Faites vous peur ! Venez découvrir les monstres de tout poil créés par l'imagination fertile des élèves de 6ème du Collège des Châtelaines de Triel-sur-Seine !
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 20:50
Texte créé par Julien, 6ème F
Sur la planète PIROUS, les habitants adorent les combats de monstres, particulièrement Max. Ce jour-là, il va choisir sa première bête au parc des titans. Il doit en avoir un car c’est bientôt la rentrée.
Le lendemain, à dix heures pile, il est au parc. Il y a un monstre qui est tout seul, il est petit mais rusé, il a deux dents, des ailes, une queue qui a un pique qui crée du poison ; Max l’adopte et il l’appelle Rouqui.
Pendant le premier mois Max le dresse.
Le deuxième mois il l’entraîne pour un mini tournoi organisé par l’école. Rouqui a bien progressé et est devenu très fort.
Mais le jour J, Rouqui est malade. Max ne peut pas y aller, donc il va encourager son meilleur ami Mathieu et son animal Liross. Mais c’est Riqui qui gagne grâce à son monstre Frotissous. « Heureusement que Rouqui n’était pas là car sinon je n’aurais pas gagné », se dit Riqui. Pourtant il est très riche et pourrait acheter ou voler Rouqui !
Un jour Max va voir son monstre mais il a disparu ! Il le cherche partout mais il ne le trouve pas. L’enfant marche vers l’école en pleurs. Il arrive en direction de Mathieu et lui explique tout. Son ami lui dit qu'après les cours ils vont le chercher. Mathieu demande à Liross de flairer Rouqui. Liross sent Riqui qui rôde dans les parages. Il dit « Que faites-vous là? »
- Tu as volé Rouqui, dit Max.
- Non, répond Riqui.
Puis le riche part en courant. Mais, c'est dit, Mathieu et Max vont aller récupérer Rouqui !
Pendant deux mois ils ont élaboré un plan. Le jour J est arrivé, ils ont choisi cette date car Riqui allait au cinéma. Mais sa maison est très sécurisée, ils commencent par l’entrée. Ils coupent le courant, ils ouvrent la porte et ils cherchent Rouqui. Mais ils ne le trouvent pas. Mathieu a fait une hypothèse : Riqui est parti avec Rouqui. Ils sortent en sprintant vers le cinéma, ils attendent la fin du film et ils voient que Riqui donne le monstre à son majordome. Pendant que le majordome tourne la tête, Max récupère Rouqui dans le coffre puis ils partent. Max a retrouvé une vie paisible. Mais pas le majordome car chaque jour il se fait crier dessus .
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 20:39
Histoire imaginée par Destin, 6ème F
L’enfant s'appelait Wally Garcia et avait douze ans. Il habitait dans une grande maison à la compagne avec ses parents. Il adorait jouer au foot avec son père dans son jardin.Et aimer cuisiner avec sa mère.
Le lendemain, Wally alla à l'école. Puis la sonnerie sonna et annonça la fin des cours. Alors Wally rentra chez lui mais Michel le pire ennemi de Wally l'attendait. Michel vit Wally et se cacha, l'enfant arriva et Michel sortit de sa cachette. Il déposa son sac et commença à se bagarrer avec Wally. Tout à coup, le temps s'arrêta puis soudain un monstre apparaît. Et emmena l'enfant devant sont garage.
Le monstre demanda à Wally son prénom et l'enfant luis dit : "Je m'appelle Wally Garcia". L'enfant demanda au monstre son prénom et le monstre lui répondit : "Je m'appelle Zoom. Et j’ai été créé par le le professeur Wells."
Alors il demanda à Zoom : "Qu'est-ce que tu fais ici ?" Le monstre lui dit : " J’ai besoin de toi, Wally, il faut que tu m'aides à retrouver le professeur Wells."
Wally réfléchit et se dit : "Vu qu'il m'a sorti de ce pétrin, je devrais sûrement l’aider.
- Alors j'accepte de t’aider à retrouver le professeur, dit Wally.
- Alors allons-y !, dit le monstre.
Zoom créa un portail qui les emmena directement dans le laboratoire du professeur Wells. Puis le monstre demanda: « Où est le professeur? »
Soudain quelqu'un apparu et attaqua Zoom. Puis tout à coup il lança un fumigène. On y voyaient rien , alors Zoom lança un éclair ⚡️ puis l’homme tomba par terre. Après Zoom arrêta le temps, mit par terre tous nos ennemis à super vitesse et m’emmena dans le laboratoire secret du professeur Wells et me dit : « Cet endroit doit rester secret, il faut que tu ne dise ça à personne ».
Après il trouva des indices sur la disparition du professeur. Il lança un éclair qui créa un portail qui nous emmena dans la tour du baron Strucker. Les gardes nous attaquèrent puis je courue me cacher et Zoom me dit : « Tiens toi à moi et ne me lâche pas sinon tu risques de te faire tirer dessus par le garde ». Alors Il fonça à toute vitesse, expulsa tous les gardes et entra dans la salle du baron.
