Dans ce livre, je n'ai pas apprécié l'histoire que j'ai trouvée trop choquante. Comme exemple, on peut citer le passage où le Colonel Chabert se retrouve enseveli sous les morts et qu'il doit se servir d'un bras pour se dégager (syntaxe). Cette citation commence par: " je rencontrais fort heureusement un bras qui ne tenais à rien " et finit par: " je dis nous, comme si y eût eu des vivants" : cette phrase témoigne de l'horreur de la guerre (1 faute, ponctuation). Mais, ce qui m'a le plus choqué est l'hironisation par le Colonel de la situation, comme les phrases: " le bras d'un hercule", " je me mis à travailler les cadavres"et "un bon os"...( 1 faute ; expliquez)
Ensuite, c'est la tristesse de ce livre, la solitude, le désespoir du personnage qui m'ont heurtée. Pour illustrer cela il y a le passage "je suis un enfant d'hôpital, un soldat qui pour patrimoine avait son courage, pour famille tout le monde... le bon dieu", l'emploi de l'imparfait suggère qu'il n'a plus de patrimoine, plus de famille, plus de patrie, plus de protecteur, plus rien. On peut aussi citer le passage:" j'entrevoyais à peine cette femme qui est mienne et qui n'est plus à moi", l'emploi de cette oxymore met bien en valeur le fait qu'il 'ait plus de femme non plus, car la guerre lui a tout pris (figure de style à revoir ; 1 faute d'orthographe, 1 faute de syntaxe). Ceci met en valeur le coté injuste de l'histoire et suscite de la pitié pour le personnage.
Néanmoins, j'ai trouvé l'histoire touchante car on compatit pour le personnage.