TEXTES DES ELEVES 2013-2014 › Contes parodiques des 6e2: Le Petit Chaperon Rouge

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20 janvier 2014

La Petite Schtroumphette

Il était une fois, une petite fille appelée Marine, mais toutes les personnes qui la voyaient, la nommaient « La Petite Schtroumphette » car elle s’habillait toujours avec un leggins bleu, une tunique bleue, un foulard bleu et des ballerines bleues. Elle habitait au 17 rue Joseph Bertrand, à Viroflay, à cinq minutes de l’école Aulnette. Ses parents étaient divorcés, elle vivait la semaine chez sa mère à Chaville, et le week-end chez son père à Viroflay.

Un jour, son père lui demanda d’aller chez sa grand-mère pour lui fêter son anniversaire car il n’était pas disponible. Elle devait lui apporter un gâteau au chocolat fait maison. La pauvre vieille dame habitait à Boulogne. Cette ville était à un quart d’heure en voiture de Viroflay. La grand-mère de Marine était très riche.

Marine devait prendre un chemin très précis: elle devait marcher 15 minutes pour aller à l’arrêt de bus de Viroflay et attraper le Phébus de 15h32 qui se rendait à Boulogne. Pour l’occasion, Marine se mit au poignet un bracelet tout en diamant, que lui avait offert sa grand-mère. La Petite Schtroumphette partit donc de chez elle avec dans son sac, la pâtisserie et deux tickets de bus (un pour l’allée et un pour le retour). Son père la prévint de ne parler a personne. Pendant le trajet, Marine passa par une rue très sombre et qui faisait peur. Mais elle fut rassurée en voyant qu’il y avait des travaux, et que les personnes qui travaillaient lui semblaient honnêtes. Un voleur recherché par la police, vit le bracelet en diamant que portait Marine, et alla lui parler. Il lui dit:

"- Que fais-tu petite fille ?

- Un: je ne suis pas petite! Deux: je vous parle! dit Marine agacée.

- Où vas-tu? demanda-t-il.

- Je vais au 18 rue Square du Pont de Sèvres, à Boulogne. Je rends visite à ma grand-mère pour son anniversaire, répondit Marine .

Et sans dire au revoir, le voleur s’en alla. Il avait dans l’idée de cambrioler cet appartement, alors il se dépêcha. De son côté, Marine continua son chemin et arriva à l’arrêt de bus. Elle se dit qu’elle n’avait pas respecté ce que lui avait dit son père et douta un peu de ce monsieur. Le voleur prit sa moto, grilla deux feux rouges et arriva chez la vieille dame. Il appuya sur l’interrupteur du hall de l’appartement et entra. Le voleur monta cinq étages pour atteindre une porte avec un gros diamant. Le cambrioleur se dit que c’était là. Il toqua, et la grand-mère dit:

"- Qui est-ce?

- Bah, c’est moi, dit le voleur sur un ton aigu.

- D’accord Marine, je t’ouvre," dit la vieille dame.

La grand-mère, tellement heureuse que sa petite fille ait  pensé à son anniversaire, fut très surprise de trouver à la place un monsieur terrifiant. Ce dernier l' enferma dans un placard et mit un cadenas. Le cambrioleur attendit Marine. Celle-ci arriva devant l'immeuble. Elle entra dans le hall et sonna. Le voleur lui répondit:

« - Qui est-ce ?

- C'est moi, ta petite fille ! dit Marine.

- D'accord, tu peux entrer, » dit le méchant monsieur. 

Le cambrioleur mit des habits de la grand-mère et se cacha derrière un fauteuil placé dans un coin du salon. Marine monta les cinq étages, arriva devant la porte et entra. La pièce était déserte. Pas un bruit, pas un souffle. Seulement un  Bzzzzzzzzz. que faisait une mouche qui volait .Marine ne vit personne et dit :

- « Grand-mère où êtes-vous ? »

Le voleur déguisé, sortit de sa cachette. Marine s'exclama :

« - Oh ! Que vous avez de gros muscles ! dit-elle.

- C'est pour mieux te serrer mon enfant, répondit-il.

