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Les livres de la 2nde M › Le Colonel Chabert, Balzac

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03 octobre 2014

LE Colonel Chabert

Nous avons lu le livre de Balzac Le Colonel Chabert, paru en 1844. Ce livre est de genre réaliste. C'est l'histoire d'un homme que tout le monde croit mort et lui veut retrouvé son ancienne identité (1 faute).

Premièrement, ce livre m'a plu car grâce à la façon d'écrire de Balzac on peut imaginer l'histoire, voir des moment comme l'affreuse cicatrice du colonel Chabert à la page 71 (1 faute) " voir à nu son crâne horriblement mutilé par une cicatrice transversale qui prenait à l'occiput et venait mourir à l'oeil droit, en formant partout une grosse couture saillante". Ce qui montre que si on ferme les yeux on peut s'imaginer sa cicatrice sur son visage ( ça me donne quelque frissons de penser à cette horrible cicatrice)

Ensuite, ce livre ne m'a pas plu car ce n'est pas l'histoire à laquelle je m'attendais. Je pensais que ça serais un livre qui parle de la guerre avec de l'action et des combats (1 faute). Pour moi l'histoire serait celle d'un colonel de guerre, qui lors d'une guerre explique la bataille et qu'a la fin il meurt au combat (répétition ; double pronom), un peu comme dans le film "Soldat Rayan" (Il faut sauver le soldat Ryan ?) où on nous explique à travers Rayan la guerre donc sa serai un livre avec plus d'action ( plus vivant). (3 fautes ; structure de la phrase).

Et pour finir, cela ne m'a pas plu car Balzac utilise des mots de son époque donc un peu compliqué car nous n'utilisons pas ce vocabulaire de nos jours  comme "carrick", "saute-ruisseau", "clerc", etc (1 faute)... . Le fait que l'auteur utilise ce vocabulaire, est que l'on ne comprend pas toujours le sens des phrases ni de l'histoire car ce vocabulaire est presque inconnu pour nous (1 terme mal choisi, répétition). Du coup on ne voit pas toujours ce que l'auteur veut dire donc on imagine des choses ou on comprend autre chose.

Donc pour conclure je dirais que c'est un livre passionnant bien que je n'en suis pas fan car ce n'est pas mon type de livre (niveau de langue ; répétition ; mode). J'ai pris du plaisir à lire ce livre car une fois plongé dedans on a dû mal à s'arrêter. (1 faute) Je pense que c'est peut-être la façon d'écrire de Balzac qui passionne ses lecteurs (comme nous). Il faut lire plusieurs fois cette histoire pour la comprendre. L'une des choses les plus importante est qu'avec Balzac tout les détails on l'air importants grâce à ces descriptions (4 fautes) (comme le saute-ruisseau qui n'a presque pas d'importance car on ne le voit qu'au début de l'histoire mais avec la fassons décrire de Balzac, il a l'air d'un personnage important (1 faute)).

Argumentation Colonel Chabert


j'ai lu le livre Le Colonel Chabert. C'est un livre de Balzac, de genre réaliste datant du 19ème siècle. Ce livre raconte l'histoire d'un homme, qui est passé pour mort et qui est aidé par M.Derville, un clerc, pour retrouver la personne qu'il était avant.
Je n'ai pas aimé ce livre.

Balzac utilise du vocabulaire soutenu, propre a son époque, qui me met en difficultés, pour comprendre certaines phrases (2 fautes). Le mot "carrick" par exemple, veut dire vieux manteau (structure de la phrase), c''est un mot que l'on emploie pas souvent. Ou le mot, "les chevaux de coucou" qui sont des voitures à deux chevaux pour huit passagers. 

Il nous mets directement dans l'action, sans même commencer à nous parler des personnages, du contexte de l'histoire... ce qui change de d'autres livres (1 faute, syntaxe). Malgré que ce soit différents, je me suis un perdu dans le livre, en me demandant pourquoi le livre commence par une réplique, :"Allons! encore notre vieux carrick!", qui nous laisse penser qu'il y déjà eu une histoire auparavant (syntaxe ; ponctuation ; 2 fautes).


Je trouve que les descriptions sont longue et inutiles et donc parfois ennuyantes comme pour la description de la maison (1 faute ; barbarisme) .Le drame mis à la fin du livre m'a surpris (peu clair, expliquez ; 1 faute). Je ne pensais pas que si jamais il ne devenait pas le personnage auparavant il deviendrait fou et irait dans un hospice (1 faute). J'ai donc été un peu déçus (1 faute).

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j'ai lu le livre Le Colonel Chabert. C'est un livre de Balzac, de genre réaliste datant du 19ème siècle. Ce livre raconte l'histoire d'un homme, qui est passé pour mort et qui est aidé par M.Derville, un clerc, pour retrouver la personne qu'il était avant.
Je n'ai pas aimé ce livre car je préfère les livres de genre fantastique

Balzac utilise du vocabulaire soutenu, propre a son époque, ce qui m'a mise en difficulté. Par exemple le mot "vieux carrick", veut dire vieux manteau. Le mot "les chevaux de coucou", signifie que se sont des voitures à deux chevaux, pour huit passagers. Ces mots et beaucoup d'autres, ne s'emploient pas si souvent. C'est pour cela que j'ai eu des difficultés a comprendre certaines phrases. (2 fautes).

