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MAIS QUI A PEUR DES MONSTRES ?

Faites vous peur ! Venez découvrir les monstres de tout poil créés par l'imagination fertile des élèves de 6ème du Collège des Châtelaines de Triel-sur-Seine !
08 mars 2018

Le monstre et l'enfant

Histoire imaginée par Victor, 6ème F

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Ce jour-là, en fin d’ après-midi, un enfant nommé Alex alla se réfugier sous un pont car il pleuvait. Il entendit un bruit étrange, il se tourna et vit une ombre monstrueuse. Alex prit peur et courut se cacher chez lui.

Le lendemain, il retourna sous le pont pour voir si l’ombre bizarre était revenue. Le garçon vit des traces de sang et entendit un grognement. Il leva les yeux et aperçut le monstre de la veille. Il resta figé devant la créature monstrueuse qui avait des yeux couleur clémentine, une queue bleu marine, un ventre marron clair, et des petites paires de pattes avec des griffes bien aiguisées. A la droite du monstre, Alex trouva une balle de fusil, qui était à l’origine de sa blessure. Il se précipita pour aller chercher de quoi le soigner.

Vingt-cinq minutes après, le petit homme rapporta le nécessaire pour le soigner et s’approcha doucement de la bête pour lui mettre le bandage. Le monstre le poussa, mais Alex réessaya et réussit à lui poser et coller le bandage. Ensuite il décida de rentrer chez lui pour construire une cabane au monstre. Une fois la construction de la cabane terminée, il attira son compagnon dans la maisonnette avec un poulet rôti. La maison était fabriquée en bois et disposait d’un drap au sol pour que la créature dorme dessus.

Le jour suivant, au petit matin, le garçon prit des côtes de porcs et deux pommes pour nourrir le blessé qui s’était réveillé avant lui. Il sortit le monstre pour qu’il puisse s’aérer la tête, et vérifia qu’il n’y avait personne dehors pour ne pas effrayer les gens. Ils partirent dans la forêt, à côté du domicile d’Alex pour se promener mais tout à coup la créature se mit a courir. Le petit voulut le rattraper mais la bête allait trop vite, Alex épuisé s’arrêta, et dix minutes plus tard le monstre revint vers lui, avec entre les crocs, un marcassin.

Un homme qui se promenait par là vit le monstre. L’adulte sortit son iPhone puis appela les gendarmes. Ils arrivèrent très vite, et le promeneur expliqua ce qu’il avait vu. Les enquêteurs prirent des notes pour faire leur enquête et pouvoir retrouver cette créature.

Pendant ce temps, les deux autres continuèrent leur balade sans se rendre compte qu’il se faisaient poursuivre par les forces de l’ordre. Tout à coup les enquêteurs virent l’enfant et le monstre et sortirent leur fusil, visant tous la même cible : le monstre. Heureusement la sécurité n’a pas réussi leur tir. La créature et le garçon coururent très vite pour leur échapper et rentrer chez eux mais un barrage de camionnettes de militaires bloquait le chemin. Le monstre tomba et percuta les camionnettes, qui devinrent toutes cabossées comme s’il y avait eu un accident. Il se releva, un camion avec une grosse mitrailleuse tira sur le monstre. La bête gravement blessée s’écroula par terre. Un homme de l’armée attrapa l’enfant qui se débattait pour ne pas laisser sa pauvre créature mourir devant ses yeux.

Un militaire prit sa mitraillette et acheva le monstre. Alex s’écroula par terre de tristesse

 

08 mars 2018

Le monstre et l'enfant

Histoire créée par Armand, 6ème F

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Par temps de pluie, à la fin d’une représentation de théâtre les acteurs retournèrent dans la loge retirer leurs costumes avant de saluer les spectateurs . Merlin, qui jouait le rôle de l’enchanteur, avait neuf ans, était amical, courageux, imaginatif et riche. Il vivait dans une villa. Et ses trajets se faisaient en limousine. Contrairement à ce que certains pouvaient penser, Merlin n’était pas si heureux. Il pensait souvent aux autres enfants qui eux vivaient dans des rues. Plus tard, il voudrait travailler à l’U.N.I.C.E.F, jouer des pièces de théâtre à ces pauvres enfants, les loger…

