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MAIS QUI A PEUR DES MONSTRES ?

Faites vous peur ! Venez découvrir les monstres de tout poil créés par l'imagination fertile des élèves de 6ème du Collège des Châtelaines de Triel-sur-Seine !
08 mars 2018

Le treizième travail d'Hercule

Texte imaginé par Bastien et Thibault 6ème C

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Il y a bien longtemps, à l'époque des grecs quand les dieux régnaient encore sur les hommes, Hercule entendit un jour parler d'un nouveau monstre dans une ville qui s'appelait Sparte . Alors qu'il vivait encore chez ses parents, son cousin lui avait envoyé une missive pour lui demander s'il pouvait combattre ce nouveau monstre qui prétendait s'appeler Theurckeut. Hercule, toujours prêt à relever les défis, se mit en route immédiatement. Arrivé à Sparte, il se rendit chez son cousin qui lui apprit que ce monstre vivait dans un marécage hanté, à quelques lieues de la ville. Il lui décrivit les ravages commis par Theurckeut : à chaque pleine lune, le monstre apparaît et capture des hommes pour les dévorer.

Hercule décida alors de se mettre en route, car la prochaine lune était le soir même ! Il prit soin de prendre son arc et ses flèches, ainsi que sa massue, qui lui avaient servi à combattre tous les autres monstres rencontrés lors de ses précédents travaux. Il traversa le Sahara, puis la mer Méditerranée et escalada le Mont Blanc. Enfin arrivé dans le fameux marécage, Hercule vit le monstre : il avait des yeux rouges au regard fixe, un petit bec crochu, une corne d'or, des dents pointues et acérées, des ailes en argent et en or, une queue de flèche, un corps noir de sphinx, des oreilles poitues et enfin une longue langue fourchue. Hercule crut comprendre que c'était une espèce hybride : mélange de licorne, d'aigle et de sphinx.

Aussitôt le héros passe à l'attaque. Il brandit sa massue et l 'assomme d' un coup sec. Le monstre vacille mais reprend ses esprits et riposte en tentant de le transformer en or en lui donnant un coup de corne ; mais Hercule est protégé par sa peau de lion... Le héros brandit son épée et, prenant son élan, il court sur le monstre et le perce de mille coups en plein dans le foie. Le monstre s 'écroule, faisant trembler la terre et poussant un énorme cri de douleur. Alors Hercule l'achève en lui tranchant la tête.

Avec délicatesse, le fils de Zeus préleva la corne étincelante et cela fait, il rentra à Sparte où il fut accueilli comme un dieu. Hercule offrit aux habitants le trophée rapporté et après deux jours de fête, il reprit sa route vers de nouvelles aventures.

08 mars 2018

Lou et le monstre Gugu

Texte imaginé par Aylin, Jeanne et Maëlle, 6ème C

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Bonjour, je m'appelle Lou,

J'ai seize ans et j'habite en plein cœur de New-York. Il y a deux ans , j'étais à la recherche du monstre Gugu qui hantait la ville. Ce monstre faisait la collection des yeux de toutes les personnes qu'il capturait puis les relâchait, après leur avoir également effacé la mémoire. Ma meilleure amie s'était fait enlever les yeux mais cette fois, Gugu avait oublié de lui effacer la mémoire...

Le vendredi 13 octobre à 16h10 je partis pour une escapade pleine de surprise : sauver le monde ! J'allai ensuite demander des renseignements à ma meilleure amie pour savoir où se trouvait plus exactement le monstre. Elle me dit :

-Tu peux le trouver au milieu du Central Park…Fais attention à toi !

-Merci, je compte te revoir un jour avec tes yeux.

Je partis en direction du parc vers 17h01 et il commençait à faire nuit, une nuit froide d'hiver.

Je vis au loin un garçon qui me paraissait intrigué, je m'approchai de lui pour lui demander : « As-tu besoin de quelque chose ?

-Ça alors !!! LOU !!!

-Thomas !!!!

Thomas était mon meilleur ami depuis le CE2, mais nos chemins s'étaient séparés depuis le lycée.

-Que fais-tu là et surtout à cette heure-ci ?

- Demain il y a un grand concours et je prends ma place dès ce soir. Et toi ?

-Ma meilleure amie s'est fait capturer par Gugu, qui lui a pris ses yeux mais a oublié de lui effacer la mémoire. Elle m'a alors dit qu'il se trouvait au milieu du parc.