Il nous mets directement dans l'action (qui ? 1 faute), sans même commencer à nous parler des personnages, du contexte de l'histoire, de la description, des évènements passé (1 faute). Dans la première histoire, par exemple, il nous met directement au milieu d'une scène, entre une discutions des personnages  (2 fautes) :"Allons! encore notre vieux carrick!", ce qui nous laisse penser qu'il y a déjà eu une histoire auparavant. Ce genre de chose s'appel in medias res. (1 faute) Malgré que ce soit différents de d'autres livres (syntaxe ; 1 faute), je me suis perdu dans l'histoire en me demandant où était le début de l'histoire et pourquoi le livre commence par une réplique (1 faute ; répétition ; temps). 


Je trouve que les descriptions sont longue, inutiles et donc parfois ennuyantes (1 faute ; barbarisme) . Le drame mis à la fin du livre m'a surpris (peu clair, expliquez ; 1 faute). Je ne pensais pas que si jamais il ne devenait pas le personnage auparavant il deviendrait fou et irait dans un hospice (1 faute). J'ai donc été un peu déçus (1 faute).

Texte argumentatif sur Le Colonel Chabert de Balzac

On a eu à lire Le Colonel Chabert de Balzac, qui est un court roman paru sous sa forme définitive en 1844, il y a une première version du texte paru en 1832 (ponctuation). C'est l'histoire d'"un soldat qui pour patrimoine avait son courage, pour famille tout le monde, pour patrie la France, pour tout protecteur le bon dieu".

Je n'ai pas particulièrement aimé ce livre car : 

- Premièrement, j'ai trouvé que le texte est difficile à lire car: le  registre de langue est différent du notre (ponctuation ; 1 faute). Également à cause du vocabulaire , lui aussi différent , par exemple aujourd'hui "un avoué " équivaut  à un juriste .et  à l'argot . (ponctuation)

Malgré cela , je trouve que Balzac a une très jolie écriture , par exemple : "En ces moments, cœur , fibres, nerfs , physionomie , âme et corps , tout, chaque pore tressaille." Je trouve cette phrase magnifique , je pense que c'est même ma citation préférée. On dirait presque une parole de chanson.

- Deuxièmement, j'ai eu un peu de mal avec la mise en page du livre. Il n'y a pas un seul chapitre , qui, pour moi, aide à la compréhension d'un texte. Du fait qu'il n'y ait pas de chapitre , plusieurs fois , je me suis retrouvée à lire plusieurs fois le même passage pour comprendre que l'action se déroulait dans un autre lieu ou avec d'autres personnages (répétition), par exemple du début du livre à " Par conséquent , mon vieux! répondit Crottat. Vous avez parfois l'esprit juste , vous autres avoués, quoiqu'on vous accuse de vous le fausser en plaidant aussi bien le Pour que le Contre.", qui je pense être considéré comme une même "action" (verbe) et qui pourrait être un chapitre , on passe directement à où habite le Colonel Chabert ,pour pouvoir introduire la visite de l'avoué au Colonel Chabert (peu clair, revoyez la construction de la phrase). Je trouve ces changements et cette mise en forme un peu déroutants.

- Troisièmement , Balzac , aujourd'hui, est considéré comme appartenant aux auteurs réalistes , on ne s'attend pas à la scène où Le Colonel sort de la fosse en creusant avec le bras , qu'il a arraché à un cadavre , "Autrement comment concevoir que j'ai été, suivant l'usage de la guerre, dépouillé de mes vêtements, et jeté dans la fosse aux soldats par les gens chargés d'enterrer les morts [...] Enfin je vis le jour , mais à travers la neige , monsieur".  Cette scène est scientifiquement impossible , personne ne peut survivre dans des conditions pareilles! Ce passage est totalement décalé par rapport au reste du roman . C'est complètement déconcertant de trouver ce passage dans ce livre .

J'ai vraiment été déçue... Je m'attendais à un milieu militaire alors qu'on a un milieu judiciaire. Avec un milieu militaire , je pense qu'il y aurait eu plus d'action , que le roman aurait été plus "vivant" (1 faute). Alors qu'avec le milieu judiciaire , le roman est "lent" , je l'ai trouvé un peu ennuyant (construction de la phrase, barbarisme).

02 octobre 2014

avis personnel sur Le Colonel Chabert de Balzac

 

Pour commencer, j'ai aimé ce livre car il est intéressant du fait qu'il se passe au XIXème siècle. De plus le récit est assez intrigante du fait que ce n'est pas une histoire que l'on peut trouver dans tous les livres puisque (1 faute), un homme enterré vivant pendant la guerre qui réussit a survivre et, plusieurs années plus tard essaye de reprendre son argent (1 faute ; phrase incomplète). Dans les trois paragraphes suivant je vais vous énoncer pourquoi j'ai aimé ou non ce livre (1 faute).