- Oh! Que vous avez de grandes jambes! répondit-elle.

- C'est pour mieux courir mon enfant! dit le voleur.

- Oh ! grand-mère... Depuis quand avez-vous un percing ? »

- Euh... ça ne fait pas longtemps. Mais je vais t'enfermer dans le placard avec ta mamie ! Hahaha! fit-il avec un rire diabolique. »

Il l'attrapa rapidement, et au moment où il l'enfermait dans le placard où était la grand-mère, il entendit la police arriver avec les hélicoptères, des voitures, des motos et le père de Marine. Les policiers montèrent l'escalier et les autres véhicules restèrent dehors. Marine fut rassurée de voir toutes ces personnes. Thierry, le père de Marine expliqua à sa fille qu'après qu'elle soit partie, il avait entendu à la radio qu'un voleur s'était échappé d'une prison voisine, et rôdait dans Boulogne. Il avait été très inquiet pour elle et sa grand-mère.

Les policiers arrêtèrent le brigand et le renvoyèrent en prison.

Quant à Thierry et Marine, ils restèrent pour l'anniversaire de la grand-mère et dégustèrent ensemble le délicieux gâteau.

Mélissa Delos et Amandine Terral

André Le Noir

Il était une fois, en 2005, dans une période de grand froid, un jeune garçon appelé André et  âgé de 14 ans. Il habitait seul avec sa mère dans une maisonnette près d'un lac, dans un petit village de montagne nommé Viérac, entouré de prairies et de forêts. André était un petit garçon solitaire aux yeux noirs et aux cheveux châtains foncés. Il était toujours vêtu de noir. Ses amis avaient fini par l'appeler « André Le Noir », comme l'un de ses héros de bande dessinée préférés. Le père d'André avait disparu dans une terrible avalanche qui avait emporté la moitié du village, et son corps n'avait jamais été retrouvé. Mélanie, sa mère, qui élevait seule son garçon, travaillait dans un office de tourisme et avait énormément de travail.

Un jour, alors qu'il était en pleine partie de Mario Bros sur sa Wii et sur le point d'arriver en haut du poteau, sa maman l'interrompit. Elle lui demanda d'aller chercher un colis à la poste du village voisin pour son Père-Grand malade qui ne pouvait plus quitter son lit. A la poste, un gros colis l'attendait. Sa maman envoya un e-mail au Père-Grand pour lui signaler que son petit-fils André arrivait en moto neige.

Alors qu'il était sur sa moto neige, il fut attaqué par un yéti colossale qui lui demanda où il allait. Le yéti lui dit de prendre le chemin de gauche, car il cherchait à le tromper. André s'engouffra dans le chemin indiqué par le yéti, mais la neige était fraîche, non damée et sa moto neige resta coincée. Pendant ce temps, le yéti courut le plus vite possible pour arriver le premier à la maison du Père-Grand et le dévorer. Devant la maison, le yéti sonna et le Père-Grand lui dit : « Tape le code 913175211 et ouvre toi-même ». Le yéti entra, passa devant la cheminée allumée et s'arrêta. André, encore dans la forêt, entendit son Père-Grand crier. Alors, il se dépêcha d'arriver devant la maison et ouvrit la porte brusquement, en donnant un grand coup de pied.

André Le Noir vit son Père-Grand bien au fond de son lit douillet, à côté d'un énorme monstre, sans poil, devant la cheminée, un tas de poil à ses pieds. André Le Noir ne le reconnut pas. Le Yéti avait perdu ses poils car il craignait la chaleur. Le yéti, se sentant ridicule, s'enfuit par la fenêtre, en criant : « MES POILS, MES POILS !!! ». Il trébucha sur un énorme glaçon. André Le Noir regarda le yéti s'enfuir, le vit tomber et sortit de la maison pour découvrir un homme congelé.

André Le Noir installa confortablement l'homme congelé devant la cheminée. Le glaçon fondit et André remarqua que c'était son père. Tout content, André appela sa mère pour la prévenir. Mais André avait oublié le colis sur la moto neige. Il alla vite le chercher et le donna à son Père-Grand. Le colis, contenant la dernière version de PS3, le Père-Grand, le père et André s'amusèrent toute la nuit jusqu'à l'aube.