Zoom questionna l'ennemi et Strucker dit que si Zoom et l'enfant ne se rendaient pas, il ne relâcherait pas le professeur. Du coup Zoom se rendit et Wally aussi. Le Baron relâcha le professeur et lança le compte à rebours du missile pour détruire la planète. Pendant ce temps Zoom, Wally et Wells se retrouvent en prison ; ensuite le professeur nous dit qu'on n'aurait du jamais se rendre parce que il va envoyer le missile qui ba détruire la planète alors Zoom s'énerva détruit la cellule et courut à toute vitesse comme un éclair et terrassa tous les gardes et fonça voir Strucker et le combat commença. Pendant ce tempsWally et Wells essayaient de se libérer de leur cellule.
Zoom metta à terre la baron et arrêta le compte à rebours, Wally et Wells rejoignent Zoom qui se faisait tirer dessus par le baron et tomba par terre. Alors Wally se met à dans une colère noire et assomma le Baron. Et ensuite, une fois Zoom rétabli, le professeur dit à Wally qu'il peut garder Zoom. Et c'est ainsi que Zoom devint le meilleur ami de Wally.
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 20:12
Histoire imaginée par Yohan, 6ème F
Aster était un demi-elfe aux cheveux bleus et aux yeux violets. Il entra dans le village. Ce qu’il vit le désola car la commune qui venait d’être détruite était le dernier bastion des elfes .Il se promit de venger le peuple de ses arrière grands-parents et d’élever le moindre survivant.Il fit le tour du bourg pour en rechercher. Il désespérait de trouver le moindre elfe encore en vie quand soudain , il entendit un bruit étouffé .Il s’orienta vers ce bruit et découvrit un nouveau né. Aster le prit dans ses bras et lui dit :
« Je vais voir si tes parents sont toujours en vie, sinon je t’élèverai. »
Le petit elfe était en très bonne santé, ce qui était une bonne nouvelle dans la tristesse du moment. Aster ne trouva aucun autre survivant.
Douze ans plus tard, Fahle, c’est ainsi qu’il se prénommait, était devenu un bel elfe mais il ne savait pas pourquoi il était.
Aster lui demanda d’aller au marché. Fahle ne voulait pas sortir de chez lui pour y aller, car les habitants lui témoignaient beaucoup de compassion et il se sentait faible, ce qui l’énervait. Il accepta péniblement en marmonnant qu’Aster pouvait y aller, lui. Fahle était d’un caractère rebelle mais accepta de ne pas tout casser dans la maison car il aimait faire le marché. On y trouvait des tas d’objets et d’aliments en tous genres. L’enfant adorait le stand du boucher parce que l’on y sent toutes les bonnes odeurs de viande rôtie et de viande crue Ces odeurs l’apaisaient presque autant que d’observer les oiseaux de l’étang à la roselière. Il entra dans la boutique et demanda au boucher les tranches de jambon et le poulet commandé par Aster pour les repas de la semaine. Il alla ensuite chez la maraîchère pour recevoir les prunes, les pommes, les pommes de terre et les carottes. La maraîchère lui offrit une grappe de tomates pour goûter car c’était une nouvelle variété et qu’elle voulait tester le goût. Fahle se rendit ensuite chez l’épicier parce qu’Aster souhaitait des épices : du cumin , du curry, de la vanille et du poivre. Le jeune elfe rentra chez lui et lui demanda pour la énième fois : « Dis , pourquoi suis-je différent des autres enfants du village ? » Aster accepta de lui répondre car il était en âge de le savoir : « Mon petit Fahle, tu n’est autre que le dernier elfe de ce monde. » Le demi-elfe l’avait prévenu que de connaître son secret personnel était une lourde charge. Son père adoptif décida de ne plus rien lui cacher.Il lui raconta comment il l’avait trouvé, sa promesse envers son peuple et le nom de ses parents biologiques.