   En premier temps, j'ai aimé ce livre parce qu'il contient beaucoup de descriptions et que, je trouve que celle-ci rehaussent l'histoire et permet de mieux se mettre à la place des personnages si celle-là ce fait sur eux (3 fautes ; 1 terme mal choisi). Elle permet aussi de faire paraître certains moments du livre avec un autre oeil et d'avoir un regard plus personnel sur l'histoire. Comme dans ce passage où Derville lui dit qu'il y a de très bonnes chances pour qu'il ne récupère pas son argent  (structure de la phrase) : "De grosses larmes tombèrent des yeux flétris du pauvres soldat et roulèrent  sur ces joues ridées (1 faute)". On peut voir ici la présence de beaucoup d'adjectifs qualificatifs comme " grosses ", "pauvre", "flétris" ou "ridée ". Comme je le disais précédemment,  j'ai un regard différent sur l'histoire car, avant ce passage,l'histoire n'avait pas trop d'intérêt mais après celui-ci j'ai  vraiment ressentis les émotions du personnage qui ici sont très marquées (1 faute). C'est comme si je les vivais.

   Puis, j'ai vraiment beaucoup aimée ce livre car il ma touchée (2 fautes). Il est, dans l'ensemble, très triste. Je trouve que, dans un livre, le plus important, ce sont les émotions de l'auteur ressenties par le lecteur. Pour illustrer mon idée, je vais prendre la citation qui reprend le moment où le colonel est hébergé chez une famille très pauvre et que Deville vient lui rendre visite: "Bah, dit le colonel, ses enfant couchent comme moi sur la paille ! sa femme et lui n'ont pas un lit meilleur ". Pour moi, dans cette citation il y a vraiment beaucoup de sentiments mais un est au dessus des autre, le sentiment  de pitié envers cette famille (ponctuation ; 1 faute). Le fait qu'ils soient obligés de faire dormirent leurs enfants sur la paille car il n'ont pas d'argent pour leur acheter un lit est vraiment très triste (1 faute). Je ressens ce que des parents avec un minimum d'amour pour leurs bambins doivent ressentir, un sentiment de frustration. C'est cela qui me fait ressentir de la pitié , sa me donnerais envie de les aider et, je pense que Chabert en aurait fait autant s'il en aurait eut les moyens (2 fautes, syntaxe).

   Pour finir, ce qui m'a déçu dans ce livre, c'est l'image de la femme montrée par le biais de la comtesse Ferraud (1 faute). C'est un avis tout à fait personnel . Je trouve qu'elle est décrite comme une femme superficielle, qui n'a pas de beauté intérieure et qui joue avec les gens et leurs émotions . Je vais vous démontrer cet argument avec deux citations. La première montre son image extérieure et la seconde  son jeu d'actrice envers le colonel Chabert. Donc, la première citation est : "Madame la comtesse Ferraud se trouva par hasard avoir fait tout ensemble un mariage d'amour, de fortune et d'ambition. Encore jeune et belle, madame Ferraud joua le rôle d'une femme à la mode" . On peut voir dans ce passage l'image d'une femme jolie, qui n'a pas encore été touchée par les signes de l'âge. Elle est dans l'ère du temps , mais on distingue dans ce passage que l'auteur ne montre que l'aspect physique de la jeune femme et non son aspect intérieur qui laisse à désirer. Ma seconde citation va vous montrer sa beauté intérieure ,qui est,pour moi, inexistante: "Elle voulait l'intéresser à sa situation, et l'attendrir assez pour s'emparer de son esprit et disposer souverainement de lui". Ce passage montre très bien la méchanceté de cette femme car c'est son ancien mari qui est pauvre demande son argent (structure de la phrase) et, elle, sans aucune pitié, use de ses charmes et de ses talents de manipulatrice pour duper le vieillard . Elle veut faire ressortir de ce vieillard l'amour qui lui reste envers elle pour l'amadouer.

   En conclusion, je vous conseillerais ce livre même si aux premiers abords il ne vous plaît pas. Il est tout à fait intéressant .

Le Colonel Chabert, Balzac, par Sabo Samuel

Mon impression vis-à-vis du livre Le colonel Chabert, de Balzac, est assez mitigée, en effet, d'un point de vue global, ce livre m'a laissé plutôt indifférent (ponctuation).  En effet j'ai trouvé ce livre assez pathétique et niais, ainsi, selon moi, le colonel a un air très pathétique. Par exemple, il s'émerveille pour deux pièces d'or, ainsi, quand Derville donne deux pièces au Colonel, intervient une citation qui me plaît beaucoup: " Le colonel ressemblait à cette dame qui, ayant eu la fièvre durant quinze ans, crut avoir changé de maladie le jour où elle fut guérie ". J'ai trouvé cet extrait plutôt drôle, à défaut de m'avoir fait rire aux éclats, elle m'a fait largement sourire. Mais aussi, je l'ai trouvée plutôt pathétique, en effet cette citation relate une situation assez ridicule et bête, du fait que l'auteur compare le Colonel Chabert à une vieille dame.

