23 février 2019
Pour découvrir Georges Brassens !
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 23 février 2019, 12:16
23 février 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 23 février 2019, 12:16
22 février 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 février 2019, 01:06
Acte V, scène 3 (extrait).
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 février 2019, 01:01
Acte III, scène 15.
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 février 2019, 00:52
Acte III, scène 5.
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 février 2019, 00:03
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
21 février 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 21 février 2019, 23:17
Enivrez-vous
Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Charles Baudelaire - Le Spleen de Paris, XXXIII
13 février 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 13 février 2019, 13:15
Acte I, scène 1.
06 janvier 2019
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 06 janvier 2019, 10:07
Aujourd'hui, la prophétie de George Orwell se trouve réalisée : on nous a supprimé tous les mots du vocabulaire qui nous permettaient de penser négativement...
11 novembre 2018
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 11 novembre 2018, 11:18
14 octobre 2018
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 14 octobre 2018, 16:30
Une nouvelle vidéo proposée par Mediaclasse :
La belle Renée s'ennuie à mourir dans son magnifique hôtel du parc Monceau... Elle va progressivement sombrer dans la décadence et, comme Phèdre, connaître la tentation de l'inceste...
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