20 janvier 2014

MUSICELLA

Il était une fois un aristocrate divorcé et remarié à une femme qui avait deux filles. Ils s’étaient rencontrés sur internet via un site de rencontre. La femme et ses filles avaient eu recours à la chirurgie esthétique, elles se croyaient belles alors qu’elles étaient laides. Les filles avaient toujours leur chihuahua dans un bras et leur Smartphone dans l’autre. Le mari, de son côté, avait une fille jeune, gentille, serviable et belle comme l’était sa mère. Ils vivaient tous dans une superbe villa à Monaco. Peu de temps après ce remariage, le mari décéda d’un cancer. La jeune fille se retrouva donc avec sa belle-mère et ses demi-sœurs. Ces dernières lui firent vite comprendre qu’elles ne l’aimaient pas. De ce fait, elle devait promener le chihuahua de celles-ci qui aboyait tout le temps et faisait ses besoins partout. Elle n’avait pas de Smartphone ni de lecteur MP3, pourtant elle adorait la musique et chantait merveilleusement bien. C’est ainsi que ses sœurs la surnommaient Musicella.

            Un  jour, le groupe célèbre et très populaire « Daft Punk » organisa une grande fête à la discothèque « le Pharaon » afin de célébrer leur disque de platine. C’est grâce à une publicité radiophonique que les deux sœurs découvrirent la nouvelle. Immédiatement, elles supplièrent leur mère de les laisser y aller et de demander à Musicella d’aller chercher leurs tenues de soirée. C’est ainsi que commencèrent les préparatifs.

            L’essayage dura des heures. Rien ne les satisfaisait. Musicella se faisait même insulter à chaque proposition de tenue. Le soir venu, les filles et leur mère partirent à la discothèque. Musicella,désireuse d’aller à la soirée mais n’ayant rien à se mettre, appela, à l’aide du téléphone fixe, sa marraine, relookeuse pour une émission de télévision afin qu’elle lui prête limousine, bijoux et tenues à la mode. Trente minutes plus tard, elle vit se garer une limousine avec à l’intérieur, sa marraine et les tenues qu’elle avait créé pour Musicella. Elle se dépêcha d’aller se changer et enfin prête, elle se rendit à la discothèque dans son superbe carrosse: elle pensa un instant être la réincarnation de Cendrillon ! Mais elle n’osa pas demander à sa marraine si, à l’origine, le chauffeur avec sa belle moustache était une souris ! Quand elle entra au «  Pharaon », il y avait une ambiance d’enfer. Tout en s’avançant vers le centre de la piste, elle découvrit à travers la foule et les lumières feutrées, les « Daft Punk ». L’ambiance était telle que le groupe décida de revenir le week-end suivant. Afin de ne pas se faire disputer, Musicella se dépêcha de rentrer à la maison avant ses sœurs et sa belle-mère. Le samedi suivant arriva à grands pas et Musicella décida de retourner à la discothèque mais cette fois,  elle voulait garder un souvenir de sa soirée. Elle prit donc son casque de moto qui appartenait à son père et qui en plus symbolisait les « Daft Punk ». Elle le fit dédicacer par le groupe. Comme elle aurait souhaité rester! Mais,toujours pour ne pas être vue par ses sœurs et sa belle-mère etpressée par le temps, elle courut dans la foule vers la limousine. Arrivée chez elle, elle découvrit avec stupeur qu’elle avait oublié son casque dans la discothèque, mais il était trop tard, ses sœurs venaient de rentrer…..

            A la fin de la soirée, les « Daft Punk » retrouvèrent le casque au pied de la scène. Pas de trace de sa propriétaire ! Ils décidèrent de la retrouver en interrogeant tous les habitants des villes voisines. Les visites se succédèrent mais toujours pas de trace du propriétaire. Ils arrivèrent devant la dernière maison : c’était celle de Musicella. Ils sonnèrent, la belle-mère ouvrit la porte, les fit entrer et leur présenta ses deux filles. Les « Daft Punk » leur firent essayer le casque. La tête de l’une était trop petite : le casque se balançait dans tous les sens ! La tête de l’autre était trop grosse : elle resta même coincée ! Il fallut se mettre à plusieurs pour le lui retirer. Soudain, ils entendirent de la musique, leur musique, qui provenait d’une pièce à l’étage ! Ils se précipitèrent pour voir qui c’était : c’était Musicella. Malgré la colère de la belle-mère, les « Daft Punk » lui firent essayer le casque : il lui allait à la perfection. Enfin ils avaient trouvé la propriétaire du casque ! Musicella, pour montrer combien elle était admirative de leur talent, leur chanta un de leurs airs. Ils furent ébahis, enchantés, émerveillés, époustouflés.

                Les « Daft Punk » emmenèrent Musicella en tournée planétaire avec eux. Grâce à ses prouesses vocales, elle devint rapidement la chanteuse officielle du groupe. Dans sa grande bonté et sans rancune, usant de ses nouvelles relations, Musicella offrit à ses sœurs et leur mère la possibilité de participer à une émission de téléréalité.

                                                                                               Rémi SEVEL

Mélodie

 

Il était une fois, une jeune adolescente de 17 ans, qui avait une voix tellement belle qu’on la nommait Mélodie. Elle était brune aux yeux bleus avec des taches de rousseur. Ses parents étaient divorcés, elle habitait la semaine chez son père, à l’angle du Casino de Chaville, et le week-end chez sa mère, à Paris dans le 11° arrondissement. Son père s’était remarié avec une femme laide, méchante et capricieuse. Elle avait une fille ainée, Beverly, qui détestait Mélodie, qui se croyait supérieure aux autres, et qui était toujours à la mode. Beverly avait un frère, Maxime, un affreux petit monstre qui s’amusait à torturer Mélodie en lui prenant ses affaires, en mettant ses devoirs dans la cheminée, et en versant de la sauce pimentée dans ses plats. Tous les jours c’était la même chanson, sa demi-sœur lui demandait d’aller chercher ses affaires au pressing situé tout en bas de l’avenue Jean Machinchouette, de l’emmener chez le coiffeur ou de nettoyer sa chambre. Et sa belle-mère lui ordonnait également de faire la vaisselle et de sortir les poubelles. La semaine, Mélodie n’avait pas de temps pour elle.

