« Pourquoi s’inquiéter à l’idée que nous vivrons de plus en plus dans une société où tout sera à vendre » ? M. Sandel invoque deux raisons. La première se rapporte à l’inégalité des revenus et à la question de la justice, la seconde à l’effet corrupteur du marché sur certains biens.
30 janvier 2015
Ce que l’argent ne saurait acheter. Les limites morales du marché, Michael J. Sandel, Seuil, 2014. Lu par Laurent Gryn
Par Karim Oukaci le 30 janvier 2015, 06:00 - Philosophie politique