Bernard le Clunisien, Les huit péchés capitaux. De octo vitiis, Paris, Les Belles Lettres, 2012.
À la fin de l'abbatiat de Pierre le Vénérable, à l'époque où l'élève d'Abélard, Arnaud de Brescia, disputait Rome au protégé de Bernard de Clairvaux le pape Eugène III, un prieur clunisien écrivit un poème sur le mal qui témoigne à un haut degré de ce que Haskins appela la « Renaissance du XIIème siècle ».