-Mais tu as l'attention de dormir où ??

-J'ai une tente dans mon sac à dos, demain à l'aube, je commençerai mon périple.

-Je viendrai avec toi !

-Tu es sûr ? Tu avais dit que tu avais un stand !

-Oui mais je veux venir avec toi !

-OK , alors allons dormir. »

Quand l'aube se leva Thomas et moi nous nous levâmes et nous partîmes.

Cela faisait à présent à peu près 2h que nous marchions dans le parc quand tout à coup un mouvement de foule se produisit ; on se regarda en se disant : « C'est maintenant ou jamais !! » . Alors nous courûmes et sautâmes dans le trou qui s'était formé. Nous le vîmes : il avait des tenctacules pour cheveux, ses yeux crachaient du sang, son nez était aplati , il avait une tête à la place du ventre, sa bouche était cousue, ses ongles étaient de la morve, son corps était verdâtre et sa queue était une queue de serpent qui peut donner une décharge électrique, je pense tellement forte, que si nous la touchons nous nous évanouissons . Puis je vis au loin sa collection d'yeux rangés à côté de sa nourriture : des insectes séchés !!!!!!!

J'avais commencé à m'approcher de lui et il me griffa le bras. Thomas arriva et lui lança une flèche qui lui creva un œil ; Ensuite je sortis mon épée et touchai son nez, sa tête gonfla de plus en plus puis elle explosa. Je regardai Thomas et il me dit : « On y est presque ! » Alors il prit son arc et visa en plein dans le nez ! Nous courûmes chercher les yeux et remontâmes ensuite victorieux. Je rentrai ensuite chez moi et Thomas chez lui mais juste avant de partir il me dit : «  J'ai été content de te revoir !

Et sans hésiter je me penchai et l'embrassai. Nous repartîmes ensuite chacun de notre côté.

Le lendemain, nous nous retrouvâmes pour rendre les yeux aux victimes du monstre et la vie put reprendre pour tous ces pauvres gens.

08 mars 2018

Le monstre d'Argos

Texte imaginé par Sabry et Soren, 6ème C

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Peu après avoir été couronné roi d'Argos, Persée apprit l'existence d' un monstre effroyable qui ravageait les villages voisins. Un jour, le monstre que l'on appelait «le tueur sans âme» vint attaquer sa cité. Persée en eut assez. Il décida de le traquer pour ramener sa tête. Mais cette tâche était très dangereuse. Pour cause, le monstre avait un pouvoir ravageur : quiconque croisait son regard se transformait en cendres, hormis le cœur qui restait intact pour qu'il puisse se nourrir.

Persée annonça au peuple qu'il allait le combattre et débarrasser la cité à jamais de ce monstre. Il partit à sa recherche, sachant que «le tueur sans âme» vivait dan la mer Egée et se déplaçait dans le ciel, sur le sol ainsi que dans la mer.

Après quelques jours dans les plaines, Persée décida d'aller dans la forêt. Persée chercha encore pendant trois jours et trois nuits. C'est quand il allait repartir qu'il entendit un bruit dans les buissons. Il se retourna et le vit.

Il était horrible, avait un corps de lion féroce, une effroyable tête de requin marteau, une longue queue verdâtre de crocodile et des ailes puissantes de faucon. Persée savait qu'il ne pouvait pas regarder ses yeux, car il serait transformé en cendres et qu'il ne resterait que son cœur.

Le monstre attaqua le premier, Persée riposta, mais cela était compliqué, car il ne pouvait pas regarder les yeux du monstre. Le monstre lui donna un coup de queue et Persée se cogna violemment contre un arbre. Notre héros se releva, sortit ses armes en or et coupa sa queue de crocodile. En tombant, la queue brûla et se désintégra. Le monstre furieux chargea sur Persée, mais ce dernier était rapide, et lui coupa la tête . Alors, c'est le corps tout entier du monstre qui se désintégra. Ainsi le monstre d'Argos fut vaincu et les habitants de la cité purent enfin vivre en toute tranquillité.

