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MAIS QUI A PEUR DES MONSTRES ?

Faites vous peur ! Venez découvrir les monstres de tout poil créés par l'imagination fertile des élèves de 6ème du Collège des Châtelaines de Triel-sur-Seine !

Classe de 6ème A, Mme Agide

Fil des billets

08 mars 2018

Le treizième travail d'Hercule

Histoire créée par Lana et Chloé, 6ème A

 

Après avoir capturé Cerbère, le chien gardien des enfers, Hercule partit à la recherche d’une autre créature effroyable nommée Fernise. Un jour Eurysthée (le cousin d'Hercule) lui demanda d’aller combattre Fernise, monstre à trois têtes qui avait détruit une partie de la ville. Ce monstre terrifiant vivait dans une grotte lointaine qui se trouvait au cœur d’une épaisse forêt. Il était doté de trois têtes : la première tête à gauche est une tête de lion qui crache de la glace, celle du milieu est une tête de serpent qui crache du venin et celle de droite est une tête de dragon qui crache du feu.

Hercule parcourut des centaines de kilomètres, et enfin arriva dans la fameuse forêt où vivait Fernise le monstre à trois têtes. Hercule observa puis rentra dans la grotte de la bête hideuse. A l’intérieur, il y faisait très sombre ; des ossements, des débris de carcasses d’animaux jonchaient le sol. Hercule commença à chercher le monstre mais ne le trouva pas. Épuisé, il s’assit sur un gros rocher, puis sentit le rocher bouger et se rendit compte qu’il s’était assis sur le monstre ! Hercule bondit et commença à s’ éloigner du monstre pour le combattre. Mais le monstre était déjà en train de l’attaquer et de tester ses pouvoirs sur Hercule ; celui-ci ne se laissa pas faire et lui arracha sa seule et unique dent d’or, le privant ainsi de tous ses pouvoirs. Enfin, d’un coup, Hercule planta son épée dans le ventre de Fernise pour l’affaiblir sans le tuer.

Ainsi, Hercule ramena la dent d’or à son cousin, pour lui prouver qu’il avait bien combattu le monstre. Des années passèrent pendant lesquelles Fernise fut dompté par Hercule. Plus jamais il ne terrorisa qui que ce soit.

Pikamèch

Texte rédigé par Paul et Lucas L., 6ème A

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     En revenant de sa quête, Anthéus le 13, trouva sur son chemin la dernière épreuve qu’il devait accomplir : vaincre Pikamèch, le dieu des monstres. Pikamèch a un corps de feu, des mains électriques, des dents tranchantes comme des lames de rasoir ; il a également des yeux rougeâtres comme les flammes de l’Enfer et il crache du venin mortel. Pour tuer ses ennemis, il lance de l’électricité et si on s’approche trop de lui, il nous sert dans ses bras pour nous brûler. Pour que Pikamèch meure, Anthéus le 13 devra lui couper la tête, et si on lui coupe les bras ou les jambes, ses membres repoussent. Or notre héros était juste équipé d’une épée très tranchante.

      Anthéus le 13 monta en haut de la colline pour réfléchir à un plan. Le lendemain, il vit Pikamèch sortir de sa caverne. Le héros lui sauta dessus pour lui couper la tête, mais Pikamèch l’électrocuta. Anthéus le 13 tomba par terre. Le monstre voulut le brûler mais notre héros, reprenant connaissance, sortit son épée et lui coupa la tête. C’était la fin de Pikamèch. Après dix ans, quand il eut terminé sa quête, il rentra en Olympie. Il  alla voir Zeus pour lui dire qu’il avait survécu : le grand Dieu lui accorda alors le droit de vivre éternellement à Olympie. Ainsi finit la quête d’Anthéus le 13.

13 février 2018

Le mythe du Lynel

Texte imaginé par Sofiane, Evan K. et Julien, 6ème A

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Il y a fort longtemps, un monstre nommé Lynel inquiétait les dieux. Il mangeait leurs troupeaux et tuait tout ce qui se dressait contre lui.

Un jour, les dieux décidèrent d’envoyer un demi-dieu, Hérastite pour qu’il combatte Lynel. Hérastite pouvait envoyer des boules de feu. Or, dès qu’il attaqua Lynel en lui jetant une de ses boules de feu, le monstre fit exactement de même : il avait le pouvoir de recopier, de s’approprier les pouvoirs de ses adversaires. Se rendant compte de la puissance de ce monstre colossal, Hérastite prit la fuite et alla prévenir les dieux.