L’enfant, submergé d’émotions, se rendit dans sa cache au bord de l’étang. Il trouva le vieux sage qui méditait sur la plage. Fahle lui demanda conseil pour ne pas se laisser abattre par la culpabilité. L’Ancien lui répondit que tous ces actes étaient du passé. Il ne pouvait que arrêter l’auteur de ces actes. Le garçonnet remercia le sage et rentra chez lui. Il demanda à Aster d’organiser une expédition contre Dola. Le garçon passa chez les rebelles pour leur demander de lui prêter main forte. Ils acceptèrent immédiatement car c’était sans doute la bonne fois pour l’attaquer. Aster accepta à une condition : Fahle devait se forger une épée de cristal noir, la seule qui puisse porter le coup de grâce à Dola. L’enfant demanda à Sennar, le magicien du village, d’enchanter la lame de l’épée pour qu’elle soit invincible. Il passa en revue les soldats qui composaient l’armée rebelle de son village. Le chef des hommes, Rauken, lui demanda de prendre la place de général parce qu’il préférait être commandé plutôt que de commander lui-même. Fahle accepta mais lui demanda d’être son second. L’ancien général se dit qu’en acceptant, il avait une chance de pouvoir guider le jeune garçon. Aster joua un rôle crucial dans l’attaque de la forteresse : comme c’était un magicien surdoué, il supprima tous les enchantements placés sur le château et renforça tous les hommes des troupes. Le jour passa, les préparatifs se terminèrent. Vers l’heure du rat (environ vingt-deux heures) l’armée s’ébranla silencieusement et se mit en route vers le château.
Quand ils arrivèrent, Aster mit en place les enchantements préparés pour l’occasion. Il plaça les sceaux sur Dola, fortifia les hommes et leurs armes, il installa les catapultes, les abris et les arbalètes. Il alluma les projectiles. Aster lança le signal et la bataille commença. Les hommes envoyèrent les projectiles dans la forteresse et forcèrent la grande porte en bois. Un escadron partit escorter Fahle à l’intérieur du fort pour assassiner Dola. Ils rencontrèrent un petit bataillon et l’escadron le stoppa pour permettre aux autres de passer vers l’intérieur du château. Ils passèrent dans quatre salles sans rencontrer de résistance. Dans la salle précédant la salle du trône, un bataillon de vingt guerriers les attendait . Ils avaient trente guerriers sous la main de Fahle. Il en mit vingt-cinq pour combattre le bataillon et en garda cinq pour l’accompagner dans la salle du trône. La porte franchie, ils s’étonnèrent du peu de protection que Dola s’accordait, surtout un tyran comme lui qui devait craindre les assassins. Dola les interpella et leur demanda que ce qu’ils faisaient dans son château. Fahle et ses hommes lui dirent que le dernier elfe venait pour le tuer. Les soldats essayèrent de le livrer à l’enfant mais le tyran les assomma sans qu’ils aient le temps de dire « ouf » . Il se retrouva face à face avec l’elfe et lui dit : « Je regrette d’avoir supprimé les elfes mais ils étaient trop puissants et ils menaçaient mon plan de conquête. Si je l’avais pu , je les aurais gardés sous mon gouvernement. Ils auraient pu me fournir ,moi et mon armée mais ils ont refusé. Tue moi, cela n’a pas d’importance. Ah, j’oubliais, Aster est mon frère et était mon plus fidèle lieutenant. Tue-moi. » Le garçon s’exécuta et lui trancha la tête en lui soufflant « Paie pour tes actes ! ». Il réanima ses hommes et sortit en récupérant les autres au passage. Ils sortirent et prirent les ennemis à revers. Ils eurent tôt fait de réduire l’armée adverse en poussière pour la majorité. Aster se fit amener le chef et, par la magie, le contraint à dire où se trouvaient les foyers de résistance. Ils apprirent avec étonnement qu’ils y avait qu’une petite commune qui fournissait l’armée. Ils allèrent marcher sur la cité et se rendirent maître de la ville en moins de deux heures. La bataille finie et les elfes vengés, Aster et Fahle eurent une discussion car Fahle refusait de croire Dola. Aster lui confirma que Dola était son frère. Le garçon dut l’accepter et Aster lui dit: « Si tu veux me quitter , fais-le ». Le jeune homme décida de ne pas le quitter mais à une condition : son anniversaire aurait lieu deux fois dans l’année pendant trois ans .
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 20:03
Histoire imaginée par Victor, 6ème F
Ce jour-là, en fin d’ après-midi, un enfant nommé Alex alla se réfugier sous un pont car il pleuvait. Il entendit un bruit étrange, il se tourna et vit une ombre monstrueuse. Alex prit peur et courut se cacher chez lui.
Le lendemain, il retourna sous le pont pour voir si l’ombre bizarre était revenue. Le garçon vit des traces de sang et entendit un grognement. Il leva les yeux et aperçut le monstre de la veille. Il resta figé devant la créature monstrueuse qui avait des yeux couleur clémentine, une queue bleu marine, un ventre marron clair, et des petites paires de pattes avec des griffes bien aiguisées. A la droite du monstre, Alex trouva une balle de fusil, qui était à l’origine de sa blessure. Il se précipita pour aller chercher de quoi le soigner.
Vingt-cinq minutes après, le petit homme rapporta le nécessaire pour le soigner et s’approcha doucement de la bête pour lui mettre le bandage. Le monstre le poussa, mais Alex réessaya et réussit à lui poser et coller le bandage. Ensuite il décida de rentrer chez lui pour construire une cabane au monstre. Une fois la construction de la cabane terminée, il attira son compagnon dans la maisonnette avec un poulet rôti. La maison était fabriquée en bois et disposait d’un drap au sol pour que la créature dorme dessus.
