TEXTES DES ELEVES 2013-2014 › Contes parodiques des 6e2: Cendrillon

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20 janvier 2014

MUSICELLA

Il était une fois un aristocrate divorcé et remarié à une femme qui avait deux filles. Ils s’étaient rencontrés sur internet via un site de rencontre. La femme et ses filles avaient eu recours à la chirurgie esthétique, elles se croyaient belles alors qu’elles étaient laides. Les filles avaient toujours leur chihuahua dans un bras et leur Smartphone dans l’autre. Le mari, de son côté, avait une fille jeune, gentille, serviable et belle comme l’était sa mère. Ils vivaient tous dans une superbe villa à Monaco. Peu de temps après ce remariage, le mari décéda d’un cancer. La jeune fille se retrouva donc avec sa belle-mère et ses demi-sœurs. Ces dernières lui firent vite comprendre qu’elles ne l’aimaient pas. De ce fait, elle devait promener le chihuahua de celles-ci qui aboyait tout le temps et faisait ses besoins partout. Elle n’avait pas de Smartphone ni de lecteur MP3, pourtant elle adorait la musique et chantait merveilleusement bien. C’est ainsi que ses sœurs la surnommaient Musicella.

            Un  jour, le groupe célèbre et très populaire « Daft Punk » organisa une grande fête à la discothèque « le Pharaon » afin de célébrer leur disque de platine. C’est grâce à une publicité radiophonique que les deux sœurs découvrirent la nouvelle. Immédiatement, elles supplièrent leur mère de les laisser y aller et de demander à Musicella d’aller chercher leurs tenues de soirée. C’est ainsi que commencèrent les préparatifs.

            L’essayage dura des heures. Rien ne les satisfaisait. Musicella se faisait même insulter à chaque proposition de tenue. Le soir venu, les filles et leur mère partirent à la discothèque. Musicella,désireuse d’aller à la soirée mais n’ayant rien à se mettre, appela, à l’aide du téléphone fixe, sa marraine, relookeuse pour une émission de télévision afin qu’elle lui prête limousine, bijoux et tenues à la mode. Trente minutes plus tard, elle vit se garer une limousine avec à l’intérieur, sa marraine et les tenues qu’elle avait créé pour Musicella. Elle se dépêcha d’aller se changer et enfin prête, elle se rendit à la discothèque dans son superbe carrosse: elle pensa un instant être la réincarnation de Cendrillon ! Mais elle n’osa pas demander à sa marraine si, à l’origine, le chauffeur avec sa belle moustache était une souris ! Quand elle entra au «  Pharaon », il y avait une ambiance d’enfer. Tout en s’avançant vers le centre de la piste, elle découvrit à travers la foule et les lumières feutrées, les « Daft Punk ». L’ambiance était telle que le groupe décida de revenir le week-end suivant. Afin de ne pas se faire disputer, Musicella se dépêcha de rentrer à la maison avant ses sœurs et sa belle-mère. Le samedi suivant arriva à grands pas et Musicella décida de retourner à la discothèque mais cette fois,  elle voulait garder un souvenir de sa soirée. Elle prit donc son casque de moto qui appartenait à son père et qui en plus symbolisait les « Daft Punk ». Elle le fit dédicacer par le groupe. Comme elle aurait souhaité rester! Mais,toujours pour ne pas être vue par ses sœurs et sa belle-mère etpressée par le temps, elle courut dans la foule vers la limousine. Arrivée chez elle, elle découvrit avec stupeur qu’elle avait oublié son casque dans la discothèque, mais il était trop tard, ses sœurs venaient de rentrer…..

            A la fin de la soirée, les « Daft Punk » retrouvèrent le casque au pied de la scène. Pas de trace de sa propriétaire ! Ils décidèrent de la retrouver en interrogeant tous les habitants des villes voisines. Les visites se succédèrent mais toujours pas de trace du propriétaire. Ils arrivèrent devant la dernière maison : c’était celle de Musicella. Ils sonnèrent, la belle-mère ouvrit la porte, les fit entrer et leur présenta ses deux filles. Les « Daft Punk » leur firent essayer le casque. La tête de l’une était trop petite : le casque se balançait dans tous les sens ! La tête de l’autre était trop grosse : elle resta même coincée ! Il fallut se mettre à plusieurs pour le lui retirer. Soudain, ils entendirent de la musique, leur musique, qui provenait d’une pièce à l’étage ! Ils se précipitèrent pour voir qui c’était : c’était Musicella. Malgré la colère de la belle-mère, les « Daft Punk » lui firent essayer le casque : il lui allait à la perfection. Enfin ils avaient trouvé la propriétaire du casque ! Musicella, pour montrer combien elle était admirative de leur talent, leur chanta un de leurs airs. Ils furent ébahis, enchantés, émerveillés, époustouflés.

