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08 octobre 2014

Le Colonel Chabert de Balzac

Le Colonel Chabert est un roman réaliste d'Honoré de Balzac écrit en 1844 qui raconte l'histoire d'un soldat, le colonel Chabert, qui a tout perdu à la guerre ( son estime, sa femme...) et qui est tellement traumatisé par la guerre qu'il renit son identité et qu'il se retrouve à l'asile (présentation du titre ; ponctuation ; répétition ; 1 faute).

Dans ce livre, je n'ai pas apprécié l'histoire que j'ai trouvée trop choquante. Comme exemple, on peut citer le passage où le Colonel Chabert se retrouve enseveli sous les morts et qu'il doit se servir d'un bras pour se dégager (syntaxe). Cette citation commence par: " je rencontrais fort heureusement un bras qui ne tenais à rien " et finit par: " je dis nous, comme si y eût eu des vivants" : cette phrase témoigne de l'horreur de la guerre (1 faute, ponctuation). Mais, ce qui m'a le plus choqué est l'hironisation par le Colonel de la situation, comme les phrases: " le bras d'un hercule", " je me mis à travailler les cadavres"et "un bon os"...( 1 faute ; expliquez)

Ensuite, c'est la tristesse de ce livre, la solitude, le désespoir du personnage qui m'ont heurtée. Pour illustrer cela il y a le passage "je suis un enfant d'hôpital, un soldat qui pour patrimoine avait son courage, pour famille tout le monde... le bon dieu", l'emploi de l'imparfait suggère qu'il n'a plus de patrimoine, plus de famille, plus de patrie, plus de protecteur, plus rien. On peut aussi citer le passage:" j'entrevoyais à peine cette femme qui est mienne et qui n'est plus à moi", l'emploi de cette oxymore met bien en valeur le fait qu'il 'ait plus de femme non plus, car la guerre lui a tout pris (figure de style à revoir ; 1 faute d'orthographe, 1 faute de syntaxe). Ceci met en valeur le coté injuste de l'histoire et suscite de la pitié pour le personnage.

Néanmoins, j'ai trouvé l'histoire touchante car on compatit pour le personnage.

04 octobre 2014

Le Colonel Chabert de Balzac par TRICONNET Anaelle

Le Colonel Chabert est un livre que j’ai apprécié car il nous fait entrevoir les subtilités de la vie et de la mort, il est le seul à nous faire connaître les sentiments qu’un homme peut ressentir quand il est  piégé sous un tas de corps sans vie, lui seul peut nous montrer avec des mots le visage d’une femme qui a appris à oublier. Je pourrais vous citer des passages et des citations communes mais je ne vous ferai part que des passages que j’ai affectionnés particulièrement.

Le premier extrait  que je voudrai vous faire partager est le suivant (page 80) (1 faute) : « Quand je dis ces choses à des avoués, à des hommes de bon sens [] qui veut me faire rentrer sous terre ! » .Ceci est mon deuxième extrait où se trouve le passage suivant : « J’ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants, sous des actes, sous des faits, sous la société toute entière, qui veut me faire rentrer sous terre ! » (manque de clarté ; ponctuation. Alors pourquoi j'eus envie de partager  ce passage avec vous , c’est parce qu’il est réaliste par rapport au fait que Le Colonel Chabert était reconnu pour l’époque (manque de clarté ; niveau de langue ; 1 faute). Pour le personnage principale le fait qu’il soit considéré comme mortou qu’il soit vivant ne change rien (2 fautes). Mais il ne se laisse pas abattre car il veut être reconsidéré comme un être humain ,vivant,  alors il engage une procédure judiciaire (1 faute).

03 octobre 2014

Le colonel chabert

                                                                      Le Colonel Chabert


 

Introduction

 

     “Le colonel Chabert” est un roman écrit par Balzac en 1844 (présentation du titre). Ce roman raconte l’histoire d’un grand colonel anglais qui est passe pour mort mais qui est toujours vivant et qui se fait humilier par les personnes maigres ce qu’il a fait pour l’Angleterre (le roman ne se passe pas en Angleterre ; accent ; erreur de vocabulaire ; construction de la phrase).

