Fiche d'informations :
Auteur : Nicolas Bréhal
Mise en scène par : Françoise Petit-Balmer
Acteurs :
Dans le rôle de Marie-Antoinette : Emeline Bayart
Et celui d'Elisabeth Vigée-Lebrun : Julie Debazac
13 avril 2016
Par AnneVG le 13 avril 2016, 15:55 - Critiques théâtrales
Fiche d'informations :
Auteur : Nicolas Bréhal
Mise en scène par : Françoise Petit-Balmer
Acteurs :
Dans le rôle de Marie-Antoinette : Emeline Bayart
Et celui d'Elisabeth Vigée-Lebrun : Julie Debazac
Par PaulineB le 13 avril 2016, 14:22 - Critiques théâtrales
LA LÉGÈRETÉ FRANÇAISE
de Nicolas Bréhal
° Mise en scène: Françoise Petit-Balmer
° Acteur: Valérie Bodson et Salomé Villiers
° Scénographie et lumière: Nicolas Simonin
Le terme «légèreté française » est un terme qui amène à la réflexion. Il peut prendre plusieurs sens, mais c’est en mettant en scène Marie Antoinette et sa portraitiste Vigée Lebrun, que Françoise Petit-Balmer a décidé de nous présenter sa version personnelle de la légèreté française.
Nous sommes en 1783, Vigée Lebrun, grande portraitiste de son temps, peint les derniers détails du fameux portrait de Marie Antoinette en robe blanche et chapeau de paille à ruban, qui fera scandale quelques années plus tard. Les deux femmes discutent de divers sujets : famille, amour, société …
Bien que le titre soit inspirant, la pièce quant à elle est ennuyeuse. Des dialogues sans intentions réelles, une complicité entre la reine et la portraitiste douteuse et impensable à l’époque, quelques anecdotes sur la société de l'époque mais sans un développement très instructif. Tout au long de la pièce, le spectateur est en quête de suspens ou d’une entrée d’un autre personnage, et est finalement déçu.
Un décor tout de même intéressant, des lumières mystérieuses et une musique d’époque qui donne une petite touche versaillaise. La voix off, utilisée en guise de narration à plusieurs reprises est assez originale mais dommage que la pièce ne l’ait pas été aussi.
Par JulesM le 13 avril 2016, 14:08 - Critiques théâtrales
La Légèreté française est une pièce de Nicolas Bréhal avec, dans le rôle de Marie Antoinette : Valérie Bodson et dans le rôle d'Elizabeth Vigier Le Brun : Salomé Villiers.
Nous sommes à Versailles, durant l'été 1783, dans les nouveaux appartements de la reine, Marie Antoinette. La très renomée Elizabeth Vigier Le Brun attend la reine pour terminer le célèbre Portrait à la rose . Tout au long de la pièce, les deux femmes vont discuter de tout et de rien, se raconter des anecdotes, tout cela dans une certaine intimité.
Cependant malgré un décor royal, le dialogue entre les deux personnages manque fortement de rythme... Il est, en effet, souvent entrecoupé de moments de pause, parfois assez longs, dont on a du mal a trouvé l'utilité, créant ainsi une certaine incompréhension. De plus, le spectateur peut s'attendre à des scènes d'action et à des rebondissements mais il n'y en a aucun, ce qui peut créer sentiment d'ennui chez le spectateur. Pour finir, la pièce ne s'attarde pas assez sur des éléments qui semblent pourtant intéressants,comme le statut de reine de Marie Antoinette, mais au lieu de ça, nous avons le droit à des anecdotes qui ne font pas avancer la pièce et qui, à force, deviennent lassantes...
Nous avons donc l'impression, après cette pièce, d'être "allé au théâtre pour aller au théâtre" et d'en avoir retenu uniquement des anectodes,certes sympathiques, mais peu utiles.