Soudain il entendit un couinement de porte et vit un petit cochon ailé la passer. Des chasseurs frappèrent à la porte, l’enfant cacha l’animal dans un piano et retourna saluer les spectateurs. Les chasseurs, furieux que personne n’ouvrit, enfoncèrent la porte, rentrèrent sur la scène et tirèrent partout dans la salle. Des cris se firent entendre et la salle évacua. L’enfant quitta la scène, ouvrit le piano, reprit le cochon et courut en direction de la limousine. Le conducteur venait d’appeler la police car il avait entendu des coups de feu. Ils quittèrent les lieux et se dirigèrent dans la villa. La police arriva, contrôla les chasseurs qui n’avaient pas de permis de port d’arme ni de permis de chasse, en plus de tirer sur des innocents. Donc ils furent arrêtés.

Quand il arriva chez lui, Merlin demanda à être seul dans sa chambre. Il observa le cochon et découvrit qu’au soleil sa queue devenait multicolore et un cœur apparaissait au bout. Alors il décida de l’adopter.

Le soir même, c’était la pleine lune, il entra dans sa chambre, enfila son pyjama et finit ses devoirs. Il voulut souhaiter une bonne nuit à son animal, mais en regardant dans sa cage, il ne vit point de cochon ailé avec une queue arc-en-ciel , mais une ignoble créature vêtue d’un horrible pelage noir accompagné de taches de sang. Et sur sa tête des cornes aussi pointues que les pointes d’un trident. Merlin faillit crier mais entendit les pas de Nadia, l’employée de maison monter les escaliers, alors il se dépêcha de fermer ses volets et de se cacher sous les draps. Quant à elle, elle entra, souhaita une bonne nuit à Merlin, ressortit sans remarquer la présence d’un habitant clandestin. Merlin se retourna vers le monstre et vit qu’il avait perdu ses cornes. Les flaques de sang causées par ses taches disparaissaient, ses poils noirs rosissaient puis rétrécissaient.

Plus tard dans la nuit, Merlin fut réveillé par le bruit de ses volets mal fermés laissant passer le jour. Merlin vit le cochon se transformer en cette affreuse créature ensanglantée, alors il referma les volets. Merlin se retourna et vit un mignon petit cochon. Alors il se dit : « Ce cochon est à la fois l’ange et le diable ».

Le lendemain matin Merlin se réveilla à 9 h 30, son cochon avait disparu ! Il fit le tour de l’étage en courant et fut interpellé par l’employée de maison lui demandant d’arrêter de courir et de lui expliquer pourquoi il courait. Alors le garçon dût avouer qu’il avait sauvé un mignon petit cochon poursuivit par des chasseurs. L’employée de maison lui répondît : « Je l’ai trouvé ce matin, il courait dans la chambre voisine alors je l’ai descendu à tes parents.

- Et qu’ont ils fait avec ?, répondît Merlin.

- Ça je n’en sais rien, rien de mal je pense.

- Merci, je descends leur demander. »

Pendant ce temps là les parents de Merlin, Caroline et Sébastien caressaient le petit cochon. Merlin descendit et dit : « Rendez moi mon cochon, c’est mon Arc-en-ciel ! » Oui, l’animal se nommait Arc-en-ciel car sa queue est un arc-en-ciel.

Sa mère répondit : « Mais ce n’est pas ton cochon et de plus il ne s’appelle pas Arcen-ciel mais Piggy !

- Non c’est mon cochon je l’ai sauvé des chasseurs hier au théâtre, ajouta Merlin.

- Arrêtes tes balivernes et ne contredît pas ta mère Merlin, s’exclama Sébastien.

- Si papa, je ne te mens pas, s’obstina l’enfant.

- Prouve le-nous Merlin, ajouta Caroline.

- Nadia viens s’il te plait, dit il.

- J’arrive, Merlin, j’arrive, dit l’employée.

Ils s’expliquèrent mais Caroline et Sébastien ne voulaient qu’une preuve. Alors Merlin leur montra la cage de bois qu’il avait construit 17 h 00 avant. Alors ils acceptèrent de garder ce cochon et allèrent lui acheter un enclos qu’ils installèrent dans le jardin.