Zeus, effrayé par la créature, comprit que seul un mortel pourrait le battre. Il trouva l’homme destiné à combattre le Lynel : Link, un voleur connu pour sa discrétion. Il lui promit un asile sur le mont Olympe. Convaincu, Link demanda ce qu’il devait faire. Zeus lui répondit:

« Va chez mon fils Héphaistos, il te forgera une épée. Il se trouve à Forgerone, la ville des forgerons. »

Après une longue route sur son fidèle cheval Ganonval, Link arriva à Forgerone ; il découvrit un énorme château, c’était la demeure d’Héphaïstos. Celui-ci l’attendait. Link lui dit : « Il me faut une épée pour tuer le Lynel. »

«  Rentre, répondit  Héphaistos, ton épée est déjà prête. On va voir si tu es digne de celle-ci.»

Link essaya de la soulever maintes et maintes fois. Mais il n’y arriva pas.

« Tu vas devoir accomplir douze énigmes pour être digne de porter cette épée. Voici la première énigme: je ne respire jamais mais j’ai beaucoup de souffle, qui suis-je ? »

Link réfléchit longtemps et il répondit le vent.

« Bravo, répondit Héphaistos. Maintenant, passons à la prochaine énigme. Je suis d’eau, je suis d’air, je suis d’électricité ; qui suis-je? »

- Le courant, dit Link vivement.

- Bravo !"

Et ainsi, Link répondit à toutes les questions. Enfin il réussit à manier l’épée. Il se rendit aussitôt devant la grotte. Il se sentait prêt à combattre le Lynel mais un sentiment de dégoût lui montait dans la gorge. Avec son cheval, il pénétra dans la sombre grotte où il trouva une créature monstrueuse.

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Celle-ci portait une épée gigantesque sur son dos qui sortait des entrailles de la terre, son corps était celui d’un centaure et elle était dotée de la force d’un Minotaure. Elle avait également des cornes acérées. Link n’était plus certain d'être en mesure de pouvoir la battre. Mais il ne put pas hésiter plus longtemps, car tout à coup le Lynel se rua sur lui. Notre héros réussit à l’esquiver de justesse et tenta sa chance en lui sautant sur le dos. Le Lynel se débattit de toutes ses forces et Link tomba. Alors le monstre cracha d’énormes boules de feu. Link roula et de nouveau sauta sur son adversaire qu’il acheva d’un coup d’épée.

Ainsi, Link avait gagné son séjour éternel sur l’Olympe ! Arrivé sur le mont, tout le monde l’acclama. On appela cette histoire le mythe du Lynel.

 

Le loupfeufleu

Texte imaginé par Loup et Kyllian, 6ème A

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En ce temps-là, un roi du nom de Kalé entendit parler d’un monstre qui vivait sur ses terres et qui terrorisait toute la région. Il prit aussitôt la sage décision de le capturer ; il verrait ce qu’il pourrait en faire.

Le lendemain, il fit venir auprès de lui sa fille prénommée Olline. Il lui demanda de s’entraîner pendant vingt jours et vingt nuits. Elle s’entraîna sans relâche et enfin prête elle s’équipa et alla voir son père.

 « Père, dit-elle fièrement, je me suis entraînée pendant vingt jours et vingt nuits, comme vous me l’avez ordonné. J’irai dompter cette bête et je vous la rapporterai.

- Ma fille, dit le roi, capture-la donc, adopte-la et donne-lui un nom. Nourris-la et tu seras enfin prête pour me succéder. Va ma fille, va ! »

En allant chercher le monstre dans la forêt des ténèbres, Olline eut la vague impression d’être regardée. Elle avança et vit la bête : elle avait un corps de loup mais ses poils étaient enflammés de feu bleu. Elle avait des cornes, une queue de renard et elle saignait un peu.

