Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche


Le colonel Chabert par Louis Loreleï

Ce livre est très intéressant car il y a beaucoup de moral, de leçon de vie et de belles citations (2 fautes).

Ce battre pour ses convictions est la moral de ce livre (2 fautes), comme nous le prouve le Colonel Chabert en voulant à tout prix récupérer sa femme et avec le prétexte de vouloir récupérer son argent. Ensuite, la leçon de vie que nous inculque le personnage principal est d'avoir des sentiments nobles, sincère et réel,dans la pauvreté comme dans la richesse, plutôt que d'avoir du luxe et de la noblesse dans et sûr ses vêtements avec ces citations (2 fautes) : "Il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits" (p.14 l.4,5) ; "Le malheur est une espèce de talissement dont la vertu consiste à corroborer notre constitution primitive: il augmente la défiance et la méchanceté, comme il accroît la bonté de ceux qui ont un cœur excellent." (p.32 l.20, 24). Ces citations sont intéressantes car il nous apprend qu'une personne qui a des vrais valeurs noble peut les garder au fil du temps (2 fautes), alors que qu'une personne ne comptant que sur son argent n'est pas sur de finir avec la même somme (2 fautes).

L'histoire du Colonel Chabert est très intéressante, car suite à sa mort, il n'a plus d'identité,et il veut la récupérée (1 faute) :"Allons! encore notre vieux carrick."(l.1).Cette citation nous montre à quelle point le Colonel Chabert n'a plus d'identité, car il est nommé pas un vieux vêtement (1 faute).Après avoir lutter pour la récupérer , et que personne ne l'est cru, le Colonel Chabert fini sans identité dans un asil à lui-même ne plus savoir qui il est 2 fautes ; structure de la phrase, à être perdu, comme un objet que l'on pourrait égarer :" Bonjour,colonel Chabert, lui dit Derville. -Pas Chabert!Pas Chabert! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant." (p.95 l.20,24). Le Colonel Chabert finit l'histoire comme un Orphelin sans identité, d'après le personnage de Monsieur Derville, il se retrouve comme il était quand il était petit, seul, perdu, mais a la fin de ses jour et non au début de ses jours (2 fautes ; répétition) ; malgré tout se qu'il a fait dans sa vie (1 faute), Chabert se retrouve au même point de départ : "Quelle destinée! s'écria Derville. Sorti de l'hospice des enfants trouvés, il revint mourir à l'hospice de la viellesse (1 faute), après avoir, dans l'intervalle aidé Napoléon à conquérir L'Egypte et L'Europe (ponctuation)." (P.96 l.18,21)

Conclusion ?

Commentaires

1. Le 23 octobre 2014, 19:31 par Amandine Baillion (Lycée Saint-Exupéry, Mantes-la-Jolie (78))

Travail sérieux. Cependant, l'ensemble n'est pas assez approfondi. Vous devez encore travailler les arguments pour les rendre plus convaincants, et commenter les passages que vous citez (c'est-à-dire expliquer pourquoi ils sont de bons exemples pour vos idées).

Note provisoire : 4/10.

Quelques fautes ont été corrigées maisle travail d'amélioration n'a pas été mené jusqu'au bout, c'est dommage.

Note définitive : 4/10.