D'un point de vue plus précis, certains passages m'ont beaucoup plus, surtout celui-ci (se trouvant pendant que le Colonel et la Comtesse sont à Groslay) : "L'aire de vérité qu'elle sût mettre dans cette réponse dissipa les légers soupçons que le colonel eut honte d'avoir conçus [...] Ma situation est intolérable " (mode ; 3 fautes ; ponctuation). Ce qui m'a le plus frappé est le fait que bien que le vice de la comtesse aille très loin, que sa cruauté soit très poussée ; qu'en tant que lecteur, je m'interrogeais sur la possibilité que la comtesse puisse éprouver de la pitié (modes ; ponctuation ; construction de la phrase). Cette pitié est, selon moi quasi inexistante, en effet, la seule forme de pitié qu'elle ait pu exprimer est exprimé sous forme de remords (oubli d'un terme ; répétitions, 1 faute) : " je voudrais être morte ! Ma situation est intolérable ! ", ainsi elle a pitié du colonel (ponctuation), on peut aussi noter que la comtesse a honte de ce plan machiavélique, de ces petites attentions mesquines (répétition) - comme nous le montre la citation ci-dessus - malgré tout, cette honte n'a pas provoqué la fin de ce mensonge. Mais avant même d'avoir honte, la comtesse exprime de l'inquiétude, comme nous le montre la citation qui suit (terme incorrect) : "elle ne pouvait cacher les inquiétudes que lui causaient ses manœuvres ", ainsi sa détermination qui semblait sans failles quelques lignes plus tôt : "Décidée à tout pour arriver à ses fins, elle ne savait pas encore ce qu'elle devait faire à cet homme, mais certes elle voulait l'anéantir socialement". (syntaxe ; répétition). Ce passage m'a beaucoup marqué car il m'a fait penser à beaucoup de situations dans le monde du cinéma, de la télévision ou de la bible (présentation des titres). Premièrement, la comtesse Ferraud m'a fait pensé à Kara, la petite-amie du protagoniste du film God's not Dead, produit par Harold Gronk (2 fautes ; répétition). En effet, celle-ci sait comment parler à son petit-ami afin que celui-ci ne suive pas ses convictions (ponctuation ; 2 fautes). Secondement, dans le milieu de la télévision, la scène m'a fait penser à une situation similaire dans la série télévisée Gosssip Girl (titre, répétition, ponctuation), en effet, un personnage censé être mort, ne l'est pas. or la veuve de celui-ci s'est remarié et est donc obligée d'annuler un de ces deux mariages : elle doit choisir entre l'homme qui lui a donné sa fortune et qui l'a élevé dans l'échelle sociale et l'homme à qui elle donné son amour et qui a su lui rendre (3 fautes). On peut aussi comparer cette situation à l'histoire de Samson et Dalila. En effet, comme la comtesse Ferraud, Dalila a su jouer de son charme pour obtenir de Samson ce qu'elle voulait.

Le deuxième passage qui m'a plu se trouve pendant que le Colonel raconte son témoignage : "Ma mort fut annoncé à l'empereur, qui, par prudence ( il m'aimait un peu, le patron), voulut savoir s'il n'y aurait pas quelque chose à sauver de l'homme duquel il était redevable de cette vigoureuse attaque (2 fautes). [...] L'acte de mon décès fut donc probablement dressé d'après les règles établies par la jurisprudence militaire (2 fautes)." Ce passage m'a frappé du fait qu'il est l'origine de toute l'histoire, en effet, si ces deux chirurgiens avaient tâté le pouls du colonel,alors peut-être qu'il n'y aurait pas eu tous les problèmes qui ont suivi cet épisode (2 fautes). Cette scène m'a aussi montré à quel point un Homme peut prendre des décisions hâtives (1 faute): "Ces sacrés carabins, ..., se dispensèrent sans doute de tâter mon pouls et dirent que je suis mort". Et, bien plus que le fait de prendre des décisions hâtives et impulsives, l'Homme ne dépasse souvent pas le cadre de l'image, de l'apparence, en effet, les chirurgiens établissent un pronostic sans même tâter le pouls du Colonel, alors que cela aurait pu le dispenser de la fin tragique qu'il a eue (2 fautes ; ponctuation).

Ainsi les deux paragraphes précédents montrent que Balzac est très cru lorsqu'il écrit, en effet, il ne ménage pas l'histoire du Colonel et comment il vit sa fin tragique. De plus il réserve au protagoniste une fin tragique et dépourvue du luxe auquel il aurait pu avoir accès. Cet aspect de son style d'écriture est sûrement la chose qui m'a le plus plu dans ses oeuvres, en effet, trouvant les descriptions inutiles, Le Colonel Chabert, est une oeuvre crue n'ayant pas d'ambition à faire rire. Malgré tout Balzac sait très bien manier, quand nécessaire, le registre humoristique comme dans la citation citée plus tôt concernant la vieille dame.