FIN

Jules de Pastors et  Milan Coquerel

Le Grand Gilet Noir

 

   Il était une fois, en 2050, à Monaco, dans la villa Marina située à côté du casino Boulevard Louis II, un garçon de douze ans appelé « Le Grand Gilet Noir ». Ce surnom lui venait de ce gilet bien trop grand pour lui, qu’il portait tout le , tricoté par sa grand-mère.

   Il était brun, il avait les yeux marron vert, c’était un garçon aimable, poli et très serviable. Tout le monde l’aimait car il avait une grand-mère très populaire. En effet, celle-ci avait trois cents ans et était une vraie célébrité dans son quartier. Son secret était de prendre des gélules qui lui permettaient de vivre pratiquement éternellement.

   Un jour, sa mère qui était blonde aux yeux bleus, calme, polie et gentille, lui donna une ordonnance et lui dit :

«Passe à la pharmacie et apporte ces médicaments à ta grand-mère. Ce sont des gélules de prolongation de vie qui lui permettent ainsi de vivre jusqu’à aujourd’hui. Mais ne passe pas par La rue des longs couteaux, c’est un véritable coupe-gorge ce n’est pas un endroit pour toi, c’est bien trop dangereux. »

    Le Grand Gilet Noir se hâta pour aller à la pharmacie qui se trouvait non loin de chez lui. Il prit le bus, composta son billet et s’assit. A côté de lui se trouvait Joe La fripouille, un véritable gangster qui lui demanda aussitôt :

    «  Qui es-tu ? Où vas-tu ainsi ?

-  Je suis Le Grand Gilet noir et je vais à la pharmacie pour acheter des gélules de prolongation de vie à ma Grand- Mère. Vous la connaissez peut-être, c’est Mamie La forme, elle est très célèbre dans le quartier. Mais pourquoi me posez-vous toutes ces questions Monsieur ?

-        Pour parler, rien d’autre. »

    Joe La fripouille sortit le premier du bus et se précipita à la pharmacie, car il avait dans l’idée de dépouiller la brave femme.

En entrant il demanda les gélules au pharmacien qui lui donna.

Joe La fripouille partit directement chez la grand-mère dont il connaissait l’adresse.

Entre temps, Le Grand Gilet Noir était arrivé à la pharmacie et avait appris que les dernières gélules avaient été vendues.

Dépité,il acheta en remplacement de la vitamine c et partit chez sa grand-Mère.

Quand Joe La Fripouille arriva chez la grand-mère, il frappa à la porte.

« Salut Grand-mère, c’est ton petit fils, Le Grand Gilet Noir. Je t’ai apporté tes gélules de prolongation de vie.

-     Entre mon chéri, je suis en train de faire de la Wii. »

    Joe La Fripouille entra puisqu’il avait réussi à se faire passer pour son petit fils. La grand-mère qui était en pleine partie ne fit pas attention à lui. Joe sortit de sa poche un mouchoir imbibé de somnifère et lui mit sur la bouche, elle s’endormit aussitôt. Il prit ses habits, se maquilla la figure pour tenter de lui ressembler.

Le Grand Gilet Noir arriva et toqua.

    « Appuie sur le bouton, la porte s’ouvrira.

   -  Coucou mamie, c’est moi."

Le garçon s’interrogea sur la tête de sa mamie.

   - " Comme tu ressembles à papi !

      Comme ta barbe a poussé !

      Comme tu as pris du ventre !

      Comme tu as … »

   - Non, mais tu te fiches de moi !

   - Oh, oh, je crois vous reconnaître, vous étiez dans le bus à côté de moi, tout à l’heure.

    - Je suis Joe La fripouille !!!

    - Oups…Au secours, Joe est là! »

Ils commencèrent à se battre et Le Grand Gilet Noir  tomba à terre évanoui.

Joe s’enfuit de la maison avec la boîte de gélules de longévité qu’il comptait bien revendre au marché noir.