Le jour suivant, au petit matin, le garçon prit des côtes de porcs et deux pommes pour nourrir le blessé qui s’était réveillé avant lui. Il sortit le monstre pour qu’il puisse s’aérer la tête, et vérifia qu’il n’y avait personne dehors pour ne pas effrayer les gens. Ils partirent dans la forêt, à côté du domicile d’Alex pour se promener mais tout à coup la créature se mit a courir. Le petit voulut le rattraper mais la bête allait trop vite, Alex épuisé s’arrêta, et dix minutes plus tard le monstre revint vers lui, avec entre les crocs, un marcassin.
Un homme qui se promenait par là vit le monstre. L’adulte sortit son iPhone puis appela les gendarmes. Ils arrivèrent très vite, et le promeneur expliqua ce qu’il avait vu. Les enquêteurs prirent des notes pour faire leur enquête et pouvoir retrouver cette créature.
Pendant ce temps, les deux autres continuèrent leur balade sans se rendre compte qu’il se faisaient poursuivre par les forces de l’ordre. Tout à coup les enquêteurs virent l’enfant et le monstre et sortirent leur fusil, visant tous la même cible : le monstre. Heureusement la sécurité n’a pas réussi leur tir. La créature et le garçon coururent très vite pour leur échapper et rentrer chez eux mais un barrage de camionnettes de militaires bloquait le chemin. Le monstre tomba et percuta les camionnettes, qui devinrent toutes cabossées comme s’il y avait eu un accident. Il se releva, un camion avec une grosse mitrailleuse tira sur le monstre. La bête gravement blessée s’écroula par terre. Un homme de l’armée attrapa l’enfant qui se débattait pour ne pas laisser sa pauvre créature mourir devant ses yeux.
Un militaire prit sa mitraillette et acheva le monstre. Alex s’écroula par terre de tristesse
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 19:53
Histoire créée par Armand, 6ème F
Par temps de pluie, à la fin d’une représentation de théâtre les acteurs retournèrent dans la loge retirer leurs costumes avant de saluer les spectateurs . Merlin, qui jouait le rôle de l’enchanteur, avait neuf ans, était amical, courageux, imaginatif et riche. Il vivait dans une villa. Et ses trajets se faisaient en limousine. Contrairement à ce que certains pouvaient penser, Merlin n’était pas si heureux. Il pensait souvent aux autres enfants qui eux vivaient dans des rues. Plus tard, il voudrait travailler à l’U.N.I.C.E.F, jouer des pièces de théâtre à ces pauvres enfants, les loger…
Soudain il entendit un couinement de porte et vit un petit cochon ailé la passer. Des chasseurs frappèrent à la porte, l’enfant cacha l’animal dans un piano et retourna saluer les spectateurs. Les chasseurs, furieux que personne n’ouvrit, enfoncèrent la porte, rentrèrent sur la scène et tirèrent partout dans la salle. Des cris se firent entendre et la salle évacua. L’enfant quitta la scène, ouvrit le piano, reprit le cochon et courut en direction de la limousine. Le conducteur venait d’appeler la police car il avait entendu des coups de feu. Ils quittèrent les lieux et se dirigèrent dans la villa. La police arriva, contrôla les chasseurs qui n’avaient pas de permis de port d’arme ni de permis de chasse, en plus de tirer sur des innocents. Donc ils furent arrêtés.
Quand il arriva chez lui, Merlin demanda à être seul dans sa chambre. Il observa le cochon et découvrit qu’au soleil sa queue devenait multicolore et un cœur apparaissait au bout. Alors il décida de l’adopter.
Le soir même, c’était la pleine lune, il entra dans sa chambre, enfila son pyjama et finit ses devoirs. Il voulut souhaiter une bonne nuit à son animal, mais en regardant dans sa cage, il ne vit point de cochon ailé avec une queue arc-en-ciel , mais une ignoble créature vêtue d’un horrible pelage noir accompagné de taches de sang. Et sur sa tête des cornes aussi pointues que les pointes d’un trident. Merlin faillit crier mais entendit les pas de Nadia, l’employée de maison monter les escaliers, alors il se dépêcha de fermer ses volets et de se cacher sous les draps. Quant à elle, elle entra, souhaita une bonne nuit à Merlin, ressortit sans remarquer la présence d’un habitant clandestin. Merlin se retourna vers le monstre et vit qu’il avait perdu ses cornes. Les flaques de sang causées par ses taches disparaissaient, ses poils noirs rosissaient puis rétrécissaient.
