,
Et sur les célestes rivages
Je bâtis de grands sarcophages.

Charles Baudelaire, Alchimie de la douleur