Le voyage de Robinson et Dimanche
Par jadeazika le 10 juin 2014, 21:05 - Ecriture : un nouveau chapitre - Lien permanent
Lorsqu’il repartit à la grotte pour se réfugiez est s’endormir Robinson découvrit dans un trou un petit garçon. Son nouveau compagnon Estonien Jean Neljapaev qu’il préfère appeler Dimanche car c’est le jour des fêtes, des rires et des jeux.
Il décida d’aller découvrir le monde et surtout de retrouver un jour Vendredi. Avec l’aide Dimanche ils construisirent une embarcation pour s’en aller faire le tour du monde. Pour se divertir Robinson apprit à Dimanche ce dangereux que Vendredi et lui aimait tant. Il se lança à la poursuite d’un bouc et le força à s’allonger. Il en profita pour montrer à Dimanche comment se servir d’un Bolas. Une fois le bouc mort il appliqua se que lui avait appris Vendredi il dépeça l’animal et plaça sa carcasse sur une fourmilière. Il la récupéra quelques temps plus tard et montra à Dimanche comment fabriquer une harpe éolienne et un cerf-volant. Le petit enfant époustouflé ne cessait de s’amuser avec le cerf-volant qu’il faisait virevolter dans les airs. La fabrication de leur bateau avançait très vite et ils étaient de plus en plus impatients de partir à l’aventure. Pendant leur temps libre il s’amusait à marcher sur les mains, à faire des jeux tels que la course sur sable le saut en hauteur. Dimanche apprenait aussi à parler avec des gestes de main car Robinson savait que cette connaissance lui servirait à dialoguer avec un personne qui ne parlait pas la même langue que lui, à parler un peu araucan et confectionner un arc et des flèches ; elles n’étaient pas destiner à tuer des animaux mais à voler très haut et très loin.
Vers midi le bateau fut enfin prêt ils prirent le large et voguèrent pendant des heures, à ce moment-là le temps était éclairé. La mer était calme et relaxante. Ils se mirent à pêcher pour préparer leur dîner pour cela, ils utilisèrent une méthode assez particulière propre à Vendredi, ils utilisèrent le cerf-volant pour pêcher les poissons. Pour le diner ils firent de ces poissons un magnifique festin. Il mit les débris dans un sac et promis à Dimanche de lui montrer comment éliminer les ordures une fois qu’ils auraient mis pied à terre. Le soir même alors que Robinson n’arrivait pas à dormir, il sortit scruter l’horizon, après quelques minutes les vagues le bercèrent et il s’endormi sur le ponton du bateau. Le matin lorsque Jean se réveilla il découvrit Robinson endormi sur le sol, surpris, il décida de ne pas le réveiller alors il pris la bar et les fis accoster sur une île sur la cote de l’Asie.
Une fois avoir mis pied à terre ils prirent un bon petit déjeuner et partirent visiter l’Asie. Comme promis Robinson montra au jeune garçon comment éliminer leur déchet et il plaça leur reste de poisson sur une fourmilière et le tour était joué. Ils trouvèrent ville magnifique la verdure était abondante, de sublimes arbres ornaient les allées, des plages, des palmiers il n’y avait que de quoi plaire à nos deux aventuriers. Ils ne savaient plus où donner de la tête. Emerveillé, ils prirent le temps de s’allonger sur la plage et d’admirer le coucher de soleil. Ce magnifique continent était encore plus beau la nuit le ciel avait des teintes rosées, violettes et noires. Pour le repas Robinson apprit à Dimanche quelques spécialités araucanienne.
Ils reprirent leur escapade le lendemain matin, la mer cette fois étaient beaucoup plus agitée et le courante était de plus en plus fort. Fatigué Dimanche finit par s’endormir malgré les intempéries et Robinson se retrouva seul. Il décida donc de reprendre l’écriture de son journal là où il l’avait laissé, il commença par raconter ses journées à partir du jour où il rencontrer trouvé son nouvel ami Dimanche. Quelques temps plus tard Robinson tomba très malades et mourut. Bien que cet évènement affecta énormément Dimanche, il gardait en sa mémoire les magnifiques moment passés avec Robinson. Il décida de rester en Asie car c’est dans ce pays que reposaient ses derniers souvenirs malgré son jeune âge Dimanche s’en sortit très bien dans la vie car avant de partir Robinson avait fait de lui un vrai homme.
Commentaires
<?php echo 'coucou'>