Plus tard dans la nuit, Merlin fut réveillé par le bruit de ses volets mal fermés laissant passer le jour. Merlin vit le cochon se transformer en cette affreuse créature ensanglantée, alors il referma les volets. Merlin se retourna et vit un mignon petit cochon. Alors il se dit : « Ce cochon est à la fois l’ange et le diable ».
Le lendemain matin Merlin se réveilla à 9 h 30, son cochon avait disparu ! Il fit le tour de l’étage en courant et fut interpellé par l’employée de maison lui demandant d’arrêter de courir et de lui expliquer pourquoi il courait. Alors le garçon dût avouer qu’il avait sauvé un mignon petit cochon poursuivit par des chasseurs. L’employée de maison lui répondît : « Je l’ai trouvé ce matin, il courait dans la chambre voisine alors je l’ai descendu à tes parents.
- Et qu’ont ils fait avec ?, répondît Merlin.
- Ça je n’en sais rien, rien de mal je pense.
- Merci, je descends leur demander. »
Pendant ce temps là les parents de Merlin, Caroline et Sébastien caressaient le petit cochon. Merlin descendit et dit : « Rendez moi mon cochon, c’est mon Arc-en-ciel ! » Oui, l’animal se nommait Arc-en-ciel car sa queue est un arc-en-ciel.
Sa mère répondit : « Mais ce n’est pas ton cochon et de plus il ne s’appelle pas Arcen-ciel mais Piggy !
- Non c’est mon cochon je l’ai sauvé des chasseurs hier au théâtre, ajouta Merlin.
- Arrêtes tes balivernes et ne contredît pas ta mère Merlin, s’exclama Sébastien.
- Si papa, je ne te mens pas, s’obstina l’enfant.
- Prouve le-nous Merlin, ajouta Caroline.
- Nadia viens s’il te plait, dit il.
- J’arrive, Merlin, j’arrive, dit l’employée.
Ils s’expliquèrent mais Caroline et Sébastien ne voulaient qu’une preuve. Alors Merlin leur montra la cage de bois qu’il avait construit 17 h 00 avant. Alors ils acceptèrent de garder ce cochon et allèrent lui acheter un enclos qu’ils installèrent dans le jardin.
Le lendemain Merlin décida de présenter l’animal à ses amis. Il l’emmena dans sa cabane se situant dans les bois. En chemin ils furent apeurés en étant encerclés par des loups.« A l’aide, cria Merlin ». A ces mots, le cochon se transforma en cette horrible créature poilue, qui effraya les loups.
« Merci, arc-en-ciel, merci, dit l’enfant.
- Groin-groin, répondit le cochon.
- Tu me comprends arc-en-ciel ? demanda Merlin.
- Gruîîî, répondit la bête.
- Tu me comprends ? redemanda l’acteur.
- Gruîîî, recommença elle.
- Alors je crois que oui, dit-il. »
Trois ans plus tard, il avait 12 ans et il voulut être bénévole avec l’accord de ses parent à l’U.N.I.C.E.F. pour s’occuper des enfants qui n’ont nulle part où vivre et rien à manger. Alors en disant ça durant l’entretien avec l’U.N.I.C.E.F. , il fut embauché. La semaine avant de partir au Burundi, il s’entraînait à jouer sa pièce de théâtre avec Arc-enciel.
Une semaine après, il était arrivé au Burundi, tous les enfants lui tournaient autour. Il commença par jouer sa pièce de théâtre mais fut interrompu par un enfant qui cria qu’un guépard mangeait leurs provisions.
« Arc-en-ciel vite, cria Merlin.
- Gruîîî », répondit-il avant de se transformer.
Il mit un coup de corne à la bête et la tua avant de ramener l’animal à Merlin qui dit aux enfants : « Nous allons manger du guépard.
- Oui, youpi, disent tous les enfants en cœur.
- Bon revenons en au spectacle ! », dit Merlin.
Après le spectacle, ils allèrent tous manger. Sept mois plus tard, c’était l’anniversaire de Merlin. Il invita tous ses amis dans la cabane et leurs présenta Arc-en-ciel. Il leur montra sa queue qui se transforme en arc-enciel. Mais les loups étaient de retour plus nombreux essayant de monter dans la cabane perchée. Mais le cochon se transforma, tua quelques loups et les autres apeurés s’enfuirent. Le soir Merlin et sa famille organisèrent un banquet et au menu il y avait du loup. Ils s’amusèrent toute la soirée, se régalèrent. Une semaine après Merlin fut appelé par l’U.N.I.C.E.F. lui demandant d’aller en Polynésie après un ouragan, pour aider les sinistrés les loger, les nourrir, les soigner. Il partît chasser avec son cochon, rapporta une dizaine d’animaux dans une charrette tirée par Arc-en-ciel. Ils mangèrent à leur faim, se reposèrent tranquillement. A ses vingt-et-un-ans, Merlin travaillait à l’U.N.I.C.E.F. il était désormais patron international de l’U.N.I.C.E.F. Il était devenu millionnaire mais versa un tiers de son argent au coffre de l’U.N.I.C.E.F. Arc-en-ciel était toujours vivant car c’est un monstre immortel en âge mais il n’avait qu’un point faible et même Merlin ne le connaissait pas : il existe une grotte dans laquelle il y a une pierre de jade. Si elle est cassée, tous les cochons-diables seront offensifs et s’ils ont un âge au dessus des normes de vie d’un cochon il mourront de vieillesse. Mais la grotte et extrêmement bien cachée, et personne ne la trouvera. Enfin... Espérons-le !