Le lendemain Merlin décida de présenter l’animal à ses amis. Il l’emmena dans sa cabane se situant dans les bois. En chemin ils furent apeurés en étant encerclés par des loups.« A l’aide, cria Merlin ». A ces mots, le cochon se transforma en cette horrible créature poilue, qui effraya les loups.

« Merci, arc-en-ciel, merci, dit l’enfant.

- Groin-groin, répondit le cochon.

- Tu me comprends arc-en-ciel ? demanda Merlin.

- Gruîîî, répondit la bête.

- Tu me comprends ? redemanda l’acteur.

- Gruîîî, recommença elle.

- Alors je crois que oui, dit-il. »

Trois ans plus tard, il avait 12 ans et il voulut être bénévole avec l’accord de ses parent à l’U.N.I.C.E.F. pour s’occuper des enfants qui n’ont nulle part où vivre et rien à manger. Alors en disant ça durant l’entretien avec l’U.N.I.C.E.F. , il fut embauché. La semaine avant de partir au Burundi, il s’entraînait à jouer sa pièce de théâtre avec Arc-enciel.

Une semaine après, il était arrivé au Burundi, tous les enfants lui tournaient autour. Il commença par jouer sa pièce de théâtre mais fut interrompu par un enfant qui cria qu’un guépard mangeait leurs provisions.

« Arc-en-ciel vite, cria Merlin.

- Gruîîî », répondit-il avant de se transformer.

Il mit un coup de corne à la bête et la tua avant de ramener l’animal à Merlin qui dit aux enfants : « Nous allons manger du guépard.

- Oui, youpi, disent tous les enfants en cœur.

- Bon revenons en au spectacle ! », dit Merlin.

Après le spectacle, ils allèrent tous manger. Sept mois plus tard, c’était l’anniversaire de Merlin. Il invita tous ses amis dans la cabane et leurs présenta Arc-en-ciel. Il leur montra sa queue qui se transforme en arc-enciel. Mais les loups étaient de retour plus nombreux essayant de monter dans la cabane perchée. Mais le cochon se transforma, tua quelques loups et les autres apeurés s’enfuirent. Le soir Merlin et sa famille organisèrent un banquet et au menu il y avait du loup. Ils s’amusèrent toute la soirée, se régalèrent. Une semaine après Merlin fut appelé par l’U.N.I.C.E.F. lui demandant d’aller en Polynésie après un ouragan, pour aider les sinistrés les loger, les nourrir, les soigner. Il partît chasser avec son cochon, rapporta une dizaine d’animaux dans une charrette tirée par Arc-en-ciel. Ils mangèrent à leur faim, se reposèrent tranquillement. A ses vingt-et-un-ans, Merlin travaillait à l’U.N.I.C.E.F. il était désormais patron international de l’U.N.I.C.E.F. Il était devenu millionnaire mais versa un tiers de son argent au coffre de l’U.N.I.C.E.F. Arc-en-ciel était toujours vivant car c’est un monstre immortel en âge mais il n’avait qu’un point faible et même Merlin ne le connaissait pas : il existe une grotte dans laquelle il y a une pierre de jade. Si elle est cassée, tous les cochons-diables seront offensifs et s’ils ont un âge au dessus des normes de vie d’un cochon il mourront de vieillesse. Mais la grotte et extrêmement bien cachée, et personne ne la trouvera. Enfin... Espérons-le !

08 mars 2018

Le treizième travail d'Hercule

Histoire créée par Lana et Chloé, 6ème A

 

Après avoir capturé Cerbère, le chien gardien des enfers, Hercule partit à la recherche d’une autre créature effroyable nommée Fernise. Un jour Eurysthée (le cousin d'Hercule) lui demanda d’aller combattre Fernise, monstre à trois têtes qui avait détruit une partie de la ville. Ce monstre terrifiant vivait dans une grotte lointaine qui se trouvait au cœur d’une épaisse forêt. Il était doté de trois têtes : la première tête à gauche est une tête de lion qui crache de la glace, celle du milieu est une tête de serpent qui crache du venin et celle de droite est une tête de dragon qui crache du feu.