Pour conclure, je voudrais dire que la lecture de la nouvelle Le Colonel Chabert, m'a ouvert les yeux concernant l'époque de Balzac, en effet, j'ai remarqué que nos deux époques n'étaient pas si différentes. Des thèmes, encore d'actualité sont mentionnées dans ce livre (ponctuation) : on retrouve les grandes différences très développées entre les classes sociales - comme nous le montre les nombreuses descriptions présentes dans ce roman (1 faute). Ce thème spécialement est retrouvé dans d'autres oeuvres de son époque comme dans Les Contes du jour et de la nuit où l'on retrouve d'une nouvelle à une autre une classe sociale différente.

Conclusion ?






Le colonel Charbert


                                                                                    Le Colonel Chabert, de Balzac   

     Pour commencer nous avons aimé ce livre pour trois raisons : le style d'écriture, les émotions ressenties et le dénouement final de l'histoire.

     Tout d'abord le niveau de langue utilisé par Balzac n'est pas courant pour notre époque, ce qui au début nous fait éprouver de la réticence par rapport à la suite du texte, ou même dans certains cas nous choquer. La compréhension peut être compliquée, on a du mal à s'identifier, à s'introduire dans l'histoire. Au final nous nous y habituons et nous ne nous rendons plus compte de la différence de langage : exemple à la page 165-166 avec "Savez-vous, mon cher, reprit Derville après une pause [...] Mais, nous autres avoués, nous voyons se répéter les mêmes sentiments mauvais, rien ne les corrige, nos Études sont des égouts qu'on en peut pas curer." Dans cet extrait ont voit bien que nous n'utilisons pas certains mots dans la vie courante tel que: Mon cher ou encore nous autres Avoués.  Au fil de la nouvelle on ne fait plu attention à ce vocabulaire. (1 faute)

    Ensuite Balzac arrive à nous faire éprouver des sentiments comme : de l'hilarité tout d'abord avec le fermier qui s'imagine être deux personnes (ponctuation) mais aussi le niveau de langage peu évolué : exemple page 109 ''Mais, mon général- Bah ! qui dit, je ne veux pas etre un fainéant, et il y a longtemps que je sais brosser le lapin.''. Cette citation produit un effet comique car premièrement le fermier raconte à son interlocuteur une conversation qu'il a tenu avec le Colonel Chabert dans le passé, Balzac nous retranscrit une conversation oral, qui ne devrait pas apparaître dans un texte (2 fautes ; ponctuation). Ensuite, le langage utilisé est familier avec ''bah ! qui dit''.  Mais aussi l'auteur peut prendre des accents graves comme à la page 166 '' J'ai vu mourir un père dans un grenier, sans sou ni maille, abandonné par deux filles auxquelles il avait donner quarante-mille livres de rente ! ''.

     Pour finir, la façon dont Balzac a écrit la fin du livre est selon nous dramatique avec la citation suivante page 163 "Pas Chabert ! Pas Chabert ! Je me nome Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro cent soixante quatre, septième salle, ajouta t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant." . Cette citation nous fait comprendre que le Colonel Chabert est devenu fou et qu'il a oublié son passé. Ce qui nous a le plus touché c'est lorsque Chabert dit qu'il n'est plu que un numéros et qu'une salle (4 fautes), nous trouvons que cela est assez triste. Donc a la fin il redevient comme sa vie d'orphelin quand il était petit ceci est aussi triste (1 faute ; maladresse d'expression). 

      Pour conclure, nous avons toutes les deux aimé ce texte car le langage utilisé est différent de celui de nos jours. Nous avons pu ressentir différentes émotions. Puis nous avons apprécié cette fin que nous pourrions qualifier de dramatique et d'une certaine façon de poétique car c'est comme si le Colonel Chabert était voué dès le début à finir seul et perdu. Nous avons aussi trouvé que Balzac avait une façon d'écrire assez philosophique car sa vision de la société était déjà péjorative pour son époque. Grâce à cela nous pouvons aussi voir que la société actuelle n'a pas tellement évolué au fils des années (1 faute).

Travail argumentatif sur Le Colonel Chabert de Balzac édition Flammarion

Le Colonel Chabert est un roman réaliste du 19eme siècle. Il raconte l'histoire d'un homme qui a été tenu pour mort lors de sa bataille contre les russes et qui, par la suite, n'a cessé de croire en la justice pour récupérer ses dus.

J'ai beaucoup aimé ce livre car j'ai été complètement absorbée par son histoire. Le livre a fait naître en moi une immense compassion pour le personnage principal, notamment durant le passage de son entrevue avec Derville de le page 63 ligne 13 à la page 77 ligne 19. "  "Monsieur,  dit le défunt, peut-être savez vous que [...] Par moments je ne sais plus que devenir! "  "

 Lorsque le colonel a raconté son histoire à Derville, je ne voulais plus sortir du livre. Il raconte à celui-ci son incroyable épopée en lui parlant tout d'abord de la bataille contre les russes, puis de ses compagnons qui le croyait mort, de la souffrance qui l'a occupé pendant plusieurs heures avant qu'il n'arrive à sortir de la fosse aux corps. Il lui décrit également sa vie après sa soi-disant mort,  comment on l'a gueri, comment on l'a pris pour un fou quand il disait s'appeler Chabert. 