                Les « Daft Punk » emmenèrent Musicella en tournée planétaire avec eux. Grâce à ses prouesses vocales, elle devint rapidement la chanteuse officielle du groupe. Dans sa grande bonté et sans rancune, usant de ses nouvelles relations, Musicella offrit à ses sœurs et leur mère la possibilité de participer à une émission de téléréalité.

                                                                                               Rémi SEVEL

Mélodie

 

Il était une fois, une jeune adolescente de 17 ans, qui avait une voix tellement belle qu’on la nommait Mélodie. Elle était brune aux yeux bleus avec des taches de rousseur. Ses parents étaient divorcés, elle habitait la semaine chez son père, à l’angle du Casino de Chaville, et le week-end chez sa mère, à Paris dans le 11° arrondissement. Son père s’était remarié avec une femme laide, méchante et capricieuse. Elle avait une fille ainée, Beverly, qui détestait Mélodie, qui se croyait supérieure aux autres, et qui était toujours à la mode. Beverly avait un frère, Maxime, un affreux petit monstre qui s’amusait à torturer Mélodie en lui prenant ses affaires, en mettant ses devoirs dans la cheminée, et en versant de la sauce pimentée dans ses plats. Tous les jours c’était la même chanson, sa demi-sœur lui demandait d’aller chercher ses affaires au pressing situé tout en bas de l’avenue Jean Machinchouette, de l’emmener chez le coiffeur ou de nettoyer sa chambre. Et sa belle-mère lui ordonnait également de faire la vaisselle et de sortir les poubelles. La semaine, Mélodie n’avait pas de temps pour elle.

Un jour la boom du lycée s’annonça, les affiches se multipliaient sur les murs et on y pouvait y lire : « Demain soir, Boom du lycée et Concours de la plus belle voix ». Beverly, tout de suite, entraîna Mélodie dans les boutiques de Parly et Vélizy 2 et acheta une montagne de robes : des rouges à froufrous, des bleus à paillettes, des roses à rubans. Et en plus, il fallait toujours que ce soit Mélodie qui paie, sachant que son argent de poche était juste suffisant pour déjeuner en semaine. En rentrant Beverly jeta les robes dans les bras de Mélodie afin de les repasser. Elle lui dit : « Je n’aurai pas le temps de toutes les repasser, de plus, tu en as besoin que d’une seule ! J’aimerai bien aussi y aller à cette boom !!! ». Beverly se mit à ricaner et lui répondit : « Je suis désolée de t’apprendre que tu dois garder Maxime, et de toute façon tu n’as pas une seule robe !" Mélodie regarda Beverly s’éloigner et lorsqu’elle disparut, elle se mit à pleurer.

Quelques heures plus tard, la mère de Mélodie arriva en voiture, comme tous les vendredis. Elle vit Mélodie pleurer et lui demanda ce qu'il se passait. «J’aimerais... J’aimerais bien... », Mélodie. Elle pleurait si fort qu’elle ne put achever sa phrase. Sa mère lui demanda si c’était à cause de la boom ? Mélodie lui raconta sa dispute avec Beverly. « Ne t’inquiète pas, lui dit sa mère, je vais t’aider ». Elles rentrèrent à Paris. Dès leur arrivée, sa mère se mit au travail, elle prit son répertoire, sur son bureau, et trouva le téléphone d’une agence de location de voitures et de baby-sitter. Elle les appela. Le lendemain, une limousine arriva devant chez elle. Elles descendirent et prirent la voiture. Sa mère l'amena dans tous les magasins les plus chics de Paris, Dior, Chanel, Givenchy, Yves- Saint Laurent… Cela ne fut pas très facile de trouver la tenue idéale, mais au bout de quelques heures, alors qu’elles commençaient à se décourager, Mélodie aperçut un bout de tissu pailleté, en boule, dans un coin sur le sol. Elle le ramassa et découvrit une magnifique robe de soirée, la plus belle qu’elle n’ait jamais vu. Elle se précipita pour l’essayer. On aurait cru voir « un top model ». Ensuite, elles allèrent à l’agence de baby-sitter et en demandèrent à une, pour garder le petit frère. Le soir arriva et Mélodie habillée et maquillée comme une princesse, monta dans la limousine. Mais sa mère lui précisa qu'à minuit la limousine ne serait plus là. Mélodie lui promit qu'à minuit elle serait déjà à la maison. Elle partit pour la boom, métamorphosée. Lorsqu’elle arriva, le garçon le plus mignon de tout le lycée, Steven, était à la recherche d’une chanteuse pour le fameux concours de la belle voix, qu’il avait organisé. Lorsqu’il vit Mélodie, il essaya de se faire un chemin pour aller jusqu’à elle. Il lui demanda :

