Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche


Les livres de la 2nde M › Le Colonel Chabert, Balzac

Fil des billets

14 novembre 2014

Le Colonel Chabert, deuxième version


Le livre est intitulé Le Colonel Chabert, il a été écrit par Honoré de Balzac (1799 - 1850) et publié en 1832.

J'ai globalement aimé ce livre, notamment le style de l'auteur, ainsi que l'histoire, malgré un vocabulaire et des scènes compliquées. Je trouve que l'auteur arrive à faire ressentir les émotions de Chabert au lecteur, il y a donc beaucoup de passages qui m'ont marqués. (1 faute)

Un des passages qui m'a marqué est lorsque Chabert raconte à Derville son réveil après la bataille d'Eylau.

Je pense que l'auteur arrive à transmettre les émotions de Chabert au lecteur. L'auteur laisse transparaître l'angoisse du personnage au moment où il se réveille dans la fosse :
"J'étais dans une position dont je ne vous donnerais pas une idée [...] En ouvrant les yeux je ne vis rien." 

Grâce à cette citation, le lecteur ressent l'angoisse et l'horreur du personnage en s'imaginant à sa place.

J'ai bien aimé ce livre car l'auteur ne cherche pas à faire un fin se résumant à "Tout est bien qui finit bien". Au contraire, l'auteur a choisi une fin tragique critiquant la société de son époque. "Toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont en dessous de la vérité [...] Moi, je vais vivre à la campagne avec ma femme. Paris me fait horreur." p.142

Dans cette citation, Balzac s'exprime au travers de Derville. Il critique les autres écrivains qui veulent critiquer la société en disant que la réalité est bien pire que ce qu'ils décrivent, surtout à Paris.

Dernièrement, j'ai aimé l'évolution tragique de Chabert, sombrant dans la folie à la fin du livre, lorsqu'il se trouve à l'asile.

"Il les remercia par un regard stupide en disant :

-Braves troupiers "

On peut voir que le personnage est devenu sénile, car il croit être encore Colonel, regrettant sa vie depuis la sortie de la fosse aux morts.

Pour conclure, ce livre à été publié en 1832 et écrit par Honoré de Balzac. Ce livre m'a plu car je trouve que l'auteur arrive à transmettre des émotions aux lecteurs. Balzac n'a pas cherché à faire une fin trop heureuse, et il critique les autres écrivains voulant réprouver la société de l'époque, en affirmant qu'ils sont bien en dessous de la réalité.

Colonel Chabert Correction

« J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants, sous des actes, sous des faits, sous la société tout entière, qui veut me faire rentrer sous terre! » (page 80)

Voilà une citation qui selon moi résume bien une partie de la vie du Colonel Chabert.

Écrit par Honoré de Balzac et paru en 1844, ce roman appartenant au réalisme est composé d'une lettre qui illustre la vie du Colonel Chabert. (1 terme approximatif).

   Le début du roman est incompréhensible. Il débute in medias res ( en plein milieu de l'action) et est écrit en argot. Le lecteur se retrouve dès les premières lignes désorienté. Comme par exemple, certaines expressions : « -Allons! encore notre vieux carrick » (première ligne du livre). On ne comprend pas le contexte. Certains mots anciens ou écrit en argot peuvent aussi ne pas être compris par le lecteur, comme par exemple clerc (deuxième ligne du livre) ou encore avoué (l.11 première page du livre). On ne comprend pas le rapport avec le titre, le Colonel Chabert n'est pas présenté.

   Cependant, d'un deuxième temps, le lecteur commence à comprendre l'intrigue, le fameux Colonel Chabert et son histoire: (faute d'inattention ; structure de la phrase)

«Mes oreilles tintèrent […] aussi longtemps que je le pus» (p. 75-77)

J'entendis, ou crus entendre, je ne veux rien affirmer, des gémissements poussés par le monde de cadavres au milieu duquel je gisais(début du passage cité ci-dessus)

Ce passage nous présente quelques malheurs parmi tant d'autres que le Colonel a vécu. Il nous présente comment il est passé du statut de Colonel au statut de mort.

