14 avril 2016

Critique de « La légèreté française »

Critique de « La légèreté française »

 

La légèreté française est une pièce de théâtre écrite par Nicolas Bréhal, elle a été joué au théâtre de Montansier à l'occasion du week-end consacré a Marie Antoinette. Cette pièce met en scène deux personnages qui sont Marie Antoinette et son peintre Vigée Le Brun.

Vigée Le Brun invite la reine dans le but de finir son portrait de la reine en robe de mousseline qui va d'ailleurs faire scandale. Pendant la pièce, les deux personnages échangent beaucoup sur des sujets ordinaires de leur vie.

 

Tout d'abord les costumes conviennent très bien avec ceux de l'époque, je trouve également que la reproduction de la pose de Marie Antoinette sur le tableau est également bien retranscrite.

Les jeux de lumières étaient assez bien de mêmes que les musiques. En ce qui concerne le jeu des acteurs, Vigée le Brun était bien jouée mais cependant en ce qui concerne Marie Antoinette j'ai moins adhéré surtout quand elle commence à chanter (peut être que c'était voulu et c'était dans le but de souligner le fait que la Reine n'avait pas conscience de ces défauts). En somme on retrouve bien l'atmosphère de l'époque, avec Vigée le Brun qui semble marcher sur des œufs lorsqu'elle s'adresse a la Reine on sent qu'un seul faux pas pourrait lui coûter cher.

En ce qui concerne le contenu de la pièce, je l'ai trouver pour ma part assez maigre, cet a dire que j'ai eu l'impression d'assister a une simple discussion sans principal sujet développé entre deux femmes de l'époque ce qui fait que à la fin de la pièce on en retient presque rien.

 

Pour conclure cette pièce au niveau de la mise en scène est très bien réussie mais au niveau du contenu je l'ai trouver trop longue et sans sujet principal ni rebondissement ni réelle scène comique qui tiendrait le spectateur.

13 avril 2016

La légèreté Française - Critique

La légèreté Française est une pièce de réalisée Nicolas Bréhal qui nous plonge dans un univers différent du notre, celui d’une peintre et de son modèle au XVIIe siècle. En effet la scène se déroule dans les appartements de la reine Marie-Antoinette, jouée par Emeline Bayart, lors d’une séance de pose pour Elisabeth Vigée Le Brun, interprétée Julie Debazac.

Lors de cette séance, une certaine complicité semble se percevoir entre les deux femmes. Seulement, leur différence de rang stoppe ce semblant de complicité malgré les efforts de la reine pour se mettre au même niveau que la peintre. Effectivement les caprices et sautes d’humeurs de Marie-Antoinette, traduit à merveille à travers le jeu de sonorité et particulièrement de lumière,  y mettent rapidement fin.

De plus les longues poses entre les réplique ralentisse le rythme de la pièce et laisse entrevoir peut être la naïveté de la reine qui est une sorte de légèreté d’esprit. La légèreté  de la robe et de les propos de la reine sont en accord avec le titre de la pièce ce qui ne déçoit pas le spectateur, néanmoins le peu de rebondissement, d’action et de protagonistes le laisse un peu sur sa faim.

Critique de la Légèreté française

La Légèreté française est une pièce de théatre, se référant à l'époque de Marie Antoinette, juste avant la révolution Française. Cette pièce a été crée par Nicolas Bréhal, un célèbre écrivain du XXe siècle. La pièce a été mise en scène par Chantal Bronner.

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Critique de la légèreté française de Nicolas Bréhal

Cette pièce de théâtre contemporaine, met en scène Marie-Antoinette et sa portraitiste Vigée Lebrun, durant la dernière séance de réalisation du portrait de la reine en robe de gaule qui a tant fait scandale. Le jeu des comédiennes était très bon, les lumières en accord avec l'humeur de la reine, très changeante. Si l'on était transporté au XVIIIe siècle, c'est que le décor calquait soigneusement les intérieurs somptueux de l'époque. La musique baroque, elle, nous plongeait dans son atmosphère. Néanmoins, la trop grande envie, certes compréhensible , de la metteur en scène d'aborder un maximum de thèmes, pouvait perdre le spectateur de temps à autres.