Ce passage nous apprend toutes les souffrances physiques qu'il a enduré mais aussi les blessures morales: apprendre que tout ce que vous avez connu a disparu, que tous le monde vous prend pour un fou, notamment sa femme qui s'est remariée et qui n'a dénié le secourir (syntaxe).
J'ai également choisi ce passage car je trouve que c'est l'un des plus détaillés du livre. Par exemple, dans la phrase : " Mais il eu quelque chose de plus horrible que les cris, un silence que je n'ai jamais retrouvé nulle part,  le vrai silence du tombeau (1 faute) " l.22 à 24 p66. A la place de cette phrase,  Balzac aurait très bien pu dire " il y avait un silence pesant " ou " il n'y avait aucun bruit" . Mais il a préféré le détailler au maximum pour que le lecteur reste plongé dans l'histoire. 

Ce livre nous apprend que faire confiance a quelqu'un d'autre que soi peut s'avérer une grave erreur (1faute). Prenez le passage où la Comtesse fait la faute de parler de son plan contre Chabert alors que celui-ci, qui se trouve non loin de là, a entendu  toute la conversation entre son  ancienne femme et Delbecq, lignes  5 à 24 page 119. 

J'aime bien ce passage car c'est à ce moment que Chabert se rend compte de la cruauté de la comtesse, ce qui lui donne l'élan de riposter et de partir.

Durant ma lecture, deux phrases m'ont marquée et m'ont amenée à une réflexion. J'aimerais les partager avec vous :

"Le colonel pleura. La reconnaissance étouffa sa voix" . Cette citation m'a touchée car elle nous fait comprendre que malgré les innombrables tortures qu'à enduré Chabert (1 fautes),  celui-ci reste un homme, certes marqué par le chagrin et la douleur, mais un homme digne de reconnaissance. 

" - J'irai, s'écrit il, au pied de la colonne de la place Vendôme, je crierai là: "je suis le colonel Chabert qui a enfoncé le grand carré des Russes à Eylau! " ligne 11 à 14 page 90. 

Cette citation m'a touchée car elle nous fait comprendre que Chabert veut récupérer son nom,  sa fortune, le respect et non être traité comme un bout de chiffon sale et répugnant (expression maladroite)
En criant cette phrase, le colonel nous montre bien qu'il est désespéré. Il est tellement à bout de ressources pour récupérer ce qui lui est dû qu'il se met a émettre l'idée d'aller le crier dans la rue. Chose qui aurait été extrêmement inconsciente comme dans la réplique suivante de Derville (construction de la phrase).

Conclusion ?

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Le Colonel Chabert est un roman réaliste du 19eme siècle. Il raconte l'histoire d'un homme qui a été tenu pour mort lors de sa bataille contre les russes et qui, par la suite, n'a cessé de croire en la justice pour récupérer ses dus.

J'ai beaucoup aimé ce livre car j'ai été complètement absorbée par son histoire. Le livre a fait naître en moi une immense compassion pour le personnage principal, notamment durant le passage de son entrevue avec Derville de le page 63 ligne 13 à la page 77 ligne 19. "  "Monsieur,  dit le défunt, peut-être savez vous que [...] Par moments je ne sais plus que devenir! "  "

 Lorsque le colonel a raconté son histoire à Derville, je ne voulais plus sortir du livre. Il raconte à celui-ci son incroyable épopée en lui parlant tout d'abord de la bataille contre les russes, puis de ses compagnons qui le croyait mort (1 faute), de la souffrance qui l'a occupé pendant plusieurs heures avant qu'il n'arrive à sortir de la fosse aux corps. Il lui décrit également sa vie après sa soi-disant mort,  comment on l'a gueri, comment on l'a pris pour un fou quand il disait s'appeler Chabert. 

Ce passage nous apprend toutes les souffrances physiques qu'il a enduré mais aussi les blessures morales: apprendre que tout ce que vous avez connu a disparu, que tout le monde vous prend pour un fou, notamment sa femme qui s'est remariée et qui n'a dénié le secourir (syntaxe).
J'ai également choisi ce passage car je trouve que c'est l'un des plus détaillés du livre. Par exemple, dans la phrase : " Mais il eu quelque chose de plus horrible que les cris, un silence que je n'ai jamais retrouvé nulle part,  le vrai silence du tombeau (1 faute) " l.22 à 24 p66. A la place de cette phrase,  Balzac aurait très bien pu dire " il y avait un silence pesant " ou " il n'y avait aucun bruit" . Mais il a préféré le détailler au maximum pour que le lecteur reste plongé dans l'histoire. 

Ce livre nous apprend que faire confiance a quelqu'un d'autre que soi peut s'avérer être une grave erreur. Prenez le passage où la Comtesse fait la faute de parler de son plan contre Chabert alors que celui-ci, qui se trouve non loin de là, a entendu  toute la conversation entre son  ancienne femme et Delbecq, lignes  5 à 24 page 119.