 

Pourquoi j’ai aime ce livre (accent) :

 

     “Ma foi, monsieur, après l’empereur, vous êtes l’homme auquel je devrai le plus ! Vous êtes un brave !” Cette citation montre la reconnaissance du colonel aux yeux de l’avoué (choix de la préposition). Précédemment, j’ai choisie ce passage car je trouve que le sens de l’honneur est essentiel dans votre société actuelle (1 faute, 1 erreur d'inattention). Parfois, dans la vie, on oublie les sens principaux de notre existence comme l’entraide, le partage, la loyauté,… (ponctuation) Ce passage est donc une sorte de rappel involontaire à se souvenir de toutes les personnes qui nous ont aidée (choix de la préposition, 1 faute), d’une manière ou d’une autre, quelque soit la difficulté de la tache (2 fautes). Sans cette reconnaissance qui est si essentiel mais tellement invisible, notre société moderne serait rempli de personnes égoïstes et sans sentiments (2 fautes). Le fait de montrer sa reconnaissance envers quelqu’un est aussi une preuve d’amitié et de confiance. Cette citation ma donc plu pour la leçon morale, malgrès indirecte, de toujours rester fidèle, attentionné,.. envers tout ce qui l’ont été envers nous (3 fautes, préposition, ponctuation).

 

     “Une pipe culotte est une pipe précieuse pour un fumeur ; mais ce fut par un geste si naturel, par un mouvement si généreux, que tout les fumeurs et même la reijie lui eussent pardonnés ses crimes de lese-cabac. Les anges auront peut être ramassés les morceaux.” (citation fautive) Cette citation montre l’importance d’une pipe aux yeux d’un fumeur (contre sens). La comparaison avec ses fautes pardonnées et les anges qui ramasserait le tabac est pour montrer l’importance de fumer après ne pas l’avoir fait pendant plusieurs années (1 faute, manque de clarté). Pour un fumeur, ca doit être horrible de se priver durant 9 ans (2 fautes). Cette comparaison essaye de montrer au lecteur que même ce qui ont commis des erreurs peuvent êtres pardonnées (3 fautes). J’ai bien aime cette citation car être pardonné et pardonné est essentiel dans la vie courante (2 fautes). Sans ces notions, la population mondiale serait en guerre total envers tout le monde (1 faute).

 

Conclusion :

 

J’ai bien aimé ce livre, même si il était plutôt compliquer a lire (2 fautes). J’ai été agréablement surpris par les allusions a notre époque (1 faute). En bref, ce livre est d’une qualité,e d’écriture incroyable et les descriptions sont parfaitement bien détaillés (2 fautes). Je recommande ce livre, même si il est assez dure a lire (2 fautes).








Introduction

Le Colonel Chabert est un court roman d'Honoré de Balzac qui paraît sous sa forme définitive en 1884. Ce roman raconte l’histoire d’un grand colonel anglais qui est passe pour mort mais qui est toujours vivant .

          “Ma foi, monsieur, après l’empereur, vous êtes l’homme auquel je devrai le plus ! Vous êtes un brave !” Cette citation montre la reconnaissance du colonel aux yeux de l’avoué . Précédemment, j’ai choisi ce passage car je trouve que le sens de l’honneur est essentiel dans votre société actuelle . Parfois, dans la vie, on oublie les sens principaux de notre existence comme l’entraide, le partage, la loyauté.Ce passage est donc une sorte de rappel involontaire à se souvenir de toutes les personnes qui nous ont aidées , d’une manière ou d’une autre, quelle que soit la difficulté de la tache. Sans cette reconnaissance qui est si essentielle mais tellement invisible, notre société moderne serait rempli de personnes égoïstes et sans sentiments. Le fait de montrer sa reconnaissance envers quelqu’un est aussi une preuve d’amitié et de confiance. Cette citation ma donc plu pour la leçon morale, malgré la indirecte, de toujours rester fidèle, attentionné,envers tout ce qui l’a été envers nous.