Un jour la boom du lycée s’annonça, les affiches se multipliaient sur les murs et on y pouvait y lire : « Demain soir, Boom du lycée et Concours de la plus belle voix ». Beverly, tout de suite, entraîna Mélodie dans les boutiques de Parly et Vélizy 2 et acheta une montagne de robes : des rouges à froufrous, des bleus à paillettes, des roses à rubans. Et en plus, il fallait toujours que ce soit Mélodie qui paie, sachant que son argent de poche était juste suffisant pour déjeuner en semaine. En rentrant Beverly jeta les robes dans les bras de Mélodie afin de les repasser. Elle lui dit : « Je n’aurai pas le temps de toutes les repasser, de plus, tu en as besoin que d’une seule ! J’aimerai bien aussi y aller à cette boom !!! ». Beverly se mit à ricaner et lui répondit : « Je suis désolée de t’apprendre que tu dois garder Maxime, et de toute façon tu n’as pas une seule robe !" Mélodie regarda Beverly s’éloigner et lorsqu’elle disparut, elle se mit à pleurer.

Quelques heures plus tard, la mère de Mélodie arriva en voiture, comme tous les vendredis. Elle vit Mélodie pleurer et lui demanda ce qu'il se passait. «J’aimerais... J’aimerais bien... », Mélodie. Elle pleurait si fort qu’elle ne put achever sa phrase. Sa mère lui demanda si c’était à cause de la boom ? Mélodie lui raconta sa dispute avec Beverly. « Ne t’inquiète pas, lui dit sa mère, je vais t’aider ». Elles rentrèrent à Paris. Dès leur arrivée, sa mère se mit au travail, elle prit son répertoire, sur son bureau, et trouva le téléphone d’une agence de location de voitures et de baby-sitter. Elle les appela. Le lendemain, une limousine arriva devant chez elle. Elles descendirent et prirent la voiture. Sa mère l'amena dans tous les magasins les plus chics de Paris, Dior, Chanel, Givenchy, Yves- Saint Laurent… Cela ne fut pas très facile de trouver la tenue idéale, mais au bout de quelques heures, alors qu’elles commençaient à se décourager, Mélodie aperçut un bout de tissu pailleté, en boule, dans un coin sur le sol. Elle le ramassa et découvrit une magnifique robe de soirée, la plus belle qu’elle n’ait jamais vu. Elle se précipita pour l’essayer. On aurait cru voir « un top model ». Ensuite, elles allèrent à l’agence de baby-sitter et en demandèrent à une, pour garder le petit frère. Le soir arriva et Mélodie habillée et maquillée comme une princesse, monta dans la limousine. Mais sa mère lui précisa qu'à minuit la limousine ne serait plus là. Mélodie lui promit qu'à minuit elle serait déjà à la maison. Elle partit pour la boom, métamorphosée. Lorsqu’elle arriva, le garçon le plus mignon de tout le lycée, Steven, était à la recherche d’une chanteuse pour le fameux concours de la belle voix, qu’il avait organisé. Lorsqu’il vit Mélodie, il essaya de se faire un chemin pour aller jusqu’à elle. Il lui demanda :

- « Sais-tu chanter ? »

Elle répondit :

- « Oui ».

Il l’emmena sur la scène. Il eut alors un grand silence. Les guitares, le piano, la batterie ne faisait plus de bruit. On pouvait juste entendre des murmures :

         - «Ah, qu’elle est belle !!! »                                                                                               

Mélodie se mit à chanter une de ses chansons préférées  « Paparazzi » de Lady Gaga. Tout le monde l’acclamait comme une star. Elle fit une pirouette et tomba de l’estrade dans les bras de Steven. Soudain, Mélodie vit l’heure, il était minuit moins deux. Tout de suite, elle se mit à courir et laissa tomber son MP3, contenant ses trois musiques préférées. La limousine n’était plus là.

Steven tenta de la rattraper et demanda aux enseignants s'ils n'avaient pas vu une jolie fille partir en limousine. Ils lui répondirent qu’ils n’avaient vu qu’une jeune fille bien habillée partir en courant. Mélodie arriva chez son père, se démaquilla et remit ses vêtements habituels. Lorsque Beverly rentra à son tour de la boom, Mélodie lui demanda si elle s'était bien divertie. Beverly lui raconta tout ce que Mélodie avait fait de A à Z. Le lundi suivant, afin de connaitre l’identité de celle qui avait perdu son MP3, Steven envoya un SMS, à toutes les filles du lycée, en demandant de lui citer les trois musiques du MP3 qu’il a retrouvé à la boom. Toutes les filles essayèrent, même Beverly ! Puis Mélodie envoya le SMS des trois bonnes musiques. Steven la chercha dans la cour, il voulait absolument la voir pour lui dire qu’elle avait gagné le concours. Mélodie et Steven se parlaient lorsque Beverly attrapa le bras de Mélodie et l’emmena à l’écart. Elle lui demanda : « On m’a dit que tu étais la gagnante du concours ? » Mélodie acquiesça d’un mouvement de tête.

Beverly attira Mélodie dans ses bras, lui demanda pardon pour toutes les méchancetés qu'elle lui avait fait subir. Mélodie l'embrassa en lui pardonnant toutes ses erreurs, car elle avait le cœur sur la main. Beverly la raccompagna auprès de Steven, qui demanda à Mélodie de sortir avec lui.