 

FIN

08 mars 2018

Le Cyclator des Egouts

De Olivia Attias et Manon Coudert, 6ème C

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Cela faisait déjà longtemps que cette rumeur courait : dans les égouts sombres et sales d’Athènes vivait une créature malfaisante qui sortait la nuit pour se nourrir. C’est ainsi qu’un grand nombres de citoyens disparaissaient mystérieusement et que le sol était taché de sang au petit matin. Personne n’avait la moindre idée de qui était le CYCLATOR DES ÉGOUTS !!!…

Un matin, Eléonore, la sœur du fameux Persée, avait une annonce à faire à son père de la plus haute importance :

"J’irai combattre le monstre que l’on surnomme le CYCLATOR DES ÉGOUTS !

- C’est bien trop dangereux pour toi ! Ceci est une mission pour ton frère ! répliqua son père.

- J’en suis capable, crois- moi !!! dit la fière Eléonore.

- NON !!! TU N’ES QU’UNE INCAPABLE!!! ",s’emporta son père.

Eléonore partit en claquant la porte.

Persée alerté par les cris perçants de son père arriva aussitôt.

« Que se passe- t- il?

- Eléonore est partie combattre le CYCLATOR DES ÉGOUTS!

- La bête qui a enlevé maman ?

- Oui, va et sois assuré de toute ma reconnaissance si tu le tues, ordonna son père.

- Non, je suis persuadé qu’elle en est capable ! »

Pendant ce temps Eléonore marmonna : « J’en suis capable, je suis certaine que j’en suis capable… »

À ce moment- là, elle entra dans la chambre de son frère pour y dérober son épée.

Et cette fois-ci, elle partit pour de bon.

Trois heures plus tard, après avoir marché de longues heures, elle trouva enfin l’entrée de la tanière du monstre. C’était très sombre, répugnant et l’odeur était funeste. Partout sur le sol, il y avait des taches de sang. Cela était ignoble mais ça facilitait la fin du trajet. Soudain, elle vit cinq pattes de crabe géantes. C’était le monstre!!! Il avait de grandes oreilles, une queue pointue, des ailes de sang et des pics partout sur le corps. Sur son front se dressait une corne et sa bouche couvrait toute sa tête. Il faisait vraiment peur. Cette rumeur disait vraie, Eléonore l’avait bien vu de ses propres yeux. Elle était entêtée à tuer le monstre qui avait capturé la personne qui lui était la plus chère au monde: sa mère. « Je fais ça pour ma mère, je fais ça pour ma mère, je fais ça pour ma mère » se répétait-elle. Et là, du fond de la taverne, elle entendit une voit familière:

«  Eléonore ??? C’est bien toi ? dit cette petite voix.

- Maman ? Oui c’est moi, répondit Eléonore.

- Je suis bien ta mère mais qu’est- ce que tu fais là ? questionna sa mère.

- Je te retourne la question. Qu’est- ce que tu fais là, depuis combien de temps es-tu là? répliqua-t-elle

- Je… »

Elle n’eut pas le temps de répondre que le monstre s’avançait pour capturer Eléonore. Mais cette dernière s’avança et sortit l’épée de son frère. Elle fonça tête baissée et planta l’épée dans une des pattes du monstre, ce qui ne fit aucun effet. Elle évita gracieusement les coups de queue du monstre. Mais sa longue tresse blonde s’accrocha à un des pics de la queue. Elle fut soulevée d’un coup sec. Elle cria de toutes ses forces avant de reprendre ses esprits. Soudain, elle eut une idée. Puis elle monta jusqu’au front sans que le monstre ne ressente rien mais quand elle arriva sur le sommet de la tête, il remua. Alors, Eléonore prit l’épée et l’enfonça dans la bouche ouverte du CYCLATOR!!! Ce dernier tomba, ce qui expulsa Eléonore contre la paroi gauche des égouts. Elle est assommée brusquement. Mais deux heures plus tard, elle se réveilla et vit le monstre par terre, mort. Elle courut pour délivrer sa mère, affaiblie. Elle la détacha avec difficulté et elles se prirent dans les bras.

Elles rentrèrent chez elles main dans la main, quand son père et Persée les croyaient mortes. Persée vit sa mère en premier et la prit dans ses bras. Le père regretta ses actes méchants envers sa fille et la prit dans ses bras en chuchotant :« Je suis désolé de n’avoir pas cru en toi. »

 

Fin

08 mars 2018

Le monstre de la grotte

Texte imaginé par Nabil, Tidiane, Erwan 6ème C.

