Prix "Page à Page"Autour de "La Cité" › La "naissance" dans la Cité

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18 décembre 2012

Ma naissance dans la cité

Lieu familier: les bois de Meudon

Œuvre d'art: o Pensador de Chokwe

Poésie: Le cancre

Introduction: Il y a deux ans de cela, pour mon anniversaire ,ma tante m'avait offert "la cité" un jeu pour ordinateur livré avec des lunettes et un casque. Comme il n'avait pas l'air intéressant je l'ai rangé au fond de mon placard. Mais pendant ces vacances d'été je m'ennuyais terriblement et comme j'avais terminé tous mes jeux ,je décidais alors d’essayer "la cité". J’installais le matériel et je mis les lunettes et le casque. Soudain l'écran est devenu  blanc puis je suis arrivée dans cet endroit ,qui ressemblait à un bois car il y avait une multitude d’arbres plantés. Je ne comprenais pas comment cela pouvait être possible ,les arbres étaient bien réels ,leurs écorces étaient dur et elles s’effritaient après le passage de ma main. Le lieu était désert ,je senti la solitude m’envahir et après un moment de réflexion ,je remarquais que je ne portais plus ni casque ni lunettes .Plein de branches étaient tombée un peu partout à cause du vent ,mais une d'elles avait attiré ma concentration, elle ressemblait beaucoup à une sculpture :"o pensador de chokwe" .Soudain les feuilles des arbres s'écartèrent et laissèrent passer la lumière du soleil qui attira mon attention sur un arbre où était clouée une feuille avec un texte .Le titre était :"Le cancre" et je lus ce texte ,qui semblait être une poésie :Le cancre

 

Il dit non avec la tête
Mais il dit oui avec le coeur
Il dit oui à ce qu'il aime
Il dit non au professeur
Il est debout
On le questionne
Et tous les problèmes sont posés
Soudain le fou rire le prend
Et il efface tout
Les chiffres et les mots
Les dates et les noms
Les phrases et les pièges
Et malgré les menaces du maître
Sous les huées des enfants prodiges
Avec des craies de toutes les couleurs
Sur le tableau noir du malheur
Il dessine le visage du bonheur.

 

                                                   Jacques Prevert

En voulant prendre la feuille ,un pouvoir surnaturel apparut en moi ,j'avais le don de pouvoir de passer à travers les murs .Je m'amusais alors à passer à travers les arbres. Mais en traversant ce gros chêne ,je réapparut devant mon écran d'ordinateur devenu tout blanc ,mes gants et mon casque avaient réapparut et mon pouvoir disparut. Je me dépêcha alors d'appeler ma meilleure amie pour venir faire une partie avec moi et vivre cette extraordinaire aventure .

17 décembre 2012

Ma naissance

Mon lieu familier : La salle de bains, ce sont les coquillages, sables fins, et embruns de la mer qui me sont doux, familiers.


L’œuvre d'art : C'est un Van Gogh:"barques sur la plage de saintes Marie de la mer". Cela évoque pour moi le calme et la sérénité, par les bateaux immobiles sur le sable qui ont cessés de tanguer sur la mer et la marée basse avec ses eaux stagnantes.

Ma naissance dans la cité: Lors d'un séjour chez une amie dans sa ferme de Normandie; il m'arriva quelque chose de plus ou moins étrange...

Alors que je m’exerçais attraper les grenouilles d'un petit étang; (car j’attendais impatiemment mon amie; affin d'aller nous aventurer dans les champs voisins), je posais par mégarde, mon pied nu sur une chose dure et massive. En fouillant dans l'eau trouble, je trouvais une boite, grande, couleur d'ébène, et fini avec un loquet en acier poli. De la mousse aquatique avait grimper sur le bois de la petite caisse; ce qui prouvait le temps qu'elle avait passer au milieux des algues et des amphibiens environnent.Je me décidas, et l'emmena dans la maison. Je l'ouvris après hésitations; ce que je trouvais à l’intérieur était inattendu: une sorte de bonnet, et des gens. Je les enfila tout bêtement; et alluma l'ordinateur...