 

  Séléna MOISAN  

Laetitia MALHEIRO

La Petite Schtroumphette

Il était une fois, une petite fille appelée Marine, mais toutes les personnes qui la voyaient, la nommaient « La Petite Schtroumphette » car elle s’habillait toujours avec un leggins bleu, une tunique bleue, un foulard bleu et des ballerines bleues. Elle habitait au 17 rue Joseph Bertrand, à Viroflay, à cinq minutes de l’école Aulnette. Ses parents étaient divorcés, elle vivait la semaine chez sa mère à Chaville, et le week-end chez son père à Viroflay.

Un jour, son père lui demanda d’aller chez sa grand-mère pour lui fêter son anniversaire car il n’était pas disponible. Elle devait lui apporter un gâteau au chocolat fait maison. La pauvre vieille dame habitait à Boulogne. Cette ville était à un quart d’heure en voiture de Viroflay. La grand-mère de Marine était très riche.

Marine devait prendre un chemin très précis: elle devait marcher 15 minutes pour aller à l’arrêt de bus de Viroflay et attraper le Phébus de 15h32 qui se rendait à Boulogne. Pour l’occasion, Marine se mit au poignet un bracelet tout en diamant, que lui avait offert sa grand-mère. La Petite Schtroumphette partit donc de chez elle avec dans son sac, la pâtisserie et deux tickets de bus (un pour l’allée et un pour le retour). Son père la prévint de ne parler a personne. Pendant le trajet, Marine passa par une rue très sombre et qui faisait peur. Mais elle fut rassurée en voyant qu’il y avait des travaux, et que les personnes qui travaillaient lui semblaient honnêtes. Un voleur recherché par la police, vit le bracelet en diamant que portait Marine, et alla lui parler. Il lui dit:

"- Que fais-tu petite fille ?

- Un: je ne suis pas petite! Deux: je vous parle! dit Marine agacée.

- Où vas-tu? demanda-t-il.

- Je vais au 18 rue Square du Pont de Sèvres, à Boulogne. Je rends visite à ma grand-mère pour son anniversaire, répondit Marine .

Et sans dire au revoir, le voleur s’en alla. Il avait dans l’idée de cambrioler cet appartement, alors il se dépêcha. De son côté, Marine continua son chemin et arriva à l’arrêt de bus. Elle se dit qu’elle n’avait pas respecté ce que lui avait dit son père et douta un peu de ce monsieur. Le voleur prit sa moto, grilla deux feux rouges et arriva chez la vieille dame. Il appuya sur l’interrupteur du hall de l’appartement et entra. Le voleur monta cinq étages pour atteindre une porte avec un gros diamant. Le cambrioleur se dit que c’était là. Il toqua, et la grand-mère dit:

"- Qui est-ce?

- Bah, c’est moi, dit le voleur sur un ton aigu.

- D’accord Marine, je t’ouvre," dit la vieille dame.

La grand-mère, tellement heureuse que sa petite fille ait  pensé à son anniversaire, fut très surprise de trouver à la place un monsieur terrifiant. Ce dernier l' enferma dans un placard et mit un cadenas. Le cambrioleur attendit Marine. Celle-ci arriva devant l'immeuble. Elle entra dans le hall et sonna. Le voleur lui répondit:

« - Qui est-ce ?

- C'est moi, ta petite fille ! dit Marine.

- D'accord, tu peux entrer, » dit le méchant monsieur. 

Le cambrioleur mit des habits de la grand-mère et se cacha derrière un fauteuil placé dans un coin du salon. Marine monta les cinq étages, arriva devant la porte et entra. La pièce était déserte. Pas un bruit, pas un souffle. Seulement un  Bzzzzzzzzz. que faisait une mouche qui volait .Marine ne vit personne et dit :

- « Grand-mère où êtes-vous ? »

Le voleur déguisé, sortit de sa cachette. Marine s'exclama :

« - Oh ! Que vous avez de gros muscles ! dit-elle.

- C'est pour mieux te serrer mon enfant, répondit-il.

- Oh! Que vous avez de grandes jambes! répondit-elle.

- C'est pour mieux courir mon enfant! dit le voleur.

- Oh ! grand-mère... Depuis quand avez-vous un percing ? »

- Euh... ça ne fait pas longtemps. Mais je vais t'enfermer dans le placard avec ta mamie ! Hahaha! fit-il avec un rire diabolique. »

Il l'attrapa rapidement, et au moment où il l'enfermait dans le placard où était la grand-mère, il entendit la police arriver avec les hélicoptères, des voitures, des motos et le père de Marine. Les policiers montèrent l'escalier et les autres véhicules restèrent dehors. Marine fut rassurée de voir toutes ces personnes. Thierry, le père de Marine expliqua à sa fille qu'après qu'elle soit partie, il avait entendu à la radio qu'un voleur s'était échappé d'une prison voisine, et rôdait dans Boulogne. Il avait été très inquiet pour elle et sa grand-mère.

Les policiers arrêtèrent le brigand et le renvoyèrent en prison.

Quant à Thierry et Marine, ils restèrent pour l'anniversaire de la grand-mère et dégustèrent ensemble le délicieux gâteau.

Mélissa Delos et Amandine Terral

André Le Noir

Il était une fois, en 2005, dans une période de grand froid, un jeune garçon appelé André et  âgé de 14 ans. Il habitait seul avec sa mère dans une maisonnette près d'un lac, dans un petit village de montagne nommé Viérac, entouré de prairies et de forêts. André était un petit garçon solitaire aux yeux noirs et aux cheveux châtains foncés. Il était toujours vêtu de noir. Ses amis avaient fini par l'appeler « André Le Noir », comme l'un de ses héros de bande dessinée préférés. Le père d'André avait disparu dans une terrible avalanche qui avait emporté la moitié du village, et son corps n'avait jamais été retrouvé. Mélanie, sa mère, qui élevait seule son garçon, travaillait dans un office de tourisme et avait énormément de travail.