 

          “Une pipe culotte est une pipe précieuse pour un fumeur ; mais ce fut par un geste si naturel, par un mouvement si généreux, que tout les fumeurs et même la reijie lui eussent pardonnés ses crimes de lese-cabac. Les anges auront peut être ramassés les morceaux.” Cette citation montre l’importance d’une pipe aux yeux d’un fumeur . La comparaison avec ses fautes pardonnées et les anges qui ramasserait le tabac est pour montrer l’importance de fumer après ne pas l’avoir fait pendant plusieurs années . Pour un fumeur, ca doit être horrible de se priver durant 9 ans . Cette comparaison essaye de montrer au lecteur que même ce qui ont commis des erreurs peuvent êtres pardonnées . J’ai bien aime cette citation car être pardonné et pardonné est essentiel dans la vie courante . Sans ces notions, la population mondiale serait en guerre total envers tout le monde.

      J’ai bien aimé ce livre, même si il était plutôt compliquer a lire. J’ai été agréablement surpris par les allusions a notre époque . En bref, ce livre est d’une qualité,e d’écriture incroyable et les descriptions sont parfaitement bien détaillés . Je recommande ce livre, même si il est assez dure a lire .

Texte argumentatif - Colonel Chabert - Balzac - De Almeida

Le Colonel Chabert de Balzac
Honoré de Balzac a publié le Colonel Chabert en 1844. - See more at: http://lecolonelchabert.fr/#sthash.3gIytW0b.dpuf
Résumé: 

Balzac est un narrateur objectif, omniscient, qui a le point de vue de Dieu, mais qui peut donner aussi la vision du personnage : la description de l'étude (un morceau typiquement balzacien) ne vient que lorsque Chabert entre en scène ; le lecteur la découvre alors comme il la voit.
Citations:
Conclusion:


Le Colonel Chabert



Contexte:

Honoré de Balzac a publié le Colonel Chabert en 1844, le style littéraire de ce livre est de caractère romantique et réaliste (présentation du titre ; vocabulaire approximatif).

L'histoire ce passe de Février 1819 jusqu’à la fin du mois de Juin 1840 (1 faute).

Le personnage principal est Le Colonel Chabert qui est un soldat de l'époque napoléonienne qui se retrouve "sans identité" car il est considéré comme mort (phrase trop longue ; usage des guillemets).

Résumé:

Paris, février 1818, peu de temps avant la chute de l'Empire, l’avoué Derville reçoit la visite d'un vieillard misérablement vêtu. Il assure être le colonel Chabert, passé pour mort,  à la bataille d’Eylau en 1807 (ponctuation). Il avait alors contribué à la victoire en conduisant une charge de cavalerie devenue célèbre.

Le vieil homme raconte comment, se réveillant dans un fossé entre des cadavres, il a survécu miraculeusement à ses blessures.

Il revient dix ans après et souhaite réclamer son titre, faire valoir ses droits et revivre avec sa femme. Or celle-ci, durant son absence, s’est remariée avec le comte Ferraud.

Mais celle-ci le repousse en refusent de le reconnaître (1 faute). L’avocat accepte d’aider le colonel en proposant une transaction à son ancienne épouse. Par dignité, Chabert refuse cet arrangement et disparaît.

Repoussé par sa femme, condamné pour vagabondage, Le colonel Chabert finira misérablement sa vie à l’asile.

Citations:


1. Certains hommes ont une âme assez forte pour de tels dévouements, dont la récompense se trouve par eux dans le certitude d'avoir fait le bonheur d' une personne aimée (1 faute)

Cette citation explique que certaines personnes sont prêtent à tout oublier et pardonner pour faire le bonheur d'une autre. L'être en question préfère se sacrifier pour une autre juste pour amour. (1 faute, répétition)

Tout comme Le Colonel Chabert qui arrête tout effort et préfère finir ses jours dans un hospice de vieillesse.