Lorsque je reviens à moi, une odeur d'embruns marine vient me chatouiller les narines (ce qui n'était pas désagréable!).Lentement, j’ouvris les yeux; une lumière blanche -presque aveuglante- emplis mon esprit. Quant celle-ci se dissipa, je pus enfin admirer la salle dans laquelle j'étais: une salle de bain. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, j’étais dans une belle salle bain, dans laquelle était disposer de nombreux vases; de toutes formes et de toute tailles. Chacun d'eux était remplis de sables de couleurs plus ou moins variés. Des étoiles de mer étaient en équilibre sur le rebord du lavabo de pierre grise. Je me levais, et constatais aussi que mes pieds, nus, marchaient sur un sol de galets polis et doux comme de la soie. Je me tournais, retournais, pour scruter cette salle paisible et calme qui m'entourais. Quand soudain, mes yeux se posais sur quelque chose. Quelque chose qui m'était familier, mais aussi très lointain: un tableau. C'était le "barques sur la plage de saintes Marie de la mer", un Van Gogh; plus ou moins connus... Je traversa cette salle qui paraissait sans fins; c’était complétement irréelle! Sans le vouloirs, je buta contre un vieux radiateur (un peu rétro d’ailleurs), sa chaleur été tellement intense, que le la paroi de cet objet me brula.


Le poème:

 L’Homme et la mer

Homme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

Tu te plais a plonger au sein de ton image;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets;
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!

Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs éternels, O frères implacables!

                                    Charles Baudelaire                                                                                       




Présentation du travail à faire autour du tome 1 de "La Cité : La lumière blanche"

Ce travail se déroulera en plusieurs étapes qui aboutiront à un film de forme courte.

  • La première étape, après avoir lu le livre, sera de choisir trois éléments : un lieu familier, une oeuvre d'art et un poème.
  • La deuxième étape consistera en la rédaction d'un texte de description du lieu familier choisi pour en faire le contenu de la bande son du film, c'est à dire le monologue intérieur en voix off écrit au présent de l'indicatif. Ce passage, comportant aussi les impressions du narrateur interne, sera accompagné d'une introduction et d'une conclusion constituant un récit : l'introduction étant l'évocation au passé des événements qui ont amené le personnage à se procurer le jeu et à entrer dans "La Cité" ; la conclusion, au futur, narrera par anticipation la suite des "aventures" de l'avatar.
L'oeuvre d'art sera présente dans le lieu que vous explorerez : qu'il s'agisse d'un tableau, d'une sculpture ou d'une autre forme d'oeuvre, celle-ci devra apparaître dans l'espace de votre "naissance" en provoquant chez vous des émotions ou des pensées que vous évoquerez dans votre texte.

Le poème conclura votre récit final. Vous aurez raconté avant cela le "pouvoir" qu'il vous octroiera dans le jeu par la suite.

  • La troisième étape, elle aussi en plusieurs temps, constituera la réalisation du court métrage.
  1. Dans un premier temps, il sera nécessaire de vous enregistrer lisant votre rédaction pour avoir un fichier audio de votre texte : pour faire cela nous utiliserons le logiciel Audacity.
  2. Dans un deuxième temps, vous filmerez votre déambulation dans le lieu choisi.
  3. Le troisième et dernier temps sera consacré au montage de votre film pour regrouper le fichier audio avec celui de la vidéo et ainsi finaliser votre court métrage.


Voici un exemple de film tourné en plan séquence et en caméra subjective avec un portable : Fear Thy Not.

 

16 décembre 2012

Ma naissance dans "La Cité"

11 décembre 2012

ma naissance dans "la cité"

Un jour de pluie, seule chez moi et ne sachant pas quoi faire, pourquoi ne pas inaugurer mon nouveau jeu : La Cité.

J'ouvre les yeux et le surplus de poussière me fait tousser. Je connais cet endroit très lumineux remplis de blanches statue de plâtre cet endroit je le connais bien car avant j'y venais tous les mercredi pour faire de la sculpture en cire avec ma grand-mère. Je n'y suis pas venu depuis des lustres; j'en profite donc pour me promener dans cette atelier qui appartient à ma grand-mère. Lorsque j'arrive dans un long couloir où elle entrepose ses sculptures, j'en remarque une qui habituellement est cassée, mais là elle se trouve devant moi intacte. Ma grand-mère la peut être réparée ou refaite mais quelque chose cloche, la date n'est pas la même, il y a noté 20 janvier 2050. Comme je suis dans son atelier, je me dis donc que ma grand-mère doit s'y trouver, je l'appelle donc. Personne ne répond, mais une boîte posée en évidence sur une table m'intrigue, accompagnée de ma curiosité, je l'ouvre. Dans cette jolie boîte dorée se trouve un mot, une montre, et deux vieilles clefs rouillées. Sur le mot il est écrit "Toi qui lit ce message, monte sur la mezzanine et prends les habits qui se trouvent sur le lit." et je fis donc ce qu'il me demande. Les vêtements étaient de bonne qualité et plutôt beaux, je les met. La montre me va à merveille, les deux clefs servent à ouvrir une porte mais laquelle il y en a tellement, mais la première qui me venais à l'esprit est celle de l'entrée. C'est elle, je sortis donc.

