CONCOURS DES DIX MOTS !


Dis-moi dix mots - Tap-tap par culture-gouv

Participons à la 10e édition du Concours des dix mots ! Cette année, c’est la diversité de la langue française qui est à l’honneur. L’opération « Dis-moi dix mots en langue(s) française(s) » s’intéresse à la richesse des expressions dans les régions francophones du monde à travers les dix mots suivants : chafouin, champagné, dépanneur, dracher, fada, lumerotte, poudrerie, ristrette, tap-tap et vigousse. À nous de réaliser une production littéraire et artistique autour de ces mots !

Commentaires

1. Le 22 février 2016, 20:26 par Yanis Oukacine 2A

La pluie tombait à verse (dracher) et laissait la neige déjà au sol se soulever et se pousser sous l'effet du vent (poudrerie), quand l'homme vigoureux aux nombreuses influences (vigousse, champagné), sortit d'une camionnette servant au transport en commun dont la carrosserie s’ornait de peintures naïves (tap tap) et rentra dans un petit commerce qui était éclairé à l'aide d'une lumière de faible intensité (dépanneur, lumerotte). Cette personne à la mine sournoise (chafouin) demanda un petit café très fort (ristrette) pour pouvoir sommeiller plus rapidement mais ce simple d'esprit (fada) ne se doutait pas que cela servait justement au contraire. Quand le vendeur lui dit qu'il n'en avait plus, ce cinglé assomma celui-ci et mit le feu au magasin avant de fuir et kidnapper un enfant pour ensuite se donner la mort en se jetant du haut d'un pont avec l'enfant. Personne ne sut exactement pourquoi cet homme était devenu si colérique et monstrueux. Par miracle, l'enfant survécut avec de fortes séquelles qu'il garda malheureusement à vie.

2. Le 25 février 2016, 00:26 par Marie.Rannou.2A

Quatre amis se retrouvent afin de partager un repas avant d'aller sortir. Cassandra et Kyle eurent l'idée de faire part de leurs connaissances.
« Il est comment Liam ? demanda Krystal.
-Hum ben en ce moment il a une mine plutôt rusée, sournoise tu vois je le sens pas j’ai l’impression qu’il nous prépare quelque chose, dit Marine.
-En gros il est chafouin riposte Cassandra.
-Eu… Ok et avant ? demanda Krystal l’air perdu.
-Avant c’était une personne d’influence aux nombreuses relations et un peu fou, répondit Marine.
-Un champagné et un fada, riposte encore une fois Cassandra.
-T’as fini un peu de faire ton intéressante là ? cria Marine.
-Genre! Mais il faut être pleine de vie Marine, cria Cassandra à son tour.
-Il faut être vigousse !!! Gloussa Kyle.
-Vous vous êtes passé le mot ou quoi ? demanda Krystal.
-On fait quoi demain ? gloussa Cassandra.
-Et ben demain il y aura une pluie battante donc …commença Marine.
-Demain il drachera donc…
-Tu m’énerves ! On peut prendre des légumes les évider et percer des petit trous afin d’y mettre de la lumière dedans comme la citrouille d'Halloween.
-Tu veux faire des lumerottes ?
-Je vais te tuer Cassandra !
-Bon on regarde la télé avant d’aller en soirée ?
-Il est drôle votre jeu ! On donne la définition et les autres doivent trouver le mot c’est ça ? Chuchota Krystal.
-C’est ça dit Cassandra.
- Je peux jouer ?
-Oui dit Cassandra.
-Ok alors j’ai vu un animal à quatre pattes qui aboie et c’est le meilleur ami de l’homme.
-Mais il faut prendre des mots rares, dit Cassandra.
-Bon qui veut un petit café très fort ? demanda Marine.
-Je veux un ristrette s’il te plaît.
-je vais les mettre à la porte si ça continue ! marmonna Marine.
-Je n’ai pas entendu.
-Non rien je regardais une vidéo où la neige est poussée par le vent pendant qu’elle tombe, répondit Marine.
-C’est une poudrerie tu ne veux pas plutôt voir le Tap Tap à la télé ? proposa Kyle.
- C’est quoi ça ? demanda Marine.
-C’est une camionnette servant de transport en commun où les peintures sont naïves sur les carrosseries, répondit Cassandra.
-Cassandra arrête de draguer ! Hurla Marine.
-Genre je drague ? Réponds Cassandra en s’énervant légèrement.
-Tu fais genre d’être cultivé pour l’impressionner, cria Marine.
-Alors c’est ça que tu fais ? demanda Kyle.
-Mais pas du tout bon il n’y a pas un dépanneur dans le coin il manque des frites, demanda Cassandra.
-Hum il y a un petit commercer pas loin aux heures d’ouverture étendue ils vendent des aliments et des articles de consommation courante, répondit Marine.
-Oui donc tu as donné la définition… Il est où ce dépanneur ? demanda Cassandra.
-A côté de la boulangerie où nous sommes passées tout à l’heure, dit Marine.
-Oui bon j’y vais, riposta Cassandra. »

