Ma naissance dans la Cité
Par Benjamin le 24 décembre 2012, 11:28 - La "naissance" dans la Cité - Lien permanent
poème: Les fleurs du mal de Charles Baudelaire
lieu:ma maison
tableaux:Les Nymphéas de Monet
Tout a commencé il y a trois mois , j' étais sur le net et c'est la que j'ai découvert une pub qui a changer ma vie . C'etait une pub pour un nouveau jeu vidéo appelé "La Cité" avec ce message "Dans La Cité tout peut arriver ." . Alors j'ai commencé à faire des recherches sur internet , le jeu m'a plus et donc je l'ai commandé .
Aujourd'hui c'est le grand jour , j'ai enfilé mes gants , mon bonnet et j'ai allumé l'ordinateur et lancé le jeu . Une lumière blanche est apparu , et le jeu a commencé . Les images ont commencé à apparaître , c'etait incroyable à quel point chaque petit détail est travaillé et nous fais penser à la réalité ; un peu trop d'ailleur . Je suis apparu dans un couloir avec cinq portes trois étaient ouverte , elle menait à la salle de bain un placard et aux toilettes . J'avais l'impression de connaitre cette endroit . Une drole d'odeur flotait dans l'air . Ca voudrait dire que les autres sens marchent eux aussi ! Je me suis mis à cogner une table , j' eux mal . Je ris . Après avoir longtemps ris je décidais de sortir d'ici , mais comment ? Réléchissons. Deux portes étaient encore fermées . Je sais , il me faut des clées . J'ai chercher dans toute les piece , rien . C'est là que j'aperçu une séries de tableaux : "Les Nymphéas" de Monet . Mes tableaux préféré. C'était signé Nacet . Nacet ! C'est mon nom de famille ! Comment pouvait-t-il connaitre mon nom de famille ? c'est surement une coinscidence . . .
Plus tard , je rencontrerais Rebby . Nous avons un pouvoir en commun tout les deux . En récitant ce poème :
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
nous pouvons lire dans les penséees des autres .