Hercule parcourut des centaines de kilomètres, et enfin arriva dans la fameuse forêt où vivait Fernise le monstre à trois têtes. Hercule observa puis rentra dans la grotte de la bête hideuse. A l’intérieur, il y faisait très sombre ; des ossements, des débris de carcasses d’animaux jonchaient le sol. Hercule commença à chercher le monstre mais ne le trouva pas. Épuisé, il s’assit sur un gros rocher, puis sentit le rocher bouger et se rendit compte qu’il s’était assis sur le monstre ! Hercule bondit et commença à s’ éloigner du monstre pour le combattre. Mais le monstre était déjà en train de l’attaquer et de tester ses pouvoirs sur Hercule ; celui-ci ne se laissa pas faire et lui arracha sa seule et unique dent d’or, le privant ainsi de tous ses pouvoirs. Enfin, d’un coup, Hercule planta son épée dans le ventre de Fernise pour l’affaiblir sans le tuer.

Ainsi, Hercule ramena la dent d’or à son cousin, pour lui prouver qu’il avait bien combattu le monstre. Des années passèrent pendant lesquelles Fernise fut dompté par Hercule. Plus jamais il ne terrorisa qui que ce soit.

08 mars 2018

Le monstre marin

Texte imaginé par Manon C.-L., 6ème F

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Cela faisait deux ans déjà que des mystères étaient signalés en mer : des bateaux avaient disparu, sans que personne ne voie rien, ni rocher, ni problème mécanique, juste une grande étendue d’eau déserte. Le dernier incident s’était produit près de l’île d’ Ouessant, à l’ouest de la Bretagne, un après-midi de juin.

Justement, Ludmila habitait à Ouessant, dans le minuscule village de Loqueltas : dans une petite maison, où vivaient aussi sa grande sœur Nathalie et ses parents, qui travaillaient à l’Abri du mouton, une boutique de laine située à Lampaul. Quand ses parents travaillaient, elle allait souvent se baigner avec Nathalie sur la petite plage de Yusin, ce qui l’avait habituée à l’eau glacée.

Malheureusement, un jour où la mer était pourtant calme, comme il faisait chaud, elle décida d’aller s’y baigner seule… Après seulement quelques minutes de nage, elle se sentit emportée par un courant violent : sans doute celui du Fromveur. Les habitants de l’île le connaissaient pourtant bien. Il avait fait couler tant de bateaux, qu’un proverbe disait : "Qui voit Ouessant voit son sang !"

Ludmila se débattait, mais rien à faire ! Elle voyait les maisons devenir de plus en plus petites. Bientôt, la plage d’où elle était partie, disparut derrière la pointe de Pern. Elle apercevait l’île toute entière avec à sa gauche le phare du Créach et à sa droite celui de la Jument. Elle était emportée vers le large. Et l’île qui lui paraissait d’habitude si grande, ressemblait maintenant à un rocher.

L’eau finit par l’engloutir et elle perdit connaissance.

Quand la petite fille se réveilla, elle se trouvait dans un endroit très clair et sec. Pourtant elle ne reconnut pas sa maison. Et l’ endroit ne ressemblait pas non plus aux autres petites maisons ouessantines, simplement décorées et parfumées aux ajoncs et aux bruyères, qui poussent un peu partout autour des chemins et sur les falaises. C’était une sorte de palais, comme les décrivait sa mère lorsqu’elle lui racontait des contes de fées avant de s’endormir. Pourtant, ce n’était ni un conte ni un rêve…

08 mars 2018

Le monstre et l'enfant

Texte imaginé par Cécilia, 6ème F

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Noé a onze ans. Il vit dans une grande maison avec ses quatre sœurs et ses trois frères. Noé est triste et en a assez de devoir tout partager avec ses sept frères et sœurs. En plus ses parents ne se préoccupent presque plus de lui.

Alors, un jour, Noé s’enferma dans sa chambre pour pleurer. Soudain, il entendit un grincement de porte. Au même moment, la lumière s’ alluma, car il était dans le noir. Il commença à avoir peur. Puis il cria: « Maman! » mais sa mère ne lui répondit pas. Elle était trop occupée à cuisiner sa soupe aux poireaux, le plat que Noé détestait le plus. Alors il abandonna l’ idée d’appeler tous les membres de sa famille un par un.