- « Sais-tu chanter ? »

Elle répondit :

- « Oui ».

Il l’emmena sur la scène. Il eut alors un grand silence. Les guitares, le piano, la batterie ne faisait plus de bruit. On pouvait juste entendre des murmures :

         - «Ah, qu’elle est belle !!! »                                                                                               

Mélodie se mit à chanter une de ses chansons préférées  « Paparazzi » de Lady Gaga. Tout le monde l’acclamait comme une star. Elle fit une pirouette et tomba de l’estrade dans les bras de Steven. Soudain, Mélodie vit l’heure, il était minuit moins deux. Tout de suite, elle se mit à courir et laissa tomber son MP3, contenant ses trois musiques préférées. La limousine n’était plus là.

Steven tenta de la rattraper et demanda aux enseignants s'ils n'avaient pas vu une jolie fille partir en limousine. Ils lui répondirent qu’ils n’avaient vu qu’une jeune fille bien habillée partir en courant. Mélodie arriva chez son père, se démaquilla et remit ses vêtements habituels. Lorsque Beverly rentra à son tour de la boom, Mélodie lui demanda si elle s'était bien divertie. Beverly lui raconta tout ce que Mélodie avait fait de A à Z. Le lundi suivant, afin de connaitre l’identité de celle qui avait perdu son MP3, Steven envoya un SMS, à toutes les filles du lycée, en demandant de lui citer les trois musiques du MP3 qu’il a retrouvé à la boom. Toutes les filles essayèrent, même Beverly ! Puis Mélodie envoya le SMS des trois bonnes musiques. Steven la chercha dans la cour, il voulait absolument la voir pour lui dire qu’elle avait gagné le concours. Mélodie et Steven se parlaient lorsque Beverly attrapa le bras de Mélodie et l’emmena à l’écart. Elle lui demanda : « On m’a dit que tu étais la gagnante du concours ? » Mélodie acquiesça d’un mouvement de tête.

Beverly attira Mélodie dans ses bras, lui demanda pardon pour toutes les méchancetés qu'elle lui avait fait subir. Mélodie l'embrassa en lui pardonnant toutes ses erreurs, car elle avait le cœur sur la main. Beverly la raccompagna auprès de Steven, qui demanda à Mélodie de sortir avec lui.

 

  Séléna MOISAN  

Laetitia MALHEIRO

Canapia

 

                              Il était une fois un jeune couple qui n’attendait qu’une chose, c’était d’avoir un enfant ! Un jour enfin, la femme fut enceinte. Neuf mois passèrent et la dame mit une petite fille au monde, prénommée Canapia ! L’enfant avait les yeux bleus, était rousse, et avait la peau très claire. Les parents étaient très heureux, mais la mère tomba malade et elle mourut. Plusieurs années passèrent, et la fillette avait maintenant dix ans. Cette année-là, le père se maria avec une autre femme qui avait déjà deux filles. Mais cette femme était au chômage, et vivait dans un pauvre petit appartement. Elle était sévère et désagréable. Le père et sa nouvelle compagne s’aimaient tellement qu’ils décidèrent d’habiter ensemble, dans l’appartement à Paris, rue Cauchy, accompagnés des deux fillettes. Canapia n’avait pas de chambre, et dormait dans le salon, sur un canapé-lit. Tandis que les deux sœurs avaient des chambres agréables et confortables, avec des écrans plats, des poufs et des étagères remplis de tenues chics et coûteuses. Mais la jeune fille pensait souvent à sa maman et elle n’appréciait pas sa belle-mère car celle-ci chouchoutait ses deux filles. Elle avait du mal à s’adapter à sa nouvelle famille, et quand elle revenait du collège, sa belle-mère lui sautait aussitôt dessus, pour lui demander de mettre le linge dans le panier à lessive, et de ranger les chambres de ses sœurs.