J'aime bien ce passage car c'est à ce moment que Chabert se rend compte de la cruauté de la comtesse, ce qui lui donne l'élan de riposter et de partir. Il a fait confiance à son ancienne épouse et le regrette amèrement car celle-ci l'a trahi en voulant le livrer. Il part donc, seul, livré a lui même avec comme seul moyen de survie, le souvenir de ses gloires passées (verbe ?).

Durant ma lecture, deux phrases m'ont marquée et m'ont amenée à une réflexion. J'aimerais les partager avec vous :

"Le colonel pleura. La reconnaissance étouffa sa voix" . Cette citation m'a touchée car elle nous fait comprendre que malgré les innombrables tortures qu'à enduré Chabert (1 fautes),  celui-ci reste un homme, certes marqué par le chagrin et la douleur, mais un homme digne de reconnaissance. 

" - J'irai, s'écrit il, au pied de la colonne de la place Vendôme, je crierai là: "je suis le colonel Chabert qui a enfoncé le grand carré des Russes à Eylau! " ligne 11 à 14 page 90. 

Cette citation m'a touchée car elle nous fait comprendre que Chabert veut récupérer son nom,  sa fortune, le respect et non être traité comme un bout de chiffon sale et répugnant (expression maladroite)

En criant cette phrase, le colonel nous montre bien qu'il est désespéré. Il est tellement à bout de ressources pour récupérer ce qui lui est dû qu'il se met a émettre l'idée d'aller le crier dans la rue. Chose qui aurait été extrêmement inconsciente comme dans la réplique suivante de Derville (construction de la phrase).

En conclusion, je dirai que ce livre est très prenant dans le sens où il est difficile de sortir de l'histoire à certains moments. Habituellement, dans une librairie, je ne serait pas disons attirée vers ce genre de livre mais celui la est passionnant et très énigmatique. Je ne regrette pas de l'avoir lu.


Anaïs Lafon 


Travail argumentatif sur le colonel Chabert

J'ai aimé lire le Colonel Chabert de Balzac (Magnard) car l'histoire etait captivante mais la lecture etait souvent sous entendu (vieux francais) c'etait asser difficile a comprendre (5 fautes ; rédigez la parenthèse). La chose que j'ai beaucoup aimé dans ce livre est le fait que le personnage principal est un ancien soldat (1 faute ; mode).I l est attachant et n'a pas ete aidé par la justice au moment de sa "réapparition" (1 faute ; emploi des guillemets). Vers le debut de l'histoire le Colonel Chabert sors de la fosse dans laquelle il a ete enterré parmis d'autres cadavre (5 fautes). Une fois sortis une femme l'a recupéré et l'a acceuillis chez elle dans sa "barraque" (3 fautes ; emploi des guillemets). Parmis ce passage une citation m'a marquée (1 faute) : "Je suis resté pendant six mois entre la vie et la mort, ne parlant pas, ou deraisonnant quand je parlais (1 faute)" (p.30), celle ci explique le désespoir que ce dernier a du connaitre pendant six longs mois et je trouves cela tres touchant (6 fautes), je me mets a ca place et m'imagines sous terres avec d'autres personnes mortes pensant ne jamais sortir de ce trou (4 fautes).

Conclusion ?

Le Colonel Chabert - Honoré de Balzac


Commentaire : correction

De manière générale, le récit m'a plu malgré une difficulté d'immersion au début de celui-ci.

En effet, ce personnage, qui, après être devenu successivement : héros de guerre, cas médical exceptionnel (il survécut à la bataille et à son enterrement), personne sans aucune preuve d'existence (il est déclaré mort suite à la bataille d'Eylau) et prisonnier pour avoir revendiqué être lui-même, s'en va chercher quelqu'un qui voudra bien croire à ses incroyables mésaventures et ainsi éventuellement lui venir en aide pour retrouver sa fortune et son ancienne vie. L'histoire  est donc passionnante justement par ces faits incroyables.

Voici un passage illustrant la description du colonel Chabert lorsqu'il va voir Derville pour lui raconter ses péripéties.

Le vieux soldat était sec et maigre [..] L'enlèvement soudain de cette perruque sale, que le pauvre homme portait pour cacher sa blessure, ne donna nulle envie de rire aux gens de loi, tant ce crâne fendu était épouvantable

Ce passage fait la description du colonel Chabert, qui, à ce moment là, est dans une situation critique tant sur le plan financier (il ne possède plus rien), que sur le plan social (personne ne croit en lui lorsqu'il donne son identité véritable). 
En outre, le colonel vient ici une fois de plus raconter son histoire, dans l'espoir d'obtenir de l'aide et ainsi peut-être retrouver sa vie souhaitée.

Finalement, le narrateur décrit de manière subjective le colonel Chabert dans ce passage ("[...] vous eussiez dit de la nacre sale dont les reflets bleuâtres chatoyaient à la lueur des bougies."), permettant ainsi d'insister sur le côté misérable de la personne et de créer chez le lecteur de la pitié.
Ce passage est pour moi plaisant car, en plus d'être la première approche avec le personnage principal après un épisode décevant de par son contraste avec le titre du livre, la description du personnage fait appel aux émotions du lecteur telles que la tristesse et la pitié.