3. Le 26 février 2016, 21:56 par Lucas Mathamel 2A

Il était une fois, deux amis d'enfance, Alex et Alain, tous les deux étaient trentenaires. Nos deux amis se considéraient comme des frères car ils avaient de multiples points communs, peut être à cause de leur aspect un peu niais, fou et simple d'esprit (fada) ils se comprenaient et s'estimaient mutuellement. Au niveau du travail, Alain travaillait dans une petite épicerie de proximité dont les horaires d'ouvertures excédaient largement ceux des autres commerces (dépanneur). Nos deux amis passaient tout leur temps libre ensemble à discuter d'une autre vie, car leur travail ne leur correspondaient pas vraiment. Un jour, alors qu'ils prenaient un petit café très fort (ristrette) dans la brasserie où ils avaient leurs habitudes, ils se mirent à discuter plus longtemps que d'habitude. Après un long moment à discuter, ils décidèrent que le temps était venu pour eux de réaliser enfin le rêve américain dont ils rêvaient. Ils allaient partir de rien pour arriver au sommet. Pour cela, il fallait partir aux Etats-Unis, un pays où chacun à sa chance. Pour commencer leur nouvelle vie, ils décidèrent d'investir toutes leurs économies dans une petite camionnette délabrée, inconfortable et très décorée extérieurement (tap-tap) pour y vendre des glaces. Après plusieurs semaines, leur affaire peinait à démarrer, lorsque soudain une personne influente, aux nombreuses relations (champagné) du nom de Monsieur Eric leur proposa de s'associer pour un commerce illicite de stupéfiants. Après réflexion, les deux amis décidèrent de maintenir un commerce de glaces pour les enfants et de produits stupéfiants pour les adultes. Un soir, à bord de leur camionnette, il pleuvait très fort (drachait), les coéquipiers roulèrent en direction de leur dealer pour obtenir de la marchandise. De plus, il fallait faire vite car Monsieur Eric, est une personne à la mine rusée et sournoise (chafouine), qui a horreur des imprévus. Les deux hommes inquiets, roulaient le plus vite possible mais la vitesse maximale de leur véhicule était de quatre vingt kilomètres heure, à l'intérieur tout tremblait, le tableau de bord comme les sièges passagers. Tout à coup, le pneu arrière de leur camionnette creva en plein milieu de la route soixante six. Ce qui les obligea de s’arrêter. Alain, étonné, prit sa petite lampe (lumerotte) et inspecta le véhicule. Les deux hommes, déterminés, n'ayant pas de cric pour rehausser la camionnette, Alex, vigoureux, fort et robuste (vigousse) comme Jadis Jean valjean avec sa charrette, souleva à mains nues, sous la pluie, le véhicule pendant que Alain remplaçait le pneu. C'est ainsi que les deux hommes repartirent sur la route en quête de leur rêve américain...

NDLR : le terme "poudrerie" mal utilisé a été retiré.

4. Le 05 mars 2016, 14:48 par Landarabilco Marie 2C

Un soir, dans un petit commerce aux heures d'ouverture étendue ( dépanneur ), une femme à la mine rusée et sournoise ( chafouine ) cherchait une petite lampe ( lumerotte ). Elle tomba nez à nez devant un jeune homme fou et simple d'esprit (fada). Ils décidèrent de sortir et monter dans une camionnette délabrée, inconfortable et très décorée extérieurement ( tap-tap ). Il y avait un homme vigoureux, fort et robuste ( vigousse ) qui n'était pas très marrant. Dehors, il pleuvait très fort ( drachait ), après ce tour en tap-tap, ils allèrent dans une cafétéria pour boire un petit café très fort (ristrette). A la fin de la soirée, ils regardèrent par la fenêtre la fine neige soulevée par le vent ( poudrerie ). La femme rentra chez elle pour raconter sa journée à sa voisine qui est une personne influente, aux nombreuses relations ( champagne ).

5. Le 06 mars 2016, 14:09 par Nicolas Saint-Léger 2A

C’était un soir d’hiver, mes amis m’avait traité de cinglé (fada) quand je sortis de chez moi pour aller chercher un petit café très fort (ristrette) chez le petit commerce où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante à n’importe quelle heure (dépanneur) au coin de la rue. Vous vous demandez encore pourquoi ils m’ont insulté malgré le fait que je sois une personne d’influence, aux nombreuses relations (champagné). Il ne m’insulta pas parce que j’avais une mine sournoise (chafouine). En fait, il tombait une pluie battante (drachait) et aucune source de lumière, même de faible intensité (lumerotte) n’était visible. Ils me disaient que si je sortais, je serais confronté à de la neige poussée par du vent (poudrerie). Mais, étant vigoureux (vigousse), j’allai quand même chercher ma ristrette. Je pris le premier transport que je vis. C’était une camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie était orné de peintures naïves (tap-tap). En rentrant, je fus acclamé par mes amis de n’avoir pas eu de problème.