Un jour, alors qu'il était en pleine partie de Mario Bros sur sa Wii et sur le point d'arriver en haut du poteau, sa maman l'interrompit. Elle lui demanda d'aller chercher un colis à la poste du village voisin pour son Père-Grand malade qui ne pouvait plus quitter son lit. A la poste, un gros colis l'attendait. Sa maman envoya un e-mail au Père-Grand pour lui signaler que son petit-fils André arrivait en moto neige.

Alors qu'il était sur sa moto neige, il fut attaqué par un yéti colossale qui lui demanda où il allait. Le yéti lui dit de prendre le chemin de gauche, car il cherchait à le tromper. André s'engouffra dans le chemin indiqué par le yéti, mais la neige était fraîche, non damée et sa moto neige resta coincée. Pendant ce temps, le yéti courut le plus vite possible pour arriver le premier à la maison du Père-Grand et le dévorer. Devant la maison, le yéti sonna et le Père-Grand lui dit : « Tape le code 913175211 et ouvre toi-même ». Le yéti entra, passa devant la cheminée allumée et s'arrêta. André, encore dans la forêt, entendit son Père-Grand crier. Alors, il se dépêcha d'arriver devant la maison et ouvrit la porte brusquement, en donnant un grand coup de pied.

André Le Noir vit son Père-Grand bien au fond de son lit douillet, à côté d'un énorme monstre, sans poil, devant la cheminée, un tas de poil à ses pieds. André Le Noir ne le reconnut pas. Le Yéti avait perdu ses poils car il craignait la chaleur. Le yéti, se sentant ridicule, s'enfuit par la fenêtre, en criant : « MES POILS, MES POILS !!! ». Il trébucha sur un énorme glaçon. André Le Noir regarda le yéti s'enfuir, le vit tomber et sortit de la maison pour découvrir un homme congelé.

André Le Noir installa confortablement l'homme congelé devant la cheminée. Le glaçon fondit et André remarqua que c'était son père. Tout content, André appela sa mère pour la prévenir. Mais André avait oublié le colis sur la moto neige. Il alla vite le chercher et le donna à son Père-Grand. Le colis, contenant la dernière version de PS3, le Père-Grand, le père et André s'amusèrent toute la nuit jusqu'à l'aube.

FIN

Jules de Pastors et  Milan Coquerel

Le Grand Gilet Noir

 

   Il était une fois, en 2050, à Monaco, dans la villa Marina située à côté du casino Boulevard Louis II, un garçon de douze ans appelé « Le Grand Gilet Noir ». Ce surnom lui venait de ce gilet bien trop grand pour lui, qu’il portait tout le , tricoté par sa grand-mère.

   Il était brun, il avait les yeux marron vert, c’était un garçon aimable, poli et très serviable. Tout le monde l’aimait car il avait une grand-mère très populaire. En effet, celle-ci avait trois cents ans et était une vraie célébrité dans son quartier. Son secret était de prendre des gélules qui lui permettaient de vivre pratiquement éternellement.

   Un jour, sa mère qui était blonde aux yeux bleus, calme, polie et gentille, lui donna une ordonnance et lui dit :

«Passe à la pharmacie et apporte ces médicaments à ta grand-mère. Ce sont des gélules de prolongation de vie qui lui permettent ainsi de vivre jusqu’à aujourd’hui. Mais ne passe pas par La rue des longs couteaux, c’est un véritable coupe-gorge ce n’est pas un endroit pour toi, c’est bien trop dangereux. »

    Le Grand Gilet Noir se hâta pour aller à la pharmacie qui se trouvait non loin de chez lui. Il prit le bus, composta son billet et s’assit. A côté de lui se trouvait Joe La fripouille, un véritable gangster qui lui demanda aussitôt :

    «  Qui es-tu ? Où vas-tu ainsi ?

-  Je suis Le Grand Gilet noir et je vais à la pharmacie pour acheter des gélules de prolongation de vie à ma Grand- Mère. Vous la connaissez peut-être, c’est Mamie La forme, elle est très célèbre dans le quartier. Mais pourquoi me posez-vous toutes ces questions Monsieur ?

-        Pour parler, rien d’autre. »

    Joe La fripouille sortit le premier du bus et se précipita à la pharmacie, car il avait dans l’idée de dépouiller la brave femme.

En entrant il demanda les gélules au pharmacien qui lui donna.

Joe La fripouille partit directement chez la grand-mère dont il connaissait l’adresse.

Entre temps, Le Grand Gilet Noir était arrivé à la pharmacie et avait appris que les dernières gélules avaient été vendues.

Dépité,il acheta en remplacement de la vitamine c et partit chez sa grand-Mère.

Quand Joe La Fripouille arriva chez la grand-mère, il frappa à la porte.

« Salut Grand-mère, c’est ton petit fils, Le Grand Gilet Noir. Je t’ai apporté tes gélules de prolongation de vie.

-     Entre mon chéri, je suis en train de faire de la Wii. »

    Joe La Fripouille entra puisqu’il avait réussi à se faire passer pour son petit fils. La grand-mère qui était en pleine partie ne fit pas attention à lui. Joe sortit de sa poche un mouchoir imbibé de somnifère et lui mit sur la bouche, elle s’endormit aussitôt. Il prit ses habits, se maquilla la figure pour tenter de lui ressembler.

Le Grand Gilet Noir arriva et toqua.

    « Appuie sur le bouton, la porte s’ouvrira.

   -  Coucou mamie, c’est moi."

Le garçon s’interrogea sur la tête de sa mamie.

   - " Comme tu ressembles à papi !

      Comme ta barbe a poussé !

