La cabane au fond du jardin, Maxence P. (4e3pablo)

Que c’était-il passé cette nuit là ?

Comme chaque été j’étais en vacance dans le gard chez mon grand père. Nous nous retrouvions chez lui depuis des années avec mes cousins. La maison de mon grand père se trouvait au bout d’un chemin de terre perdu au milieu des oliviers et des chênes. Les cigales et les grillons faisaient un bruit assourdissant tout l’été. C’était une grande et vieille maison avec un escalier de marbre et une horloge qui sonnait toutes les heures et résonnait dans la maison. Après avoir passé la journée dans la piscine, il fallut choisir nos chambres. On était trop nombreux pour tous dormir dans la maison. Donc chaque années deux des enfants dormaient dans la chambre qui était dans la dépendance au fond du jardin. On rêvait tous de dormir dans cette chambre qui était un peu notre cabane. Et cette année c’était moi et mon cousin qui avions cette super chambre, loin des adultes. Pour la rejoindre à la nuit tombée il fallait prendre nos lampes de poches. Pour entrer dans la chambre il  avait une grande, vieille et grosse porte en bois qui grinçait quand on l’ouvrait. Il fallait beaucoup de force pour l’ouvrir. A l'intérieur on avait notre cuisine, une douche et un grand lit. Donc après avoir profité de la piscine et du jardin toute la journée, nous partîmes nous coucher. Dans la nuit avec nos lampes le chemin nous sembla bien long. Il y avait des bruits étranges, des craquements dans les arbres, des odeurs inconnus et des ombres bizarres passaient devant la lumière de nos lampes. J’avais l’impression qu'on nous observait. Finalement on arriva à la chambre en courant on ouvrit la porte en vitesse et on se précipita dans le lit. Mon cousin s’endormit tout de suite, mais moi j’étais inquiet. Soudain j’entendis un bruit, comme si quelqu’un marchait sur le gravier dans le jardin. Un souffle d’air chaud traversa la pièce. Il me sembla que les rideaux de la chambre bougèrent. J’eu l’impression que la porte s'ouvrait, ma gorge était sèche, mes pieds étaient glacés et des frissons parcouraient mon dos. Mon corp me semblait lourd, j’étais comme cloué au fond du lit. Je m’attendait au pire puis d’un coup plus rien. Y avait quelqu’un ou un animal? Ou était-ce autre chose?

Commentaires

1. Le 08 janvier 2018, 08:07 par Olivia p.403 Blaise Pascal

Je trouve que dans ton histoire, on ne comprend pas bien l'élément perturbateur mais mais je ne trouve pas de fautes d'ortographes

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