Un policier qui faisait sa ronde, avait entendu les appels du Grand Gilet Noir et débarqua aussitôt.

Il le fit tomber d’un coup de taser et lui passa les menottes. Ensuite, il pénétra dans la maison et réanima la grand-mère et son petit fils.

    Le Grand Gilet Noir fouilla dans les poches de Joe et prit les gélules qu’il put donner à sa mamie.

Celle-ci en prit une tout de suite pour se remettre de ses émotions. Joe la Fripouille alla en prison jusqu’à la fin de ses jours.

 

 

 

                                   Thomas et Mathys

Jeannifer

Il était une fois en 2012, à Viroflay, une petite fille qui avait onze ans, les cheveux blonds légèrement bouclés, les yeux bleus, la peau blanche comme la neige. Tout le monde la prénommait Jeannifer car elle portait tout le temps des jeans ! Elle était toujours vêtue d’un tee-shirt jaune et mettait des boucles d’oreille en forme de moustaches. Elle était magnifique. Ses parents étaient divorcés et elle devait aller chez son père une semaine sur deux. Cette histoire se déroulait chez sa mère, au coin de l’avenue du Général Leclerc, au bâtiment B, au 16ème étage Sa mère était également blonde aux yeux bleus et avait la peau blanche comme sa fille. Sa meilleure amie s’appelait Lara ; elle était brune avec une frange, les yeux marrons, des lunettes et avait toujours son écharpe. Elle était très gentille et elle habitait dans le village d’à côté. Jeannifer devait beaucoup rouler en trottinettepour aller la voir.

Ce jour-là,  elle voulut rendre visite à Lara pour lui apporter une pizza avec un petit pot de sauce piquante. Elle dut y aller car son amie avait de la fièvre. Mais elle n’était pas sure que ce soit son plat préféré. La mère de Jennifer dit à sa fille :

-"Ce n’est pas grave si tu te trompes pour le plat, c’est l’intention qui compte et surtout ne parle pas aux inconnus sur la route."

Elle partit donc en fermant la porte et en chantant à tue–tête. En traversant la ville, elle recroisa un clown qui eut bien envie de lui donner une bonne leçon. En effet, l’autre jour dans la ville, Jeannifer et Lara s’étaient moquées de lui. Mais il préféra attendre avant de se venger à cause des passants qui se promenaient dans la rue. Il lui demanda où elle allait.

La pauvre fille qui était excitée à l’idée de voir son amie oublia les conseils de sa mère et lui dit :

"-   Je vais voir ma meilleure amie et lui apporter une pizza et un petit pot de sauce piquante.

 Et où habite-t-elle ta copine ? dit le clown.

-   Elle habite  à Chaville dans la résidence des Cœurs boisés.

-   Et bien, dit le clown, quelle coïncidence ! Je dois moi aussi me rendre là-bas dans la même résidence pour jouer mon spectacle. Tu peux venir dans trente minutes comme ça tu me verras faire un spectacle et tu pourras aussi inviter Lara. Ne viens pas trop tôt, sinon tu verras toute ma préparation et je n’aurai plus de secret. Passe par cette rue ce sera plus long et comme ça j’aurai le temps de tout préparer. A tout à l’heure !"

Et ils partirent chacun de leur côté .Le clown prit sa voiture et partit par la route la plus courte. Jeannifer prit tout son temps : elle s’arrêta pour regarder les vitrines des magasins de vêtement et sentir la bonne odeur des boulangeries. Le clown ne mit pas longtemps à arriver à la résidence des Cœurs boisés. Il sonna :

"- Qui est là ?" dit une voix.

Le clown prit une grosse inspiration et imita la voix de Jeannifer :

-"C’est Jeannifer ! Ouvre la porte je viens t’apporter de quoi manger.

- Ok, dit Lara, tape le code, appuie sur le bouton et la porte s’ouvrira.

-    Peux-tu me le redire?  Je l’ai oublié.

-   Oui c’est : 0121.

Le clown tapa le code, appuya sur le bouton et la porte s’ouvrit. Il entra dans le bâtiment. Une fois à l’intérieur, l’homme au nez rouge alla préparer un piège pour les fillettes.

