Blog de Français de la seconde 3

Dès le début du film, nous pouvons nous imaginer sans grande difficulté le scénario peu original, du déjà vu pour notre époque. De nombreux sous-titrages viennent faciliter la compréhension du film, ce qui aide le spectateur a bien fixer les bases qu'il avait pu s'imaginer. Ce film dépeind l'histoire d'un triangle amoureux entre la femme de la campagne (Janet Gaynor) mariée à l'homme de la campagne (George O'Brien). Ce dernier se trouve être sous l'emprise vampirique de sa maîtresse, la femme de la ville (Margaret Livingston) de passage à la campagne et qui lui demande de tout quitter pour aller vivre avec elle à la ville. L'homme hésite et lui rappelle qu'il est marié mais qu'importe, sa maitresse a tout prévu: "Ne pourrait-elle pas être noyée?" s'inscrit-il à l'écran. A ce moment-là le spectateur a peur car une image, peut être prémonitoire, apparaît et laisse voir l'homme poussant sa femme de la barque pour la noyer. Pourtant une chose vient nous rassurer. L'homme stupéfait est prit d'un élan de colère s'en prend à sa maîtresse. Mais, telle à un être diabolique (syntaxe), elle le persuade en lui promettant une sorte d'Eden, la ville. A partir de cet instant, nous pensons que le sort de la femme est réglé, voué à une mort certaine orchestrée par sa rivale. Ce diable incarné peauffine son plan et l'homme à l'allure mal soignée, vidé de tous sentiments écoute et se prépare mentalement. L'homme de la campagne, tel un bourreau, va executer la sentence: tuer sa femme. De là, nous pensons la femme vouée à la mort jusqu'à ce que le chien tente de la sauver en sautant du ponton, ce qui force l'homme à le ramener dans sa niche. La femme à peur, tout comme le spectateur. De là une musique rapide et assez forte se fait entendre. L'homme, comme devenu fou rejoind la rive ce qui permet à la femme de s'enfuir et de monter dans le prenier tramway qu'elle aperçoit. Son mari est avec elle et essait de se faire pardonner, mais en vain.

Extrait d'un ciné-concert par Oblio-musica.

Une fois dans la ville, l'histoire prends une autre tournure et, comme un nouvel amour, une nouvelle aurore, l'homme et la femme se redécouvrent, partagent des moments de complicités tels que chez le photographe ou même encore à la fête fauraine. Mais, comme poursuivient par la fatalité, une terrible tempête s'abat sur eux à leur retour en barque. L'homme pour sauver sa femme, l'attache au roseaux qui aurait dût être utilisés pour le sauver après l'avoir noyé. De cette aventure il n'en resta qu'un seul, le mari qui, une fois après avoir arrêté les recherches pour la retrouver, reçus la visite de son ancienne maîtresse et essait de la tuer car si l'on y pense bien, sans cette diablesse, rien ne ce serait passé. Soudain, une lueure d'espoir surgit, un pêcheur n'ayant pas perdu foi l'a retrouvé et le mari cours la retrouver. Des exclamations de joie se font entendre dans la salle. Ce film qui prévoyait une destinée tragique c'est enfet révélé à avoir révélé avoir) un dénoument heureux car la femme de la ville repartit d'où elle vint et l'homme et la femme de la campagne vécurent heureux. Ce film, ce chef d'oeuvre, malgrè des impressions de déjà vu, est rempli d'émotions qui se font ressentirent par le biais du jeux fabuleu des acteurs.