Olline déposa de la viande de cheval à ses pieds. La mère loup la prit et l’apporta à ses petits. Quand Olline s’approcha pour caresser les loupfeuteaux, la mère, voulant protéger ses enfants, sauta sur la jeune fille. Mais celle-ci se défendit avec son bouclier en or massif orné de pierres de toutes les couleurs puis elle dégaina son sabre qui malencontreusement entailla la queue de la bête. Olline, inquiète, sortit des bandages pour la soigner. Encore méfiante la mère loup alla se blottir dans un coin avec ses petits pour y passer la nuit.

Le lendemain matin Olline trouva un petit loup blotti contre son cou. Les loupfeubleus avaient froid et la mère vint également se blottir contre la jeune fille avec ses autres petits. Le midi, Olline mit les loups sur un brancard fait de branches et les emmena à son palais.

« Mon père j’ai capturé les loups, j’ai gagné leur confiance et les ai nourris. La bête m’obéit maintenant au doigt et à l’œil, je l’ai nommée : FLAMME.

- Je te crois, demain tu la selleras, tu monteras sur son dos et partiras faire le tour de nos terres. Alors tu seras prête à me succéder ! »

C'est ainsi que la région vécut paisiblement durant plusieurs millénaires ...

La naissance de Zéracles

Texte imaginé par Tony et Hermelin, 6ème A

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Jadis, dans la cité d’Athènes, il y avait un roi du nom de Philéas. Il était un homme puissant avec une musculature imposante. C’était le meilleur guerrier de Grèce ! Philéas était marié à une femme qui s’appelait Hermione, ils désiraient plus que tout au monde avoir un fils comme descendant qui régnerait un jour sur Athènes.

Un jour enfin, leurs vœux furent exaucés : Hermione attendait bien un enfant. Alors Philéas décida de partir consulter le dieu Apollon au temple de Delphes et demanda :

« Aurai-je un fils ou une fille ?

- Tu n’auras que des filles, répondit la Pythie. Si tu veux un descendant mâle, il te faudra combattre et tuer la manchticore d’Argos. »

Philéas décida alors d’aller dans les montagnes d’Argos pour combattre la manchticore et avoir enfin un fils.

En effet la manchticore était un monstre horrible doté de deux têtes de dragon, l’une crachant du feu et l’autre du venin ; sa peau de lion était aussi dure que celle du lion de Némée, sa queue de serpent dardait un venin mortel, ses ailes étaient assez puissantes pour voler et ses griffes étaient aussi tranchantes que des épées.

Alors qu’il marchait pour essayer de la trouver, il la surprit en train d’attaquer un troupeau de moutons pour essayer de les manger. Philéas observa le monstre pendant qu’il les dévorait. Alors il prit une flèche de son carquois et tira sur son épaule. La flèche se ficha dans l’épaule du monstre, la créature aurait dû être fortement ébranlée mais la flèche se brisa sur la peau de lion.

La bête se retourna et bondit sur Philéas, qui, en bon lutteur, parvint à l’esquiver. Il prit la fuite pour réfléchir à un plan.

Cela faisait trois longs jours que notre héros réfléchissait à un plan et à ce moment-là il trouva enfin le moyen de vaincre la manchticore.

Il partit tuer un mouton qu'il dépeça. Il prit la peau du mouton et l’enfila. Il alla se poser dans un vaste champ, attendant la bête. Effectivement la créature monstrueuse ne tarda pas à arriver. Elle vit le mouton et courut le dévorer mais juste au moment où le monstre ouvrit sa gueule pour manger le mouton déguisé, Philéas brandit sa lame de bronze luisante et transperça le palais du monstre. La créature tomba raide morte.

Sur le chemin du retour, il passa par Delphes et demanda au dieu Apollon s'il aurait enfin un fils. Alors la Pythie lui transmit l’oracle et lui dit :

« Ta tâche a été accomplie, alors oui tu auras un fils et le bonheur sera tien.

- Merci beaucoup de cette réponse ! »

En rentrant à Athènes il eut comme prévu un fils qu’il nomma Zéracles, ce qui le combla. Pour fêter l'événement, il organisa un énorme banquet !

Sarkochabada et Mamoutomann

Texte imaginé par Lucas et Lohan, 6ème A

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Jadis vivait dans le royaume d’Asie un animal fameux nommé Mamoutomann. Il était toujours équipé d’une énorme massue et son corps était recouvert d’une épaisse couche de graisse qui constituait un bouclier précieux.