Au bout d’un quart d’heure, s’inquiétant de ne pas voir son amie arriver, Lara descendit. Le clown, qui était en train de jongler, lui lança une quille sur la tête, ce qui la fit tomber par terre. Il rentra dans l’appartement. Devant lui, le salon avec un écran plat de 80 cm, un canapé en cuir, et le couloir menant aux chambres. Il rentra dans la chambre de Lara en la traînant par terre, la ficela et la cacha dans le dressing. Il prépara ensuite l’autre piège pour Jeannifer, et se cacha .Quelques minutes après, Jeannifer vint sonner.

"- Bip Bip Bip …

-  Qui est là?"

Jeannifer, qui entendit la voix très grave du clown, eut un peu peur, mais croyant que sa meilleure amie avait aussi un gros rhume, lui répondit :

-C’est Jeannifer. Je t’apporte une pizza et le petit pot de sauce piquante qui va avec.

-  Tape le code : 0121, appuie sur le bouton et la porte s’ouvrira !" dit le clown qui avait pris la voix douce et mélodieuse de Lara.

La porte s’ouvrit. Le clown la voyant entrer, lui dit tout en restant caché dans le haut d’un lit superposé :

-   "Mets la pizza et le petit pot de sauce piquante sur le bureau et viens t’allonger avec moi."

Jeannifer enleva son manteau, et alla rejoindre la voix, croyant que c’était sa copine. Elle lui dit :

-  Lara que tu as un gros nez !

-   C’est pour mieux te sentir, Jeannifer.

-  Lara que tu as de grands yeux !

-  C’est pour mieux te regarder, Jeannifer.

-  Lara que tu as de grands pieds !

-  C’est pour mieux marcher, Jeannifer.

-  Lara, que tu as des grandes mains !

-  C’est pour mieux t’attraper, Jeannifer !

-  Lara, qu’as-tu dans la main ?

-  C’est une quille pour t’assommer, Jeannifer !"

Et, en disant ces mots, ce méchant clown pris la massue et asséna un coup … dans le vide. Pendant ce temps-là, Jeannifer descendit du lit et partit en courant. Malheureusement elle trébucha sur la massue que le clown avait fait tomber. De son côté, le clown perdit l’équilibre, tomba sur Jeannifer et finit ainsi par l’assommer !

 Manon PERRON et Mathilde BLEJA

Le Petit Rappeur Rouge

Il était un jour un petit garçon de Viroflay, le plus beau qu’on ait vu ; son père était fou de son rap et, son grand-père lui n’entendait rien. Ce bon monsieur lui offrit un platine disque rouge, il savait si bien s’en servir qu’on l’appelait le Petit Rappeur rouge.

  Un jour, son père ayant fabriqué un appareil auditif, lui dit : « va voir comment se porte ton grand-père, car on m’a dit qu’il n’entendait vraiment rien, amène-lui cet appareil auditif. » Le Petit Rappeur rouge partit aussitôt pour se rendre chez son grand-père, qui habitait dans une autre ville. Dans la rue il rencontra un étrange monsieur, qui aurait bien voulu voler ce qu’il devait apporter à son grand-père; mais il ne le fit pas à cause des personnes dans la rue. Il lui demanda où il allait ; l’enfant qui était naïf, lui dit : « je vais voir mon grand-père pour lui porter l’engin électronique que mon père a fabriqué. 

-Est-ce qu’il habite loin d’ici l’vieux ? lui dit l’homme louche.

-Oui, mec, c’est derrière le vendeur de cigarettes électroniques que tu vois tout là-bas !

-Alors je vais aller le voir avec toi pour t’aider, dit l’étrange personne. J’y vais par ce boulevard et, toi va m’acheter des cigarettes et nous nous retrouverons chez lui ».

  L’homme se mit à courir comme un fou pour être le premier. Pendant ce temps le petit acheta 3 packs de cigarettes. L’homme arriva le premier et frappa à la porte: Toc ! Toc !

« C’est qui !?

