09 avril 2016

critique de la pièce "La légèreté Française"

Pièce : La légèrété Francaise

Réalisateur : Nicolas Bréhal

Metteur en scène : Chantal Bronner

Marie Antoinette : Emeline Bayart

Elisabeth Vigée Le Brun : Julie Debazac

 

 

La légèreté Française est une pièce de théâtre réalisée par Nicolas Bréhal. Cette pièce est une création et a été jouée notamment au théâtre Montansier lors du weekend consacré à Marie Antoinette. La pièce se déroule pendant l’été 1783. Le peintre Vigée Le Brun a donné rendez-vous à la reine pour finir son portrait. Ce portrait de la reine en robe de mousseline fera scandale et contribuera à l’impopularité de la reine. C’est lors de ce dernier rendez-vous que ces deux femmes a priori opposées vont échanger sur des sujets intimes tels que l’amour, leur enfance ou encore leur crainte de l’avenir.

Tout d’abord, j’ai bien aimé la scénographie. En effet, les costumes étaient d’époque et en accord avec le thème de la pièce et le décor était très harmonieux. De plus, j’ai beaucoup apprécié la lumière tamisée et la musique lors d’un changement de scène. Le jeu d’Elisabeth Vigée Le Brun m’a beaucoup plut contrairement au jeu de Marie Antoinette que j’ai moins apprécié.  De plus, j’ai regretté l’absence d’autres personnages que les deux actrices et le manque de mouvement ou de changement de décor. La complicité entre les deux actrices m’a parût étrange compte tenu du statut bien différent des deux femmes. Malgré quelques points négatif, j’ai néanmoins trouvé cette pièce intéressante et bien jouée.

Pour conclure, cette pièce est une belle création même si personnellement je ne m'attendais pas à cette mise en scène pourtant très bien réalisée.

"La légèreté francaise

 

 

Realiser par :Nicolas Bréhal

Metteur en scene : Chantal Bronner

Comédiens :

Marie Antoinette : Emeline Bayart

Élisabeth Vigée Le Brun : Julie Debazac

 

Cette pièce de théâtre raconte une séance de pose entre Marie Antoinette et sa portraitiste, Vigée le Brun, qui fini de peindre le portait de la reine. Les deux femmes dévouent pour l'autre une grande amitié malgré leurs différences de classe social, la reine essayera de se mettre au niveau de son amie mais ses caprices sont plus fort que tout et reprennent le dessus. Tout au long de cette pièce théâtrale, les sentiments de chaque femme sont mise en scène, leur complicité permet à la reine de se dévouer à son amie. Une atmosphère mystérieuse est crée par des rideaux transparents et ainsi que le décor, approprié à la scène joué. Un jeu sonore et de lumière est également présent afin de mettre en valeur les personnages de la scène. Cette pièce dénonce la « légèreté » de la reine, et lui donne une image péjorative, principalement à cause de ces plaintes inutiles et absurdes sur sa condition de vie et notamment avec la révélation de son amant, qu'elle ne s’efforce pas de cacher. De nombreux thèmes banals sont abordés par les deux femmes ainsi que des débats inutiles, cela nous donne l' impression d'une pièce artificielle et insuffisante au niveau du contenu.

07 avril 2016

Citation poétique

Première strophe du poème " L'Amour par terre " du recueil Les fêtes galantes, de Paul Verlaine

Le vent de l'autre nuit à jeté bas l'Amour

Qui, dans le coin le plus mystérieux du parc,

Souriait en bandant malignement son arc,

Et dont l'aspect nous fit tant songer tout un jour !

04 avril 2016

Critique théâtrale

Vous pouvez dès à présent poster votre critique personnelle sur le spectacle La légèreté française vu au théâtre Montansier à Versailles sur ce mur (il vous suffira de double cliquer sur la page pour ouvrir une nouvelle fenêtre d'écriture) :

                http://padlet.com/2nde5/Critiquetheatrale

03 avril 2016

Charles Baudelaire "Harmonie du soir", Les Fleurs du Mal

Le violon frémît comme un coeur qu'on afflige

Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !

Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;

Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

 

Charles Baudelaire, "Harmonie du soir" , Les Fleurs du Mal

30 mars 2016

"Le Pont Mirabeau", Guillaume Apollinaire

Vienne la nuit sonne l'heure

Les jours s'en vont je demeure

 

Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

"Le Cid" de Pierre Corneille

Ô rage ! ô désespoir ! ô viellesse ennemie ! 
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? 
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers 
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? 

Quatre premiers vers de l'acte 1 scène 4 de la pièce de théâtre "Le Cid" de Corneille, 1637

Victor Hugo, "Mille chemins, un seul but", 1839

"Aimer, c'est avoir dans les mains un fil pour toutes les épreuves, un flambeau pour tous les chemins, une coupe pour tous les fleuves ! "

"La tombe dit à la rose" de Victor Hugo

La tombe dit à la rose

La tombe dit à la rose :
- Des pleurs dont l'aube t'arrose

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"Ma Bohème", Arthur Rimbaud

Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !

Première strophe du sonnet "Ma Bohème", Poésies, 1870, Arthur Rimbaud.

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