6. Le 06 mars 2016, 14:56 par Lucie Leroy 2C

Aujourd'hui, je pars en Haïti avec mon frère. Une grande première puisque nous ne sommes jamais partis rien que tous les deux. Nous avons pu obtenir ces vacances grâce à une personne d'influence (champagné) qui était en relation avec le co-pilote de la compagnie aérienne Haïti Voyage. Arrivés largement en avance à l’aéroport, il nous reste plus d'une heure avant le débarquement. Je propose donc de se poser, en attendant, au Starbuck's coffee. Mon frère, bien trop économique, refuse de céder au succès de cette cafeteria aux prix bien trop élevés. J'y vais quand même, tant pis s'il ne me suit pas. Je m'installe sur un beau fauteuil en cuir et demande au serveur, très séduisant, un petit café très fort fait à la vapeur au percolateur (ristrette). Étonné, ce monsieur prend en note et se dirige vers le bar, bouche bée. Tiens, qui voilà. Mon très cher frère, Denis, qui a finalement décidé de me rejoindre. Au même moment, le serveur rapporte mon café. Il demande à mon frère s'il désire quelque chose. Denis, me lançant un regard menaçant, succombe à un chocolat chaud. Nos collations dévorées, on quitte cette cafeteria pour se diriger vers notre avion qui décollera d'ici dix minutes.
Nous entrons dans l'avion et croisons le co-pilote, qui a une mine sournoise (chafouine). Au moment du décollage, il tombe une pluie battante (drache). Mon frère commence à paniquer, il doute de la compagnie aérienne et se demande ce qu'il fait la. J'essaie de le rassurer mais rien ne va plus, il sert tellement fort ma main que je ne la sens plus. Finalement, la pluie s’arrête et le reste du vol se passera bien.
J'ouvre mes yeux. Nous avons atterri. Je regarde par la fenêtre. Je ne vois ni soleil, ni palmier, ni plage. Quoi ! J’aperçois de la neige poussée par le vent pendant qu'elle tombe (poudrerie) ! C'est quoi ce pétrin ! Je secoue mon frère et il se réveille en sursaut. Il observe par la fenêtre. Complètement fou et cinglé (fada), il demande à l’hôtesse de l'air notre localisation. Nous sommes en Alaska !
Nous descendons de l'avion, au milieu de nulle part. Paniqués, congelés, nous cherchons directement un petit commerce aux heures d'ouverture étendues où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante (dépanneur). Après une heure de marche, une camionnette servant au transport en commun dont la carrosserie s'orne de peintures naïves (tap-tap), débarque. Nous lui demandons de s’arrêter et montons dedans. Le chauffeur démarre et la situation empire. Nos postérieurs rebondissent sur les sièges durs. Si cela continue, nos fessiers seront écrasés et en mille morceaux. Deux heures dans cette camionnette, et toujours rien. Le néant total. Il fait nuit et nous n'avons rien mangé, nous sommes à bout de force. Denis imagine que c'est la fin, que ce co-pilote était, en fait, un criminel. Il me dit ses prétendues dernières paroles. Nous sommes collés, et nous décidons de nous éteindre à petit feu...
J'entends mon frère crier, j'entrevois une source de lumière à faible intensité (lumerotte). Je frotte mes yeux et regarde autour de moi, je suis dans l'avion, il fait chaud. Denis, vigoureux, vif et plein de vie (vigousse), prend son sac à dos et s'empresse de sortir pour sentir le contact de sa peau avec le Soleil. Ouf, ce n’était qu'un mauvais rêve.

7. Le 06 mars 2016, 17:00 par Fanny Coquel 2A

Le maire, une personne d'influence aux nombreuses relations (champagné) au caractère sournois et rusé (chafouin) se rend à l'épicerie du village (dépanneur). Il rencontre en chemin Mathieu au volant de sa camionnette bariolé (tap tap) celui-ci un peu fou (fada) lui dit qu'il pleut à verse (drache) alors que la route est recouverte de neige poudreuse poussée par le vent (poudrerie). Une petite lampe à la main (lumerotte), ils décident de se rendre à pied à l'épicerie prendre un café serré dans une petite tasse (ristrette).

8. Le 06 mars 2016, 20:15 par Emeryc Flores-Garcia 2c

Un soir alors que les alarmes d'incendie sonnaient, je sortis faire un tour dehors, il drachait donc je pris un parapluie. Je marchais en longeant le trottoir et en regardant le seul commerce ouvert. C'était le dépanneur où tous les champagnés se trouvaient, tous à court d'alcool, ils m’agaçaient avec leurs rires mais j'entrai dans cette épicerie pour mieux les connaître. Dix minutes après il m'invitèrent à leur petite fête. Il y avait des lumerottes partout, dans chaque coin de pièce et un énorme stock de ristrette, d'ailleurs je m'en doutais ! Le café donne une allure vigousse ! Une heure passée, je décide de m'en aller. Mon crâne détruit par ces rires et mon ventre rempli par ces petits gâteaux recouverts de sucre qui ressemblaient à une belle poudrerie. Voilà ce que je racontais à ma femme en rentrant de soirée, elle pensait que je sortais de chez des champagnés pour la première fois mais en réalité je pense que je suis le type le plus fêtard du quartier. Je passais mon temps à longer les rues en tap-tap)pour ne manquer aucune fête mais le pire, c'était le fait de mentir à ma femme en trouvant de multiples excuses.

9. Le 07 mars 2016, 20:01 par CARRE Alexandre 2C

La brève histoire d’un soldat inconnu.

L’hiver de 1914, pendant la deuxième guerre mondiale, un soldat français se situant dans la ville de Vailly.

Aujourd’hui nous sommes le dix décembre, à Vailly, il est trois heures pile du matin, les bombardements fusent, et il pleut fort (drache), les conditions de vie sont terribles. Notre seule satisfaction, le matin c’est le café noir, très fort (ristrette). Mon régiment est formé de dix hommes, nous avons tous la vingtaine, le plus jeune en avait dix sept, il est simple de d’esprit (fada) à cause de son jeune âge, nous sommes le régiment d’infanterie mobile, le problème ces derniers temps est que nos véhicules sont de petites camionnettes délabrées et de couleurs multiples (Tap-Tap), ce qui nous rend vulnérables à la vue de nos ennemis. Notre sergent, est un homme de vingt-neuf ans, jeune mais ayant de l’expérience, il est fort et robuste, donc sûrement vigoureux (vigousse).

Sept heures trente du matin, les bombardements ont cessé, j’ai réussi à me reposer quelques heures, nous attendons l’arrivée du commandant, un homme influent ayant de hautes relations (champagné), il est là pour nous donner nos prochaines étapes, nous allons sûrement voir sa voiture accompagnées de petites lampes sur le capot (lumerottes).