12 avril 2016
Par Léanna Pauly le 12 avril 2016, 20:54 - Critiques théâtrales
« La Légèreté française » est une pièce de théâtre réalisée par Nicolas BREHAL en septembre 2015 et mise en scène par Chantal BRONNER. Les deux personnages Marie Antoinette et Elizabeth Vigée Le Brun sont respectivement joués par Emeline BAYART et Julie DEBAZAC. Une représentation a eu lieu le vendredi 1er avril 2016 au théâtre Montansier, à Versailles.
Par KalryneD le 12 avril 2016, 19:43 - Critiques théâtrales
Par CapucineH le 12 avril 2016, 19:14 - Critiques théâtrales
La légèreté française, création de Nicolas Bréhal, met en scène Valérie Bodson, dans le rôle de la reine Marie-Antoinette et Salomé Villiers, dans le rôle de la peintre Elisabeth Vigée-Lebrun. Cette dernière dresse le portrait de la reine, qui pose en robe de mousseline et chapeau de paille. Les deux femmes, pourtant opposées par leurs places dans la société, se confient sur des sujets intimes. Ce huis clos dépeint avec une touche d'ironie la vie des deux jeunes femmes issues de classes sociales différentes.
La mise en scène de Chantal Bronner nous plonge dans l'atmosphère de Versailles, les musiques sont douces, la lumière agréable et le décor chaleureux. Les costumes, quant à eux, sont simples et beaux. J'ai apprécié le jeu des deux actrices, même si j'ai eu une préférence pour celui de Vigée-Lebrun, plus naturelle dans son rôle. Le seul reproche que l'on pourrait faire est celui du manque d'action, certainement dû au nombre de personnages, qui ne change pas du début à la fin.
Par AlexandraG le 12 avril 2016, 18:40 - Critiques théâtrales
" La légèreté française " est une pièce de théâtre de Nicolas Bréhal mis en scène par Françoise Petit-Balmer et joué par Emeline Bayart dans le rôle de Marie Antoinette et Julie Debazac dans le rôle d'Elisabeth Vigée le Brun.
Cette pièce est un dialogue entre Marie Antoinette et son peintre Elisabeth Vigée Le Brun pendant l'été 1783. Elle représente la dernière pose du célèbre portrait de Marie Antoinette en robe de mousseline, portrait qui fait scandale à cette époque. Elles vont, malgré leurs différences, échanger sur leur amour, leur enfance et leur avenir.
L'atmosphère créée par cette pièce de théâtre est représentatif de cette époque historique.
Tout d'abord, la scène se déroule dans l'un des cabinets particuliers de Marie-Antoinette, on peut d'ailleurs supposer que c'est le petit Trianon.
De plus, les costumes d’époque de ces deux personnages permettent de créer un jeu de miroir par rapport au milieu social. Les deux personnages se différencient par les couleurs de leurs costumes : Marie Antoinette est habillée d’une robe de mousseline blanche et un chapeau de paille tandis que son peintre, Vigée Le Brun est vêtu d’une simple robe noir.
Ensuite, la musique et les sons jouent également un rôle important dans la création de cette atmosphère. En effet, la scène est introduite par une voix-off qui pourrait s'apparenter aux mémoires du peintre Vigée Le Brun. L'accompagnement musical classique rappelle aussi l'époque du 18ème siècle.
Enfin, les lumières de cette pièce permettent de rythmer la journée. En fin de soirée, les lumières permettent de représenter les éclairs qui peuvent s’apparenter au destin de Marie Antoinette et à la révolution, mais aussi de représenter la nuit avec des bougies comme à l’époque.
Malgré une création de l’atmosphère d'époque réussie , cette pièce reste longue sans actions, sans rebondissements : la pièce se compose d’une seule scène sans changements de décors et avec seulement deux personnages. Pendant toute la durée du spectacle, on s’attend à une chute, une action ou alors à une réflexion sur la société de cette époque mais rien de cela n’est vraiment abordé.
Pour conclure, cette pièce reconstitue avec précision l’atmosphère à l’époque de Marie Antoinette mais, selon moi, la scène manque de rebondissements et les sujets abordés ne sont pas assez développés.