<Voilà un pauvre homme qui croit être le Colonel Chabert> à des gens qui répondaient :<Le pauvre homme!>(l.2-4 p.79)

Je ne finirais pas, monsieur, s'il fallait vous raconter tous les malheurs de ma vie de mendiant. (l.4-6 p.85)

Ces passages, nous montre les railleries et la pauvreté que subissait le Colonel Chabert(syntaxe).

C'est à ce moment que j'ai commencé à aimer et à être captivé par le roman. Au moment où le Colonel Chabert raconte son histoire.

   Enfin, j'ai était très déçu par le retournement de situation à la fin du roman (2 fautes). Le lecteur qui a espéré tout au long du roman à ce que le Colonel retrouve l'amour de sa femme, son identité et son argent, assiste à un retournement de situation brutal et inattendu (structure de la phrase) : «-Madame, dit-il après l'avoir regardée fixement […] Chabert disparut en effet» (p.132-133).

La comtesse se jeta aux pieds du colonel, et voulut le retenir en lui prenant les mains ; mais il la repoussa avec dégoût, en lui disant : -Ne me touchez pas. (extrait du passage cité ci-dessus p.132)

Le colonel qui aimait tant sa femme, la méprise désormais et abandonne tout combat pour retrouver son argent et son identité.

«Il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits» (p.137)

Cette citation m'a beaucoup marqué car elle m'a fait comprendre ce retournement de situation (1 faute). Avec autant de mépris pour sa femme, et aucune famille, le Colonel décide d'abandonner son argent et son identité car il sera de toute manière malheureux. Il ne partageras ce bonheur, cet argent avec aucune famille (1 faute).

Pour conclure, ce roman est peut-être de premier abord très compliqué et difficile à comprendre. Néanmoins on se retrouve très vite captivé par l'histoire du Colonel Chabert.

Haby BARRY

13 novembre 2014

correction Balzac

Introduction :

Le Colonel Chabert, Balzac
Edition Magnard

J'ai beaucoup aimé le roman Le Colonel Chabert de Balzac car c'est un roman intéressant qui raconte le parcours de l'ancien soldat (Chabert). Il a beaucoup été rejeté lors de sa réapparition lorsqu'il est sortit de sa tombe (1 faute). Personne n'a voulu le croire, et encore moins la justice qui s'est presque moquée de lui pensant que c'était une personne banal, voulant prendre l'identité de Chabert (1 faute).

Passages marquants du roman :

Certains passages du roman relève de la tristesse comme quand le narrateur raconte que (1 faute) : "[…] le cuir qui garnissait l'intérieur de son chapeau étant sans doute fort gras, sa perruque y resta collée sans qu'il s'en aperçut, et laissa voir à nu son crâne horriblement mutilé par une cicatrice transversale […] en formant partout une grosse couture saillante." (p.25 ligne 404-410) Cela relève également de la pitié envers le Colonel avec ce passage marquant et touchant montrant la violence des combats. Il s'en cache pour ne pas qu'on le prenne en pitié.

Ce deuxième passage est un passage assez long mais marquant, rejetant de la compassion. On se rends compte de ce que le Colonel Chabert a pu endurer (1 faute).

Il rejette de la compassion car je me dit que cela pourrait être réellement possible mais également car la fin est en suspension, et que l'on peut donc ressentir l'émotion de Chabert (1 faute):
(p.31 l.578-592) "Souvent, mes douleurs me retenaient durant des semestres entiers […] où l'on riait au nez de cet homme dès qu'il prétendait être le colonel Chabert. Pendant longtemps ces rires, ces doutes me mettaient dans une fureur qui me nuisit et me fit même enfermer comme fou à Stuttgart. [...] Après deux ans de détention que je fus obligé de subir, après avoir entendu mille fois mes gardiens disant: "Voilà un pauvre homme qui croît être le colonel Chabert !" à des gens qui répondaient: "Le pauvre homme!" je fus convaincu de l’impossibilité de ma propre aventure, je devins, triste, résigné, tranquille et renonçai à me dire le colonel Chabert, afin de pouvoir sortir de prison et revoir la France. Oh ! monsieur, revoir Paris ! c'était un délire que je ne..."
Avec cet extrait on se rend compte que Chabert
baisse complètement les bras et qu'il est à bout de forces.