Plus tard je vais découvrir que grâce à une poésie j'étais dotée de pouvoir qui m'aideront à de nombreuses reprises.

mon oeuvre : rapt au parapluie de Roseline Granet.

ma poésie :

Un baiser, qu'est-ce ?

Un serment fait d'un peu plus près,

Un aveu qui veut se confirmer,

Un point rose qu'on met le i du verbe aimer;

C'est un secret qui prend la bouche pour oreille.

Edmond Rostand

Cyrano de Bergerac 1897

10 décembre 2012

Ma naissance dans "la Cité".

Le lieu familier la chambre de mes parents

L'oeuvre d'art: Le bassin aux Nymphéas, harmonie verte. De Claude Monet.











 
 
 
 
 
 
Poésie: Les Nénuphars.
 
L'étang dont le soleil chauffe la somnolence 
Est fleuri, ce matin, de beaux nénuphars blancs ; 
Les uns, sortis de l'eau, se dressent tout tremblants, 
Et dans l'air parfumé leur tige se balance.

D'autres n'ont encore pu fièrement émerger :
Mais leur fleur vient sourire à la surface lisse.
On les voit remuer doucement et nager :
L'eau frissonnante affleure aux bords de leur calice.
                               de Edmond Rostand

Lors de la sortie du jeu "la Cité'' ,j'avais treize ans. Au début je m'étais mis en tête de ne jamais y jouer car tout le monde trouvait idiot le fait de passer son temps devant des jeux vidéos. Puis un jour où je marchais dans la rue et que je contemplais les panneaux de publicités pour la Cité, un homme me dit "Vous devriez essayer ce jeu, il est tout simplement génial''  j'avait à peine commencé à répondre que l'inconnu m'interrompit  et me dit " jouez-y une fois que vous serez dedans vous ne regretterez pas!". Il m'avait dit ça d'un tel ton que j'en restée bouche-bée,un ton d'une grande insistance. J'avais repensée aux paroles de l'homme pendant toute la nuit et le lendemain matin, lorsque je me levais je dis à ma mère:
- Pour noel, je souhaiterais avoir le jeu " la Cité!".
-D'accord me répondit elle.
Le jour de noel je reçu l'équipement du jeu et le jeu lui-même. L'équipement se composait de gants et d'un casque.

Je suis dans le bureau de mon père, devant l'ordinateur. Je m'apprête à l'allumer mais d'abord j'enfile mes gants ainsi que mon casque. Puis j'enclenche le bouton situé derrière l'ordinateur qui permet de le mettre en marche.
Ca y est, enfin j'y suis. Je sens en moi comme une vague me transportant dans le jeu. Je vois une lumière blanche, d'une blancheur équivalente à celle de la neige. Je ne fais rien. J'attend quelques secondes et je commence à distinguer peu à peu les lieux. Je suis dans une chambre, il me semble avoir déjà aperçue cette pièce quelque part, comme un lieu qui m'est familier. Je dois rêver car c'est pourtant la toute première fois que je me trouve ici. Cette chambre est déserte. J'appelle, j'essaye d'ouvrir la porte mais elle est close; je suis donc condamnée à rester ici un bout de temps. J'essaye de savoir où je suis mais aucun indice visible pouvant me renseigner sur l'adresse à laquelle je suis. Je vois juste un dessin qui représente un tableau coloré, avec un pont et des nénuphars, cette oeuvre est signée: je lis l'inscription " astir", je me dis non ce n'est pas possible astir est le nom de famille de ma cousine, tout s'embrouille alors dans ma tête. J'arrête alors de penser à tout ça et je me concentre plutôt sur les choses composants cette pièce. Je vois alors un grand lit, un secrétaire, une commode et un placard ouvert où sont rangés et pliés des vêtements, des chaussures ainsi que deux ou trois autres bricoles. Je me rend compte que dans ce jeu, il y a des éléments de la vie, réels. Quelques vêtements de multiples couleurs sont éparpillés sur une chaise, ils sont tout froissés; je les touches du bout de mon doigt, ils me paraissent doux et tout à fait normaux. Ensuite j'essaye de sentir si il y a une odeur particulière et en effet je sens comme une odeur de moisissure, j'en conclue donc que cette chambre doit être abandonnée depuis un certain temps déjà.

Au fur et à mesure que je m'améliorerais dans le jeu je rencontrerais deux personnes: Anna et Florian avec qui, en reçitant le poème "les Nénuphars" je pourrais communiquer à distance et échanger nos personnalités.