 

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Il y a de cela bien longtemps, un horrible monstre dévastait la ville de Massalia. Le   monstre se nommait alors Tentaculus et mangeait les humains. Ce monstre aux mille tentacules gluantes et aux yeux verdâtres avait disparu de la ville après la prise de celle-ci par le nouveau roi. Cette bête sauvage s’était sauvée et s’était échappée sur une île déserte.

Quelques années plus tard, un héros se nommant Icarus arriva à Massalia : il cherchait une aventure pour montrer sa bravoure. Le roi lui apprit l’existence du monstre et Icarus se mit en tête de le trouver rapidement et de le tuer. Le héros se mit en chemin et arriva à une sorte de port. Il prit la barque pour se rendre sur l’île déserte.

Quelques heures de navigation plus tard, Icarus débarqua sur l’île. Et il commença à prendre un chemin sans savoir où il allait. Puis d’un seul coup il se dit qu’il avait très soif, et voulut trouver de l’eau. Il se retourna et vit alors une grotte terrifiante et puante.

 Etonné il rentra dans la grotte et découvrit des cadavres horribles dont ses parents faisaient partie. Ensuite il vit le cauchemar de sa vie en voyant le corps couvert de sang du monstre. Il sortit sa lance et son épée et envoya sa lance dans l’épaule du monstre qui s’effondra. Puis le héros essaya de le découper avec son épée tranchante mais la bête se débattait et tentait d’étrangler Icarus avec ses tentacules. Le combat était acharné et nul ne savait qui allait gagner…Soudain Icarus parvint à crever un œil du monstre qui hurla de douleur et relâcha son adversaire. Le héros prit son élan et trancha de toutes ses forces la tête de Tentaculus ! Il avait vaincu la bête immonde !

Grâce à son action, la ville était enfin libérée et Icarus devint le nouveau roi de la ville.

08 mars 2018

Mélofa et Elona

Texte rédigé par Loïse et Maria, 6ème C

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Au temps des dieux existait une jeune femme nommée Élona. Elle souhaitait devenir une déesse guerrière et gouverner le Mont-Olympe. Pour cela, Héra lui demanda de réaliser une épreuve : elle devait tuer le monstre nommé Mélofa qui vivait dans une grotte nauséabonde, près d'une rivière où elle pêchait de nombreux poissons. Élona connaissait le monstre depuis sa plus tendre enfance. Celui-ci nuisait aux vies de nombreuses personnes : les villages voisins de la rivière ne pouvaient se ravitailler en poissons et mouraient de faim. Cette créature était mi-pieuvre mi- humaine avec des crocs  ; elle avait un visage attirant mais la cruauté était en elle si bien ancrée qu'une flamme violette jaillissait de ses yeux. Son pouvoir était le chant grâce auquel elle pouvait attirer les hommes et les animaux, aussi bien que les poissons.

Élona partit pour cinq jours et quatre nuits ; elle se coucha sur le sol, sous la pluie, sous l'orage, sans jamais se décourager. Elle arriva enfin dans la grotte de Mélofa : une grotte lugubre, noirâtre, où coulait une rivière verdâtre remplie de crocodiles et de requins affamés. Quand elle entra, elle trouva de nombreux os secs, des arrêtes de poissons et des cadavres de soldats voulant certainement tuer la créature et qui furent envoûtés par le monstre. Mélofa était en train de dormir. Soudain, notre héroïne marcha sur un ossement sec qui craqua et provoqua le réveil de la créature ! Celle-ci se réveilla en sursaut, elle était en colère ! Et d'un bond… elle se jeta sur Élona !

Le combat débuta : Élona sortit son épée, courut sur Mélofa et voulut l'égorger ; le monstre l'esquiva et elle commença à chanter. Alors Élona se sentit mal, elle avait la nausée et un mal de tête incroyable. Soudain une lumière jaillit du fond de la grotte, c'était la déesse du chant : Melpomène. Elle était venue pour aider Élona dans sa mission : la déesse donna une boule d’or magique qui contenait un chant magnifique capable d'annuler le chant de Mélofa. Grâce à cette boule qu'elle tenait dans les mains, Élona, à son tour, entonna un chant majestueux. L'espèce de pieuvre arrêta net son chant diabolique et se laissa ensorceler par la douceur du chant extraordinaire de la jeune femme. Mélofa se mit à genoux par terre, Élona l'avait assoupie, elle n'avait plus de force.