Critique de la Légèreté Française

      CRITIQUE : La Légèreté Française

 

            La Légèreté Française, de Nicolas Bréhal, met en scène la reine Marie-Antoinette et sa peintre, Elisabeth Vigée-Lebrun, lors d'une séance de pose, où la peintre peine à canaliser son modèle. La reine cherche sans cesse de nouvelles distractions, elle ne supporte pas l'immobilité. La question de la place de la femme à l'époque est dominante dans la pièce. En effet, à maintes reprises la reine cherche à faire de sa peintre son égale, mais, chaque fois, sa position et son rang, la rattrapent.

            La pièce nous plonge dans l'atmosphère du XVIIIe siècle, notamment par de somptueux décors. Les jeux de lumières sont très réussis : ils immergent le spectateur dans le décor.

            On remarque de longues pauses entre les répliques. On peut imaginer qu'elles ont une valeur symbolique, tout comme l'orage. Malgré tout, ce rythme lent reste globalement peu captivant. On note néanmoins un très bon jeu d'acteur. Les deux personnages occupent bien l'espace de la scène, malgré leur faible nombre ; seul petit bémol : les actrices ne semblent pas avoir le même âge, comme elles le prétendent dans la pièce. On peut cependant admettre qu'une reine, avec ses responsabilités et ses tracas royaux, puisse paraître plus âgée qu'une artiste.

            Le scénariste semble avoir pris quelques libertés : il paraît en effet peu vraisemblable que la reine attende l'arrivée de son amant, ou que la peintre se jette dans ses bras.

      La pièce comporte aussi des touches d'humour, comme des répliques à double-énonciation ou des allusions faisant référence au destin tragique de Marie-Antoinette.

         Enfin, on peut dire de cette pièce qu'elle traduit une vraie complicité entre les deux femmes, qui tentent de créer une amitié au dessus des rangs de la société. Cette scène nous est dévoilée à travers une atmosphère artistique et poétique.

La Légèreté Française - Critique

Pièce de Nicolas Bréhal, mise en scène par Chantal Bronner, elle se veut représenter une scène "type" d'un moment de vie entre Marie-Antoinette et son peintre, Elisabeth Vigée le Brun. La scène se déroule pendant l'été 1783 à Versailles.

Nous sommes dans un décor somptueux et nous assistons à la dernière pose de la reine pour le célèbre Portrait à la rose de Vigée le Brun. Les quelques prolepses des deux personnages sur la future mort tragique de la reine créent un certain comique non négligeable puisque ce sont en majorité ces quelques passages qui retiennent notre attention. L'utilisation de la voix off au début de la pièce éveille notre curiosité, curiosité qui ne sera pas réellement rassasiée à la fin de la pièce car la trame de l'histoire reste vague. En effet, cette pièce est comme "remplie de vide", elle ne représente pas un réel moment fort de l'Histoire, l'intérêt historique n'en est que moins important.

Quelques incohérences sont à noter : il est peu probable que la reine se jette dans les bras de son peintre, et la probable intervention de l'amant royal est plutôt incongrue. Les moments de silence provoquent du suspense, cependant n'y en a t-il pas trop ?

La légèreté est présente durant toute la pièce : d'une part l'absence de liberté personnelle évoquée par la reine montre bien son ignorance face à la société de son époque, et d'autre part, cette légèreté revient plus concrètement à travers sa robe.

Le jeu des acteurs est remarquable. Cette pièce n'est cependant pas à conseiller aux plus jeunes qui pourraient ne pas y prendre du plaisir : elle est plus destinée aux passionnés d'histoire voulant se replonger dans cette époque fastueuse.

Critique de La Légèreté française

La Légèreté française est une pièce de théâtre contemporaine de Nicolas Bréhal. Elle illustre un petit moment de vie de Marie-Antoinette, lors d'une séance de pose pour un portrait qui fera scandale (Portrait de Marie-Antoinette en robe de mousseline dite "en gaulle", 1783) à cause de la légèreté de sa tenue. Lors de cette séance, on découvre la complicité qui unit la reine et sa peintre Vigée Le Brun, qui vont aborder plusieurs sujets comme l'amour, leur enfance... La pièce se termine par un orage qui gronde, comme une prémonition de ce qui va arriver à Marie-Antoinette.