                             Un soir, quand elles revinrent du collège, Les sœurs annoncèrent toutes les trois à leur mère qu’il y allait avoir une boum  au collège pendant plusieurs soirées. Quand Canapia croisa la directrice du collège ce midi, elle lui dit qu’elle savait d’avance qu’elle ne pourrait pas aller au bal, car sa belle-mère lui avait demandé de ranger la maison. Ce que les filles ne savaient pas, c’était que toutes les trois étaient tombées amoureuses du même garçon, et qu’elles espéraient se retrouver dans les bras du jeune homme.

 

                              Le soir même de la boum, Canapia aida ses sœurs à se préparer, les deux sœurs se disputaient pour deux tenues, la première était un bustier rose à paillettes, et la deuxième était une robe de soie rouge et blanche. Une fois les deux sœurs parties à la boum, la jeune fille resta toute seule dans sa chambre, et s’assit au bord de sa fenêtre, triste de ne pas pouvoir sortir. Tout à coup, elle aperçut une voiture s’arrêter devant chez elle, alors elle descendit, sortit, et vit que c’était la directrice ! Elle lui demanda pourquoi elle était venue. La directrice lui expliqua que c’était le moment ou jamais d’aller au bal, et qu’il ne fallait pas rester toute seule ce soir-là. La directrice lui avait amené une jolie robe, du maquillage, et quelques petits accessoires. Mais la voiture pour aller au bal, tomba en panne. Elle appela aussitôt un taxi ! Le taxi arriva, elles montèrent toutes les deux dedans, et la directrice se mit à expliquer à Canapia qu’il fallait absolument rentrer du bal après minuit sinon sa belle-mère allait découvrir son absence. Canapia entra dans le bal et se mit à danser. Tout à coup, elle aperçut le garçon dont elle était tombée amoureuse. Ils se regardèrent, s’approchèrent l’un de l’autre, et dansèrent ensemble. Au bout de plusieurs slows, il offrit une bague à Canapia ! A côté, ses sœurs étaient jalouses de la voir avec le garçon dont elles étaient elles aussi tombées amoureuses. Canapia rentra chez elle car il était bientôt minuit. Elle dit au revoir au garçon et partit.

                              Le lendemain, au second bal, elle y retrouva son cavalier pour danser avec lui, mais  minuit arriva si vite que Canapia fut obligée de repartir chez elle. A son retour, la bague glissa de son doigt sans qu’elle ne s’en rende compte. Quelques heures plus tard, ce fut vraiment la fin du bal et chaque collégien rentra chez lui.

                            Le prince charmant de Canapia trouva au sol la bague qu’il lui avait offerte, et il lui courut après avant qu’il ne l’a perde de vue. Il lui rendit la bague. Canapia était toute heureuse, et l’embrassa.

                                   Ils se retrouvèrent au collège. Et c’est depuis ce jour que leur histoire d’amour devint officielle. Canapia alla tout de même remercier infiniment la directrice du collège. Et enfin, elle finit par se réconcilier avec ses sœurs et sa belle-mère, en leur pardonnant de tous leur mauvais traitement. Et plusieurs années plus tard, elle annonça à sa famille qu’elle allait se marier et partir vivre loin d’ici.File:Épinal - Cendrillon 10.jpg

Bénédicte Martin et Ibtissème Oubraim 6è2

Cyrana

Vers les années 2 000, à Versailles, dans l’avenue des Zombis vivait une jeune fille qui s’appelait Cyrana. Elle habitait entre la pharmacie Rocha et le Super U. Elle était blonde comme le soleil, elle avait les yeux bleus comme la mer et elle était douce comme le sucre. Sa mère était morte après une longue maladie ; son père s’était remarié. Comme il mourut dans un accident de voiture, sa belle-mère élevait Cyrana. Les deux filles de la belle-mère de Cyrana étaient atroces. Elles s’appelaient Loubi et Louba et étaient sœurs jumelles. Elles détestaient Cyrana. Elles se moquaient d’elle et lui faisaient nettoyer la maison, faire la lessive, préparer le repas, et beaucoup d’autres choses. Le père de Cyrana possédait un supermarché dont sa belle-mère avait hérité. Cyrana, tous les soirs, jusqu’au lendemain, devait nettoyer le supermarché. Elle s’appelait Cyrana car tous les matins, de 8h00 à 10h00, elle se reposait à la cave et elle s’éclairait de bougies.

