"Mes yeux ont-ils fait du mal pour en donner au monde ? "
Paroles d'Agnès (II, 5)
- L'innocence (ou la sottise) d'Agnès est ici bien représentée. Elle croit vraiment avoir blessé "physiquement" Horace... à cause de ses yeux...
12 mai 2016
Par Léanna Pauly le 12 mai 2016, 20:49
"Mes yeux ont-ils fait du mal pour en donner au monde ? "
Paroles d'Agnès (II, 5)
Par Léanna Pauly le 12 mai 2016, 20:43
"De savoir prier Dieu, m'aimer, coudre et filer "
Paroles d'Arnolphe (I, 1)
Par Léanna Pauly le 12 mai 2016, 20:37
" Et femme qui compose en sait plus qu'il ne faut "
Paroles d'Arnolphe (I, 1)
05 mai 2016
Par DourrieuB le 05 mai 2016, 12:53
Deuxième et troisième strophes du "Dormeur du val" écrit par Arthur Rimbaud en octobre 1870.
30 avril 2016
Par Léanna Pauly le 30 avril 2016, 11:00
"C’est une chose étrange qu’une petite cérémonie soit capable de nous ôter toutes nos belles qualités, et qu’un mari et un galant regardent la même personne avec des yeux si différents."
Parole de Mademoiselle Molière, en réponse à Molière qui lui demandait de se taire ...
14 avril 2016
Par ElodieS le 14 avril 2016, 20:44
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
[...]
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
[...]
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Par ClaraGH le 14 avril 2016, 20:42
Extrait des Pensées qui sont un essai de Blaise Pascal (1623-1662)
Cet adage (= Proverbe employé pour énoncer une vérité ou un fait considéré comme tel avec une construction brève et métaphorique) évoque l'irrationalité de la foi, face à la raison et est aujourd'hui utilisé, à tort, pour expliquer les décisions humaines irrationnelles, notamment sur le plan amoureux.
09 avril 2016
Par LysaelS le 09 avril 2016, 19:23
Because I could not stop for Death
He kindly stopped for me
The carriage held but just Ourselves
And immortality
"because i could not stop for death", Emily Dickinson (1830-1886)
07 avril 2016
Par JustineB le 07 avril 2016, 18:23
Première strophe du poème " L'Amour par terre " du recueil Les fêtes galantes, de Paul Verlaine
Le vent de l'autre nuit à jeté bas l'Amour
Qui, dans le coin le plus mystérieux du parc,
Souriait en bandant malignement son arc,
Et dont l'aspect nous fit tant songer tout un jour !
03 avril 2016
Par AliceM le 03 avril 2016, 19:39
Le violon frémît comme un coeur qu'on afflige
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Charles Baudelaire, "Harmonie du soir" , Les Fleurs du Mal
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