– c’est moi papy ! dit l’imposteur. Je t’apporte ton appareil ». La personne âgée répondit :

« hein !? Appuie sur le bouton du digicode et la porte s’ouvrira ».

L'homme entra et vola tout ce qu’il trouva de beau et qui valait de l’argent, puisqu’en ce moment il n’avait pas d’argent. Ensuite il alla se cacher et attendit l’arrivée du rappeur; le grand-père lui, ne se doutait de rien car il était aux toilettes. Le petit arriva avec les cigarettes dans la main : « Pépé c’est moi !

L’homme dit : Appuie sur le bouton du digicode et la porte s’ouvrira ». Le petit appuya sur le bouton et la porte s’ouvrit.

L’étrange personne, le voyant entrer, lui dit en se cachant derrière une plante : « Mets l’appareil auditif dans l’armoire, je le récupérerai. Maintenant vient voir derrière la plante ». Le petit y alla. Tout à coup, l’homme prit son couteau suisse et tua l’enfant. Quand le pépé sortit des toilettes, il le tua aussi et partit avec l’argent, les objets précieux et les cigarettes.

Adrian Riet-Longuet et Fabien Morel  6°2                 

 

LE PETIT BLAGUEUR

Il était une fois en 2009, un jeune garçon de 11 ans qui s’appelait Clément. Il était gentil, il avait les cheveux bruns et les yeux bleus. Il était très populaire dans son école car il faisait toujours rire les enfants avec ses blagues qu’il allait chercher sur internet. Tous le surnommaient « le petit blagueur ». Clément habitait avec sa mère dans un petit appartement très confortable au 12, rue des Marais à Chaville. Elle était toujours joyeuse, avait les cheveux bruns, les yeux bleus et aimait faire plaisir à son fils.

Clément faisait ses devoirs quand il prit son agenda et vit que la fête des mères était le lendemain. Voulant faire plaisir à sa mère en lui achetant le bijou qu’elle avait vu dans la vitrine et qui lui plaisait beaucoup, Clément lui demanda s’il pouvait aller au centre commercial pour faire une course au supermarché. Sa mère accepta, mais elle lui dit: « D’accord, mais, vas-y avec ta grand-mère". Alors, elle prit le téléphone pour lui demander si elle voulait bien accompagner Clément:

- «Bonjour, Maman, dit sa mère. Je t’ai acheté des biscottes pour ton petit déjeuner et Clément souhaite aller au Centre Commercial. Peux-tu l’accompagner ? »

Sa grand-mère toujours d’accord pour se promener lui répondit :

- «Merci pour les biscottes et c’est avec plaisir que j’accompagnerais Clément ».

Après avoir raccroché, sa mère lui dit : « Tu peux y aller, mais fais attention pour traverser et ne traîne pas dans la rue ».

- «Ne t’inquiète pas, je connais le chemin et je ne m’arrêterai pas sur la route, répondit Clément, je prends les biscottes pour mamie». Il retourna dans sa chambre pour attraper son sac à dos et son argent dans son tiroir et repartit aussitôt chercher sa mamie. Clément l’adorait parce qu’elle était très gentille. Elle était aussi très sportive car elle avait remporté les Jeux Olympique de course à pieds en 1945. Elle était toujours bien habillée, elle avait les cheveux blancs et les yeux marron.

Sur la route Clément aperçut un individu bizarre, qui était gros, avec une barbe et des vêtements sales. Il s’approcha de Clément et lui dit: «où vas-tu mon petit? » Clément lui répondit:
« - Je vais chez ma grand mère pour aller au centre commercial .

Le monsieur bizarre dit :

- Ah oui ! et où habite ta grand-mère ?

- Elle n’habite pas très loin, de l’autre côté de l’avenue au 5 avenue des Rois."

