Une promenade pas comme les autres Salomé L. (4e6pablo)

 

 

La nuit tombait et devenait effrayante. Chaque bruit me faisait sursauter, comme si quelque chose me terrifiait. Les rues demeuraient désertes ; aucune voiture, aucun piéton. L’éclairage vacillait. Cette sensation d’être épié continuait. J’observai les alentours. Toujours rien. Une présence attendait. Quoi? Je ne sais pas mais cette situation me rendai fou. Pendant un moment, j’essayai de me rassurer en me disant que j’étais ridicule car ce genre de chose n’arrive que dans les films. Mais est-ce que j’hallucinai ou quelqu’un m’espionnait réellement ?

L’automne. Il faisait froid. Les feuilles rougissaient et tombaient. Comme tous les soirs, j’allai promener mon chien dans le parc des Buttes-Chaumont, dans le dix-neuvième arrondissement de Paris. Habituellement, je croise ma voisine et sa soeur mais cette fois-ci, je ne les vis pas. D’ailleurs à ma grande surprise, je ne vis personne dans les rues. Aucun bruit. Un sentiment d’inquiétude et d'anxiété me saisis.

Après une demie-heure assis, mon chien à mes pieds, je décidai de rentrer, épuisé. Sur le chemin du retour, je me sentis observé. La fatigue devait me faire halluciner, pourtant ce sentiment persistait. Malgrés mes efforts, impossible de trouver ce qui me perturbai tant. Les feuilles créèrent un tourbillon qui m'enveloppait. La nuit tombait et devenait effrayante. Chaque bruit me faisait sursauter, comme si quelque chose me terrifiait. Les rues demeuraient désertes ; aucune voiture, aucun piéton. L’éclairage vacillait. Cette sensation d’être épié continuait. J’observai les alentours. Toujours rien. Une présence attendait. Quoi? Je ne sais pas mais cette situation me rendai fou. Pendant un moment, j’essayai de me rassurer en me disant que j’étais ridicule car ce genre de chose n’arrive que dans les films. Mais est-ce que j’hallucinai ou quelqu’un m’espionnait réellement ? Je me mis à courir le plus vite possible. Mon chien pensait que je jouai avec lui.

Epuisé par cette course folle, je m’arrêtai pour reprendre mon souffle. En relevant la tête, je fus étonné. Si concentré par cette poursuite, je m’étais perdu. Autour de moi, se trouvait de grands arbres sans feuille. Ils se refermaient sur moi. Les buissons semblaient cacher quelque chose. Le vent hurlait mon nom. Cet endroit sinistre et sombre dont seul le clair de lune apportait de la luminosité m'angoissait d’avantage. Mon chien jouait avec les feuilles mortes. Je devai absolument garder mon calme, malgrés les ombres des arbres qui m'épouvantaient. J’observai l’endroit de tous côtés à la recherche d’une issue qui pourrait m'apaiser. Derrière un arbre gigantesque, creux, et à l’allure des monstres tirés des contes de mon enfance, j’aperçus une vaste clairière : le coin idéal pour s’y réfugier. Ce lieu ne possédait ni arbres effrayants, ni bruits étranges.Je m’assis sur le sol froid et humide pour caresser mon chien et retrouver la raison, quand soudain, une main me saisit l’épaule...

Commentaires

1. Le 08 janvier 2018, 08:01 par joshua.p blaise pascal

Dans ton histoire il y a toujours du suspense ce qui ma captiver. Tu as respecter la ponctuation et je n'ai pas trouver de faute d'ortographe

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