Onze heures quarante cinq du matin, la neige et le vent viennent nous accompagner et achever certains blessés, le vent poussant la neige virevoltante dans les cieux (poudrerie) nous empêche de voir le bois où il pourrait y avoir nos ennemis. Nous ne savons rien d’eux, tout ce que l’on dit à la capitale, c’est qu’ils ont une mine sournoise et qu’ils sont forts rusés (chafouins).

Quatorze heures vingt de l’après midi, après avoir marché nous sommes arrivés dans un petit bourg où nous nous sommes retranchés. Quand tout à coup des bruits de moteur se font entendre, mon régiment s’est caché en embuscade dans un ancien commerce, qui jadis était ouvert à toutes heures dans le centre de la ville (dépanneur). Nous attendrons l’heure venue, pour découvrir leurs identités et savoir ce que nous devons faire, je vais prier pour que personnes ne tombe aujourd’hui…

10. Le 07 mars 2016, 20:20 par Nour Massamba 2C

L'histoire du papi Bernard.

C'était Papi Bernard, un homme fort, robuste pour son âge (vigousse), qui travaillait avec sa petite camionnette servant au transport en commun, dont la carrosserie s'ornait de peintures naïves (tap tap), mais Papi Bernard se contrefichait du style, car c'était grâce à cette camionnette qu'il mangeait son pain et qu'il buvait son petit café fort fait à la vapeur au percolateur (ristrette).
Quoique Papi Bernard était cinglé (fada), c'était une personne qui avait une mine sournoise et rusée (chafouine) et qui arrivait à repérer les personnes d'influence, aux nombreuses relations, si l'on peut dire les gens champagnés. Et il y eut un jour où il tomba une pluie battante (dracha) et Papi Bernard se rendit au petit commerce, aux heures d'ouverture étendues, où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante (dépanneur).
C'est là que Papi Bernard avait posé ses yeux avec insistance sur la caissière Gisette. Il l'avait trouvé fort ridée, mais elle était jolie, elle avait gardé le charme de sa jeunesse. Elle avait été la femme de sa vie pendant cinq ans. Sa mort l'avait rendu malade, sa folie prenait le dessus. Et il y avait un jour de neige poussée par le vent pendant qu'elle tombait (poudrerie), où Papi Bernard était sortit tout nu, il avait regardé en face de lui une source de lumière de faible intensité (lumerotte) qui l'appelait, c'était Gisette qui venait le chercher. O-)

11. Le 08 mars 2016, 19:00 par Marine Balay 2C

Il était une fois lors d’une magnifique soirée mondaine une femme, une personne d’influence, aux nombreuses relations (champagne) qui discutait avec un homme vigoureux, vif, plein de vie, alerte (vigousse) ce dernier lui proposa d’aller boire un petit café très fort (ristrette) dans un bar branché. Mais il y avait un autre homme simple d’esprit, un peu fou (fada) qui lui, lui proposa d’aller faire un tour dans une camionnette servant au transport en commun dont la carrosserie s’orne de peintures naïves représentant des scènes de la vie quotidienne (tap-tap). Mais des torrents de pluie se mirent à tomber (dracha), évidement la jeune femme qui n’avait pas prévu de parapluie était inquiète mais l’un des hommes était sournois (chafouin) c’était le fada. Il décida donc de se rendre dans un petit commerce, aux heures d'ouverture étendues, où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante (dépanneur) pour acheter un parapluie. Elle accepta donc le rendez-vous avec le fada. Il fut particulièrement différent de tout ce qu’elle avait vécu d’autant plus que la pluie torrentielle avait transformé la magnifique neige déjà au sol qui était soulevée et poussée sous l'effet du vent (poudrerie) de la veille en une horrible gadoue, sa magnifique robe était toute sale mais finalement ce fut l’une des meilleure soirées de sa vie. Elle mit fin à toutes ces anciennes soirées car elle se dit qu’il valait mieux une soirée pleine de rires plutôt qu’une soirée ennuyante dans un restaurant chic dont la seule distraction était ces petites lumières de faible intensité (lumerottes), ces petites bougies qui vacillaient. Depuis, chaque jour était différent de celui de la veille, elle vivait pleinement sa vie avec l’homme qui lui avait fait changer de vision sur la vie parfaite. Alors profitez de la vie et de chaque moment qu’elle vous offre !

12. Le 08 mars 2016, 19:01 par Emeryc Flores-Garcia 2c

Un soir alors que les alarmes d'incendie sonnaient, je sortis faire un tour dehors, il pleuvait fortement (drachait) donc je pris un parapluie. Je marchais en longeant le trottoir et en regardant le seul commerce ouvert. C'était l'épicerie de la ville (dépanneur) où toutes les personnes d'influence, aux nombreuses relations (champagnés) se trouvaient, tous à cours d'alcool, il m’agaçaient avec leurs rires de cinglés (fadas) mais j'entrai dans cette épicerie pour mieux les connaître. Dix minutes après il m'invitèrent à leur petite fête. Il y avait des sources de lumières de faible intensité (lumerottes) partout, dans chaque coin de pièces et un énorme stock de café très fort (ristrette), d'ailleurs je m'en doutais ! Celui-ci donne une allure vigoureuse, forte et robuste (vigousse) ! Une heure passé, je décide de m'en aller. Mon crâne détruit par ces rires et mon ventre rempli par ces petits gâteaux recouvert de sucre qui ressemblaient à une belle neige poussé par le vent (poudrerie). Voilà ce que je racontais à ma femme en rentrant de soirée, elle pensait que je sortais de chez des champagnés pour la première fois mais en réalité je pense que je suis le type le plus fêtard du quartier. Je passais mon temps à longer les rues en camionnette qui me servait de transport en commun (tap-tap) pour ne manquer aucune fête, mais le pire, c'était le fait de mentir à ma femme en trouvant de multiples excuses sournoises (chafouines).