«Qui est là? » demanda-t-il d’une petite voix. Soudain l’étagère qui était derrière lui, tomba. Noé se retourna pour ranger le bazar. Quand il eut fini, le garçon releva la tête et vit un monstre haut de deux mètres. Le corps du dragon était bleu et noir, tel un aigle majestueux. Ses yeux ressemblaient à de petites billes noires brillantes. Il n’était ni méchant ni laid. Il faisait partie de la tribu des cerisiers. Ce sont des dragons qui vont aider les personnes tristes. Bouche bée, l’enfant le regarda avec de grands yeux écarquillés.

- Comment t ‘appelles-tu? lui demanda la créature d’une voix rassurante.

- Noé et toi ? répondit le petit garçon déjà rassuré.

- Niels.

- Que fais - tu ici ? dit l’enfant

- Je suis là pour t’aider."

Noé très content fit un grand sourire au monstre qui lui dit qu’il lui accorderait trois souhaits. Il ne pourrait en annuler qu’un seul. Il aurait le droit de le remplacer par un autre.

Le premier vœu du garçon était que tous ses frères et sœurs partent habiter chacun chez leurs amis.

Le deuxième fût que sa maison se transforme en un grand château avec une piscine.

Et le troisième était que ses parents lui offrent des cadeaux quand il voulait.

Cela faisait un mois qu’il vivait ainsi et il commençait à s’ennuyer tout seul et ne s’amusait plus avec ses tas de jouets. Alors il décida d’annuler un de ses souhaits mais lequel…Après quelques heures de réflexion , il décida d’annuler son premier vœu. Ce qui signifiait que ses frères et sœurs allaient revenir. Il était devenu heureux maintenant il pouvait partager tous ses cadeaux et le château avec sa famille.

Mais il sentait qu’il manquait quelque chose. Puis il vit Niels se diriger vers le portail la tête baissée avec une valise à la patte. Noé accourut pour voir ce qui se passait.

« Que fais-tu ?, demanda-t-il

- Et bien je pars tu n’as plus besoin de moi. », dit Niels.

- Non !, cria Noé, je ne veux pas que tu partes, tu es mon meilleur ami. Je souhaite que tu restes avec moi toute ma vie ! dit t-il en pleurant. Grâce à toi ma vie est géniale, je t’adore ! »

Comme l’enfant venait de souhaiter son dernier vœu, alors il s’exauça.

A partir de ce jour, Niels, Noé et sa famille furent heureux. Une fois par mois Niels allait rendre visite à sa tribu.

 

08 mars 2018

Titouan et le monstre d'or

Histoire imaginée par Clément Delobelle, 6ème F.

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Un jour Titouan, un jeune garçon de douze ans fut emprisonné pour avoir volé l’iPhone 812 le 26 février 2802 à 12h47. Mais quelqu’un d’autre était dans sa cellule, il avait l’air petit avec une grande queue, ce monstre était ailé, il se révélait de couleur or mais avait du violet au niveau des articulations. Le monstre se leva et Titouan dit:

<<Ne me tuez pas.

- Et pourquoi je t’écouterai? Je te tuerai pour me faire plaisir. Répondît le monstre.>>

Le monstre essaya de le tuer avec sa queue pointue mais, de justesse, le garçon esquiva alors la bête cassa le mur, prit l’enfant et partit en direction du musée. Alors le gardien lança un avis de recherche.

Une fois à côté du conservatoire, la créature cassa la grande fenêtre de la galerie alors les visiteurs s’enfuirent puis appelèrent la police. Le titan dit:

<<Je m’appelle Golden.>>

Puis Golden lui montra les portraits de ses ancêtres pour le distraire. Titouan était émerveillé, le monstre en profita pour lui donner un coup de queue dans le dos mais le garçon fit tomber un portrait par terre et le ramassa au moment où Golden voulait le transpercer. Celui-ci fut coincé dans le mur. Donc Titouan saisit un sabre et le décapita. La police arriva et félicita l’enfant. Les policiers pensèrent que la bête n’allait pas le tuer.

Le lendemain, il y eut une fête en son honneur. Et le président lui rendit la liberté. L’enfant reçut beaucoup d’argent en à peine une journée. Son père était heureux, très heureux.