Élona parla avec Mélofa très agréablement. Elle lui proposa de faire le bien, d'aller s'excuser auprès de toutes ses victimes, d'offrir d'autres poissons au village et de ne plus envoûter les hommes, les femmes et les enfants du village. Élona partit au village avec Mélofa pour la présenter au village ; tous les habitants du village, surpris de voir cette pieuvre monstrueuse, se mirent à crier. Élona calma la foule avec son chant mélodieux et apaisant. Les villageois voulurent alors avoir une explication. Élona expliqua la raison de sa présence, commença à expliquer ce qui s’était passé avec la créature, qui avait l'air d’être méchante mais qui ne l'était plus !

Depuis ce jour, Mélofa réussit à se faire accepter comme elle était et Élona pu aller sur le trône et devenir reine du Mont-Olympe.

07 mars 2018

Le monstre et l'enfant

Histoire imaginée par Solomia, 6ème F.

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Il était une fois, une petite fille qui s’appelait Milana, elle avait cinq ans. Elle portait toujours deux petites couettes.

Un soir, elle n’arrivait pas à dormir, alors elle fit un cache-cache avec ses doudous. C’était à son tour de se cacher. Elle rentra dans son armoire et attendit que ses peluches la trouvent. À l’intérieur de celle-ci, elle vit une toute petite porte ; elle pouvait rentrer dedans mais elle serait très serrée ! Comme ils ne la trouvaient toujours pas et qu’elle n’arrivait toujours pas à dormir, elle décida de rentrer voir ce qu’il y avait derrière cette petite porte. Elle avait un peu peur, néanmoins elle était très curieuse, alors elle se lança.

Elle ouvrit la porte et rentra à l’intérieur. Elle arriva dans une très grande mais magnifique forêt, il y avait de très beaux arbres qui avaient le tronc et les branches tout roses, les petits oiseaux chantaient à merveille… Ce qui était un peu bizarre c’est que là, c’était le jour ! Elle vagabonda dans tous les petits chemins de la forêt, qui ressemblaient à un labyrinthe. Au bout d’un moment, il fallait qu’elle rentre.

Alors elle essaya de retrouver son chemin. Au bout de quelques minutes elle ne s’y retrouvait plus, elle était perdue. Elle se dit qu’à un moment elle retrouverait la sortie, mais non. Elle essaya encore et encore, impossible de retrouver son chemin dans un lieu qu’elle ne connaissait pas.

Elle appela au secours sans beaucoup d’espoir. Cependant, elle eut un coup de chance ! Un être très étrange vint la voir. C’était un grand monstre. Il portait sur son corps une grosse tête ronde, d’à peu près quarante-cinq centimètres avec deux cornes. Il avait des bras, des jambes qui mesuraient soixante centimètres et six doigts. Son corps était bleu à pois. Il possédait un gros ventre de couleur violet. Sur son dos, on apercevait de petites ailes d’à peu près dix centimètres, elles ne lui servaient pas à voler car elles étaient trop petites et il était trop imposant. Sa grande bouche, ses doigts et ses cornes étaient violets. Pour finir, il avait une toute petite queue. Le monstre était recouvert de beaucoup de poils. Ce gentil être s’appelait Ravi.

Milana avait un peu peur mais elle se dit que c’était sa seule chance. Elle demanda au monstre s’ il pouvait lui montrer la sortie, il répondit :

« D’accord, il n’y a pas de problèmes. Mais à une condition : tu restes t’amuser avec moi un petit moment. » Milana était d’accord, ce qui comptait pour l’enfant était de rentrer chez elle.

Aussitôt dit, aussitôt fait : ils étaient déjà partis se promener dans la forêt. Ils s’amusèrent ensemble, mangèrent des bonbons, des chocolats… Puis ils allèrent chez Ravi, il y avait beaucoup de potions magiques !

La petite fille étaient très heureuse de s’amuser ainsi, mais elle demanda au monstre s’il pouvait la ramener chez elle. Ravi lui dit que ce n’était pas si simple : qu’elle devait ramener au papillon géant une banane rose, une fleur avec des verrues et une mangue violette à pois jaune. En sachant que dans ce monde, bien qu’il soit étrange, il existait qu’un plan de bananes rose, qu’un plan de fleur à verrues et qu’un plan de mangues violette. En plus de cela, ils se trouvaient tous à l’opposé les uns des autres. Milana était très étonnée de ce qu’elle devait accomplir !