11 avril 2016
Par KalryneD le 11 avril 2016, 19:04 - Critiques théâtrales
La Légèreté française est une pièce de théâtre contemporain écrite par Nicolas Bréhal et mise en scène par François Petit-Balmer. Avec Valérie Bodson dans le rôle de Marie-Antoinette, reine de France aux côtés de Louis XVI, et Salomé Villiers dans celui d’Elisabeth Vigée-Lebrun, jeune artiste-peintre, cette pièce représente une séance lors de laquelle le peintre poursuit le portrait de la reine qu’elle a convaincue de poser uniquement vêtue d’une robe de mousseline blanche. Le choix judicieux des actrices, dont tout le talent était au service de la pièce, a su refléter l’amitié qui unissait les deux femmes qui provenaient pourtant de milieux très différents. Durant toute la pièce, elles ont conversé sur des sujets divers, partant des plus triviaux pour en arriver à leur histoire familiale, en passant par l’éducation des jeunes filles de la cour. Ces conversations, qui entrecoupaient les moments de pose, étaient représentés sur scène par des jeux de lumière sur ce décors versaillais du XVIIIe siècle.
On peut cependant s’interroger sur le but de cette pièce : au-delà de la représentation d’une scène historique, qu’est-ce que la pièce cherche véritablement à nous faire comprendre ? En effet, les sujets méritant réflexion, comme l’éducation des jeunes filles de la cour, sont rapidement traités, presque des anecdotes. Il y aurait aussi une possibilité de réflexion sur le caractère de la reine, qui s’est dit « modeste en privé » alors qu’on peut voir, notamment lorsque les deux femmes décident d’échanger leurs rôles, qu’elle n’arrive pas à se défaire de ses habitudes royales et ne se rend pas compte du confort dont elle jouit. Mais ici encore, la réflexion est étouffée par le surplus de conversations banales entre la reine et son peintre. On sort donc de cette pièce de théâtre contemporain avec le sentiment d’une pièce correctement mise en scène et bien jouée, mais avec l’impression de ne pas avoir appris grand-chose, hormis de petites anecdotes historiques.
10 avril 2016
Par JeanBenoitH le 10 avril 2016, 16:35 - Critiques théâtrales
La légèreté française est une œuvre théâtrale de Nicolas Bréhal. Elle a été mise en scène par Françoise Petit-Balmer.
La pièce se déroule pendant l'été 1783. Elle met en scène seulement deux personnages : la reine Marie-Antoinette et sa peintre, Louise Élisabeth Vigée Le Brun. Le thème principal est: le peintre et son modèle. Celui-ci est exprimé dès le début à l'aide d'une voix-off peu commune au théâtre. Suite à ces "séances" de peinture qui sont jouées naitra un célèbre tableau qui fait scandale à son époque à cause des tenus de la reine, jugées "trop légères".
Les costumes, réalisés par Jean-Daniel Vuillermoz, correspondent parfaitement à la réalité. De plus la musique faite par Thibault Hedon nous indique les changements de jours au sein de l'histoire. Elle s'accorde relativement bien à l'époque et ne gêne pas le discours des acteurs. La pièce ne présentant que deux acteurs, leur jeu devait être fait à la perfection. Condition respectée par Petit-Balmer.
Cependant le metteur en scène ne réussit pas à garder l'attention du spectateur tout au long du fil de l'histoire. Histoire qui, malgré quelques passages ironiques, est ennuyante et trop pauvre en terme de rebondissements, d'actions, d'émotions … Enfin, certains paradoxes sont présents, tels que la relation trop proche qu'entretiennent la reine et Le Brun.
09 avril 2016
Par LysaelS le 09 avril 2016, 19:23 - Citations poétiques
Because I could not stop for Death
He kindly stopped for me
The carriage held but just Ourselves
And immortality
"because i could not stop for death", Emily Dickinson (1830-1886)
« billets précédents - page 3 de 10 - billets suivants »