2. Dès qu’un homme tombe entre les mains de la justice, il n'est plus qu'un être moral, une question de droit ou le fait, comme aux yeux des statisticiens il devient un chiffes(2 fautes)

Cette citation critique la Justice en disant qu'elle ne ce soucie pas de prouver les faits, qu'elle est avide de pouvoir et immorale (2 fautes). Que la justice ne se soucie pas de comprendre les fait et actes des accusée mais seulement de les traité comme "un être moral" tel un vulgaire dossier qu'il faudrais finir au plus vite, sans savoir si cela est juste ou mauvais (construction de la phrase ; 5 fautes).

Point de vue:

L'histoire est immersive du fait de la narration omnisciente, ce qui est un point positif car cela aide a la compréhension de l'environnement ou se trouve le personnage. (2 fautes)

Je conseille ce roman aux personnes qui apprécient le genre réaliste et romantique.

Ce roman a pour registre de language familier, Balzac utilise le language familier de son époque en se mettant a la place des travailleurs, en adoptent ce language, il en revient assez difficile de le comprendre par moment. (confusion ; construction de la phrase ; répétition ; 5 fautes).

Balzac, Le Colonel Chabert, 1844

J'ai lu Le Colonel Chabert de Balzac (présentation du titre). Balzac est un des grand auteur de réalisme au XIXe siècle (avec Zola, Flaubret, Stendhal...) (accord ; 1 faute). Ce livre en est un illustre exemple. Pour commencer, je vais énumérer 3 citations ou passages qui m'ont le plus marqué (chiffres en toutes lettres) :

Pour commencer, je vais citer toute la description du Colonel Chabert page 23 ("Le vieux soldat était sec et maigre [...] les sinuosités froides, le sentiment décoloré de cette physionomie cadavéreuse"). On peut remarque une exagération : "cadavéreuse" (1 faute). L'auteur à voulu insister sur l'aspect affreux du personnage en employant le mot "cadavéreuse" (1 faute). Cela nous montre l'aspect défiguré du Colonel Chabert et nous dévoile les horreurs et les ravages que la guerre lui a causé (accord). Un peu avant nous pouvons remarquer une énumération de groupes nominaux : "les rides blanches, les sinuosités froides, le sentiment décoloré". Cela nous montre encore une fois l'aspect monstrueux du personnage qui est défiguré par les ravages de la guerre. Précédemment dans ce passage, nous pouvons observer une métaphore (absence de comparant) : "Le visage [...] en lame de couteau". Ici Balzac prends un objet pour désigner la forme du visage de Chabert (1 faute). "Le visage [...] en lame de couteau" veut dire que le Colonel a un visage très fin, très maigre (comme un lame de couteau) à cause du manque de nourriture pendant qu'il était en guerre. Cela nous disserte encore une fois les horreurs et les atrocités de la guerre (1 terme mal choisi). Ensuite la citation "un homme d'imagination aurait pu prendre cette vieille tête pour quelque silhouette due au hasard, ou pour un portrait de Rembrandt". Rembrandt est un peintre célèbre qui peint des tableaux très tristes. Je trouve cette citation un peu insultante pour le Colonel Chabert car je trouve que dire qu'il ressemble à un tableau de Rembrandt est un peu excessif (répétition). En plus "quelque silhouette due au hasard" renforce le côté insultant de la phrase et donne encore plus l'impression que le Colonel Chabert est méprisé par la société.

Texte argumentatif sur "Le Colonel Chabert", Balzac

Je vais donner mon opinion sur un livre s'intitulant "Le Colonel Chabert", de Balzac, qui est paru en 1844. Le livre parle du colonel Chabert qui est normalement mort, et qui va prouver qu'il ne l'est pas.