Citations marquantes du roman :

Il y a une citation (p.37 ligne 742-744) qui relève encore une fois de la pitié : "Je me souviens d'avoir pleuré devant un hôtel de Strasbourg ou j'avais donné jadis une fête, et où je n'obtins rien, pas même un morceau de pain." C'est un événement très fréquent aujourd’hui encore, c'est-à-dire que lorsque nous sommes en pleine santé, sans problèmes, sans soucis, les personnes qui nous entourent sont toujours là pour nous aider, mais lorsque l'on se retrouve malade ou dans la misère, personne nous aide à sortir de cette misère (syntaxe), on se retrouve seul comme l'a subis Chabert (1 faute). Personne n'est venu à son secours.

En lisant cette citation par exemple, je me dit que Chabert aurait mieux fait de rester dans sa tombe et ne pas en ressortir, car c'est comme-ci cela lui attirait des ennuis, il se retrouve dans de mauvaises situations (1 faute) : Citation (p.30 l. 555-556) "Je suis resté pendant six mois entre la vie et la mort, ne parlant pas, ou déraisonnant quand je parlais."

Avec ce dernier passage on s'aperçoit que Chabert a un seul but, il est sortit de sa tombe pour une seule raison : son épouse (1 faute). Il n'a pas de famille, il n'a personne, cela montre la détermination de Chabert, le courage également car ce ne devait pas être simple de surmonter ces épreuves seul, et je pense que c'est ce qu'il essai de nous faire comprendre à travers cette citation (1 faute) :

(p.36 l.724-727): "Je suis un enfant d'hôpital, un soldat qui pour patrimoine avait son courage, pour famille tout le monde, pour patrie la France, pour tout protecteur le bon Dieu."

Et je trouve également que c'est une belle citation, le fait qu'il dise que il avait « pour patrie la France » car il s'est battu pour la France et il donne l'impression avec cette citation de vivre pour la France (élision, répétition).

Conclusion :

Dans ce roman il y a eu beaucoup de passage tristes ; émouvant ; rejetant de la compassion, mais au final c'était un roman intéressant avec une histoire attachante (1 faute ; ponctuation ; niveau de langue). On pouvait ressentir ou exprimer beaucoup de sentiments diversifiés, peu connus dans certains autres livre, qui peuvent être plus humoristique et moins réels (2 fautes).

Par contre le début a été très lent et ennuyant, il ne se passais rien, il y avait beaucoup de détails que je n'ai pas trouvé très importants de connaître, et également de descriptions (barbarisme : préposition ; 2 fautes).

Le vocabulaire était la plupart du temps un langage soutenu, parfois compliqué à comprendre, malgré les notes de l'édition.

J'ai quand même beaucoup aimé ce roman.



Chabert 2

Ce livre m'a plu dans l'ensemble car il est composé de moments intéressants de la vie de cet homme mystérieux au XIXème siècles (1 faute ; peu clair). Les descriptions de l'auteur sont recherchées et démonstratives de ce que Chabert a vécu : " Au passage ou il raconte son périple comme si il y était encore." (? 2 fautes) lI fait ici une description détaillée de ses sentiments qui nous permettent de  ressentir l’action du récit. ( citation 1 : - «  Autrement comment concevoir [ ... ] sans ce secours inespéré, je périssais ! » rédigez ; citation complète)