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 19:30
Texte imaginé par Manon C.-L., 6ème F
Cela faisait deux ans déjà que des mystères étaient signalés en mer : des bateaux avaient disparu, sans que personne ne voie rien, ni rocher, ni problème mécanique, juste une grande étendue d’eau déserte. Le dernier incident s’était produit près de l’île d’ Ouessant, à l’ouest de la Bretagne, un après-midi de juin.
Justement, Ludmila habitait à Ouessant, dans le minuscule village de Loqueltas : dans une petite maison, où vivaient aussi sa grande sœur Nathalie et ses parents, qui travaillaient à l’Abri du mouton, une boutique de laine située à Lampaul. Quand ses parents travaillaient, elle allait souvent se baigner avec Nathalie sur la petite plage de Yusin, ce qui l’avait habituée à l’eau glacée.
Malheureusement, un jour où la mer était pourtant calme, comme il faisait chaud, elle décida d’aller s’y baigner seule… Après seulement quelques minutes de nage, elle se sentit emportée par un courant violent : sans doute celui du Fromveur. Les habitants de l’île le connaissaient pourtant bien. Il avait fait couler tant de bateaux, qu’un proverbe disait : "Qui voit Ouessant voit son sang !"
Ludmila se débattait, mais rien à faire ! Elle voyait les maisons devenir de plus en plus petites. Bientôt, la plage d’où elle était partie, disparut derrière la pointe de Pern. Elle apercevait l’île toute entière avec à sa gauche le phare du Créach et à sa droite celui de la Jument. Elle était emportée vers le large. Et l’île qui lui paraissait d’habitude si grande, ressemblait maintenant à un rocher.
L’eau finit par l’engloutir et elle perdit connaissance.
Quand la petite fille se réveilla, elle se trouvait dans un endroit très clair et sec. Pourtant elle ne reconnut pas sa maison. Et l’ endroit ne ressemblait pas non plus aux autres petites maisons ouessantines, simplement décorées et parfumées aux ajoncs et aux bruyères, qui poussent un peu partout autour des chemins et sur les falaises. C’était une sorte de palais, comme les décrivait sa mère lorsqu’elle lui racontait des contes de fées avant de s’endormir. Pourtant, ce n’était ni un conte ni un rêve…
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 19:20
Texte imaginé par Cécilia, 6ème F
Noé a onze ans. Il vit dans une grande maison avec ses quatre sœurs et ses trois frères. Noé est triste et en a assez de devoir tout partager avec ses sept frères et sœurs. En plus ses parents ne se préoccupent presque plus de lui.
Alors, un jour, Noé s’enferma dans sa chambre pour pleurer. Soudain, il entendit un grincement de porte. Au même moment, la lumière s’ alluma, car il était dans le noir. Il commença à avoir peur. Puis il cria: « Maman! » mais sa mère ne lui répondit pas. Elle était trop occupée à cuisiner sa soupe aux poireaux, le plat que Noé détestait le plus. Alors il abandonna l’ idée d’appeler tous les membres de sa famille un par un.
«Qui est là? » demanda-t-il d’une petite voix. Soudain l’étagère qui était derrière lui, tomba. Noé se retourna pour ranger le bazar. Quand il eut fini, le garçon releva la tête et vit un monstre haut de deux mètres. Le corps du dragon était bleu et noir, tel un aigle majestueux. Ses yeux ressemblaient à de petites billes noires brillantes. Il n’était ni méchant ni laid. Il faisait partie de la tribu des cerisiers. Ce sont des dragons qui vont aider les personnes tristes. Bouche bée, l’enfant le regarda avec de grands yeux écarquillés.
- Comment t ‘appelles-tu? lui demanda la créature d’une voix rassurante.
- Noé et toi ? répondit le petit garçon déjà rassuré.
- Niels.
- Que fais - tu ici ? dit l’enfant
- Je suis là pour t’aider."
Noé très content fit un grand sourire au monstre qui lui dit qu’il lui accorderait trois souhaits. Il ne pourrait en annuler qu’un seul. Il aurait le droit de le remplacer par un autre.
Le premier vœu du garçon était que tous ses frères et sœurs partent habiter chacun chez leurs amis.
Le deuxième fût que sa maison se transforme en un grand château avec une piscine.