Je n'ai pas apprécié ce livre premièrement parce que je n'aime pas l'époque durant laquelle l'histoire se déroule (XVIIIè-XIXè siècle). Je n'apprécie pas cette époque sur le plan littéraire car le vocabulaire utilisé étant d'une époque antérieur à la nôtre (1 faute), n'est pas tout le temps compréhensible, comme : "A droite de la porte cochère se trouvait la vacherie surmontée d'un grenier à fourrages", ou encore "Ici, permettez-moi de placer un détail que je n'ai pu connaître que postérieurement à l'événement qu'il faut bien appeler ma mort". Dans ces deux citations, le mot "cochère", ou encore "postérieurement", ne sont pas des mots que l'on emploient au quotidien (1 faute). Et donc en lisant ce livre et en tombant sur des termes de cette époque, cela affecte notre lecture et fait que l'on ne comprends pas l'histoire (1 faute).

Deuxièmement, je ne l'ai pas apprécié parce que je n'aime pas le personnage principal qui est le colonel Chabert. Ainsi, je n'arrive pas à m'identifier au colonel Chabert, ce qui est pour moi un point important, car cela permet de mieux apprécier le livre . Si on s'identifie au personnage principal c'est qu'on l'apprécie ou que l'on trouve qu'il nous ressemble, or là ce n'est pas mon cas à cause de la première impression qu'il donne. Au début du livre après avoir lu la présentation du colonel Chabert, celui-ci dit qu'il se nomme "Chabert". Puis lorsque qu'on lui demande confirmation il répond "Lui-même, monsieur" et se retire. On a l'impression qu'en faisant une présentation comme celle-ci il veut qu'on le traite de fou, (puisque le colonel Chabert est censé être mort) d'ailleurs, il est ensuite insulté. Il ne cherche même pas à se justifier et préfère fuir la réaction des clercs plutôt que d'y faire face.

Troisièmement et dernièrement, si je n'aime pas ce livre c'est parce que l'histoire ne me plaît pas. L'histoire en elle même ne me convient pas étant donné que l'époque et le personnage ne me plaisent pas (1 faute). Mais en plus de cela, l'histoire d'un colonel soit disant mort, en fin de compte vivant, et qui va faire un procès contre sa femme pour la récupérer elle et son argent, ne m'enchante pas. Lire ce livre alors que je ne l'aime pas m'empêche toute tentative d'immersion dans le récit . Et ainsi, la compréhension de l'histoire est rendue difficile et moins agréable par la même occasion. Ce qui fait que l'on ne souhaite pas continuer de lire le livre ou alors, on continue de le lire mais en n'étant pas attentif à l'histoire, et cela reviens à ne pas le lire (1 faute, répétitions).

En conclusion, je n'aime pas ce livre à cause de l'histoire, du personnage principal, mais aussi en raison de l'époque durant laquelle l'histoire se déroule.


Le Colonel Chabert : Texte argumentatif

Ce livre se nomme Le Colonel Chabert  qui est le personnage principal de l'histoire . Il a été écrit par Honoré de Balzac ( né le 20 mai 1799 et mort le 18 août 1850 ) en 1832 . Il a réuni tous ses romains sous un seul titre " La Comédie humaine ". Le roman entre dans la catégorie du réalisme .

Ce livre ne m'a pas vraiment plu car il y a du vocabulaire très compliquer à comprendre (1 faute), l'histoire commence tardivement et parce qu'il y a des passages qui sont très ennuyeux (répétitif). Les thèmes sont intéressants et bien utilisés : l'injustice, l'argent, la guerre, le pouvoir. Le Colonel Chabert est un personnage très attachant car il ne mérite pas cette déchéance soudaine ( chute sociale ).