      Comme tu as pris du ventre !

      Comme tu as … »

   - Non, mais tu te fiches de moi !

   - Oh, oh, je crois vous reconnaître, vous étiez dans le bus à côté de moi, tout à l’heure.

    - Je suis Joe La fripouille !!!

    - Oups…Au secours, Joe est là! »

Ils commencèrent à se battre et Le Grand Gilet Noir  tomba à terre évanoui.

Joe s’enfuit de la maison avec la boîte de gélules de longévité qu’il comptait bien revendre au marché noir.

Un policier qui faisait sa ronde, avait entendu les appels du Grand Gilet Noir et débarqua aussitôt.

Il le fit tomber d’un coup de taser et lui passa les menottes. Ensuite, il pénétra dans la maison et réanima la grand-mère et son petit fils.

    Le Grand Gilet Noir fouilla dans les poches de Joe et prit les gélules qu’il put donner à sa mamie.

Celle-ci en prit une tout de suite pour se remettre de ses émotions. Joe la Fripouille alla en prison jusqu’à la fin de ses jours.

 

 

 

                                   Thomas et Mathys

Jeannifer

Il était une fois en 2012, à Viroflay, une petite fille qui avait onze ans, les cheveux blonds légèrement bouclés, les yeux bleus, la peau blanche comme la neige. Tout le monde la prénommait Jeannifer car elle portait tout le temps des jeans ! Elle était toujours vêtue d’un tee-shirt jaune et mettait des boucles d’oreille en forme de moustaches. Elle était magnifique. Ses parents étaient divorcés et elle devait aller chez son père une semaine sur deux. Cette histoire se déroulait chez sa mère, au coin de l’avenue du Général Leclerc, au bâtiment B, au 16ème étage Sa mère était également blonde aux yeux bleus et avait la peau blanche comme sa fille. Sa meilleure amie s’appelait Lara ; elle était brune avec une frange, les yeux marrons, des lunettes et avait toujours son écharpe. Elle était très gentille et elle habitait dans le village d’à côté. Jeannifer devait beaucoup rouler en trottinettepour aller la voir.

Ce jour-là,  elle voulut rendre visite à Lara pour lui apporter une pizza avec un petit pot de sauce piquante. Elle dut y aller car son amie avait de la fièvre. Mais elle n’était pas sure que ce soit son plat préféré. La mère de Jennifer dit à sa fille :

-"Ce n’est pas grave si tu te trompes pour le plat, c’est l’intention qui compte et surtout ne parle pas aux inconnus sur la route."

Elle partit donc en fermant la porte et en chantant à tue–tête. En traversant la ville, elle recroisa un clown qui eut bien envie de lui donner une bonne leçon. En effet, l’autre jour dans la ville, Jeannifer et Lara s’étaient moquées de lui. Mais il préféra attendre avant de se venger à cause des passants qui se promenaient dans la rue. Il lui demanda où elle allait.

La pauvre fille qui était excitée à l’idée de voir son amie oublia les conseils de sa mère et lui dit :

"-   Je vais voir ma meilleure amie et lui apporter une pizza et un petit pot de sauce piquante.

 Et où habite-t-elle ta copine ? dit le clown.

-   Elle habite  à Chaville dans la résidence des Cœurs boisés.

-   Et bien, dit le clown, quelle coïncidence ! Je dois moi aussi me rendre là-bas dans la même résidence pour jouer mon spectacle. Tu peux venir dans trente minutes comme ça tu me verras faire un spectacle et tu pourras aussi inviter Lara. Ne viens pas trop tôt, sinon tu verras toute ma préparation et je n’aurai plus de secret. Passe par cette rue ce sera plus long et comme ça j’aurai le temps de tout préparer. A tout à l’heure !"

Et ils partirent chacun de leur côté .Le clown prit sa voiture et partit par la route la plus courte. Jeannifer prit tout son temps : elle s’arrêta pour regarder les vitrines des magasins de vêtement et sentir la bonne odeur des boulangeries. Le clown ne mit pas longtemps à arriver à la résidence des Cœurs boisés. Il sonna :

"- Qui est là ?" dit une voix.

Le clown prit une grosse inspiration et imita la voix de Jeannifer :

-"C’est Jeannifer ! Ouvre la porte je viens t’apporter de quoi manger.

- Ok, dit Lara, tape le code, appuie sur le bouton et la porte s’ouvrira.

-    Peux-tu me le redire?  Je l’ai oublié.

-   Oui c’est : 0121.

Le clown tapa le code, appuya sur le bouton et la porte s’ouvrit. Il entra dans le bâtiment. Une fois à l’intérieur, l’homme au nez rouge alla préparer un piège pour les fillettes.

Au bout d’un quart d’heure, s’inquiétant de ne pas voir son amie arriver, Lara descendit. Le clown, qui était en train de jongler, lui lança une quille sur la tête, ce qui la fit tomber par terre. Il rentra dans l’appartement. Devant lui, le salon avec un écran plat de 80 cm, un canapé en cuir, et le couloir menant aux chambres. Il rentra dans la chambre de Lara en la traînant par terre, la ficela et la cacha dans le dressing. Il prépara ensuite l’autre piège pour Jeannifer, et se cacha .Quelques minutes après, Jeannifer vint sonner.

"- Bip Bip Bip …

-  Qui est là?"

Jeannifer, qui entendit la voix très grave du clown, eut un peu peur, mais croyant que sa meilleure amie avait aussi un gros rhume, lui répondit :

-C’est Jeannifer. Je t’apporte une pizza et le petit pot de sauce piquante qui va avec.

-  Tape le code : 0121, appuie sur le bouton et la porte s’ouvrira !" dit le clown qui avait pris la voix douce et mélodieuse de Lara.