A la même époque vivait dans une grotte un monstre qui se nommait Sarkochabada ; il était hybride, gros, grand et musclé. Il avait deux têtes qui repoussaient chaque fois que l’on en coupait une. Pour éviter que celles-ci ne repoussent, il fallait utiliser du feu. Le monstre était muni d’un lance-pierres. Ses trois énormes têtes de cyclope étaient terrifiantes, son corps se terminait par quatre pattes et ses mains possédaient deux doigts.

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Un jour, Mamoutomann croisa la route de Sarkochabada. Celui-ci lança une pierre à Mamoutomann et en réponse, notre héros lui donna un coup de massue dans le ventre ce qui fit reculer Sarkochabada de deux mètres. Mamoutomann fonça sur le monstre mais il l'esquiva et mordit Mamoutomann d’un coup de crocs fatal. Ainsi, Mamoutomann, mourut d’une morsure de Sarkochabada ! Et Sarkochabada continua de régner sur la Terre.

06 février 2018

Centaile

Texte rédigé par Lyna et Thanina, 6A

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Il y a bien longtemps vivait une effroyable créature nommée Centaile ; née d'un centaure et d'une biche, elle vivait à l'écart de tous. Dotée d'ailes orange de faucon, elle avait sur la tête des cornes de cerf ; son corps était composé d'un cheval doté de sabots d'or et d'un buste de femme mais le plus monstrueux c'étaient ses longues dents de vampire tachées de sang.

 

A quatre ans, elle se battait avec les armes de son père (une épée en or, une faux en argent). Quand quelqu'un fixait les yeux verts de Centaile, elle attaquait ; elle était carnivore. Elle avait été poursuivie pendant un an par un guépard qui avait abandonné sa poursuite et vivait désormais dans une grotte au bord de la rivière. Chaque jour elle se faisait les sabots avec son épée. Mais le point négatif était que ses cornes la gênaient quand elle se battait.

En ces temps-là, elle affronta Aphrodite (Déesse de l'amour et de la beauté) pour prouver que la guerre était préférable à l'amour et à la beauté. Centaile avait plus d'armes qu' Aphrodite et en outre elle avait pour aide le dieu le plus puissant de l'Olympe, Zeus.

Le combat commence. Aphrodite fixe les yeux puissants de Centaile qui aussitôt l'attaque et lui enfonce son épée dans le ventre. Heureusement pour elle, la déesse est immortelle mais elle ne supporte pas l'humiliation et se retire sans tarder sur l'Olympe. Pendant longtemps on n'entendit plus parler d' elle.

De son côté, Centaile continua à mener une vie de combats, se nourrissant du corps de ses ennemis.

 

Le combat de Persée contre Hydra

Texte réalisé par Ilian, Aymerick et Noa, 6ème A

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Après avoir vaincu Méduse, l'une des trois gorgones, Persée se rendit chez le roi de Tyr. En effet, il désirait lui demander la main de sa fille. Le roi déclara: « Si tu veux épouser ma fille, rapporte-moi les ailes du serpent Hydra ; mais sache que c'est là une tâche périlleuse. »

Aussitôt Persée se mit en chemin, en quête du monstre. Il était équipé d'une épée magique et d'un bouclier fait dans la matière la plus résistante, forgé par Héphaïstos lui-même. Il gagna le pays des grottes qu'on lui avait indiqué et une fois sur place, il lança des des pierres dans chaque grotte.

A la sixième grotte, il vit un immense corps verdâtre sortir de l'antre, celui d'un épouvantable serpent ! Il possédait des ailes de dragon, des pattes velues d'araignée géante; le serpent était doté au bout de sa queue de piques de fer tranchantes. Le monstre prenait l’apparence qu'il voulait. Il pouvait aussi vivre dans tous les milieux, son seul point faible était ses ailes. La langue du serpent produisait un acide capable de faire fondre toutes les matières. Le serpent poussait des cris effroyables, les plus étranges du monde mélange de grognements d'ours, de rugissements de lion féroce et de barrissements d’éléphant. De plus la gueule du monstre possédait une haleine épouvantable ! Autour de la grotte sombre et humide, on pouvait voir les carcasses des habitants qu'il avait dévorés. Son antre était infesté de petits serpents très dangereux.

