INQUIETANTES ETRANGETES

Jadis, vivait une petite fille qui allait à l'école tout les jours. Cette petite fille qui était très intelligente se nommait Léa. Léa avait une chevelure brune magnifique et des yeux d'un bleu resplendissant. Son école était petite, les murs était blancs et le toit, plat et noir. 

Un jour, alors que Léa jouait dans la cours avec ses amies, un garçon roux aux yeux noisettes s'approcha d'elle. Il lui demanda à lui parler et elle accepta. Elle se leva. Quelques secondes plus tard, elle revint. ses amies lui demandèrent ce que lui avait dit le mystérieux jeune homme. Léa refusa. Les jours suivant, le garçon revenait et Léa partait toujours avec lui et revenait de plus en plus triste chaque jours. Ses amies se demandaient ce qui se passé. Ses amies parlaient quand Léa partait avec le garçon. Léa s'en rendait bien compte et elle se demandait se qu'elles pouvaient bien dire dans son dos pendant que le jeune homme lui parlait. Ses amies n'arrêtaient pas de la questionnée mais elle refusait. 

Un jour, le garçon revint, mais au lieu de faire venir Léa, Il lui dit ce qu'il lui disait chaque jour mais cette fois devant ses amies. Léa était bouleversée. Elle arrivait à supporter q'on lui dise qu'elle n'était q'une intello mais devant ses amies, elle ne pouvait pas. Cette fois, Léa craqua, elle se mit à pleurer. Elle ne voulait plus voir se garçon. Ses amies eurent de la peine pour elle. Maintenant, elles comprenaient le comportement étrange de cette dernière. Les jours suivant, Léa voyait ses amies parler dans son dos et elle les fuyait. Quelques jours plus tard, Léa se mit à croire que ses amies complotaient dans son dos et qu'elles étaient du même avis que le garçon. Léa sûre d'elle, se demanda pourquoi, quand, quelques jours plus tard, ses amies vinrent la voir. Ses quatre amies passèrent de plus en plus de temps avec elle et Léa trouvait ça étrange. Un jour, elle se disait que ses amies se moquaient d'elle et l'autre jour, elle se disait qu'elles avaient juste de la peine pour elle. Mais elle pensait également que ses amies restaient avec elle juste pour avoir des bonnes notes. Un jour, alors qu'elle sortait de l'école seule pour rentrer chez elle,  Léa se sentit suivie. Lors d'un tournant, elle en profita pour jeter un coup d'oeil. Elle vit ses propres amies entrain de rigoler discrètement avec le fameux garçon qu'elle détestait tant. Léa , bouleversée, pleurait. Elle se sentait trahie. Léa continua son chemin. Alors qu'elle s'engouffrait dans un chemin sombre et étroit, elle préféra vérifier qu'elle ne s'était pas trompée. Lorsqu'elle vérifia, elle ne vit personne. A se moment, elle se dit qu'elle avait sûrement rêvé, que son imagination lui jouait des tours. Mais quand elle se retourna et qu'elle aperçut les cinq personnes qui lui faisait du mal, un frison la saisit. Prise de vertige, elle ferma les yeux un court  instant. Lorsqu'elle les rouvrit, le chemin dans lequel elle se trouvait, était vide. Elle se rappela que les cinq jeunes gens qu'elle voyait quelques instants plus tôt se trouvaient à une vingtaine  de mètres d'où elle se situait. Elle avança jusqu'au lieu où elle les avait vu. A sa grande surprise, un chemin encore plus sombre et plus étroit que le précédent se plaçait à sa droite. Se chemin, elle ne l'avait jamais vu durant toute ses années où elle habitait dans cette ville. Elle s'engagea dans la ruelle. Dans cette ruelle, des arbres se dressaient tout les cinq mètres. Des partères de fleurs s'étendaient le long de l'allée. Au bout d'une centaine de mètres, un arbre gigantesque, encore plus grand que les précédents, se tenait devant elle, au milieu d'une pelouse en rond comme la carapace d'une tortue. Sur cette colline, Léa eut un grand choque comme si on venait de la frapper avec un objet très lourd. Elle venait de voir ses amies en ligne autour du garçon, devant l'arbre. Se fut un choque énorme et inexplicable pour Léa. Elle s'écroula sur le sol les genoux et les main au sol, le visage couvert de chaudes larmes et ses cheveux cachait son visage mouillait par les lames que ses yeux versaient. Lorsqu'elle releva la tête quelques minutes plus tard, l'affreuse image qu'elle avait vu était remplaçait par un couple de personnes âgées et leurs trois petits enfants entrain de s'amuser sur la pelouse de ce qui lui semblait être un parc. Léa ne savait plus que pensait. peut-être était elle aveuglait par la tristesse et le comportement plutôt étrange de ses amies qui ne faisaient que s'inquiéter pour elle ou bien ses amies et le garçon disparaissaient mystérieusement et qu'ils complotaient dans son dos.