La porte s’ouvrit. Le clown la voyant entrer, lui dit tout en restant caché dans le haut d’un lit superposé :

-   "Mets la pizza et le petit pot de sauce piquante sur le bureau et viens t’allonger avec moi."

Jeannifer enleva son manteau, et alla rejoindre la voix, croyant que c’était sa copine. Elle lui dit :

-  Lara que tu as un gros nez !

-   C’est pour mieux te sentir, Jeannifer.

-  Lara que tu as de grands yeux !

-  C’est pour mieux te regarder, Jeannifer.

-  Lara que tu as de grands pieds !

-  C’est pour mieux marcher, Jeannifer.

-  Lara, que tu as des grandes mains !

-  C’est pour mieux t’attraper, Jeannifer !

-  Lara, qu’as-tu dans la main ?

-  C’est une quille pour t’assommer, Jeannifer !"

Et, en disant ces mots, ce méchant clown pris la massue et asséna un coup … dans le vide. Pendant ce temps-là, Jeannifer descendit du lit et partit en courant. Malheureusement elle trébucha sur la massue que le clown avait fait tomber. De son côté, le clown perdit l’équilibre, tomba sur Jeannifer et finit ainsi par l’assommer !

 Manon PERRON et Mathilde BLEJA

Le Petit Rappeur Rouge

Il était un jour un petit garçon de Viroflay, le plus beau qu’on ait vu ; son père était fou de son rap et, son grand-père lui n’entendait rien. Ce bon monsieur lui offrit un platine disque rouge, il savait si bien s’en servir qu’on l’appelait le Petit Rappeur rouge.

  Un jour, son père ayant fabriqué un appareil auditif, lui dit : « va voir comment se porte ton grand-père, car on m’a dit qu’il n’entendait vraiment rien, amène-lui cet appareil auditif. » Le Petit Rappeur rouge partit aussitôt pour se rendre chez son grand-père, qui habitait dans une autre ville. Dans la rue il rencontra un étrange monsieur, qui aurait bien voulu voler ce qu’il devait apporter à son grand-père; mais il ne le fit pas à cause des personnes dans la rue. Il lui demanda où il allait ; l’enfant qui était naïf, lui dit : « je vais voir mon grand-père pour lui porter l’engin électronique que mon père a fabriqué. 

-Est-ce qu’il habite loin d’ici l’vieux ? lui dit l’homme louche.

-Oui, mec, c’est derrière le vendeur de cigarettes électroniques que tu vois tout là-bas !

-Alors je vais aller le voir avec toi pour t’aider, dit l’étrange personne. J’y vais par ce boulevard et, toi va m’acheter des cigarettes et nous nous retrouverons chez lui ».

  L’homme se mit à courir comme un fou pour être le premier. Pendant ce temps le petit acheta 3 packs de cigarettes. L’homme arriva le premier et frappa à la porte: Toc ! Toc !

« C’est qui !?

– c’est moi papy ! dit l’imposteur. Je t’apporte ton appareil ». La personne âgée répondit :

« hein !? Appuie sur le bouton du digicode et la porte s’ouvrira ».

L'homme entra et vola tout ce qu’il trouva de beau et qui valait de l’argent, puisqu’en ce moment il n’avait pas d’argent. Ensuite il alla se cacher et attendit l’arrivée du rappeur; le grand-père lui, ne se doutait de rien car il était aux toilettes. Le petit arriva avec les cigarettes dans la main : « Pépé c’est moi !

L’homme dit : Appuie sur le bouton du digicode et la porte s’ouvrira ». Le petit appuya sur le bouton et la porte s’ouvrit.

L’étrange personne, le voyant entrer, lui dit en se cachant derrière une plante : « Mets l’appareil auditif dans l’armoire, je le récupérerai. Maintenant vient voir derrière la plante ». Le petit y alla. Tout à coup, l’homme prit son couteau suisse et tua l’enfant. Quand le pépé sortit des toilettes, il le tua aussi et partit avec l’argent, les objets précieux et les cigarettes.

Adrian Riet-Longuet et Fabien Morel  6°2                 

 

LE PETIT BLAGUEUR

Il était une fois en 2009, un jeune garçon de 11 ans qui s’appelait Clément. Il était gentil, il avait les cheveux bruns et les yeux bleus. Il était très populaire dans son école car il faisait toujours rire les enfants avec ses blagues qu’il allait chercher sur internet. Tous le surnommaient « le petit blagueur ». Clément habitait avec sa mère dans un petit appartement très confortable au 12, rue des Marais à Chaville. Elle était toujours joyeuse, avait les cheveux bruns, les yeux bleus et aimait faire plaisir à son fils.

Clément faisait ses devoirs quand il prit son agenda et vit que la fête des mères était le lendemain. Voulant faire plaisir à sa mère en lui achetant le bijou qu’elle avait vu dans la vitrine et qui lui plaisait beaucoup, Clément lui demanda s’il pouvait aller au centre commercial pour faire une course au supermarché. Sa mère accepta, mais elle lui dit: « D’accord, mais, vas-y avec ta grand-mère". Alors, elle prit le téléphone pour lui demander si elle voulait bien accompagner Clément:

- «Bonjour, Maman, dit sa mère. Je t’ai acheté des biscottes pour ton petit déjeuner et Clément souhaite aller au Centre Commercial. Peux-tu l’accompagner ? »

Sa grand-mère toujours d’accord pour se promener lui répondit :

- «Merci pour les biscottes et c’est avec plaisir que j’accompagnerais Clément ».

Après avoir raccroché, sa mère lui dit : « Tu peux y aller, mais fais attention pour traverser et ne traîne pas dans la rue ».