Clément continua sa route pour aller chercher sa grand-mère et le monsieur bizarre partit en courant. Le type bizarre alla jusqu’à la maison de la grand-mère et appuya sur la sonnette. La grand-mère savait que Clément devait venir, elle dit : « Entre Clément, je suis dans la chambre, je termine de me préparer. »

Alors, il entra dans la maison et à l’aide d’une matraque, il lui donna un gros coup sur la tête qui assomma la grand-mère. Il vola tous les bijoux et l’argent qui étaient sur la commode de la chambre et prit tout ce qu’il put trouver d’intéressant. Cinq minutes plus tard, Clément arriva chez sa grand-mère et vit la porte légèrement ouverte. Il frappa à la porte et dit :

« - Bonjour mamie, c’est Clément, je viens te chercher pour aller au centre Commercial et je te ramène les biscottes. » Il entendit une drôle de voix lui dire : « Entre, mon petit. Je suis dans la chambre ; je termine de me préparer ».

L’homme se cacha dans la penderie de la chambre pour se déguiser avec les affaires de la mamie. Il prit une robe qu’il enfila vite pas la tête. Clément vit son dos et dit :

- « Grand-mère, que vous avez de grandes jambes !

– C’est pour mieux courir, Clément.

- Grand-mère, que vous avez un gros bâton!

– C’est pour mieux t’assommer Clément."

Et en disant cela, l’homme se jeta sur Clément et lui mit un grand coup de matraque sur la tête.

Jordan Naulot 6eme2

Le Petit Mario Rouge

           Il était une fois un petit garçon qui habitait dans une capitale, le plus grand mangeur qui existait; sa mère une rockeuse très connue adorait manger avec lui et sa grand-mère qui était une ancienne grande championne de course de 100 adorait encore plus manger avec le petit garçon. Sa mère lui avait acheté un habit à Carrefour Market qui ressemblait à la panoplie de Mario. Et il la portait toujours. Depuis, on l’appellait le petit Mario rouge.

          Un jour, sa mère ayant acheté deux quiches Lorraine avec son supplément de sauce harissa super, méga, supra piquante, lui dit : « Va donner ces deux quiches lorraine à ta grand-mère pour calmer sa crise de foie. Elle n’a pas mangé de quiche lorrainedepuis cinq jours. » Le petit Mario Rouge  partit chez sa grand-mère qui était à l’autre  bout de la ville.
En passant dans une rue, il rencontra l’un des anciens coaches d’une équipe perdante de corse. Cette équipe était rivale de la grand-mère. Le coach lui dit : « Ça te dit de partirmanger méga supra, piquante chez ta grand-mère? » Il savait que petit  Mario allait chez sa grand-mère qui avait une crise de foie en écoutant les infos. Et le patron rajouta: " En attendant que tu ailles chez ta grand-mère, je cherche deux quiches lorraine à la boulangerie". Le coach alors prit sa voiture de sport et partit. Le Petit Mario Rouge admirait les voitures, les vitrines des marchands de jouets, se léchait les babines devant les restaurants et parlait avec les copains. Le coach ne mit pas beaucoup de temps pour arriver (13 min et 9 sec). Il toqua à la porte : Toc-Toc. La grand-mère lui répondit:
- « Qui est là ?
-  C’est le petit Mario rouge, dit-il avec son syntoniseur de poche, qui vous amène les deux quiches lorraine avec son supplément de sauce harissa ultra, méga, supra piquante que ma mère vous envoie ».
 La bonne mère-grand qui était dans son lit parce que elle n’avait pas mangé de quiche lorraine avec son suppléant de sauce harissa ultra, méga supra, piquante depuis cinq heures, lui cria:  « Tire la clé de platine et la porte cherra ». Le patron tira la clé vu qu’il ne savait pas ce que voulait dire « cherra ». Alors, il vit la porte tomber à l’étage d’en dessous mais ne s’en souciant point, marcha jusqu’à la chambre de la grand-mère. Arrivé dans la chambre, il la ligota avec la  haine d’un diable. Ensuite, il reboucha l’entrée avec une armoire et alla dans le lit de la pauvre victime. Pendant ce temps le petit Mario rouge regardait les vitrines, papotait avec ses copains qui passaient dans la même rue. Arrivé,  le petit Mario rouge toqua : Toc-toc.
-« Qui est là ?» répondit le patron. Le petit Mario rouge prit peur en entendant la voix grave du patron puis se rassura en croyant que c’était son imagination .Il répondit:
- «c’est le petit Mario rouge  qui vous apporte une quiche lorraine avec son suppléant de sauce harissa  ultra, méga supra, piquant.
Le patron lui répondit en adoucissant un peu sa voix:
- Pousse l’armoire et tu pourras entrer ». 
Le petit Mario rouge fit ce que le patron lui avait dit de faire et le passage se dégagea.Le patron, le voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit:
- "Mets les 2 quiches lorraine avec son supplément de sauce harissa SUPER, MEGA, SUPRA PIQUANTE dans le frigo. Et vient jouer avec moi à la Playstation dans ma chambre".
Le petit Mario rouge
enleva son manteau et mit les quiches lorraines dans le frigo. Puis il alla dans la chambre de la grand-mère. Il fut bien étonné de voir le physique de l’imposteur . Il dit :