08 mars 2018

Le zombie

Texte imaginé par Adelina, 6ème F.

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Au commencement, j’étais une personne. Je suis partie à la soirée la plus folle et c’est là que je suis devenue un Zombie qui mange les enfants. J’ai des visions pour savoir quel enfant je vais tuer et quand et pourquoi. Mes visions arrivent dans la journée. Un soir, je regarde l’enfant de ma voisine elle s’appelle Sara ; elle avait fermé les volets mais pas les vitres dont c’était parfait pour pouvoir rentrer. Je donc rentrée dans sa chambre, elle dormait.

Petit à petit, je me rapprochais. Sara s’est réveillée.

« Que faites-vous là !, s’exclama l’enfant .

- Je suis venue voir si tout allait bien.

- Vous êtes rentrée par où?

- Par ta fenêtre, la porte est fermée.

- Vous avez un couteau dans la main ? 

- Oui c’est pour tuer, si il y a une personne. Je veux bien te dire mon secret, mais tu ne dois le dire à personne, sinon fais attention à toi. Je suis un Zombie, je peux te le prouver. »

On est descendu à la cuisine, j’ai pris de la viande crue, en une minute j’ai mangé la viande.

Je suis sortie pour prendre mon courrier, j’ai vu plein de journalistes prendre des photos de moi. Le soir je suis partie chez Sara pour lui demander si c'était elle qui avait dit au journaliste que je suis un Zombie. Elle me dit : « Non, ce n’est pas moi qu’il ait dit ça. » Je me retourne et je lui coupe la tête, je la porte pour la ramener dans le grenier. Le matin, la mère de Sara venait me voir à propos de sa fille, je lui dit que sa fille avait disparu ; mais elle regarde le sol et voit du sang ; elle suit le chemin de sang et aperçoit sa fille morte. J’ai pris mon couteau et je lui enfonce dans le dos.

08 mars 2018

Le monstre des bois

Histoire imaginée par Jade , Eloïse et Chloé, 6ème E.

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Il était une fois un homme qui avait perdu sa femme. Il était devenu un mauvais homme et une sorcière l’avait transformé en monstre. Depuis il se vengeait en enlevant des femmes dans les premières maisons venues.

Un jour, la femme d’un vieil homme disparut. Sa petite-fille Lucie et son chien qui avait le pouvoir de parler voulurent aider le vieil homme à retrouver sa femme. Mais il s’opposa en disant qu’il était trop vieux…

Le monstre détenait la vieille femme dans une grotte au fond des bois. Lucie et son chien partirent à la recherche de la vieille femme, dans la forêt près de chez eux.

Il y eut un orage cette nuit-là, ils durent se mettre à l’abri sous un arbre. Au petit matin, la petite fille et son chien décidèrent de continuer à chercher, mais la pluie rendit le sol boueux. D’un coup la petite fille et son chien virent des traces de pas et décidèrent de les suivre.

Au bout d’un certains temps les traces de pas s’effacèrent peu à peu. Le chien s’éloigna et disparut, Lucie savait qu’il reviendrait à la maison.

Elle perdit les traces de pas. Déçue de son échec, elle s’apprêtait à rebrousser chemin quand elle aperçut un bout de tissu sur une branche d’arbre. Elle entendit un bruit étrange. Lucie vit une fée, la suivit et vit un monstre sortir d’une grotte. Il était poilu, il avait de grandes dents pointues, de gros pieds, il était effrayant…

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Elle se résolut à entrer dans la grotte, et elle fut étonnée de trouver sa grand-mère et d’autres femmes. Le monstre n’aperçut point la petite fille, il alla dormir ! Lucie passa à l’action et délivra les femmes. Les femmes et la grand-mère avaient trouvé une corde. Pendant le sommeil du monstre elles le ligotèrent. Il ne pouvait plus bouger, la fée réapparut et emmena le monstre dans un tunnel magique qui menait sur une planète inconnue, celle des fées. Sur la planète des fées, elle lui enleva la corde et lui trouva une jolie grotte dans laquelle il décida de vivre.