- «Ne t’inquiète pas, je connais le chemin et je ne m’arrêterai pas sur la route, répondit Clément, je prends les biscottes pour mamie». Il retourna dans sa chambre pour attraper son sac à dos et son argent dans son tiroir et repartit aussitôt chercher sa mamie. Clément l’adorait parce qu’elle était très gentille. Elle était aussi très sportive car elle avait remporté les Jeux Olympique de course à pieds en 1945. Elle était toujours bien habillée, elle avait les cheveux blancs et les yeux marron.

Sur la route Clément aperçut un individu bizarre, qui était gros, avec une barbe et des vêtements sales. Il s’approcha de Clément et lui dit: «où vas-tu mon petit? » Clément lui répondit:
« - Je vais chez ma grand mère pour aller au centre commercial .

Le monsieur bizarre dit :

- Ah oui ! et où habite ta grand-mère ?

- Elle n’habite pas très loin, de l’autre côté de l’avenue au 5 avenue des Rois."

Clément continua sa route pour aller chercher sa grand-mère et le monsieur bizarre partit en courant. Le type bizarre alla jusqu’à la maison de la grand-mère et appuya sur la sonnette. La grand-mère savait que Clément devait venir, elle dit : « Entre Clément, je suis dans la chambre, je termine de me préparer. »

Alors, il entra dans la maison et à l’aide d’une matraque, il lui donna un gros coup sur la tête qui assomma la grand-mère. Il vola tous les bijoux et l’argent qui étaient sur la commode de la chambre et prit tout ce qu’il put trouver d’intéressant. Cinq minutes plus tard, Clément arriva chez sa grand-mère et vit la porte légèrement ouverte. Il frappa à la porte et dit :

« - Bonjour mamie, c’est Clément, je viens te chercher pour aller au centre Commercial et je te ramène les biscottes. » Il entendit une drôle de voix lui dire : « Entre, mon petit. Je suis dans la chambre ; je termine de me préparer ».

L’homme se cacha dans la penderie de la chambre pour se déguiser avec les affaires de la mamie. Il prit une robe qu’il enfila vite pas la tête. Clément vit son dos et dit :

- « Grand-mère, que vous avez de grandes jambes !

– C’est pour mieux courir, Clément.

- Grand-mère, que vous avez un gros bâton!

– C’est pour mieux t’assommer Clément."

Et en disant cela, l’homme se jeta sur Clément et lui mit un grand coup de matraque sur la tête.

Jordan Naulot 6eme2

Le Petit Mario Rouge

           Il était une fois un petit garçon qui habitait dans une capitale, le plus grand mangeur qui existait; sa mère une rockeuse très connue adorait manger avec lui et sa grand-mère qui était une ancienne grande championne de course de 100 adorait encore plus manger avec le petit garçon. Sa mère lui avait acheté un habit à Carrefour Market qui ressemblait à la panoplie de Mario. Et il la portait toujours. Depuis, on l’appellait le petit Mario rouge.

          Un jour, sa mère ayant acheté deux quiches Lorraine avec son supplément de sauce harissa super, méga, supra piquante, lui dit : « Va donner ces deux quiches lorraine à ta grand-mère pour calmer sa crise de foie. Elle n’a pas mangé de quiche lorrainedepuis cinq jours. » Le petit Mario Rouge  partit chez sa grand-mère qui était à l’autre  bout de la ville.
En passant dans une rue, il rencontra l’un des anciens coaches d’une équipe perdante de corse. Cette équipe était rivale de la grand-mère. Le coach lui dit : « Ça te dit de partirmanger méga supra, piquante chez ta grand-mère? » Il savait que petit  Mario allait chez sa grand-mère qui avait une crise de foie en écoutant les infos. Et le patron rajouta: " En attendant que tu ailles chez ta grand-mère, je cherche deux quiches lorraine à la boulangerie". Le coach alors prit sa voiture de sport et partit. Le Petit Mario Rouge admirait les voitures, les vitrines des marchands de jouets, se léchait les babines devant les restaurants et parlait avec les copains. Le coach ne mit pas beaucoup de temps pour arriver (13 min et 9 sec). Il toqua à la porte : Toc-Toc. La grand-mère lui répondit:
- « Qui est là ?
-  C’est le petit Mario rouge, dit-il avec son syntoniseur de poche, qui vous amène les deux quiches lorraine avec son supplément de sauce harissa ultra, méga, supra piquante que ma mère vous envoie ».
 La bonne mère-grand qui était dans son lit parce que elle n’avait pas mangé de quiche lorraine avec son suppléant de sauce harissa ultra, méga supra, piquante depuis cinq heures, lui cria:  « Tire la clé de platine et la porte cherra ». Le patron tira la clé vu qu’il ne savait pas ce que voulait dire « cherra ». Alors, il vit la porte tomber à l’étage d’en dessous mais ne s’en souciant point, marcha jusqu’à la chambre de la grand-mère. Arrivé dans la chambre, il la ligota avec la  haine d’un diable. Ensuite, il reboucha l’entrée avec une armoire et alla dans le lit de la pauvre victime. Pendant ce temps le petit Mario rouge regardait les vitrines, papotait avec ses copains qui passaient dans la même rue. Arrivé,  le petit Mario rouge toqua : Toc-toc.
-« Qui est là ?» répondit le patron. Le petit Mario rouge prit peur en entendant la voix grave du patron puis se rassura en croyant que c’était son imagination .Il répondit:
- «c’est le petit Mario rouge  qui vous apporte une quiche lorraine avec son suppléant de sauce harissa  ultra, méga supra, piquant.
Le patron lui répondit en adoucissant un peu sa voix:
- Pousse l’armoire et tu pourras entrer ». 
Le petit Mario rouge fit ce que le patron lui avait dit de faire et le passage se dégagea.Le patron, le voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit:
- "Mets les 2 quiches lorraine avec son supplément de sauce harissa SUPER, MEGA, SUPRA PIQUANTE dans le frigo. Et vient jouer avec moi à la Playstation dans ma chambre".
Le petit Mario rouge
enleva son manteau et mit les quiches lorraines dans le frigo. Puis il alla dans la chambre de la grand-mère. Il fut bien étonné de voir le physique de l’imposteur . Il dit :

- Que vous avez de grands bras!