 

Chaque année, il y avait une fête de fin d’année organisée par le lycée de Cyrana. Cyrana s’occupait de préparer les habits de ses sœurs. Cette année elle prépara une robe vert fluo à pois multicolores pour Loubi. Elle portait des chaussures violettes pointues. Elle était parée de deux petites couettes et dix bracelets de différentes couleurs. Son rouge à lèvres débordait ainsi que son mascara. Quant à Louba, sa robe était jaune fluo à rayures roses. Elle était parée de dix colliers de différentes couleurs. Elle se maquilla comme Loubi. Cyrana s’apprêta à y aller, quand elle croisa sa belle-mère qui lui rappela qu’elle ne pouvait pas venir à la fête de fin d’année car elle devait nettoyer le supermarché.

La tante de Cyrana arriva en limousine. Elle était magicienne. Cyrana lui expliqua qu’elle devait aller au supermarché et qu’elle ne pouvait pas venir à la fête de fin d’année. Elle se mit à pleurer… Sa tante lui dit qu’elle voulait bien lui faire une robe et nettoyer le supermarché à sa place, mais que Cyrana devait la remplacer à minuit pile. Cyrana accepta et la remercia. Elle sortit sa poudre magique et dit la formule magique. Une magnifique robe apparut. Elle était longue et dorée. Elle lui fit aussi apparaître des chaussures à talons noirs. Elle avait un chignon et plusieurs bracelets. Sa tante la prévint qu’à minuit tout redeviendrait comme avant. La fête de fin d’année se déroulait sur deux soirées. Le premier soir, Cyrana alla à la fête avec la limousine de sa tante. Ses deux sœurs, Loubi et Louba, furent jalouses car elles y allaient en voiture simple. Elles se retrouvèrent à la fête. Elles aidèrent à décorer la salle. Elles mirent des ballons à l’entrée, ainsi que quelques guirlandes. La fête commença. Il y avait de plus en plus de monde. Puis à minuit, Cyrana dut rentrer. Ses sœurs restèrent jusqu’à trois heures du matin. Elle rentra en limousine. Elle remercia sa tante pour l’avoir aidée. Elle lui raconta sa soirée qui s’était bien passée. Ses vêtements se retransformèrent. Cyrana dut nettoyer le supermarché toute la nuit. Le deuxième soir, elle y alla comme le premier soir. Elle aida à décorer. Soudain, elle reçut un message sur son téléphone portable. C’était un jeune homme de la fête. Il s’appelait Adrien et il voulait danser avec elle. Elle alla le voir et ils dansèrent. Cyrana et Adrien devinrent très proches. Son téléphone sonna, il indiqua qu’il était minuit. Cyrana courut. Loubi et Louba virent ce qu’il s’était passé et racontèrent tout à la belle-mère de Cyrana. Celle-ci devint furieuse. Sur le chemin, sans s’en apercevoir, Cyrana perdit son téléphone portable. Elle courut au supermarché tout près de la salle des fêtes. Elle vit sa tante. Elle lui raconta sa rencontre avec Adrien, très contente. Ses vêtements se retransformèrent. Elle nettoya le supermarché. Mais un instant, elle chercha son téléphone portable et ne le trouva pas…

La fête était finie. Tout le monde rangeait. Quand soudain, Adrien trouva le téléphone portable de Cyrana. Il reconnut que c’était à elle; il voulait absolument la revoir mais ne connaissait pas son nom. Il décida de demander à toutes les personnes de la ville de Versailles si jamais ils connaissaient le mot de passe du téléphone portable. Et si quelqu'un le trouvait, cela voudrait dire qu'il serait à lui. Il demanda à la moitié de la ville de Versailles, mais personne ne trouva le mot de passe. Il continua, désespéré. Quand il arriva chez Cyrana, il lui demanda si elle connaissait le code. Elle savait que c'était son téléphone portable. Elle essaya donc le code et le réussit. Cyrana était très contente d'avoir retrouvé Adrien.