Le grand-père vit sa femme rentrer à la maison, sa femme lui sauta dans les bras. Le chien s’était perdu dans les bois, Lucie ne l’avait pas remarqué. Elle le vit revenir sale mais joyeux.

Lucie était heureuse de voir ses grand-parents si contents. Le grand-père redevint gentil avec tout le monde. Ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps (et aussi le monstre).

Fin

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08 mars 2018

Pikamèch

Texte rédigé par Paul et Lucas L., 6ème A

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     En revenant de sa quête, Anthéus le 13, trouva sur son chemin la dernière épreuve qu’il devait accomplir : vaincre Pikamèch, le dieu des monstres. Pikamèch a un corps de feu, des mains électriques, des dents tranchantes comme des lames de rasoir ; il a également des yeux rougeâtres comme les flammes de l’Enfer et il crache du venin mortel. Pour tuer ses ennemis, il lance de l’électricité et si on s’approche trop de lui, il nous sert dans ses bras pour nous brûler. Pour que Pikamèch meure, Anthéus le 13 devra lui couper la tête, et si on lui coupe les bras ou les jambes, ses membres repoussent. Or notre héros était juste équipé d’une épée très tranchante.

      Anthéus le 13 monta en haut de la colline pour réfléchir à un plan. Le lendemain, il vit Pikamèch sortir de sa caverne. Le héros lui sauta dessus pour lui couper la tête, mais Pikamèch l’électrocuta. Anthéus le 13 tomba par terre. Le monstre voulut le brûler mais notre héros, reprenant connaissance, sortit son épée et lui coupa la tête. C’était la fin de Pikamèch. Après dix ans, quand il eut terminé sa quête, il rentra en Olympie. Il  alla voir Zeus pour lui dire qu’il avait survécu : le grand Dieu lui accorda alors le droit de vivre éternellement à Olympie. Ainsi finit la quête d’Anthéus le 13.

08 mars 2018

Persée contre le Lycaon

Histoire rédigée par Amin et Nicolas, 6ème C

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        Jadis existait un mystérieux monstre vivant dans une caverne au bord d’un lac aux eaux translucides : le Lycaon. Il avait pour vêtement un long manteau muni d'une ignoble tête de loup dont il se coiffait et d'immenses tentacules lui servant de pieds mais aussi de nageoires. Ses ailes squelettiques aiguisées comme des poignards et son corps caché sous sa vaste cape recouverte de  longs poils rugueux  le rendaient  très mystérieux. Son unique point faible résidait dans ses tentacules ; en effet si on lui coupait celles-ci, il mourait sur le coup.

         Un jour le cousin de Persée s’aventura dans la sombre forêt où se trouvait l'antre de l'horrible créature. Le Lycaon surgit de sa sombre caverne et se jetant sur le cousin de Persée, il lui trancha la gorge de ses dents pointues ; le sang jaillit et inonda le sol.

        Quelques temps plus tard, un villageois informa Persée de cette horrible nouvelle. Ce dernier s’engagea à tuer le monstre et à ramener sa tête pour venger son cousin. Juste avant son départ, le villageois lui rappela la légende de cette forêt : « Ne vous approchez pas du lac à l’eau translucide qui se trouve au milieu de l’ile de Lemnos car sinon le Lycaon surgira et vous tuera. » 

       Il partit en direction du lac et établit un plan de ruse. Pour cela, il tua un cerf et le dépeça la bête. En arrivant sur les rives du lac il chercha un rocher pour y poser la peau du cerf. Le lycaon sentit l’odeur du gibier et traversa très vite le lac pour se retrouver devant la proie. Et d’un coup, le monstre bondit sur la ruse et se cogna contre le rocher.

       Le plan de Persée se déroulait à merveille. Il n’eut plus qu’à tuer le monstre.

       Le héros surgit de sa cachette et trancha avec sa hache une aile du Lycaon; ce dernier  bondit et mordit l’épaule de Persée ; pris de rage le valeureux héros trancha la gorge du monstre et le tua sur le coup. Persée récupéra sa tête et revint au village. Il fut accueilli par les villageois qui l’invitèrent à passer la nuit dans leur bourg. Le lendemain, notre héros repartit pour l’Olympe, afin de montrer la tête du monstre aux dieux immortels.

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