Le blog des Robinson de la 5èE

 Vendredi vient de partir, abandonnant Robinson. Alors que celui-ci se croit seul, il rencontre Jean Neljapaev pour la seconde fois. Jean, que Robinson renomme Dimanche, n’est autre que le mousse du Whitebird. Le jeune homme d’à peine 12 ans décide la veille de quitter le navire pour rester sur l’île et pourvoir vivre avec Robinson qui lui parut gentille.

Robinson, heureux et rassuré de ne pas rester seul, décide d’apprendre divers inventions à Dimanche, comme Vendredi le faisant tantôt. En souvenir de son ancien compagnon, la première chose qu’il apprend à Dimanche est le jeu des échanges. Il explique calmement à Dimanche en quoi procédait ce jeu pour qu’ils puissent ensuite y jouer. Dimanche comprends vite le jeu et sautille, impatient de se déguiser en Robinson. Ils jouèrent durant le reste de la journée, Robinson met des vêtements rayés et ébouriffe ses cheveux pour ressembler à Dimanche qui lui, met des anciens vêtements de Robinson, bien trop grand, et se met à imiter l’accent que Robinson prit au cours des années passées sur l’île.

Le lendemain, ils se lèvent à l’aube. Cette fois, Robinson décide de faire découvrir l’île à Dimanche. Ils vont d’une plage à une autre, des falaises aux dunes, de la grotte aux marécages etc. Dimanche découvre de multiples facettes de l’île au cours de cette matinée très animée, mais alors que le temps passe, nos deux amis commencent à avoir faim.  C’est ainsi que durant l’après-midi, Robinson apprit à Dimanche divers recette qu’il connait de Vendredi.

Après avoir découvert Dimanche, Robinson voulut lui faire part des inventions les plus extra-ordinaires et les plus utiles de Vendredi.

Tout d'abord, Robinson décida de questionner Dimanche à propos de ses goût culinaires et le jeune mousse lui répondit que quant il était sur le Whitebird il ne mangeait pas à sa faim : ses maigres repas étaient surtout constitués de pain, d'eau et parfois de volaille. Robinson en conclut qu'il devait l'initier à manger de la bonne nourriture fraîche.

Robinson lui apprit donc à confectionner un arc pour chasser, trouver de l'argile

dans le sol pour cuire les aliments et Robinson recommença même à cultiver du riz et du blé. Petit à petit une complicité naissait entre les deux marins. Robinson considérait même Dimanche comme son fils. Ensemble, ils passaient de fabuleux repas autour d'un feux de joie. Mais Dimanche commença a trouver les journée ennuyeuses.

En observant Dimanche, Robinson découvrit que son compagnon adorait écouter et jouer de la musique. Le viel homme entreprit donc de lui montrer la harpe éolienne de Vendredi. Dimanche fut émerveillé par la finesse et le son de ce bijou.

Un jour Dimanche demanda à Robinson de fermer les yeux et il entendit un magnifique duo mais il n'arriva pas à distinguer les deux instruments. Quant il les ouvrit il fut abasourdi en voyant son compagnon jouer dans une flûte de bambous accompagné par la harpe éolienne.

Maintenant que Dimanche lui a redonnait le goût de vivre, Robinson se promit de ne plus jamais quitter son compagnon et de ne plus céder ni à la souille, ni à la grotte. Il demanda aussi à Dimanche que chaque soir, avant de se coucher, il joue un petit morceau de flûte. Ainsi ils ne seront plus tristes et mélancoliques.

Lorsqu’il repartit à la grotte pour se réfugiez est s’endormir Robinson découvrit dans un trou un petit garçon. Son nouveau compagnon Estonien Jean Neljapaev qu’il préfère appeler Dimanche car c’est le jour des fêtes, des rires et des jeux.

 Il décida d’aller découvrir le monde et surtout de retrouver un jour Vendredi. Avec l’aide Dimanche ils construisirent une embarcation pour s’en aller faire le tour du monde. Pour se divertir Robinson apprit à Dimanche ce dangereux que Vendredi et lui aimait tant. Il se lança à la poursuite d’un bouc et le força à s’allonger. Il en profita pour montrer à Dimanche comment se servir d’un Bolas. Une fois le bouc mort il appliqua se que lui avait appris Vendredi il dépeça l’animal et plaça sa carcasse sur une fourmilière. Il la récupéra quelques temps plus tard et montra à Dimanche comment fabriquer une harpe éolienne et un cerf-volant. Le petit enfant époustouflé ne cessait de s’amuser avec le cerf-volant qu’il faisait virevolter dans les airs. La fabrication de leur bateau avançait très vite et ils étaient de plus en plus impatients de partir à l’aventure. Pendant leur temps libre il s’amusait à marcher sur les mains, à faire des jeux tels que la course sur sable le saut en hauteur. Dimanche apprenait aussi à parler avec des gestes de main car Robinson savait que cette connaissance lui servirait à dialoguer avec un personne qui ne parlait pas la même langue que lui, à parler un peu araucan et confectionner un arc et des flèches ; elles n’étaient pas destiner à tuer des animaux mais à voler très haut et très loin.  