J'ai trouvé le concept de la voix off très original  pour nous raconter les pensées de Vigée Le Brun. Les costumes et le décor rendent la scène plus réaliste et les jeux de lumière mettent vraiment en place une atmosphère particulière. Malgré le jeu des actrices, Emeline Bayart dans le rôle de la reine et Julie Debazac dans celui de la peintre, l'absence d'action et de changement de scène rend la pièce un peu vide de sens. De plus, des sujets sont évoqués mais jamais abordés, ce qui aurait pu être intéressant.

Pour conclure, cette pièce de théâtre est originale par son thème et sa mise en scène mais le manque d'action l'empêche d'être aussi captivante que l'on aurait voulu.

Critique de la pièce "La Légèreté française"

               La Légèreté française est une pièce de théâtre réalisée par Nicolas Bréhal et mise en scène par Chantal Bronner. La pièce se déroule lors de l’été 1783, au Petit Trianon à Versailles, et met en scène Emeline Bayart dans le rôle de Marie Antoinette, alors reine de France et de Navarre aux côtés de Louis XVI, et Julie Debazac dans celui d’Elisabeth Vigée-Lebrun, portraitiste officielle de la reine. Les deux femmes se retrouvent dans les appartements privés de la reine dans le but d’achever le portrait de cette dernière. Durant la totalité de la pièce, Marie Antoinette et Vigée-Lebrun discutent sur divers sujets et leur dialogue est entrecoupé à quelques reprises par des poses avec des jeux de lumière marquants les différents moments de l’action ainsi que des musiques, mettant en valeur les décors typiques du XVIIIème siècle. Cependant, les thèmes abordés par les deux actrices sont très souvent triviaux et les quelques sujets qui auraient mérités réflexion comme l’éducation des jeunes filles de la cour sont trop rapidement traités. De plus la pièce présente une certaine ironie et un décalage qui passe par le caractère mais aussi la tenue des personnages. En effet, Vigée-Lebrun semble modeste et respectueuse envers la reine, tandis que cette dernière qui se dit « modeste en privée » n’arrive pas à se défaire de ses habitudes royales. Enfin, la proximité et les relations qu’entretiennent les deux femmes sembles invraisemblables contes tenus de l’époque et de leur classe sociale.

               En conclusion, La Légèreté française est une pièce de théâtre certes bien jouée et réalisée mais qui reste cependant un peu ennuyeuse et sans réel intérêt si ce n’est que d’avoir appris quelques anecdotes historiques.    

Critique théatrale

La Légèreté française est une pièce de théâtre de Nicolas Bréhal. Celle-ci se déroule

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Critique de la pièce "La Légèreté française"

La Légèreté française est une pièce de théâtre écrite par Nicolas Bréhal et mise en scène par Françoise Petit-Balmer. Cette pièce met en scène Marie Antoinette jouée par Emelne Bayart et une peintre, Elisabeth Vigée-Lebrun, jouée par Julie Debazac. Cette pièce raconte les coulisses du portrait de Marie Antoinette, peint par Elisabeth Vigée-Lebrun, sur lequel la reine porte une robe blanche, un chapeau de paille ainsi qu'un ruban attaché à un bouquet de roses. Durant cette pièce, les deux femmes vont dériver du tableau vers la vie intime de celles-ci.

L'ambience de la pièce est très atypique et semble semblable à l'ambience du XIXè siècle. Les musiques de fond sont très rares et seulement présentes pour séparer différentes scènes supposées. Les costumes des actrices sont très ressemblants à ceux des portraits de la reine et de Vigée-Lebrun datant de l'époque, ce qui nous plonge un peu plus dans le passé et dans la scène exposée.

J'ai bien aimé la pièce malgré quelques moments de longs silences. Les actrices ont très bien utilisé l'espace de la scène en disposant certains accessoires aux endroits où les actrices n'iraient pas forcément. Un des seuls bémols est le manque d'action ou de retournements lié au peu de personnages qui reste fixé à deux tout au long de la pièce.

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