- Que vous avez de grands bras!

- C’est pour mieux  te prendre dans mes bras.

- Que vous avez de grandes jambes !

- C’est pour mieux courir.

                                                                               

Que vous êtes bien habillé !

-C’est ma marque de beauté.

-Que vous avez de grandes cordes !

-C’est pour mieux te ligoter !Le petit Mario rougene pouvait rien faire sauf lancer sa part de quiche. Les policiers arrivèrent en quelques fractions de secondes dans la maison car ils avaient vu une quiche volante sortir de la maison de la championne : c’est très bizarre. Les policier arrêtèrent le patron puis libérèrent la grand-mère et le petit Mario rouge. Et c’est ainsi que la famille du héros fut heureuse jusqu’à la fin des temps. 

Briant Loïc 

Frescal Nathaniel                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

La jeune fille à la robe pailletée fuchsia

     Il avait encore de nos jours, une jeune fille qui s’appelait Julie. Elle avait quinze ans et s’habillait toujours en fuchsia : ses chaussures, sa robe à paillettes et ainsi que ses cheveux étaient fuchsia .Elle vivait à Viroflay rive gauche, dans un immeuble au deuxième étage du Clos St Vigor. Il y avait une pharmacie qui s’appelait la pharmacie du Clos et un vétérinaire en face de la pharmacie. Son père était parti en voyage d’affaires et sa mère travaillait beaucoup.

                                                                                                   .

Un après-midi, elle  voulut  aller chez  sa grand-mère qui  l’adorait; elle avait été une chanteuse. Julie partit lui donner une bague précieuse. Elle devait prendre un train et deux métros.Sa grand-mère habitait à Paris, 13 rue Chevaleret près d’un magasin qui s’appelait G20 et une pizzeria qui se nommait Pizza Royale. Elle devait prendre un métro de la ligne 7 et un autre de la ligne 9. Sur son chemin, elle aperçut  un jeune homme qui ressemblait à un voyou. Alors elle commença à avoir des doutes. Elle se mit à courir, car le voyou avait aperçu la bague sur son doigt. Elle alla se cacher aux toilettes mais il alluma une caméra qui détectait où se trouvait Julie. Il la glissa sous sa chaussure.Alors, il entra tout discrètement, mais tout à coup, Julie découvrit le voyou et commença à lui dire :

-" Pourquoime suivez-vous à la trace ?

- Car quelque chose m’intéresse chez-vous
- Quoi ?
- Votre bague, ouaich !"

Et  Julies’échappa vite, mais le voyou  la rattrapa. Avec la caméra, il pouvait savoir où habitait sa grand-mère. La grand-mère dit :

- "Tapez le  code suivant : 14576."

Il entra vite et enferma la grand–mère dans le placard de papier toilette et lui mit un foulard  autour de la bouche. Et Julie arriva et dit au voyou:

- "Que vous avez  beaucoup de rouge à lèvres et de mascara!"

Tout à coup, elle vit le voyou déguisé en grand–mère qui lui dit:

"- je veux la bague sur le champ!".

Le voyou trouva  un fusil à côté  de la cheminée, le prit et tua la grand-mère, ainsi que Julie .

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Inès AOUIDA et Alizée SOARES