Les aventures du colonel sont racontées dans le passage suivant :

"J'ai rencontré, en 1814, à Stuttgart, un ancien maréchal des logis de mon régiment. [...} afin de pouvoir sortir de prison et revoir la France."

Ce dernier passage retrace l'histoire du personnage dont ses impressionnantes péripéties qui relèvent presque du surnaturel ("Il paraît, grâce à l'insouciance ou à la précipitation avec laquelle on nous avait jetés pêle-mêle [...] un bon os auquel je dus mon salut.").

Ce passage, relatant les différents épisodes du colonel (notamment ici l'épisode après son enterrement prématuré), me plaît de par le fait qu'il utilise intensément l'imagination du lecteur. À cela j'ajoute que, une fois de plus, les émotions jouent un rôle important (ici, la stupéfaction, la curiosité et l'admiration sont notamment suscitées chez le lecteur).

La triste fin du colonel Chabert, qui, après avoir accompli des actes remarquables (il a  combattu pour l'Empereur, a survécu à une mort certaine, a abandonné son identité pour sortir de prison), se retrouve dans un hospice, est inattendue. En effet, le vécu héroïque du personnage contraste avec sa situation finale. Le colonel se fait placer dans un hospice par la comtesse Ferraud pour l'intérêt personnel de cette dernière (qui est de ne pas révéler une affaire qui pourrait lui nuire). De plus, le colonel se dit respecter un principe important qui est le suivant : "il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits".
Le lecteur peut ainsi ressentir, entre autres, de la tristesse et de la pitié, une fois de plus, ainsi que de l'admiration pour cet homme incroyable dans ses actions, mais aussi de la déception de voir ce personnage finir de cette façon, après s'être attaché à lui dès le début.

Le récit m'a donc de manière générale beaucoup plu par le fait qu'il joue activement avec les émotions du lecteur, ainsi que du fait de l'histoire du personnage tout au long (de ?), qui fait beaucoup appel à l'imagination du lecteur.
Le texte présente cependant certains défauts qui se font sentir à l'échelle du temps notamment : en effet, le récit date du XIX° siècle, ainsi les éléments de décor font appel de manière intense à l'imagination, ralentissant ainsi le ryhtme de lecture et déconnectant provisoirement le lecteur du récit (connecteurs). À cela j'ajoute que le vocabulaire demande au lecteur de faire preuve d'une certaine patience (celui-ci doit chercher et trouver le sens des mots inconnus, ce qui le déconnecte encore une fois du récit).

DE JESUS Antonin

Le colonel Chabert par Louis Loreleï

Ce livre est très intéressant car il y a beaucoup de moral, de leçon de vie et de belles citations (2 fautes).

Ce battre pour ses convictions est la moral de ce livre (2 fautes), comme nous le prouve le Colonel Chabert en voulant à tout prix récupérer sa femme et avec le prétexte de vouloir récupérer son argent. Ensuite, la leçon de vie que nous inculque le personnage principal est d'avoir des sentiments nobles, sincère et réel,dans la pauvreté comme dans la richesse, plutôt que d'avoir du luxe et de la noblesse dans et sûr ses vêtements avec ces citations (2 fautes) : "Il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits" (p.14 l.4,5) ; "Le malheur est une espèce de talissement dont la vertu consiste à corroborer notre constitution primitive: il augmente la défiance et la méchanceté, comme il accroît la bonté de ceux qui ont un cœur excellent." (p.32 l.20, 24). Ces citations sont intéressantes car il nous apprend qu'une personne qui a des vrais valeurs noble peut les garder au fil du temps (2 fautes), alors que qu'une personne ne comptant que sur son argent n'est pas sur de finir avec la même somme (2 fautes).

L'histoire du Colonel Chabert est très intéressante, car suite à sa mort, il n'a plus d'identité,et il veut la récupérée (1 faute) :"Allons! encore notre vieux carrick."(l.1).Cette citation nous montre à quelle point le Colonel Chabert n'a plus d'identité, car il est nommé pas un vieux vêtement (1 faute).Après avoir lutter pour la récupérer , et que personne ne l'est cru, le Colonel Chabert fini sans identité dans un asil à lui-même ne plus savoir qui il est 2 fautes ; structure de la phrase, à être perdu, comme un objet que l'on pourrait égarer :" Bonjour,colonel Chabert, lui dit Derville. -Pas Chabert!Pas Chabert! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant." (p.95 l.20,24). Le Colonel Chabert finit l'histoire comme un Orphelin sans identité, d'après le personnage de Monsieur Derville, il se retrouve comme il était quand il était petit, seul, perdu, mais a la fin de ses jour et non au début de ses jours (2 fautes ; répétition) ; malgré tout se qu'il a fait dans sa vie (1 faute), Chabert se retrouve au même point de départ : "Quelle destinée! s'écria Derville. Sorti de l'hospice des enfants trouvés, il revint mourir à l'hospice de la viellesse (1 faute), après avoir, dans l'intervalle aidé Napoléon à conquérir L'Egypte et L'Europe (ponctuation)." (P.96 l.18,21)

Conclusion ?

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