Ils partirent enfin chercher ces trois demandes. Sur la route pour aller chercher la banane rose ils durent traverser une rivière avec un crocodile violet, il rodait autour d’eux, voulut les manger. Ils passèrent alors sur des pierres le plus vite possible, pour éviter ce méchant sortilège. Sur le chemin pour aller chercher la fleur à verrues ils croisèrent une plante carnivore. Grâce aux longues griffes de Ravi, ils réussirent à couper l’épaisse tige de cette plante. Sur le chemin pour aller chercher une mangue violette à pois jaunes, ils durent répondre à une énigme très compliquée. Comme Milana était très forte à ce jeu, elle réussit. Au final, ils réussirent à franchir toute les épreuves. Ils prirent la route pour la grande demeure du papillon géant. Quand ils arrivèrent, ils montrèrent les trois demandes à celui-ci.

Le papillon ouvrit une porte, et dit à Milana de pénétrer dedans. Elle prit les trois objets pour retourner dans ce monde parallèle au sien quand elle souhaitera, et promit à Ravi de revenir là toutes les nuits. Elle alla derrière la porte et s’en alla chez elle.

Et elle tint pour toujours sa promesse.

07 mars 2018

Le monstre et l'enfant

Texte écrit par Adèle, 6ème F.

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Peter était un petit garçon de dix ans, il était très astucieux, poli, rêveur et il aimait la nature.

Gnokie, lui, était un bébé dragon qui ressemblait beaucoup à un bonhomme de neige sauf qu’il n’avait pas la même couleur. Il possédait un petit ventre rond, de grandes ailes et de fines oreilles bleues. Il avait aussi une petite tête ronde, des bras minuscules, de pauvres jambes et une grosse queue qui comportait du gris.

Un midi quand il rentrait de l’école, Peter a senti quelque chose sous son pied et il a vu quelque chose de bizarre qui ressemblait un peu à un crapaud. Il a enlevé le « Crapaud » puis il l’a jeté... Heureusement que Gnokie avait des ailes car sinon il serait sûrement mort ! Après cette terrible chute il a réussi à retrouver le garçon et il s’est glissé dans son cartable.

Quand Peter fut arrivé chez lui, il goûta et monta faire ses devoirs, il ouvrit son cartable et vit un Dragon. Il n’en crut pas ses yeux, il cria et il descendit à toute vitesse l’escalier. Il remonta quelques minutes plus tard pour voir s’il n’avait pas rêvé, mais il était encore là. Gnokie s’approcha du petit garçon et lui demanda son nom, le garçon lui répondit en bafouillant.

Peter se sentit plus à l’aise quand Gnokie lui dit qu’il était gentil et qu’il cherchait un petit garçon entre cinq et quinze ans et qu’il l’avait enfin trouvé. Le garçon demanda à Gnokie pourquoi il cherchait un enfant et le monstre répondit que c’était pour son bac des dragons et qu’il ne pouvait pas réussir seul et qu’il devait absolument avoir un humain avec lui pour trouver les cinq œuf surprises parce que dedans il y avait des questions pour le bac des dragons.

Le lendemain matin Peter était de très bonne humeur mais il se demandait s’il devait dire ce qui c’était passé la veille à sa mère ; il demanda à Gnokie et celui-ci lui répondit qu’il ne fallait surtout pas le dire car ceux qui ont plus de quinze ans et ceux qui ont moins de cinq ans ne le voyait pas donc sa mère le prendrait pour un fou. Quand il fut treize heures ils partirent chercher les œufs surprises. Ils commencèrent par la forêt, puis se rendirent au pré et ils terminèrent enfin par la ville et quand il fit nuit ils rentrèrent à la maison.