Et le troisième était que ses parents lui offrent des cadeaux quand il voulait.
Cela faisait un mois qu’il vivait ainsi et il commençait à s’ennuyer tout seul et ne s’amusait plus avec ses tas de jouets. Alors il décida d’annuler un de ses souhaits mais lequel…Après quelques heures de réflexion , il décida d’annuler son premier vœu. Ce qui signifiait que ses frères et sœurs allaient revenir. Il était devenu heureux maintenant il pouvait partager tous ses cadeaux et le château avec sa famille.
Mais il sentait qu’il manquait quelque chose. Puis il vit Niels se diriger vers le portail la tête baissée avec une valise à la patte. Noé accourut pour voir ce qui se passait.
« Que fais-tu ?, demanda-t-il
- Et bien je pars tu n’as plus besoin de moi. », dit Niels.
- Non !, cria Noé, je ne veux pas que tu partes, tu es mon meilleur ami. Je souhaite que tu restes avec moi toute ma vie ! dit t-il en pleurant. Grâce à toi ma vie est géniale, je t’adore ! »
Comme l’enfant venait de souhaiter son dernier vœu, alors il s’exauça.
A partir de ce jour, Niels, Noé et sa famille furent heureux. Une fois par mois Niels allait rendre visite à sa tribu.
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 19:10
Histoire imaginée par Clément Delobelle, 6ème F.
Un jour Titouan, un jeune garçon de douze ans fut emprisonné pour avoir volé l’iPhone 812 le 26 février 2802 à 12h47. Mais quelqu’un d’autre était dans sa cellule, il avait l’air petit avec une grande queue, ce monstre était ailé, il se révélait de couleur or mais avait du violet au niveau des articulations. Le monstre se leva et Titouan dit:
<<Ne me tuez pas.
- Et pourquoi je t’écouterai? Je te tuerai pour me faire plaisir. Répondît le monstre.>>
Le monstre essaya de le tuer avec sa queue pointue mais, de justesse, le garçon esquiva alors la bête cassa le mur, prit l’enfant et partit en direction du musée. Alors le gardien lança un avis de recherche.
Une fois à côté du conservatoire, la créature cassa la grande fenêtre de la galerie alors les visiteurs s’enfuirent puis appelèrent la police. Le titan dit:
<<Je m’appelle Golden.>>
Puis Golden lui montra les portraits de ses ancêtres pour le distraire. Titouan était émerveillé, le monstre en profita pour lui donner un coup de queue dans le dos mais le garçon fit tomber un portrait par terre et le ramassa au moment où Golden voulait le transpercer. Celui-ci fut coincé dans le mur. Donc Titouan saisit un sabre et le décapita. La police arriva et félicita l’enfant. Les policiers pensèrent que la bête n’allait pas le tuer.
Le lendemain, il y eut une fête en son honneur. Et le président lui rendit la liberté. L’enfant reçut beaucoup d’argent en à peine une journée. Son père était heureux, très heureux.
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 08 mars 2018, 18:59
Texte imaginé par Adelina, 6ème F.
Au commencement, j’étais une personne. Je suis partie à la soirée la plus folle et c’est là que je suis devenue un Zombie qui mange les enfants. J’ai des visions pour savoir quel enfant je vais tuer et quand et pourquoi. Mes visions arrivent dans la journée. Un soir, je regarde l’enfant de ma voisine elle s’appelle Sara ; elle avait fermé les volets mais pas les vitres dont c’était parfait pour pouvoir rentrer. Je donc rentrée dans sa chambre, elle dormait.
Petit à petit, je me rapprochais. Sara s’est réveillée.
« Que faites-vous là !, s’exclama l’enfant .
- Je suis venue voir si tout allait bien.
- Vous êtes rentrée par où?
- Par ta fenêtre, la porte est fermée.
- Vous avez un couteau dans la main ?
- Oui c’est pour tuer, si il y a une personne. Je veux bien te dire mon secret, mais tu ne dois le dire à personne, sinon fais attention à toi. Je suis un Zombie, je peux te le prouver. »
On est descendu à la cuisine, j’ai pris de la viande crue, en une minute j’ai mangé la viande.
Je suis sortie pour prendre mon courrier, j’ai vu plein de journalistes prendre des photos de moi. Le soir je suis partie chez Sara pour lui demander si c'était elle qui avait dit au journaliste que je suis un Zombie. Elle me dit : « Non, ce n’est pas moi qu’il ait dit ça. » Je me retourne et je lui coupe la tête, je la porte pour la ramener dans le grenier. Le matin, la mère de Sara venait me voir à propos de sa fille, je lui dit que sa fille avait disparu ; mais elle regarde le sol et voit du sang ; elle suit le chemin de sang et aperçoit sa fille morte. J’ai pris mon couteau et je lui enfonce dans le dos.
