Charlotte Perriand, le sport, les loisirs et la montagne
Par F. Huard le 08 octobre 2021, 16h22 - Charlotte PERRIAND : une artiste en son temps - Lien permanent
« J’aime la montagne profondément. Je l’aime. Je l’aime parce qu’elle m’est nécessaire. Elle a été de tout temps le baromètre de mon équilibre physique et moral. Pourquoi ? Parce que la montagne offre à l’Homme la possibilité de dépassement dont il a besoin » C. Perriand
I. Charlotte Perriand, les loisirs et la montagne : projets, réalisations et contextes (1930-1960)
A. Charlotte Perriand et la question du sport et des loisirs
- Charlotte Perriand une sportive accomplie
- Le corps et l’esprit
Travail et sport, projet, 1927
La Maison du jeune homme, 1935
- Le sport et les loisirs à l’époque du Front populaire
La Maison au bord de l’eau, 1934
La Grande Misère de Paris, 1936
B. Architecture de montagne : réflexions et réalisations
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Perriand raconte ses projets en montagne avant guerre
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- Les refuges
Refuge Bivouac, 1938-1939
Refuge Tonneau, 1938
- Projets d’hôtels de montagne, 1935, 1937-1938
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Perriand raconte Méribel au retour de l’Indochine en 1946
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- Chalet personnel de C. Perriand à Méribel, 1961-1972
- Projet pour la station des Bellevilles, 1962
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Perriand raconte les projets des Arcs 1600 et 1800
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II. La station des Arcs : les débuts à Arc 1600 (1968-1974)
A. L’organisation et les contraintes d’un chantier en montagne
- Un projet, une équipe
- Les orientations fondatrices de C. Perriand (1967-1968)
B. Les réalisations à Arc 1600
- Hôtel et résidence des 3 Arcs, 1968
- Résidence la Cascade, 1968
- Résidence La Cachette, 1969
- Résidence Versant Sud et Adret, 1969-1974
III. La station des Arcs 1800 : approfondissement et changement d’échelle
A. Urbanisme et architecture : la station intégrée
- Préserver
- Séparer-Circuler
- Pente et exposition
- Standardisation, industrialisation, préfabrication
B. L’aménagement intérieur : l’art d’habiter, l’art de vivre
- L’habitat minimal
- La cuisine
- Le rangement
- Le mobilier