Vers midi le bateau fut enfin prêt ils prirent le large et voguèrent pendant des heures, à ce moment-là le temps était éclairé. La mer était calme et relaxante. Ils se mirent à pêcher pour préparer leur dîner pour cela, ils utilisèrent une méthode assez particulière propre à Vendredi, ils utilisèrent le cerf-volant pour pêcher les poissons. Pour le diner ils firent de ces poissons un magnifique festin. Il mit les débris dans un sac et promis à Dimanche de lui montrer comment éliminer les ordures une fois qu’ils auraient mis pied à terre. Le soir même alors que Robinson n’arrivait pas à dormir, il sortit scruter l’horizon, après quelques minutes les vagues le bercèrent et il s’endormi sur le ponton du bateau. Le matin lorsque Jean se réveilla il découvrit Robinson endormi sur le sol, surpris, il décida de ne pas le réveiller alors il pris la bar et les fis accoster sur une île sur la cote de l’Asie.

Une fois avoir mis pied à terre ils prirent un bon petit déjeuner et partirent visiter l’Asie. Comme promis Robinson montra au jeune garçon comment éliminer leur déchet et il plaça leur reste de poisson sur une fourmilière et le tour était joué. Ils trouvèrent ville magnifique la verdure était abondante, de sublimes arbres ornaient les allées, des plages, des palmiers il n’y avait que de quoi plaire à nos deux aventuriers. Ils ne savaient plus où donner de la tête. Emerveillé, ils prirent le temps de s’allonger sur la plage et d’admirer le coucher de soleil. Ce magnifique continent était encore plus beau la nuit le ciel avait des teintes rosées, violettes et noires. Pour le repas Robinson apprit à Dimanche quelques spécialités araucanienne.

Ils reprirent leur escapade le lendemain matin, la mer cette fois étaient beaucoup plus agitée et le courante était de plus en plus fort. Fatigué Dimanche finit par s’endormir malgré les intempéries et Robinson se retrouva seul. Il décida donc de reprendre l’écriture de son journal là où il l’avait laissé, il commença par raconter ses journées à partir du jour où il rencontrer trouvé son nouvel ami Dimanche. Quelques temps plus tard Robinson tomba très malades et mourut. Bien que cet évènement affecta énormément Dimanche, il gardait en sa mémoire les magnifiques moment passés avec Robinson. Il décida de rester en Asie car c’est dans ce pays que reposaient ses derniers souvenirs malgré son jeune âge Dimanche s’en sortit très bien dans la vie car avant de partir Robinson avait fait de lui un vrai homme.  

     Robinson décide de faire visiter l'île à Dimanche .Ils s'enfoncent dans la jungle, en ayant prient soin de marquer leurs chemin, pour ne pas se perdre.Au bout de quelques heures, ils découvrent un temple, que Robinson n'avais jamais vu auparavant. Le temple est couvert de végétation,et de forme pyramidale.

     La petite troupe s’avance dans la sombre structure : des totems et fresques ornent les murs. Après quelques minutes, ils marchent par-hasard, sur une plaque de pression.Soudain, ils entendent un mécanisme s'enclencher, puis se retournent et découvrent stupéfaits,une pierre géante roulant dans leurs direction ... Ils se mettent alors a courir pour échapper a ce terrible piège.La course poursuite s'achève : Robinson et Dimanche trouvent un endroit pour se cacher. La pierre passe Robinson est sauvé...

Dimanche remarque une salle, dont l'entrée est couverte de lianes :

_Robinson, j'ai trouvé quelque chose !

_J'arrive ! ...dit Robinson.

Robinson ente dans la pièce accompagné de Dimanche, en passant les lianes au-dessus de ses bras .C'est qu'il découvrent un coffre, au milieu de la salle.Il admire alors le contenu du coffre : pierre précieuses et bijoux ... Ses jambes tremblent, il sent peu à peu une émotion l'envahir : le bonheur.Il pense à tout ce qu'il pourrai réaliser avec ce trésor...Mais il se rappelle qu'il ne peut pas l'utilité: le trésor n'a plus aucune valeur. La tristesse l'envahie : il se met a pleurer.Puis il dit à l'enfant :

"Tient, c'est un cadeau de bienvenue..."

 L'enfant se jette sue le trésor, puis remercie chaleureusement Robinson .

Maintenant que Robinson avait un nouvel ami, il retrouva le sourire. Cependant, il devait lui apprendre les bases de la vie sauvage et cela ne lui plaisait pas. C'est Vendredi qui lui avait tout appris et il n'avait fait que l'imiter... L'imiter ! Voila comment Robinson pourrait apprendre la vie sur l'île de Speranza au mousse. Aussi, Robinson profita du fait que le garçon parlât mieux l'anglais que Vendredi pour lui apprendre un nombre plus important de signes qu'à ce dernier lorsque les perroquets venaient sur l'île.

Robinson apprît donc à Dimanche ce qui le garderait en vie, comme la chasse, la pêche, la découverte de point d'eau potable et la distinction des baies comestibles par leur couleur et leur texture. Le mousse savait déjà pêcher mais ne savait manier aucune arme de chasse, car il n'arrivait pas à porter les bolas, peinait à bander l'arc et ne jetait la lance qu'à un mètre. Robinson ne s'attarda pas à lui apprendre la chasse, se disant que la force nécessaire pour manier les armes viendrait en grandissant.

Un jour que les deux amis se promenaient sur la plage, Robinson se décida à faire visiter l'intégralité de l'île de Speranza à Dimanche pour que celui-ci en connaisse chaque recoin. Ainsi, lorsque Robinson partirait à la chasse, ils pourraient se fixer un point de rendez-vous.