La sirène, Lara C. (4e3 Roby)
Par 4e3 Marcel Roby (78) le 16 décembre 2017, 16:40 - Archives - Lien permanent
"Je vous raconte cette histoire quelques semaines après mon trajet en Ferry vers la Corse, et ce qu’il s’est passé à bord ne vous laissera pas au bout de vos surprises." (Lara C.)
Je vous raconte cette histoire quelques semaines après mon trajet en Ferry vers la Corse, et ce qu’il s’est passé à bord ne vous laissera pas au bout de vos surprises.
Je partis de Marseille un jour de juillet ensoleillé. La mer était paisible et calme, et paraissait être en paix avec elle-même. Je rejoignis mon ami d’enfance Julien sur le port et nous nous préparâmes à monter dans le Ferry. Celui-ci semblait sortir d’une toute autre époque : Il avait une coque en bois et la peinture qui s’y trouvait était toute effritée, au milieu du navire se trouvait un long mat en bois qui ne servait sûrement pas, et par-dessus tout, au sommet de ce vertigineux mat était accrochée une statue en bois représentant une sirène. J’avais comme l’impression qu’elle m’observait, comme si elle possédait un souffle de vie en elle. Je ne savais quoi penser de ce que je voyais, et je ne savais si rire ou avoir peur.
Je me sentis tout à coup très fatigué, comme si la fièvre s’abattait sur moi. « Ce n’est qu’un petit mal de tête » -me dis-je. Je pris alors mes bagages et me dirigeai vers le pont.
Nous montâmes dans l’étrange bateau et je remarquai alors que je ne voyais pas le capitaine, ni aucun membre de l’équipage d’ailleurs, à part quelques serveurs et femmes de chambre. Ces dernières nous conduirent alors nos cabines. Quelques instants après, nous levâmes l’encre et à ce moment précis un étrange frisson parcouru tout mon corps.
Je n’allai pas dîner ce soir-là. La fièvre du départ avait fini par me couper l’appétit. Je saluai donc mon ami et me retrouvai seul dans ma cabine. Je me mis en robe de chambre, me blottis dans mon lit, puis éteignis la lampe qui se trouvait sur ma table de nuit et tentai de dormir.
Je me réveillai quelques heures plus tard quand tout le Ferry était sûrement déjà endormi. « Satanées insomnies ! » …
Je ne savais pas ce qui avait provoqué mon réveil, mais comme je n’arrivais pas à fermer l’œil à nouveau, je décidai d’aller explorer le navire. J’arpentais alors les couloirs quand j’entendis comme de la musique qui jouait. Je décidai de suivre la musique et j’arrivai devant la porte de la salle à manger qui était entrouverte. Je poussai alors la lourde porte avec appréhension et angoisse et personne ne croirait ce que je vis : la vaisselle volait dans toute la pièce, accompagnée des tables et des chaises qui semblaient danser en rythme, et des lustres qui se balançaient d’une direction à une autre. Mais ce qui me glaça le sang, fut quand je vis au milieu de la salle, la sirène du mat qui me regardait avec ses yeux couleur océan et sa chevelure épaisse et scintillante. Et cette fois, elle était vivante.
Commentaires
j'ai adoré quand tu a dit "la sirène m'observait comme si elle posséder un souffle de vie en elle"
Ta nouvelle avait une bonne description mais pour moi, une sirène ne fait pas peur
l'histoire est très bien redigée , la scène se passe sur un bateau et se distingue donc des autres histoires. Mais je trouve sa dommage que la peur ne vienne que à la fin de l'histoire.
sinon très bonne histoire.
J'ai bien adore cette nouvelle car on dirait que la sirène était poseder,mes on parle pas asser de la sirène
très bon récit, vocabulaire très recherché. j'ai beaucoup apréciée cette histoire qui a retenue mon attention tout au long de la lecture. Le suspens est présent du début a la fin aucun défaut selon moi malgré une ou deux fautes d'orthographe
félicitations pour ta nouvelle
Histoire assez bien mes on ses pas trop de quoi tu parle tu parle plus d un restaurant.Tu parle que a la fin de la sirène et d un océan.