08 décembre 2012

Ma naissance dans la cité (Elise)

le réveil dans la cité

lieu familier:carrefour de la rue des longs réages

poésie: 

L’appel du large

 

Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.

 

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

 

Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !

 

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal

oeuvre d'art:la statue de la liberté New York

http://www.photoway.com/fr/dest/NY01_59.html

Ma naissance dans "La Cité"

Endroit de mon réveil :

Dans ma cave

Je connais cet endroit car j'y vais tous les soir pour chercher mon jus d'orange.

Oeuvre d'art :

oeuvre d'art

poésie:

il offrait du coeur

Donc, il offrait du coeur
Avec un tel sourire
Qu'on s'empressait d'ailleurs
En tous lieux de le dire.

On en voulait partout,
Mais on finit pourtant
Par se demander où
Il en trouvait autant.

Et il riait dans l'ombre.
C'était son propre coeur
Vaste comme le monde
Qu'il offrait à la ronde,

Offrait pour un sourire
Qui répondait au sien,
Offrait rien que pour dire
Aux gens : "Portez vous bien"

                                Maurice Carême

récit :

J'étais chez moi un jour de pluie et je n'avais rien a faire . je regardais mon ordinateur et je pensait a ce jeu auquel on avais joué chez mon amie . Je fouillais ma chambre a sa recherche et enfin quand je mis la main dessus je l'ai tout de suite inséré dans mon ordinateur pour ensuite enfiler les gants et le bonnet fournis avec.

Mon écran devient rouge puis bleu et blanc et tout a coup je me retrouve seule dans une pièce familière mais étrangere en même temps. J'inspecte les pieces et je découvre soudain  un tableau peint grandeur nature sur le mur; c'est un tableau que je connais bien. Il y a dans cette pièce; des murs peint a la chaux, plein de vélos bien rangés contre le mur. La lampe accroché au plafond diffuse une lueur tremblotante; la fenêtre donne une vue sur le parvis de l'immeuble. Dans la radio de mon voisin j'entend la poésie de Maurice Carême "Il offrait du coeur" qu'un auditeur récite a pleine voix. Ne croyant pas a tous cela j'inspire un grand coup  pour me calmer et l'odeur de moisi m'assaille d'un coup; c'est a ce moment que je remarque que j'utilise sans difficulté mes 5 sens. 

Quand je sortirai de ma cave quelques heures plus tard, je parcourerai les rues entourant cette cave. J'aquiererai le pouvoir de l'invisibilité qui me seront très utile pour échaper a des poursuivants surtout que la cité en regorge.

 

04 décembre 2012

Mon réveil dans la Cité

Lieu familial : Le salon

Poème: "Mes deux filles" de Victor Hugo:

Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe,
Belle, et toutes deux joyeuses, ô douceur !
Voyez, la grande soeur et la petite soeur
Sont assises au seuil du jardin, et sur elles
Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles,
Dans une urne de marbre agité par le vent,
Se penche, et les regarde, immobile et vivant,
Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase,
Un vol de papillons arrêté dans l'extase.

Œuvre d art:

Renoir de Francesca Castellani

Introduction:

A Noël, mon parrain m'avais offert le jeu "La Cité" livré avec un casque et des lunetes. Quelques jours plus tard je décidai donc d'essayer le jeu. J'installai le jeu sur mon ordinateur et je mis les lunettes ainsi le casque. Et tout d'un coup mon écran devenu tout blanc puis j'arrivai dans un salon plutôt grand, eclairé par la lumiere du soleil qui passait par la grande baie-vitrée. Tout avais l'air d'être normal mais pourtant je m'aperçu que je ne portais plus mon matériel. Tout me paraissait bizarre;je ne savais plus où je me trouvais. Je décidai donc de visiter le salon. J'aperçu au loin sur une bibliothèque un tableau qui m'intrigua,j'allai le découvrir. Ce tableau se nommer "Renoir" de francesca Castellani,il représentait deux petites filles. Ce tableau me rappelais tant de souvenirs d'enfance passé auprès de ma soeur. Des questions me viennent à l'esprit : "Ma soeur jouait-elle à ce jeu ?","Ma soeur etait en train de jouer en ce moment meme ?" .Pourtant je ne comprenais point car ma soeur m'avait dis que ce jeu ne l interessait pas.

Plus tard, j'irai découvrir la ville, je me ferais de nouveaux amis et peut-être que je rencontrerai ma soeur. Je me baladerai dans les rues, je visiterais...

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