INQUIETANTES ETRANGETES

A la tombée de la nuit, un groupe d’archéologues se mit en route pour se rendre à « Delta », C’est C’était une vile abandonnée depuis le 19e siècle et qui se trouve au nord de l’Italie. Le groupe devait chercher des bijoux, des tableaux anciens. Une fois trouvés, les objets étaient exposés dans un célèbre musée, à Paris. Les archéologues partirent du Sud de la France pour arriver quelques heures plus tard à destination. Quand ils furent arrivés, chacun se sépara pour faire leurs recherches de leur côté.

Parmi eux, une femme nommé Alicya, entra dans un des bâtiments abandonnés qui lui semblait être une maison. Le groupe s’était réparti les tâches et la jeune femme était chargée de trouver des bijoux. Dans la maison, il y avait un petit brouillard mas celui-ci n’empêchait pas de voir devant soi. Tout était cassé, sombre. Elle marcha le long d’un couloir et se retrouva dans le salon. La peinture des murs était craquelée, les meubles anciens étaient par terre et abimés. Ce fut pareil dans toutes les autres pièces. Elles étaient toutes sales, en mauvaise état et surtout, effrayantes. Alicya fouilla partout mais ne trouva rien, pas même un tableau ou autres choses. La maison était presque vide… Au bout d’un couloir se trouvait une pièce qu’elle n’avait pas encore vue. Plus elle avançait vers la porte de cette salle, plus son sentiment d’anxiété s’intensifia. Elle entra et, contrairement aux autres pièces de la maison, celle-ci était en bon état. C’était une chambre, sans poussière, bien éclairé et rangée. Elle était tellement propre qu’on aurait pu croire que quelqu’un y dormait tous les jours.

Alicya décida de fouilla cette pièce. Elle regarda tous les coins de la chambre et quand elle regarda sous le lit, elle y trouva un petit coffre. Il était en bois avec des bordures dorées jaune comme le soleil. Elle le prit et s’assit sur le lit. Elle senti qu’elle s’était assise sur quelque chose. Alicya souleva le drap et vit avec étonnement que c’était une clé. Elle ouvrit le coffre avec cette dernière et y vit juste un papier où il était marqué : « No leggere ».Il fallut quelques temps à la jeune femme pour traduire ces mots, qui était en italien. Quand elle les lut à voix haute, la luminosité de la pièce baissa d’un coup, plongeant la pièce dans l’obscurité.

Prise de panique, Alicya se leva et longea rapidement les murs pour trouver la porte. Près du lit où elle fut assise plus tôt, un visage blanc avec des yeux vides apparut. Elle se pressa de trouver la porte et appuya sur la poignée. Malheureusement, celle-ci ne voulu pas s’ouvrir et le visage volant continua de se rapprocher tellement d’elle.