- C’est pour mieux  te prendre dans mes bras.

- Que vous avez de grandes jambes !

- C’est pour mieux courir.

                                                                               

Que vous êtes bien habillé !

-C’est ma marque de beauté.

-Que vous avez de grandes cordes !

-C’est pour mieux te ligoter !Le petit Mario rougene pouvait rien faire sauf lancer sa part de quiche. Les policiers arrivèrent en quelques fractions de secondes dans la maison car ils avaient vu une quiche volante sortir de la maison de la championne : c’est très bizarre. Les policier arrêtèrent le patron puis libérèrent la grand-mère et le petit Mario rouge. Et c’est ainsi que la famille du héros fut heureuse jusqu’à la fin des temps. 

Briant Loïc 

Frescal Nathaniel                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

Canapia

 

                              Il était une fois un jeune couple qui n’attendait qu’une chose, c’était d’avoir un enfant ! Un jour enfin, la femme fut enceinte. Neuf mois passèrent et la dame mit une petite fille au monde, prénommée Canapia ! L’enfant avait les yeux bleus, était rousse, et avait la peau très claire. Les parents étaient très heureux, mais la mère tomba malade et elle mourut. Plusieurs années passèrent, et la fillette avait maintenant dix ans. Cette année-là, le père se maria avec une autre femme qui avait déjà deux filles. Mais cette femme était au chômage, et vivait dans un pauvre petit appartement. Elle était sévère et désagréable. Le père et sa nouvelle compagne s’aimaient tellement qu’ils décidèrent d’habiter ensemble, dans l’appartement à Paris, rue Cauchy, accompagnés des deux fillettes. Canapia n’avait pas de chambre, et dormait dans le salon, sur un canapé-lit. Tandis que les deux sœurs avaient des chambres agréables et confortables, avec des écrans plats, des poufs et des étagères remplis de tenues chics et coûteuses. Mais la jeune fille pensait souvent à sa maman et elle n’appréciait pas sa belle-mère car celle-ci chouchoutait ses deux filles. Elle avait du mal à s’adapter à sa nouvelle famille, et quand elle revenait du collège, sa belle-mère lui sautait aussitôt dessus, pour lui demander de mettre le linge dans le panier à lessive, et de ranger les chambres de ses sœurs.

                             Un soir, quand elles revinrent du collège, Les sœurs annoncèrent toutes les trois à leur mère qu’il y allait avoir une boum  au collège pendant plusieurs soirées. Quand Canapia croisa la directrice du collège ce midi, elle lui dit qu’elle savait d’avance qu’elle ne pourrait pas aller au bal, car sa belle-mère lui avait demandé de ranger la maison. Ce que les filles ne savaient pas, c’était que toutes les trois étaient tombées amoureuses du même garçon, et qu’elles espéraient se retrouver dans les bras du jeune homme.

 

                              Le soir même de la boum, Canapia aida ses sœurs à se préparer, les deux sœurs se disputaient pour deux tenues, la première était un bustier rose à paillettes, et la deuxième était une robe de soie rouge et blanche. Une fois les deux sœurs parties à la boum, la jeune fille resta toute seule dans sa chambre, et s’assit au bord de sa fenêtre, triste de ne pas pouvoir sortir. Tout à coup, elle aperçut une voiture s’arrêter devant chez elle, alors elle descendit, sortit, et vit que c’était la directrice ! Elle lui demanda pourquoi elle était venue. La directrice lui expliqua que c’était le moment ou jamais d’aller au bal, et qu’il ne fallait pas rester toute seule ce soir-là. La directrice lui avait amené une jolie robe, du maquillage, et quelques petits accessoires. Mais la voiture pour aller au bal, tomba en panne. Elle appela aussitôt un taxi ! Le taxi arriva, elles montèrent toutes les deux dedans, et la directrice se mit à expliquer à Canapia qu’il fallait absolument rentrer du bal après minuit sinon sa belle-mère allait découvrir son absence. Canapia entra dans le bal et se mit à danser. Tout à coup, elle aperçut le garçon dont elle était tombée amoureuse. Ils se regardèrent, s’approchèrent l’un de l’autre, et dansèrent ensemble. Au bout de plusieurs slows, il offrit une bague à Canapia ! A côté, ses sœurs étaient jalouses de la voir avec le garçon dont elles étaient elles aussi tombées amoureuses. Canapia rentra chez elle car il était bientôt minuit. Elle dit au revoir au garçon et partit.

                              Le lendemain, au second bal, elle y retrouva son cavalier pour danser avec lui, mais  minuit arriva si vite que Canapia fut obligée de repartir chez elle. A son retour, la bague glissa de son doigt sans qu’elle ne s’en rende compte. Quelques heures plus tard, ce fut vraiment la fin du bal et chaque collégien rentra chez lui.

                            Le prince charmant de Canapia trouva au sol la bague qu’il lui avait offerte, et il lui courut après avant qu’il ne l’a perde de vue. Il lui rendit la bague. Canapia était toute heureuse, et l’embrassa.

                                   Ils se retrouvèrent au collège. Et c’est depuis ce jour que leur histoire d’amour devint officielle. Canapia alla tout de même remercier infiniment la directrice du collège. Et enfin, elle finit par se réconcilier avec ses sœurs et sa belle-mère, en leur pardonnant de tous leur mauvais traitement. Et plusieurs années plus tard, elle annonça à sa famille qu’elle allait se marier et partir vivre loin d’ici.File:Épinal - Cendrillon 10.jpg

Bénédicte Martin et Ibtissème Oubraim 6è2

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