Certains passages m’ont plus car ils retraçaient certaines réalités historiques effroyables qu’avaient véritablement vécu des milliers d’hommes lors des guerres (1 faute).
Au début du livre, l’histoire ne m’a pas satisfaite car je croyait commencer l'histoire dans l’action militaire (grâce au titre ) alors que je me suis retrouvée avec la description d’une personne âgée ( Chabert ) et d’un enfant ( Simonnin ) qui se trouvent tout deux dans un cabinet de clercs (2 fautes).
 Finalement, on se retrouve pris d’amitié avec Chabert qui nous parait proche et dont la vie toute entière nous a été racontée (1 faute). Durant l’histoire, il a ressenti tous les sentiments possibles, d’abord la souffrance au tout début livre, puis il est pris de haine et de vengeance et il fini en ayant été trahi (1 faute). Il abandonne et ne veut plus se battre. Grâce aux sentiments de peur et de douleur extrême qu’éprouve le colonel, ( des cris horribles, une douleur inexprimable, des gémissements de souffrance ... ) cela m’a plus car j’ai eu de la pitié et de la tristesse pour lui qui se trouvait entre la vie et la mort (1 faute ; syntaxe).
Il voulait seulement se venger d’avoir été pris pour mort par tous (syntaxe). Il était devenu vagabond pendant tant d’années. ( «  L’on m’a cru mort, me revoilà ! Rendez-moi ma femme et ma fortune." ) Il ne veut plus se battre, il abandonne car il a perdu tout espoir et toute confiance en lui. Le pauvre homme ayant combattu toute sa vie voulant prouver qui il était, se retrouve finalement dans un hospice de vieillesse, après avoir vécu des étapes très dures durant sa vie. ( il a pu se déterrer, sortir d’une fausse remplie de morts, se recoudre le crâne seul, marcher pendant des heures et même survivre à la guerre (1 faute). )
Il abandonne après tout son périple, de redevenir lui même aux yeux des autres (ponctuation). Il préfère tuer le colonel et devenir l’anonyme, le numéro 164, septième salle.

Finalement toute l'histoire est remplie de sentiments très bien décrits par l'auteur, qui sont très importants pour comprendre tout ce qui ce passe dans le récit et surtout la chute (1 faute ; confusion).













Ce livre m'a plu dans l'ensemble grâce aux moments intéressants de la vie de cet homme mystérieux au XIXème siècle (choix de la préposition). Les descriptions de l'auteur étaient recherchées et démonstratives de ce qu'a vécu Chabert (choix du temps). Comme au passage ou il raconte son périple comme si il y était encore (structure de la phrase ; 1 faute). Il fait ici une description détaillée de ses sentiments qui nous permettent de nous sentir plus dans l’action du récit (niveau de langue ; 1 faute). ( citation 1 : - «  Autrement comment concevoir ...  sans ce secours inespéré, je périssais ! » rédigez ; citation complète)
Certains passages m’ont plus car ils retraçaient certaines réalités historiques effroyables qu’ont  véritablement vécu des milliers d’hommes lors des guerres (2 fautes ; temps).
Au début du livre, l’histoire ne m’a pas satisfaite car je croyait commencer dans l’action militaire ( à cause du titre ) alors que je me retrouve avec la description d’un vieillard ( Chabert ) et d’un gamin ( Simonnin ) qui se trouvent tout deux dans un cabinet de clercs (2 faute, temps, niveau de langue).
 Finalement, on est presque pris d’amitié avec cet homme qui nous parait proche et dont la vie toute entière nous a été raconté (choix de la préposition, construction verbale, 2 fautes). Durant l’histoire, il a vécu tous les sentiments possibles, d’abord la souffrance au tout début livre, puis il est pris de solitude, de haine, de la vengeance ... et il fini en ayant été trahi, finalement il abandonne et ne veut plus se battre (choix du verbe, ponctuation, syntaxe, 1 faute, répétition, structure de la phrase). Grâce aux sentiments de peur et de douleur extrême qu’éprouve le colonel, ( des cris horribles, une douleur inexprimable, des gémissements de   souffrance ... ) cela m’a plus car j’ai été prise de pitié et de tristesse pour lui qui se trouvait entre la vie et la mort (1 faute, syntaxe).
Il voulait seulement se venger d’avoir été pris pour mort par tous et devenu vagabond pendant tant d’années (constructions verbales, préposition). ( «  L’on m’a cru mort, me revoilà ! Rendez-moi ma femme et ma fortune ...Rédigez
A la fin du récit, j’ai été très déçu et surprise par la décision du colonel Chabert qui arrêta de ce battre, il abandonna car il avait perdu tout espoir et toute confiance en lui (2 fautes, temps, ponctuation). Le pauvre homme ayant combattu toute sa vie voulant prouver qui il était, se retrouve finalement dans un hospice de vieillesse, après avoir vécu des étapes très dures durant sa vie (mode). ( il a pu se déterrer, sortir d’une fausse remplie de morts, se recoudre le crâne seul, marcher pendant des heures et même survivre à la guerre ! ) (ponctuation, 1 faute)
Il abandonna après tout son périple, de redevenir lui même aux yeux des autres en préférant tuer le colonel et devenir l’anonyme, le numéro 164, septième salle (temps, syntaxe).