Cyrana revit Adrien et s’embrassèrent. Ils décidèrent de se marier. Le jour du mariage, sa tante la prépara avec une longue robe blanche et des chaussures blanches. Elle portait à la tête un voile blanc et des roses rouges. Adrien avait un costume noir avec une chemise blanche. Cyrana et Adrien se dirent «oui » à l'église. Ils vécurent heureux et eurent une fille qui s'appela Nabilla. Quant à Loubi et Louba, Cyrana leur pardonna tout ce qu’elles avaient fait et leur présenta deux amis d’Adrien ; un qui s’appelait Mouli et un autre qui s’appelait Moula. Loubi et Louba furent heureuses.

FIN

 LINHARELHOS  Carolina et BOUBEE DE GRAMONT Laurène

 

 

Oranjane

      Il était une fois, Hugo, un père très gentil. Il avait une fille studieuse, agréable et belle. Elle s’appelait Oranjane. Son père l’avait appelée comme ceci, car à sa naissance, il pensait que sa couleur préférée serait le orange et que son fruit adoré serait l’orange. Tout se passait  bien entre eux deux. Mais un jour, Hugo se remaria avec une mère atroce de deux filles. L’une s’appelait Prescilla et l’autre Morgan. Elles étaient très méchantes, très moches et surtout très vulgaires. Elles faisaient faire les corvées à Oranjane qui dormait sur un simple matelas alors que les deux sœurs dormaient dans une magnifique chambre.

                  Un matin, quelqu’un frappa a la porte, c’était une assez vieille dame, un peu rondelette. Oranjane ouvrit la porte, la vieille dame lui dit :

    -Salut, c’est une lettre qui va pouvoir changer ton avenir et celui de tes belles-sœurs. Alors, qu’est-ce que tu en dis ?

    -De qui vient elle ?

    -Elle vient d’un jeune homme, très très beau et surtout musclé.

Dans la lettre, il y avait marqué :

Salut Oranjane, Prescilla et Morgan

Je me présente :je m’appelle Victor l’Albator, je suis brun aux yeux bleus et je vous invite a ma crémaillère demain à 20h45. Ah! oui j’ai oublié je suis votre nouveau voisin de la maison à gauche et si vous voulez en profiter, je suis célibataire.

J’espère que vous serez présentes. 

           Oranjane alla prévenir ses sœurs de la soirée. Elles étaient tellement heureuse de rencontrer le jeune garçon, qu’elles décidèrent d’empêcher Oranjane d’être à la fête, et de ne pas la prévenir.

                  Le lendemainmatin, toutes choisir leur tenue pour le soir. Les sœurs rentrèrentde force dans la chambre de Oranjane, et lui déchirèrent toute sa tenue. Oranjane pleurait quand soudain quelqu’un frappa a la porte: c’était la même dame qui lui avait donné la lettre.Elle lui chuchota à l’oreille :

- "A 18h30, pas avant, pas après, une limousine t’attendra pour que tu ailles faire du shopping jusqu'à 19h30. A bientôt !"

18h30. Oranjane se faufila dans la limousine et partit vers VELIZY 2. Elle alla chez Kookaï, Etam, Pimkie, Jennifer, Desigual et Naf-Naf mais ne trouva rien. Alors Oranjane ne repartit avec aucun sac de vêtements. Elle s’enferma dans sa chambre et pleura à nouveau. La vieille dame réapparut, mais cette fois avec une tenue magnifique pour Oranjane .Elle se composait d’une robe bustier noire et blanche et de talons aiguilles. Elle l’avait prévenue qu’à minuit elle devrait retourner chez elle sinon toute sa tenue disparaîtrait.

Oranjane avait pris tellement de temps qu’elle se rendit compte que ses belles sœurs étaient parties  sans elle à la soirée .Oranjane se précipita pour aller à la soirée.

Elle arriva pendant la chanson « Cyprien, lourdement difficile ». Juste après,Victor demanda de danser un slow avec  Oranjane.  Elle s’amusait tellement qu’elle avait oublié qu’à minuit  elle serait de nouveau habillée comme avant. Ce n’est que pendant le solo qu’elle se rendit compte qu’elle devait partir; elle se sauvalaissant tomber son téléphone.

Le lendemain, dans la cour, il demanda à qui appartenait le téléphone. Personne ne répondit. Finalement en fin de journée, ils  sebousculèrent et ils se reconnurent. Il lui rendit son téléphone et ne la recroisa plus pendant trois ans. Ils se retrouvèrent dans une petite école et tombèrent amoureux, puis se marièrent et partirent vivre en Amérique.  

 Moïra et Leïana