Elle me regardait et m'admirait de haut en bas. J’étais tellement gêné…
05 novembre 2016
Un sens en moins
Par Les profs le 05 novembre 2016, 13:15
05 novembre 2016
Par Les profs le 05 novembre 2016, 13:15
Elle me regardait et m'admirait de haut en bas. J’étais tellement gêné…
09 septembre 2015
Par Aurélie de Mattéis (Collège Pablo Picasso, Montesson) le 09 septembre 2015, 14:42
27 mai 2015
Par Aurélie de Mattéis (Collège Pablo Picasso, Montesson) le 27 mai 2015, 21:04
2015
Remontons des millénaires en arrière quand la Terre, Gaia, n’était que pierre et le Ciel, Ouranos, n’était que feu. Des millénaires en arrière quand l’amour était tellement important que nul être vivant ne pouvait vivre sans. Ouranos, lui, vivait sans amour. Cela le chagrinait tellement, qu’un jour, il versa des larmes. Ses larmes étaient si pures qu’à peine elles eurent effleuré Gaia, ce fut le coup de foudre. Ils s’embrassèrent et pendant un instant, la Terre prit feu.
Puis le feu se retira, il n’y avait plus qu’une immense étendue de cendres laissée par leur baiser qui recouvrait la Terre. Quelques années plus tard, de fines tiges vertes transpercèrent la cendre. Peu après, ce furent des arbres ainsi que des fleurs et des animaux. Ouranos et Gaia avaient donné naissance à la Vie.
Un millénaire et 52 ans après, ils firent naître le petit frère de la Vie : Cronos. Le Ciel et la Terre en furent tellement heureux que la Vie en fut jalouse et lança une malédiction à Cronos : elle le rendit aveugle de cœur, et seul l’amour le plus puissant pourrait l’en délivrer. La tristesse envahit Gaia et quelques pierres réapparurent sur Terre. Quant à Ouranos, il pleura de si grosses larmes, qu’elles créèrent des rivières, des torrents et même des océans.
Cronos se sentit bien seul et il s’enfuit de chez lui. Il erra jour et nuit. « On ne peut pas vivre définitivement malheureux » se disait-il pour se donner du courage. Il rencontra plusieurs femmes qui tombèrent sous son charme, mais, à chaque fois, il les repoussait. Il trouva un travail dans un village peu connu où sa fonction était de clouer des fers à cheval.
Un jour, on frappa à la porte de sa maison qui n’avait qu’une pièce et qui ne comportait qu’une épaisse couche de paille qui lui servait de lit, une table et un tabouret. Lui ne portait que des haillons, plus déchirés les uns que les autres. On frappa donc à sa porte. A peine l’eut-il ouverte qu’il se figea : une magnifique jeune fille aux yeux d’or, et aux joues roses qui prétendait s’appeler Rhéa, lui demanda de l’héberger pendant la nuit. Cronos la fit entrer. A son grand étonnement, il se sentit très à l’aise en sa compagnie. Les jeunes gens tombèrent sous le charme l’un de l’autre. Ils furent traversés par un amour d’une gigantesque puissance, d’une pureté aveuglante, d’une lumière étincelante. Les chaînes de la malédiction furent rompues. Ils créèrent leur royaume : le Mont Olympe. Ensemble, ils eurent trois fils : Hadès, Poséidon et Zeus ; ainsi qu’une fille : Déméter.
Et ils vécurent heureux…pendant un certain temps…
26 février 2015
Par M. Vighier le 26 février 2015, 18:11
La guerre commençait. Je partis à la guerre avec mes camarades...
25 février 2015
Par M. Vighier le 25 février 2015, 16:22
Par M. Vighier le 25 février 2015, 16:02
11 novembre 2014
Par M. Vighier le 11 novembre 2014, 22:40
02 novembre 2014
Par M. Vighier le 02 novembre 2014, 21:00
Qu'arrive-t-il à Jessica, jeune et belle avocate, prisonnière d'un être aux sombres intentions ?
Par M. Vighier le 02 novembre 2014, 19:29
Il venait de se réveiller. Quand il ouvrit les yeux il ne savait plus où il était. Perdu, une folle envie le prit. Mais l’endroit luit était tellement inconnu qu’il ne pouvait le faire. Il se trouvait dans une forêt, toute petite, où un chemin de cailloux et quelques bancs étaient installés. Il eut un sentiment de peur, il était tétanisé à l’idée de vouloir voler. Où était-il ? Que faisait-il ? Personne pour l’aider !
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