« J’ai étudié consciencieusement la maladie d’un point de vue philosophique. Il me semble que ce que j’ai lu ne m’a rien appris. Ne m’a rien permis de comprendre. Ne m’a prévenue de rien. En matière de souffrance, la philosophie est d’un piètre secours ». Ce propos de Claire Marin, philosophe atteinte d’une grave maladie, pourrait nous détourner d’un ouvrage philosophique sur la santé comme celui de Fondras, intitulé Santé de philosophes, philosophes de la santé.
04 septembre 2015
Jean-Claude Fondras, Santé des philosophes, philosophes de la santé, ENCD, 2014. Lu par Marine Frontera
Par Karim Oukaci le 04 septembre 2015, 06:00 - Éthique