13. Le 08 mars 2016, 21:28 par KIFOUANI Julian 2C

Une sortie pas comme les autres 

Ce week-end quelques amis et moi décidâmes de faire une sortie dans Paris.
Nous nous sommes donc retrouvés dans un bar de Montmartre vers vingts-deux heures, le serveur était une personne à la mine sournoise (chafouine) qui ne m'inspirait pas confiance par conséquent je décidai de ne pas prendre de consommation, mes amis quant à eux décidèrent de prendre un petit café très fort fait à la vapeur (ristrette), après une bonne heure et demie nous décidâmes de quitter le bar et de faire une promenade dans notre capitale. Après plusieurs minutes de marche le comportement de mes acolytes commençait à devenir inquiétant était-ce l'effet du café du serveur farfelu ? Je pense que oui car j'étais le seul qui n'était pas touché par ce syndrome, qu'est ce qu'il pouvait bien avoir dans leurs verre de la codéine peut être ? Et puis zut on vit dans un monde de cinglé (fada)  ! Alberto pensait qu'il était un proche du président du Congo une personne d'influence aux nombreuses relations (champagné), Cédric confondait le petit commerce, aux heures d'ouvertures étendues (dépanneur) avec une boutique de luxe et Emeryc qui se croyait en Haiti prenait mon quatre-quatre pour une camionette servant au transport en commun dont la carrosserie s'orne de peintures naïves (tap-tap), le changement le plus curieux était celui de Bissenty le plus vif (vigousse) d'entre nous se sentait léger comme la neige poussée par le vent pendant qu'elle tombe (poudrerie) et exagerait tout ce qu'il voyait il prenait les chats pour des lions les chiens pour des loups, les pigeons pour des aigles il a même fini par dire que la lumière de faible intensité (lumerotte) au bout de la rue était un coucher de soleil. Bref tout cela pour vous dire que quand on consomme des substances illicites ou beaucoup d'alcool on ne réalise plus ce que l'on dit ou ce que l'on fait sachez le donc, faites attention à là où vous mettez les pieds et avec qui vous êtes, prenez soin de vous.

14. Le 08 mars 2016, 21:59 par Lou-Felices-Mommeja 2c

Lors d'une soirée enneigée d'hiver, un homme marchait avec difficulté à travers la poudrerie formée par le blizzard. De plus, le faible éclairage des lampadaires, semblable à des lumerottes, rendait son déplacement d'autant plus difficile. Sa foulée se fit soudainement stopper par un homme ivre ; notre héros le poussa pour passer en le traitant de fada et de non champagne. Notre personnage contrarié se trouva donc fort chafouin. Il continua son chemin dans la sombre rue, lorsqu'une drache soudaine l'obligea à se rendre vers un dépanneur afin de se protéger. C'est en s'y rendant avec vigousse qu'il remarqua avec stupéfaction la présence d'un tap tap garé devant. Ce véhicule atypique le replongea dans sa jeunesse à l'époque où il en prenait fréquemment. Et c'est avec nostalgie qu'il commanda un café et se remémora les moments joyeux passés avec ses amis à Haïti dans ces bus collectifs.

15. Le 08 mars 2016, 22:22 par Morgane Pierrot 2C

Par un matin de printemps où il pleuvait très fort (drachait), nous pûmes observer une espèce menacée de disparition. On ne peut que la trouver au plus profond de la vigoureuse, forte et robuste (vigousse) Jacqueline. Apparue en 1953, la Jacqueline avec sa petite mine sournoise et rusée (chafouine) se nourrit tous les matin d'un petit café très fort (ristrette) avec une miche de pain. Quelle magnifique créature !!! Quand on la voit mettre son dentier en place, peu de personne on pu observer le phénomène rare. Une âpre midi plus tard nous la retrouvons de nouveau dans son environnement naturel. La Jacqueline se trouvait dans une petite épicerie de proximité dont les horaires d'ouvertures excédaient largement ceux des autres commerces (dépanneur). Dans sa quête de nourriture, elle rencontra un tout autre animal un papi Michel à poil court. Le papi Michel à poil court est connu pour être une personne influente, aux nombreuses relations (champagné) mais aussi reconnu pour être totalement cinglé (fada). Apres avoir discuté 57 minute, elle repartit avec une boîte de bœuf bourguignon et deux plaquette de beurre. Quand elle sortit dehors la nuit été déjà tombée mais la neige déjà au sol se soulevait et se poussait sous l'effet du vent (poudrerie).  La Jacqueline sortit sa  petite lampe (lumerotte) de sa poche pour y voir plus clair et retrouver sa petite camionnette délabrée, inconfortable et très décorée extérieurement (tap-tap) qui est le seul moyen de transport découvert à ce jour.