Conclusion ?

Le Colonel Chabert, de Balzac (Correction)

Le Colonel Chabert, de Balzac est un livre qui appartient au courant littéraire du réalisme. Je l'ai personnellement moyennement apprécié. Je trouve que l'histoire n'est pas très originale, et est trop terre-à-terre ; le cadre spatio-temporel est assez basique, le récit se passe au XIXème siècle pendant l'époque napoléonienne à Paris. Je préfère les récits fantasy ou la science-fiction, où il y a toujours une petite dose de surnaturel qui rend les choses différentes, on peut s'imaginer dans un autre monde où les règles sont différentes.

Malgré cela, j'ai apprécié une des grandes questions du récit : "Les morts ont donc bien tort de revenir ?". Je trouve cette question très intéressante puisqu'une partie de l'histoire tourne autour de cela. Le Colonel Chabert a-t-il le droit de reprendre sa femme alors qu'elle est mariée, heureuse, mère et dans une situation stable ; alors que son retour ne pourrait qu'apporter le malheur à cette femme qui ne l'aime plus et qui a reconstruit sa vie ? De plus, la remise en question de Chabert envers lui-même et le fait qu'il soit conscient de l'impact qu'il peut avoir sur son entourage le rendent attachant. L'ironie de la situation donne des phrases assez étranges que j'ai trouvées très poétiques: "J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants, sous des actes, sous la société toute entière qui veut me faire rentrer sous terre" ; mais aussi : "Transiger, répéta le Colonel Chabert. Suis-je mort ou suis vivant ?"

Mais j'ai trouvé le vocabulaire et le style d'écriture assez difficiles (niveau de langue). il faut du temps pour s'y habituer et prendre patience. On ne comprend pas par exemple tout de suite au début que le vieux "carrick" est le colonel Chabert ; j'ai ne l'ai moi-même compris qu'après avoir relu le passage quatre fois. D'ailleurs, il ne se passe pas grand chose dans l'incipit qui est assez long, puisque le personnage principal est présenté après une longue description d'un cabinet d'avoués. L'action ne vient que bien plus tard et elle n'est pas très haletante, même si j'ai personnellement beaucoup apprécié le récit de Chabert qui est la partie que je préfère dans ce livre (page 77 : " Lorsque je revins à moi, monsieur [...] je m'évanouis quand mon crâne fut en contact avec la neige").

En conclusion, j'ai trouvé ce livre intéressant, sa lecture a été une bonne expérience.

texte argumentatif améliorer du Colonel Chabert

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Le Colonel Chabert est un roman écrit par Honoré de Balzac au XIXème siècle. Et dont le courant littéraire est le réalisme. (structure de la phrase)

Tout d'abord, je n'ai pas aimé le roman car le début du livre est incompréhensible, ce n'est pas clair. L'auteur parle de "clerc", ce qui n'a rien à voir avec le titre du livre. Comme par exemple dans la citation suivante: "Cette exclamation échappait à un clerc". (structure de la phrase)

Néanmoins par la suite, on commence à comprendre l'histoire. L'auteur parle du personnage principal : ce fameux Colonel Chabert. Effectivement dans le passage suivant, non seulement l'auteur parle du Colonel Chabert mais il le décrit aussi : "Le vieux soldat était sec et maigre. Son front, volontairement caché sous les cheveux de sa perruque lisse, lui donnait quelque chose de mystérieux".

Ensuite, le langage m'a beaucoup perturbée. Le vocabulaire argotique utilisé par Honoré de Balzac dans le livre est difficile à comprendre. Notamment quelques passages du texte, comme celui-ci : "Allons! encore notre vieux carrick". Dans cette phrase le mot "carrick" me perturbe. En revanche Balzac a utilisé des citations très touchantes comme celle-ci : "le vrai silence du tombeau". Cette citation m'a marquée car on a l'impression qu'il a ressuscité, c'est-à-dire qu'il avait déjà entendu le silence du tombeau quand il était mort puis il ne l'a plus jamais entendu quand il est revenu à la vie.