Par Marotine Marielle (Collège les Châtelaines, Triel-sur-Seine (78)) le 07 mars 2018, 19:46
Histoire imaginée par Solomia, 6ème F.
Il était une fois, une petite fille qui s’appelait Milana, elle avait cinq ans. Elle portait toujours deux petites couettes.
Un soir, elle n’arrivait pas à dormir, alors elle fit un cache-cache avec ses doudous. C’était à son tour de se cacher. Elle rentra dans son armoire et attendit que ses peluches la trouvent. À l’intérieur de celle-ci, elle vit une toute petite porte ; elle pouvait rentrer dedans mais elle serait très serrée ! Comme ils ne la trouvaient toujours pas et qu’elle n’arrivait toujours pas à dormir, elle décida de rentrer voir ce qu’il y avait derrière cette petite porte. Elle avait un peu peur, néanmoins elle était très curieuse, alors elle se lança.
Elle ouvrit la porte et rentra à l’intérieur. Elle arriva dans une très grande mais magnifique forêt, il y avait de très beaux arbres qui avaient le tronc et les branches tout roses, les petits oiseaux chantaient à merveille… Ce qui était un peu bizarre c’est que là, c’était le jour ! Elle vagabonda dans tous les petits chemins de la forêt, qui ressemblaient à un labyrinthe. Au bout d’un moment, il fallait qu’elle rentre.
Alors elle essaya de retrouver son chemin. Au bout de quelques minutes elle ne s’y retrouvait plus, elle était perdue. Elle se dit qu’à un moment elle retrouverait la sortie, mais non. Elle essaya encore et encore, impossible de retrouver son chemin dans un lieu qu’elle ne connaissait pas.
Elle appela au secours sans beaucoup d’espoir. Cependant, elle eut un coup de chance ! Un être très étrange vint la voir. C’était un grand monstre. Il portait sur son corps une grosse tête ronde, d’à peu près quarante-cinq centimètres avec deux cornes. Il avait des bras, des jambes qui mesuraient soixante centimètres et six doigts. Son corps était bleu à pois. Il possédait un gros ventre de couleur violet. Sur son dos, on apercevait de petites ailes d’à peu près dix centimètres, elles ne lui servaient pas à voler car elles étaient trop petites et il était trop imposant. Sa grande bouche, ses doigts et ses cornes étaient violets. Pour finir, il avait une toute petite queue. Le monstre était recouvert de beaucoup de poils. Ce gentil être s’appelait Ravi.
Milana avait un peu peur mais elle se dit que c’était sa seule chance. Elle demanda au monstre s’ il pouvait lui montrer la sortie, il répondit :
« D’accord, il n’y a pas de problèmes. Mais à une condition : tu restes t’amuser avec moi un petit moment. » Milana était d’accord, ce qui comptait pour l’enfant était de rentrer chez elle.
Aussitôt dit, aussitôt fait : ils étaient déjà partis se promener dans la forêt. Ils s’amusèrent ensemble, mangèrent des bonbons, des chocolats… Puis ils allèrent chez Ravi, il y avait beaucoup de potions magiques !
La petite fille étaient très heureuse de s’amuser ainsi, mais elle demanda au monstre s’il pouvait la ramener chez elle. Ravi lui dit que ce n’était pas si simple : qu’elle devait ramener au papillon géant une banane rose, une fleur avec des verrues et une mangue violette à pois jaune. En sachant que dans ce monde, bien qu’il soit étrange, il existait qu’un plan de bananes rose, qu’un plan de fleur à verrues et qu’un plan de mangues violette. En plus de cela, ils se trouvaient tous à l’opposé les uns des autres. Milana était très étonnée de ce qu’elle devait accomplir !
Ils partirent enfin chercher ces trois demandes. Sur la route pour aller chercher la banane rose ils durent traverser une rivière avec un crocodile violet, il rodait autour d’eux, voulut les manger. Ils passèrent alors sur des pierres le plus vite possible, pour éviter ce méchant sortilège. Sur le chemin pour aller chercher la fleur à verrues ils croisèrent une plante carnivore. Grâce aux longues griffes de Ravi, ils réussirent à couper l’épaisse tige de cette plante. Sur le chemin pour aller chercher une mangue violette à pois jaunes, ils durent répondre à une énigme très compliquée. Comme Milana était très forte à ce jeu, elle réussit. Au final, ils réussirent à franchir toute les épreuves. Ils prirent la route pour la grande demeure du papillon géant. Quand ils arrivèrent, ils montrèrent les trois demandes à celui-ci.
Le papillon ouvrit une porte, et dit à Milana de pénétrer dedans. Elle prit les trois objets pour retourner dans ce monde parallèle au sien quand elle souhaitera, et promit à Ravi de revenir là toutes les nuits. Elle alla derrière la porte et s’en alla chez elle.