Soudain le serpent attaque Persée en l'entourant de son corps gluant. Il veut l'étouffer mais Persée réussit à s'échapper ; le monstre, étonné, crache alors un acide, pensant faire fondre le bouclier du héros ; mais celui-ci résiste. Persée d'un bond se jette sur Hydra et lui tranche les ailes. Le sang gicle, la bête s'effondre et meurt sur le coup. Comme trophée Persée prit les ailes de la créature hybride et rentra au royaume de Tyr.

Arrivé devant le roi, il lui dit :

« J'ai tué le serpent et j'ai rapporté ses ailes ! »

Le roi tint sa promesse et déclara :

«D'accord, tu auras la main de ma fille. »

Le mariage de Persée avec la fille du roi eut lieu et beaucoup de villageois, libérés de l'emprise du serpent malfaisant, participèrent à la fête.

 

Fin

Le treizième travail d'Hercule : le Requicorne

Texte écrit par Lola et Lucie, 6ème A

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Après avoir capturé le chien Cerbère, comme le lui avait demandé son cousin Eurysthée, Hercule décida de partir affronter une créature malfaisante qu’il avait rencontrée dans les Enfers. Celle-ci s’appelait Requicorne : c’était une licorne dotée d’une corne en or et de deux têtes de requin aux terribles yeux d’araignée. Hercule voulait lui arracher sa corne en or car elle était magique et guérissait toutes les blessures. Malheureusement elle ne pouvait rien contre la mort.

Notre héros se mit donc en quête de l’effroyable bête et reprit le chemin bien connu des Enfers. Une fois qu’il l’eut trouvée, il sortit ses armes: la peau du lion de Némée, les flèches empoisonnées par le sang de l’Hydre de Lerne et son épée aux clous d’argent. La bête était en train de déguster sa proie inoffensive et du sang chaud dégoulinait de ses mâchoires sur le sol qui devenait rouge. Hercule s’approcha doucement vers elle, mais il marcha sur une des carcasses de ses victimes. Le monstre l’entendit…Une des têtes de requins l’attaque aussitôt en le mordant à l’épaule. Heureusement, la peau du lion de Némée le protège. Hercule alors se défend en lançant une flèche empoisonnée sur une patte du monstre qui s’écroule en hurlant de douleur. Dégainant son épée, le héros tranche les trois têtes du terrible monstre qui hantait les Enfers. Celles-ci roulent à ses pieds. Sans perdre de temps, Hercule arrache la corne en or et revient dans le monde des vivants.

Longtemps il passa dans les villages environnants où il guérit toutes les personnes qui avaient été blessées par cette créature ignoble !

 

 

L'exploit d'Even

Texte écrit par Toscane et Cloé, 6 A

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Il y a bien longtemps dans le royaume des Indes orientales vivait un jeune homme du nom de Even. Un jour, alors que celui-ci se promenait, il rencontra un horrible monstre qui terrifiait la ville voisine. Le monstre tuait toutes les femmes du village pour prendre leur cœur dont il se nourrissait. Even craignait pour sa bien-aimée. Il décida d'aller combattre cette créature ignoble et le suivit jusqu'à son repaire. Celui-ci vivait dans le bassin d'un temple abandonné à l'écart de la ville. Even revêtit son armure flamboyante et s'arma de son trident d'argent forgé par Héphaïstos.

Il arriva dans le temple et tomba nez à nez avec le monstre qui avait flairé sa présence. L'horrible créature était dotée d'une énorme tête de requin et d'un corps de poulpe noirâtre. Sa gueule était munie de grandes dents acérées et de petits yeux rougeâtres qui illuminaient son visage. Ses monstrueuses tentacules noires avaient un pouvoir paralysant : quiconque les touchait restait figé à jamais.

Alors commença le combat. Even tenta de trancher les tentacules du monstre mais elles repoussèrent aussitôt . Tout à coup notre héros eut une idée : trancher la tête du monstre pour la rapporter au roi de son village, afin de prouver son action . Il rassembla tout son courage et fonçant vers le monstre, il tourna son trident et l’enfonça dans le cou de la créature. Celle-ci se débattit en hurlant mais Even s'acharna et réussit à lui couper la tête. Sans tarder, il rentra au village avec la tête de Relpourpe . Là, il fut acclamé et accueilli comme un dieu. Pour le remercier, le roi décida alors de le nommer « chevalier héros du village ».

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