De plus, l'histoire est très triste et se finit mal. Tout au long du livre, j'espérais que le Colonel Chabert  regagne l'amour de sa femme et son argent. Or, cette dernière est malhonnête et matérialiste. Elle est mariée au comte Ferraud et a deux enfants avec ce dernier. Comme le montre le passage suivant (structure de la phrase) : "Un soir, en voyant cette mère au milieu de ses enfants, le soldat fut séduit par les touchantes grâces d'un tableau de famille, à la campagne, dans l'ombre et le silence". Finalement, ce pauvre Colonel Chabert se retrouve à la rue et sans argent. Il commence à perdre la tête. En effet, selon le passage suivant nous avons la preuve qu'il n'a plus aucun espoir, aucune envie de vivre:

"Bonjour, colonel Chabert, lui dit Derville.

- Pas Chabert ! pas Chabert ! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant".

Pour conclure, Je n'ai pas aimé le livre écrit par Honoré de Balzac néanmoins certaines citations me touchent et me font ressentir de la peine et de la pitié envers le Colonel Chabert. Son histoire est tragique. Ce pauvre homme s'est battu mais a tout perdu. Ce roman ne m'a pas plu car il ne m'a pas beaucoup captivée.


26 octobre 2014

Le Colonel Chabert de Balzac

Le Colonel Chabert

Le Colonel Chabert est un court roman écrit par Honoré de Balzac.
Sa première version est écrite en 1832, sa version définitive parait en 1844.
Ce roman entre dans la catégorie du réalisme.
Honoré de Balzac est un célèbre auteur réaliste de la première moitié du XIXè siècle.
 Il a réuni tous ses romans sous un seul titre : "La Comédie humaine"

Personnellement, j'ai trouvé l'histoire intéressante, mais certains passages du texte étaient très compliqués à comprendre : je me suis un peu noyée dans toutes les descriptions proposées par Balzac. Néanmoins, ces descriptions comportent un intérêt, car elles nous permettent de
bien visualiser les scènes du livre. En effet, il est beaucoup plus simple pour nous de s'imaginer les personnages, ou les lieux, et nous sommes donc, en quelque sorte, intégrés à l'histoire. Par exemple, ce passage :
<< L’étude était une grande pièce ornée du poêle classique qui garnit tous les antres de la chicane [...]
 Pourquoi ? Peut-être dans ces endroits le drame, en se jouant dans l’âme de l’homme, lui rend-il les accessoires indifférents :
ce qui expliquerait aussi la simplicité des grands penseurs et des grands ambitieux. >>
 qui décrit une pièce, l'étude, en une cinquantaine de lignes, nous permet de nous faire une idée claire du lieu de l'action, ce qui nous donne l'illusion d'être nous-même présents dans l'étude.

J'ai également apprécié le côté très instructif du roman, car, toujours à l'aide d'une multitude de détails, Balzac nous en apprend énormément sur la vie parisienne de l'époque, et sur les habitudes de chacun, comme par exemple avec cette anecdote sur les saute-ruisseaux :
<< Le saute-ruisseau est généralement [...] quarante francs qui leurs sont alloués par mois >>
qui nous décrit avec beaucoup de précision la vie quotidienne et la classe sociale des personnages en une vingtaine de lignes.
Dans cette même idée, Balzac nous donne l'impression d'appartenir à la vie parisienne du XIXè siècle. L'histoire est tournée de telle façon que les lieux et les personnages nous semblent familiers, comme si nous vivions nous même à cette époque, ce que je trouve également très intéressant.

Globalement, l'histoire m'a plu car elle raconte le parcours hors du commun d'un homme d'apparence banale, sans histoires, qui va vivre une vie extraordinaire et pleine de rebondissements, comme le résume à elle seule cette phrase
prononcée par M. Derville à la fin du livre :
<< Quelle destinée ! Sorti de l’hospice des enfants trouvés, il revient mourir à l’hospice de la vieillesse, après avoir, dans l’intervalle, aidé Napoléon à conquérir l’Egypte et l’Europe >>


Pour conclure, je dirais que j'ai apprécié ce livre, malgré quelques difficultés de compréhension et l'accumulation de détails qui rendent pour moi ce texte un peu lassant.

