Alors que s’est ouvert le mardi 2 septembre le procès des attentats de janvier 2015, trois dessinateurs de presse reviennent sur le traumatisme de l’attaque de Charlie Hebdo, et dressent un état des lieux inquiet de la liberté d’expression, cinq ans après le drame. Censures politiques et religieuses, “morale” sur les réseaux sociaux, contraintes économiques : Chappatte, Bénédicte et Willis racontent les difficultés de leur profession.
26 octobre 2020
L’attentat de Charlie Hebdo, “un cauchemar qui dure toujours” pour les dessinateurs
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 26 octobre 2020, 17:38