16. Le 09 mars 2016, 21:52 par Théo Agathe 2C

Il était neuf heures du matin, Charles marchait dans les rues de Genève, il y avait de la neige poussée par le vent qui tombait sur lui (Poudrerie). Il rencontra Fabrice, c'était une personne un peu folle et très simple d'esprit (Fada). Fabrice indiqua à Charles où se situait le petit magasin où l'on vend des produits du quotidien (Dépanneur). Charles remercia Fabrice et continua son chemin vers ce magasin. Il ne neigeait plus mais il tombait une pluie battante (drachait). Le magasin était encore loin alors il décida de prendre la petite camionnette servant à aller jusqu'au petit magasin. Cette petite camionnette était très inconfortable (Tap-tap). Une fois arrivée, il entra dans le petit magasin. Charles voulait acheter une petite lumière pour la mettre dans sa chambre à coucher (Lumerotte). Le vendeur lui dit qu'il n'en restait plus mais Charles avait repéré qu'il en restait une seulement. Le vendeur était très sournois et rusé (chafouin) il voulait la garder pour lui tout seul . Une fois sorti du petit magasin, très en colère, Charles décida d'aller dans un café pour discuter de sa journée avec ses amis, il connaissait beaucoup de personnes, il avait de nombreuses relations (Champagné). Au café, Charles prit un café très fort, fait à la vapeur au percolateur (Ristrette) afin de se réveiller un peu. Il discuta avec un ami qui avait l'air d'être très vif (vigousse), il était heureux car il venait de gagner à la loterie. Une fois son café terminé, il rentra chez lui fatigué de sa journée.

17. Le 11 mars 2016, 01:07 par Bilal Moussa 2A

Un vendredi soir, trois individus s' étaient réunies dans un restaurant afin de mettre leur plan à exécution. Parmi eux, il y avait Alexis le chef de la bande, il était vigoureux, vif et plein de vie ( vigousse ). On dit qu ' il était capable de trancher une pomme au couteau, situé à 100 mètres. Amélie était l ' un des piliers de la bande, sans elle l' opération ne pouvait aboutir. Les rumeurs racontaient qu' elle avait ouvert son premier coffre fort dès sa première dent de lait. Et enfin, le troisième s' appelait Louka, c' était le gros bras de l'équipe. Il est un peu fou et simple d' esprit (fada). Mais aussi il ne connaissait pas le second degré.
« Alexis, quand débutons-nous l' opération ? Demanda Amélie.
-Demain, à l' aube, à coté du petit commerce aux heures d' ouverture étendues, où l' on vend des aliments et une gamme d' articles de la consommation courante (dépanneur). Répondit Alexis. »
Alexis rapprocha la source de lumière de faible intensité (lumerotte).
« Comment allons-nous nous déplacer en pleine ville ? dit Amélie.
-Nous nous déplacerons en camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie est ornée de peintures naïves (tap-tap).
-Bon, trêve de bavardage, Louka veut cogner ! s' exclama Louka.
-Calme-toi, je te laisserai défoncer une porte puis cinq gardes, même si tout ce que je dis te passe au-dessus de ta tête, promit Alexis.
-Non, tu te trompes rien ne me passe au-dessus de ma tête, mes réflexes sont très affûtés, rectifia Louka.
-Je suppose que l' opération ne se feras pas en plein soleil, demanda Amélie.
-En effet, j' ai choisi demain à l'aube car la météo a prévu qu' il tombera de la pluie battante (crachera), répondit Alexis.
-La victime a une mine sournoise, rusée (chafouine) ça ne sera pas simple, dit Amélie.
-C' est pour ça que je vous ai choisis, c' est une personne d' influence aux nombreuses relations (champagnée) voilà pourquoi le pays sera renversé si on parvient à le faire tomber, répliqua Alexis.
-Je ne pense pas que la faire tomber par terre retournera la terre du pays, souligna Louka.
-Ok, tout est dit je vais prendre mon petit café très fort, fait à la vapeur au percolateur (ristrette) avant que la neige déja au sol se soulève sous l' effet du vent (poudrerie), dit Amélie. »
Les trois individus se quittèrent. Puis, le lendemain à midi, une terrible catastrophe fut découverte, les sujets du BAC avaient été volés. Ils étaient pourtant dans un coffre au milieu d' une chambre surveillé par cinq gardes. Madame la ministre de l' Éducation fut renvoyée et les élèves de Première 2015/2016 eurent leur bac sans même le passer.

18. Le 11 mars 2016, 18:13 par Kenza Hadjiat 2C

En sortant du travail, Lola décida d’aller prendre un café de forte intensité (ristrette) afin de se changer les idées et de ne pas penser qu’elle serait seule ce soir en rentrant chez elle. Elle passa des heures à regarder la neige se faire pousser par le vent (poudrerie). Elle songea d’abord à l’homme dont elle était amoureuse, Jean, il tenait un petit commerce au bout de la rue (dépanneur) et travaillait comme avocat, c’était un homme vigoureux aux nombreuses influences (Champagné, vigousse) celui-ci était assis juste derrière elle, il était en train de bouquiner à l’aide d’une lumière de faible intensité (lumerotte). Elle aurait tellement voulut lui parler mais elle avait tellement peur de l’ennuyer, mais qui sait peut-être l’aimait-il ? Elle pensa à lui toute la soirée. Il était 21h00 lorsqu’elle décida de rentrer chez elle. Elle alla donc payer l’addition et en sortant du restaurant elle vit une camionnette aux peintures naïves (tap-tap) s’arrêter devant le restaurant. Son regard s’arrêta sur un homme à la mine sournoise (chafouine) et qui semblait faible d’esprit, un peu fou (fada). Elle le suivit du regard et s’aperçut qu’il allait en direction de Jean, celui-ci l’embrassa et s’assit à côté de lui. Lola tomba de haut, et pour couronner sa soirée il se mit à pleuvoir à verse (dracha) elle décida donc de rentrer seule sous la pluie...