09 octobre 2014

le colonel chabert - Balzac

Dans ce texte argumentatif nous allons donner notre opinion sur le roman "le colonel Chabert" écrit en 1929 par Honoré de Balzac (présentation du titre ; erreur de date).

      Tout d'abord, j'ai trouver se roman très intriguant au début car je ne comprenais pas le sens de l'histoire (2 fautes). Je ne m'attendais pas a ce que le début du roman se passe comme cela, je m'attendais plutôt a ce que dès le début nous soyons vraiment plonger dans l'histoire du colonel Chabert en lui même (4 fautes ; répétition).  Je m'attendais dans ce début de roman a un "Incipit" du mot latin Incipio qui veut dire commencer (1 faute ; répétition). Ou Balzac nous aurais décrit le personnage principal ou il y aurais eu tout de suite une intrigue etc... (ponctuation ; répétition ; structure de la phrase; 4 fautes) Dans ce début de roman j'ai vraiment été piégé par l'écrivain car je m'attendais a ce que le texte est un début un milieu et une fin tant dit que la on entre directement en plein milieu de l'action (répétition ; 4 fautes). ce procédé littéraire qui consiste a faire débuter un roman en plein milieu d'action s'appel in medias res (article ; 3 fautes).

      Ensuite, j'ai trouver l'histoire pas très passionnante car il n'y avais pas vraiment de péripétie, les mots était parfois difficile a comprendre malgré les définition donner  en bas de page (ponctuation ; syntaxe ; 8 fautes). L'histoire en elle même n'était pas non plus intéressante, les scènes était parfois trop longue du coup on ne prenais pas forcément plaisir a lire une même scènes  pendant lontemps (niveau de langue ; 7 fautes).

       Enfin, j'ai trouver que la fin du livre était un peu rapide,  je ne m'attendais pas du tout a ce que le Colonel Chabert ne récupère pas son argent et qu'il devienne fou (2 fautes). je pensais plutôt au contraire que les gens lui redonnèrent son identité et qu'il retrouve sa richesse (temps). La fin du roman ne correspond donc pas du tout a ce que j'attendais et cela m'as déplu car j'aurais préféré avoir eu raison en croyant que le Colonel Chabert allais retrouvé sa vie d'avant (répétition ;4 fautes).

        Au final j'ai trouver ce roman pas intéressent car a force de jouer avec le lecteur, l'écrivain en a trop fait ce que je n'ai pas forcément plus dans le roman (niveau de langue ; construction verbale ; 4 fautes).

08 octobre 2014

Le Colonel Chabert de Balzac

Je n’ai pas apprécié ce livre malgé les traits positifs qu’il peut y avoir dedans (introduction ? maladresse d'expression ; 1 faute). Je n’ai pas été captivé par l’histoire d’autant plus qu’elle commence en cours de route et que nous ne savons pas ce qui a pu se passer auparavant (1 faute). Le livre met beaucoup de temps à commencer ces actions ; il y a un trop long temps « d’attente », malgré que cela soit le style de Balzac, cela ne me plaît pas particulièrement (1 faute, syntaxe, guillemets). Le début est assez désorienté, en effet j’ai pris un peu de temps à comprendre le début de l’histoire et savoir où le roman se passait (2 erreurs de vocabulaire ; répétition). Balzac commence directement son livre par beaucoup de descriptions et une étude sociale des « saute-ruisseaux » (page 20-21). Le livre devient captivant quand le colonel Chabert commence à raconter son histoire à Mr. Derville. Une fois le contexte compris j’ai trouvé ce livre agréable à lire, malgré certains mots compliqués. Au début le personnage a l’image de quelqu’un de désespéré, pauvre et sale, alors qu’au contraire avant la guerre et tous ses incidents, c’était un homme riche et respecté. Balzac montre que c’est très facile de passer de tout à rien du jour au lendemain et de retrouver sa vie d’avant : « Vous êtes, dit le colonel d’un air mélancolique, la seule personne qui m’ait si patiemment écouté » (phrase ambiguë ; lien entre la citation et l'idée ?).  Je n’ai pas beaucoup aimé le personnage principal à cause de son histoire que j’ai trouvé trop triste :

- Les méfaits de la société sont montrés : comme la perte de son identité aux  yeux de l'état, cela nous montre  comment le personnage bascule du défunt colonel reconnu à un homme que l'on croit fou : « J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants, sous des actes, sous des faits, sous la société tout entière, qui veut me faire rentrer sous terre ! » (ponctuation, 1 faute).

