INQUIETANTES ETRANGETES

  Tout ce passait à merveille pendant ma journée, enfin le début. Comme d’habitude je me levais à six heures trente, j’allais me doucher, j’allais enfiler mes habits et puis je parti au travail ne sachant pas à quoi m’attendre.

    En passant la porte de l’hôpital, je dis bonjour à Cloé qui était a l’accueil et à toute les équipes prêtent à partir pour une urgence. Puis j’allais me changer. Mais d’un coup Marie me cria d’un ton précipité :

<<Luc ! Dépêche-toi, on a une urgence au Lycée Jules Ferri. Ils ont dit qu’un adolescent aurait sortit une épée de son sac et l’aurait planté dans le ventre de son camarade.

- C’est pas vrai ? Mais, je ne suis pas préparé pour ce genre d’intervention !

- Tu dois venir !

• Non, prend quelqu’un d’autre du secteur.

• Luc, je ne sais pas ce qui se passe mais personne ne répond. Il n’y a personne dans l’hôpital.

• Mais tu deviens folle, j’ai vu Cloé tout a l’heure. 

Mon coeur battait la chamade. Que ce passait-il ? Je ne sais pas.

    En sortant du bâtiment, aucun signe de vie, aucune voiture, rien. Mais le pire était encore a venir. On est arrivé très rapidement au lieu du meurtre sans voitures sur notre chemin. Je n’aurais jamais dû rentré dans cette classe. 

    Le sang dévalait la pente raide des jambes de la victime qui s’accumulait sur la moquette, une épée scintillante avait traversé le corps du lycéen assis très basiquement sur une chaise en bois et les lampes qui éclairaient la salle de classe vacillaient comme le clignotant d’une voiture.

    En m’approchant doucement de la victime, j’aperçus...