19. Le 14 mars 2016, 17:59 par Yllies Meridi 2c

Aujourd'hui ou bien hier je ne sais pas, maman est morte, cela peut- être fou (fada) de ne pas savoir quand est morte sa propre mère mais bon.
Je suis un homme qui pense que la vie n'a pas grand intérêt. La vie qu'est-ce que c'est ? C'est tout simplement l’ennui, de la solitude et de longues heures à regarder la pluie battante (dracher), pour finir sous terre. Ce passage sur terre est-il utile ?
Personne n'a la réponse. Pour chaque être humain le but d'une vie est d'être une personne d’influence aux nombreuses relations (champagné). Tout le monde veut être riche personne ne veut être à la place du petit commerce aux heures d’ouverture étendues, où l’on vend des aliments et une gamme d’articles de consommation courante (dépanneur) du coin de la rue. D'ailleurs en parlant de dépanneur, l’autre jour en descendant les escaliers pour passer acheter du pain sans source de lumière de faible intensité (lumerotte), ce qui n'est point à faire la nuit, comme cela pour être très prévisible je suis tombé du première étage jusqu'au rez-de-chaussée. Arrivé en bas, une dame ouvrit sa porte. Elle était si belle en nuisette donc en tant qu’homme je la trouvais attirante. Elle me demanda avec une voix douce si je voulais passer la nuit chez-elle. Enfin c'est ce que j'ai cru entendre mais non malheureusement c'était mon imagination qui me joua des tours en realité elle m'avait juste demandé si j’allais bien avec une voix d'homme. En regardant de plus près c'est vrai qu'on pouvait apercevoir un bout de barbe et des jambes anormalement poilue pour une femme. Elle ou il me proposa un petit café très fort (ristrette), en voyant la neige tombée et poussée par le vent (poudrerie), en pensant à la durée du trajet pour aller jusqu'au dépanneur, c'était responsable d'accepter, en plus la camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie s’orne de peinture naïve (tap-tap) venait juste de passer donc c'est oui, j'irai boire un ristrette chez cette dame.
Le café but, il fallait que je trouve une ruse pour sortir des jupons de monsieur ou de madame. Ma mine sournoise (chafouine) pouvait s'apercevoir à des millions de kilomètres mais il ou elle ne la remarquait pas.
Un animal pas très vigoureux (vigousse) passant devant la fenêtre, et la je lui fais donc croire que c'est mon animal et il ou elle toujours me répondit que c'était le sien. Mon plan coule peu à peu, je lui dis donc que je devais aller acheter du pain, cet énergumène mi-homme mi-femme se leva, alla dans la cuisine. De retour de la cuisine je le vis avec du pain il me dit : tenez, prenez-le j'en ai acheté de trop. Je suis donc remonté trois heures après. La morale que je tirerai de cette aventure est de ne plus jamais sortir de la maison sans lumerotte et de ne plus aller chez le dépanneur. A part cela ma vie reste calme et pénible tous les jours même le dimanche.

20. Le 14 mars 2016, 19:38 par Anthony Doré 2A

L'incroyable histoire de Siroun.

Lundi matin, Siroun ne travaillait pas, elle en a donc profité pour aller chercher quelques gourmandise à sa boulangerie favorite à une dizaine de minutes de chez elle. Alors qu'elle n'était plus qu'à quelques pas de la boulangerie, un jeune homme qui sortait d'un petit commerce où l'on vend des aliments et une gamme d'articles de consommation courante à n’importe quelle heure (dépanneur), traita Siroun de cinglé (fada) sans aucune raison particulière. Cet homme semblait avoir une mine sournoise (chafouine). Siroun lui demanda donc pourquoi il lui avait parlé ainsi, l'homme lui répondit que hier, alors qu' il tombait une pluie battante (drachait) alorq qu'aucune source de lumière, même de faible intensité (lumerotte) n’était visible, Siroun était passée à deux doigts de renverser l'homme sans s'en rendre conte. L'homme semblait très énervé et commença à attirer l’intention des personnes marchand dans la rue, le ton montait de plus en plus entre Siroun et l'homme. Siroun a donc fini par lui expliquer que ce jour-là, elle avait emprunté une camionnette servant de transport en commun dont la carrosserie était ornée de peintures naïves (tap-tap) appartenant à son cousin. Sachant qu'il faisait très sombre et que Siroun n'était pas habituée à conduire ce genre de véhicule, il est possible qu'elle ait frôlé cet accident sans s'en rendre conte. Elle se justifia donc de cette façon puis s'excusa tant bien que mal. Siroun était très vigoureuse (vigousse) car c'est comme cela qu'elle a réussi à sortir cette histoire totalement fausse puisqu'elle ne sait simplement pas bien coduire. Elle est tellement vigoureuse qu'elle pourrait être confrontée à de la neige poussée par du vent (poudrerie) seule dans un endroit desert sans eau ni nourriture, elle survivrait tout de même. Pour se remettre de tout cela, Siroun est allée boire un petit café très fort (ristrette) puis et rentrée chez elle, elle qui était une personne d’influence, aux nombreuses relations (champagnée).