- Les injustices de la vie sont aussi montrées : le colonel ayant perdu son identité se retrouve pauvre et sa femme le nie pour hériter de sa fortune. La comtesse Ferraud  tente de le piéger. En effet elle lui fait croire qu'ils sont amis alors qu'en fait elle veut l'envoyer dans un asile. La citation «  j'ai résolu de me sacrifier entièrement à votre bonheur » démontre que Le Colonel Chabert tombe dans le piège de sa femme et qu’il est encore amoureux d'elle. Cette citation prouve qu'il est prêt à tous les sacrifices pour l'amour. Sa motivation pour mener ce combat perdu d’avance est de récupérer son nom, son honneur et sa dignité. Il veut vivre socialement en portant son nom. Finalement par « dégout de l’humanité tout entière »il s’en va « chez les fous ». Dans les dernières pages Chabert est symbolisé par le chiffre 164  « Je suis plus un homme, je suis le numéro 164 » alors que dès la première ligne il était symbolisé par un carrick «Allons ! encore notre vieux carrick » (1 faute de syntaxe). Le colonel redevient anonyme, il est né sous aucune identité et il en mourra aussi ainsi (syntaxe, maladresse d'expression).

La fin du livre est étonnante, je m’attendais à ce qu’il retrouve son argent et son titre mais finalement il décide de ne pas faire la transaction avec son ex-femme et de se retrouver dans un hospice pour fou.

Pour conclure, c’est une histoire très triste et remplie d’injustice pour Le Colonel Chabert (2 fautes).

Le Colonel Chabert de Balzac

Le Colonel Chabert est un roman réaliste d'Honoré de Balzac écrit en 1844 qui raconte l'histoire d'un soldat, le colonel Chabert, qui a tout perdu à la guerre ( son estime, sa femme...) et qui est tellement traumatisé par la guerre qu'il renit son identité et qu'il se retrouve à l'asile (présentation du titre ; ponctuation ; répétition ; 1 faute).

Dans ce livre, je n'ai pas apprécié l'histoire que j'ai trouvée trop choquante. Comme exemple, on peut citer le passage où le Colonel Chabert se retrouve enseveli sous les morts et qu'il doit se servir d'un bras pour se dégager (syntaxe). Cette citation commence par: " je rencontrais fort heureusement un bras qui ne tenais à rien " et finit par: " je dis nous, comme si y eût eu des vivants" : cette phrase témoigne de l'horreur de la guerre (1 faute, ponctuation). Mais, ce qui m'a le plus choqué est l'hironisation par le Colonel de la situation, comme les phrases: " le bras d'un hercule", " je me mis à travailler les cadavres"et "un bon os"...( 1 faute ; expliquez)

Ensuite, c'est la tristesse de ce livre, la solitude, le désespoir du personnage qui m'ont heurtée. Pour illustrer cela il y a le passage "je suis un enfant d'hôpital, un soldat qui pour patrimoine avait son courage, pour famille tout le monde... le bon dieu", l'emploi de l'imparfait suggère qu'il n'a plus de patrimoine, plus de famille, plus de patrie, plus de protecteur, plus rien. On peut aussi citer le passage:" j'entrevoyais à peine cette femme qui est mienne et qui n'est plus à moi", l'emploi de cette oxymore met bien en valeur le fait qu'il 'ait plus de femme non plus, car la guerre lui a tout pris (figure de style à revoir ; 1 faute d'orthographe, 1 faute de syntaxe). Ceci met en valeur le coté injuste de l'histoire et suscite de la pitié pour le personnage.

Néanmoins, j'ai trouvé l'histoire touchante car on compatit pour le personnage.

- page 1 de 4