Il y a des passages qui m'ont plu :

" Monsieur Desroches , vous irez au spectacle sans payer " dit Huré au quatrième clerc , on lui donnant sur l'épaule une tape à tuer un rhinocéros (1 faute) ( l.264 à l.266 ) . Ce passage est comique car il y a une succession d'exclamations ( Baoum , Enfoncé , ... ) par ce que Godeschal a perdus son pari et qu'il devra payer un spectacle pour Monsieur Desroches. (2 fautes)

" La comtesse rougit, pâlit, se cacha la figure dans les mains " ( l.1526 ) . Monsieur Derville essaye de piéger la comtesse dans son mensonge et a réussi . 

" J'étais sorti du ventre de la fosse aussi nu que de celui de ma mère ." C'est une comparaison car on compare le Colonel Chabert a un nouveau-né qui ne connaît rien à la vie (1 faute).

" J'ai constamment erré comme un vagabond , mendiant mon pain , traité de fou lorsque je racontais mon aventure ." On y ressent de la pitié car ce passage exprime la solitude du Colonel Chabert car il est sans abri , sans argent et est rejeté .

" Le saute-ruisseau est généralement [...] quarante francs qui leurs sont alloués par mois " . On apprend beaucoup de précision sur la vie quotidienne et la classe sociale des personnages (1 faute). On a l'impression d'appartenir à la vie parisienne du XIXè siècle .

" Quelle destinée ! Sorti de l'hospice des enfants trouvés , il revient mourir à l,hospice de la vieillesse , après avoir , dans l'intervalle

argumentation sur le colonel chabert

Nous avons lu le colonel Chabert. Il est écrit par  Honoré de Balzac. Je vais donc vous présenter ce livre sous trois arguments racontant ce que j'en ai pensé. Ces arguments seront mélioratifs et péjoratifs.

D'une part, la façon dont se déroule le retour d'entre les morts de Chabert m'a irritée. Sa renaissance est mal perçue et personne ne semble heureux de sa venue comme le prouve la citation: "ALLONS! encore notre vieux carrick!" (page 25). Seul Derville, son avocat, le croit et lui propose de l'aider pour récupérer son ancienne vie car "votre  cause sera ma cause" (ligne 13 page 50). Personne ne semble réellement préoccupé par son cas, seul leur intérêt personnel compte ce qui explique pourquoi la fin de l'officier est si dramatique et affligeante "Quelle destinée! s'écria Derville."(ligne 26 page 93). D'autre part, dès le début de l'histoire, Chabert n'a plus sa place dans cette société "J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants." (ligne 20-21 page 44) : il est mort d'un point de vue administratif, n'a plu son argent tandis que sa femme s'est remariée et a deux enfants . De plus, son entourage et lui-même le considère comme inutile  (1 faute) "par moment, je ne sais plus que devenir" (ligne 28 page 49). Je me suis même surprise, en tant que lectrice, à penser qu'il aurait du rester parmi les morts au champ de bataille à Eylau (1 faute).

D'autre part, l'avis que j'ai sur les portait et représentation des paysages de ce roman est diverse (3 fautes). En effet, ce livre contient beaucoup de descriptions, ce qui est très positif pour moi car je me rends vraiment compte du travail de l'auteur et ressens les émotions du narrateur. Malgré tout, ces analyses sont parfois trop énumératives ce qui me fait penser que l'auteur considère ses descriptions comme  inintéressantes "Cet enfant est presque toujours sans pitié, sans frein, indisciplinable, faiseur de couplets, goguenard, avide et paresseux. " (ligne 23 à 25 page 25).

Pour finir, le personnage de l'ex-femme du colonel est pour moi le personnage le plus intéressant de l'histoire. C'est elle qui décide de la fin du héros, de sa fin heureuse ou désastreuse. En effet, Chabert passe toute l'oeuvre à courir après une femme qui ne veut plus de lui "Ne me croyez pas ingrate. Seulement, vous trouvez une amante, une mère, là où vous aviez laissé une épouse" (ligne 11 à 13 page 80). Malgré la froideur constante de celle-ci, Chabert nous laisse dubitatif sur ses sentiments  "dès ce jour j'ai vécu dans la vengeance [...] je la désire et la maudis tour à tour" (ligne 22 à 28 page 49). Ce personnage est malgré tout remarquable et attendrissant "la comtesse fut admirable près de son premier mari" (ligne 27 à 28 page 81) .