Pendant la nuit, Peter alla discrètement à la recherche des œufs surprise. Il alla en ville où il en trouva un, s’empressa de rentrer. Arrivé, il prit un beau papier cadeau et emballa l’œuf pour le poser au pied de la créature. Le lendemain le Dragon se réveilla et il vit un petit cadeau avec marqué dessus « J’ai un petit cadeau pour toi, j’espère que ça va te plaire ». Gnokie ouvrit son cadeau et il eut tout d’un coup un sourire jusqu’aux oreilles. L’enfant lui demanda si ça lui plaisait et la créature ouvrit tout de suite l’oeuf. Dedans il y avait un morceau de papyrus où il y était marqué « Quel est le monstre le plus effrayant de toute la planète des dragons ?». Gnokie marqua au dos du papyrus la réponse. Si la réponse était correcte, le papyrus disparaîtrait. Sinon le papier resterait là lui dit le dragon…et au même moment le papier disparait !

Des jours et des jours passèrent, ils en avaient enfin trouvé cinq. Gnokie avait trouvé toutes les réponses, mais Peter était triste car il ne voulait pas que la créature parte. Mais il le fallait et le lendemain matin la créature s’en alla par la fenêtre de la chambre en s’envolant et en disant au revoir à Peter.

Un an après Peter reçut une lettre du dragon qui lui disait qu’il avait réussi son bac et qu’il le remerciait de tout ce qu’il avait fait pour lui. Il terminait sa lettre en lui disant qu’ils se reverraient sûrement bientôt…

07 mars 2018

Le monstre à la carapace et l’enfant blond.

Texte rédigé par Nathan, 6ème F.

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Végésan est un monstre : sa tête est allongée, quand il ouvre la bouche, on voit ses grandes dents aiguisées. Il est couvert d’une carapace épaisse et sa queue est très allongée, ses oreilles noires sont pointues. Ses longues ailes orange avec les griffes au-dessus sont si aiguisées qu’il pourrait couper un homme en deux. Sa couleur est inimaginable: d’immenses pattes bleues aux longues griffes bleues elles aussi, le ventre marron de couleur terre, la queue rouge sang. Quand on le regarde, il fait peur mais, en vérité, il est très peureux et gentil.

Elmatador est un enfant de onze ans. Ses cheveux sont lisses et blonds, il a une houppette. Ses yeux sont bleus. Il a des taches de rousseur sur les deux joues.

Il est beau et courageux. On l’appelle le Bonhomme.

Quand Elmatador a rencontré le monstre, c’était dans sa chambre. Végésan était entré la nuit en passant par la fenêtre entrouverte. L’enfant eut très peur en voyant ce terrible monstre. Mais rapidement le monstre le réconforta et lui montra qu’il était très gentil. Ils discutèrent tard dans la nuit et Elmatador s’endormit entre ses pattes. Au matin Végésan repartit. Ils furent bien contents de s’être vus. Végésan et Elmatador se reverront peut-être un jour ???

 

07 mars 2018

L'enfant serpent

Texte écrit par Rayan, Raphaël, Martin, 6ème E

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Il était une fois quatre amis de seize ans qui s’appelaient Timéo, Paul-Arthur, Frank et George. Ils louèrent une maison en forêt pour passer du temps ensemble, ils se connaissaient depuis leur enfance. Ils arrivèrent dans la maison le soir, il y avait une cheminée, une cuisine, une chambre et quatre lits.

Timéo alla chercher du bois sec pour la cheminée. La forêt était sombre et humide. Le bois sec était introuvable alors Timéo s’enfonça dans la forêt. Il vit un serpent et courut vers la maison, mais il trébucha à cause d’une racine. Il tomba dans un nid de serpents et il se fit mordre. Il se transforma en mi-homme mi-serpent. En sortant du nid il vit un homme qui criait en courant et le dévora. Timéo découvrit une feuille avec le mot «Blume».

Timéo retourna à la maison. Ses amis criaient car ils croyaient que c’était un monstre. Timéo expliqua que c’était lui. Il lisait le nom sur le papier. Ils en conclurent que le papier était le nom d’une société secrète. Ils partirent à la recherche de la société. Sur le chemin ils découvrirent des traces de pas et de serpent humides. Plusieurs kilomètres plus loin ils découvrirent un grand arbre où était accroché des maisons en bois. Il y avait des rivières de couleur verte, Timéo les examina et découvrit que c’était le venin du serpent qui l’avait mordu ; ils virent des gardes qui marchaient autour de l’arbre. Timéo creusa sous la terre pour joindre le tronc puis il mordit le tronc, courut vers ses amis et l’arbre explosa. Timéo redevint humain. Ils retournèrent chez eux et continuèrent leur vacances.

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