21. Le 31 mars 2016, 00:10 par Rayan Daou 2A

L'hiver était vigoureux et particulièrement tenace cette année-là, les jours se fondaient dans la nuit et une atmosphère morose proliférait dans Paris. Je me souviens, une nuit d'insomnie, être sortie me balader. Le silence glacial se répandait sur les pavés de la ville tendis que j'essayais de trouver un petit commerce (dépanneur) pour glaner un paquet de cigarettes et un petit café chaud corsé (ristrette) ; ayant trouvé mon bonheur, je remontais vers la place quand une pluie intense (dracher) s’abattit sur moi. Je courus m'abriter sous un porche à la lumière faible et vacillante ( lumerotte).
Les minutes passaient longuement sous cette averse hivernale, quand soudain, un camion orné de motifs primitifs (tap-tap) surgit sur la place, et je vis un homme à la mine sournoise (chafouin), au regard de fou ( fada) descendre promptement du camion ; à sa démarche il paraissait vigoureux, endurcit ( vigousse) par une vie de malfrat.Je me figeais pour ne pas me faire voir par lui. C’était sûrement un homme influent (champagné) et dangereux. Quand l'averse fut finie je m’empressai de rentrer chez moi. Dans la semaine qui suivit je découvris grâce aux journaux que l'homme que j'avais aperçu cette nuit-là était un célèbre tueur en série.

22. Le 30 avril 2016, 12:42 par Andriantsoa Rachel 2nd C

C’était un banal soir de décembre. J’étais rentrée du travail à mon heure habituel, et, affamée, j’avais décidé de me préparer un plat rapide et facile à faire, des pâtes. Mon ventre criant famine, je me suis précipitée dans la cuisine pour commencer à chauffer l’eau et à sortir mon paquet de pâtes. C’est à ce moment précis que le drame a commencé. Mon paquet de pâtes était introuvable. J’avais beau chercher dans les endroits les plus improbables de la maison, je ne le trouvais pas. Il fallait donc que je me rende à l’évidence et que j’accepte le fait d’avoir oublié d’en acheter.
Il était 23h et le seul petit commerce (dépanneur) qui était encore ouvert à cette heure-ci était à l’autre bout de la ville. Comme je n’avais pas fait les courses comme ma mère me l’avait demandé et que je n’avais rien d’autre à manger, j’étais contrainte de sortir pour aller en acheter. Et qui dit sortir prendre les transports le soir, dit bus nocturnes (tap-tap). Ce sont des genres de boîtes de conserve roulantes, remplies de personnes bizarres dont la carrosserie n’est pas encore au point… De toute façon, j’étais obligée, je ne pouvais pas y aller à pied car il commençait à pleuvoir très fort (dracher) dehors… Je pense que c’était sûrement un signe pour me dire que j’avais la poisse !
Arrivée à l’arrêt de ce fameux bus, il n’y avait pas grand monde (en même temps, à 23h c’est normal). Seulement deux hommes, un assez jeune et l’autre plus vieux mais qui avait l’air d’être encore vigoureux et plein de vie (vigousse). D’après leur tenue, ils avaient l’air d’être des hommes plutôt importants ayant de nombreuses relations (champagné). Mais bon, évidemment, comparé à moi vêtue de mon pyjama et de mes vieilles baskets à cause de mon manque de temps, tout le monde était bien habillé.
Après avoir analysé les deux hommes, je vis au loin deux petites lumières assez faible (lumerotte) qui devaient être les phares de mon bus. Le conducteur avait l’air assez tête en l’air et fou (fada). Je me suis donc d’abord demandé si je devais monter dans un bus qui avait comme conducteur un homme ayant sûrement consommé quelque chose de pas très net, mais je me suis ensuite souvenue que je n’avais pas le choix, alors je suis montée.
Arrivée saine et sauve devant le petit commerce, je me suis vite pressée d’entrer et d’acheter ce que j’avais à faire pour en finir avec ça. Je me suis avancée vers la caisse, contente, jusqu’à ce que mon regard aille en direction de la fenêtre. Il y avait de la neige poussée par un vent qui était plus fort que tout à l’heure. Ma « bonne humeur » s’était décomposée en un rien de temps. Le caissier, avec sa mine sournoise et rusée (chafouin) m’a proposé un petit café bien fort (ristrette) avant que je parte, sachant qu’il allait me faire payer ce café en plus de mes pâtes. Contre toute attente, j’ai accepté, en me disant que je n’avais rien à perdre, à part mon argent.
Au final, j’ai pris un bus nocturne dont le conducteur ne m’inspirait pas confiance et je me suis fait arnaquer par le caissier et la météo mais j’ai quand même réussi à acheter mon paquet de pâte.
La morale : toujours écouter sa mère, si vous ne voulez pas subir une soirée affligeante.

23. Le 22 mai 2016, 16:31 par Fares Bannour 2nd C

Cette histoire se déroule durant un hiver vigoureux (vigousse).

Un jour, j’étais dehors quand soudain les premières gouttes de pluie commençèrent à tomber puis rapidement l’averse se transforma en déluge (dracha).

De fins flocons de neige commençaient à tomber du ciel (poudredries).

Je m’étais abrité sous un abri de bus face à la route et je voyais un petit commerce (dépanneur) avec des entrées et sorties abondantes de personnes .

Soudain, le fou du village (fada) passa en tenant des propos incompréhensibles .

Une personne visiblement mal intentionnée interpella le fou du village.

Toutes les personnes importantes se retrouvaient là-bas pour discuter de l’actualité de la ville (champagnés).

La nuit commençait à tomber, toutes ces personnes étaient alcoolisées et devaient rentrer dans une camionnette de fortune (tap-tap).

Les rues étaient sombres, on apercevait des petites sources de lumière au loin (lumerottes).

Un homme m’a proposé une tasse avec quelques gouttes de café pour me réchauffer (ristrette).