En conséquent, le colonel Chabert est un livre multivalent qui varie entre des passages humoristiques, tristes et incompréhensibles. Ce livre reste néanmoins une oeuvre classique avec une intrigue simple à comprendre même si le narrateur utilise, par moment, du vocabulaire de l'époque qui peut être complexe. 

BALZAC, Le Colonel Chabert (Henni Sirine 2M)

          

             BALZAC:  Le Colonel Chabert


Introduction : Le roman Le Colonel Chabert de Balzac est un court roman qui a paru en 1844.

   1 - Points négatifs

Ce livre est un roman réaliste parce qu'il fait appel aux aspects de la réalité. Mais c'est aussi plus ou moins un roman historique car le personnage principal du livre est un guerrier en faveur de Napoléon Bonaparte. Honnêtement, je n'aime pas particulièrement les romans dans ce genre! Je trouve cela quelque peu ennuyant (barbarisme).

J'ai trouvé ce roman plutôt lassant par ses trop longs détails et ses descriptions très précises.
Je vous citerai, comme exemple, la description du lieu de vie de Chabert: "Le comte Chabert, dont l'adresse se lisait au bas de la première quittance que lui avait remise le notaire, demeurait dans le faubourg Saint-Marceau, rue du Petit-Banquier, chez un vieux maréchal-des-logis de la garde impériale, devenu nourrisseur, et nommé Vergniaud. [...] Sa visite chez Derville semblait avoir changé le caractère de ses traits, où l'avoué trouva les traces d'une pensée heureuse, une lueur particulière qu'y avait jetée l'espérance." (pages 91-95)
Je trouve ça dommage que le Colonel Chabert renonce à son identité, il l'a comme sacrifiée. J'en ai déduit que ce que le Colonel a fait est un sacrifice amoureux car il le dit lui-même (page 127) : "Ma chère, dit le colonel en s'emparant des mains de sa femme, j'ai résolu de me sacrifier entièrement à votre bonheur..". C'est donc un sacrifice par amour.
J'aurai d'autant plus préféré une fin heureuse, pour lui.


2 - Points positifs

Néanmoins, j'ai trouvé le roman plus ou moins intéressant car le Colonel Chabert essaye de retrouver son identité perdue. Ses sentiments et ses émotions sont partagés, on peut se mettre dans la peau du personnage, on peut se mettre à sa place et j'ai trouvé cela vraiment intéressant car on peut se plonger dans la vie du personnage.
J'ai éprouvé de la pitié et même de la peine pour lui à plusieurs reprises, comme pendant le passage: "Lorsque je revins à moi, monsieur, j'étais dans une position et dans une atmosphère dont je ne vous donnerais pas une idée en vous entretenant jusqu'à demain. [...] Cependant, le peu de chaleur qui me restait ayant fait fondre la neige autour de moi, je me trouvai, quand je repris connaissance, au centre d'une petite ouverture par laquelle je criai aussi long-temps que je le pus. Mais alors le soleil se levait, j'avais donc bien peu de chances pour être entendu. Y avait-il déjà du monde aux champs ?" (page 75 à 77) J'ai ressenti cela car le Colonel Chabert aurait pu mourir, il était entre la vie et la mort.


Si bien que, je trouve le vocabulaire riche (ponctuation, connecteur logique mal choisi). Il y a de nombreuses figures de style qui sont employés, par exemple: "par là s'est enfuie l'intelligence" (page 72, ligne 3) (1 faute)
C'est une personnification ici, cette figure consiste à attribuer des propriétés humaines à une chose inanimée et ici l'intelligence n'est pas quelque chose d'animée mais pourtant il dit qu'elle s'est enfuie (1 faute, phrase un peu longue). Je conclue donc qu'il tient à dire que le personnage pense que Chabert est bête (1 faute, niveau de langue).
Balzac utilise aussi une hyperbole page 76: "Mais je ne sais pas aujourd'hui comment j'ai pu parvenir à percer la couverture de chair qui mettait une barrière entre la vie et moi. Vous me direz que j'ai trois bras!" Il exagère sur le fait qu'il a réussi à percer "cette couverture de chair" donc qu'il a eu beaucoup de force pour parvenir à la percer et c'est pour cela qu'il dit avoir trois bras.

Conclusion : Le roman n'a pas vraiment été à mon goût car je le trouve ennuyeux et lassant. Je préfère les romans fictifs que je trouve plus entrainant pour ma part (2 fautes).
Du moins, pour certains aspects, ce court roman n'est pas trop mal (choix de la préposition, niveau de langue).

Le colonel Chabert

Le Colonel Chabert, publié en 1829 par Balzac, est un roman extrêmement cruel mais passionnant.
Dans un premier temps ce livre a une histoire passionnante (répétition). Certes, l'histoire était assez longue dès les premières pages, mais dans le contexte le livre m'a plu. L'histoire de ce vieux "carrick" est tellement tragique! Il était orphelin puis un Colonel très respecté et redevient orphelin sans identité. Dans les premières pages, ce qui m'a le plus étonnée est la citation :

" -Monsieur, lui dit Derville, à qui ai-je l'honneur de parler?

-Au colonel Chabert.

-Lequel?

-Celui qui est mort à Eylau, répondit le vieillard." (p63 /  l1-l6)

Comment le colonel Chabert, mort depuis plus de 10 ans peut il revenir du jour au lendemain? A partir de cette citation que le livre devient plus passionnant. L'intrigue est beaucoup plus présente. On a envie de connaître son histoire. Comment a-t-il pu survivre ?

Deuxièmement, lorsqu'il décrit sa mésaventure, un passage m'a énormément troublée.

" Enfin, en levant les mains, en tâtant les morts, je reconnus un vide entre ma tête et le fumier humain supérieur." (p68 / l11- l13)

A partir de ce moment là, le sentiment de dégoût apparaît car on ne s'attend pas du tout à avoir une scène comme celle ci et l'image de la scène est très troublante.
Troisièmement, il y a un autre passage dans se livre que j'ai beaucoup aimé : (1 faute)

"Un soir, en voyant cette mère au milieu de ses enfants, le soldat fut séduit par les touchantes grâces d'un tableau de famille, à la campagne, dans l'ombre et le silence." (p149 / l9-l12)

Dans ce passage, je ressens de l'amour et en même temps de la peine. Balzac me fais comprendre que le Colonel Chabert aurait aimé avoir une famille, ce qui est très touchant car il est conquit par le tableau que la Comtesse et ces enfants lui donnent (2 fautes). Mais il n'a jamais pu en avoir à cause de ces mésaventures. Cela me fait de la peine pour ce vieux Colonel.
Plus le livre avance et plus je suis emportée dans l'histoire. Balzac me fais ressentir chaque émotions, chaque sentiments que les personnages peuvent ressentir, notamment dans la citation (3 fautes) :

"-Bonjour, colonel Chabert, lui dit Derville.
-Pas Chabert! pas Chabert! je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant
." (p163 / l19-l23)

Je m'attendais à ce que le colonel devienne fou. Pour moi, c'était une fin logique. Il ne pouvait pas rester un homme tout à fait normal après toutes ces mésaventures sachant qu'il a été entouré par des cadavres, qu'il a vécu dans une misère incroyable, qu'il a été injurier, qu'il voit sa femme avec un autre et qu'il n'a pas de famille (1 faute). Si quelqu'un vivait tous ça c'est normal qu'il devienne fou (1 faute ; temps).


Pour conclure, ce livre est très intéressant, les émotions sont très présente (1 faute, un terme mal choisi). Ce n'est pas mon genre de livre habituelle, mais je l'ai beaucoup appréciée.

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