L'aventure
Par M. Vighier le 06 juin 2015, 15:35 - Nouvelles - Lien permanent
Nouvelle de Mélanie C. (3e6).
Un beau matin d’hiver, Pascal préparait ses affaires pour escalader le mont
Couvert. Il commença à l’escalader tout doucement pour ne pas se fatiguer.
Parfois, quelques branches lui barraient la route, ce qui lui faisait perdre beaucoup
de temps.
Après avoir traversé une vallée enneigée, il décida de se reposer quelques
minutes. Le paysage était splendide,il ne regardait pas le sol car il avait le vertige.
Etonné par ce qu’il avait déjà parcouru, il repris sa marche. Il n’avait qu’une seule
question en tête : “Quelle serait la réaction de ses parents, arrivé au sommet ?
Commençant à être fatigué il refit une pause mais cette fois plus longue. Il était
heureux mais avait peur de ne pas y arriver. Il se demandait si le lendemain il
serait courbaturé. Après s’être desaltéré et avoir repris son souffle, il décida de
quitter son lieu de repos pour pouvoir arriver au sommet.
Plus tard, il entendit des cris d’oiseaux mais n’arrivait pas à distinguer de
quelle espèce venait ces cris si bruyants. Perturbé par cette belle musique, il
trébucha. Il s’était pris un caillou sur le pied et avait mal. Son pied était tout
engourdi donc il avait quelques difficultés à marcher. Il était de plus en plus
stressé.
Il n’avait vraiment pas de chance, le soleil l’éblouissait : il ne voyait plus rien.
Mais il devait continuer. Il ne restait que quelques mètres pour enfin arriver au
sommet du mont Couvert. Il se donnait à fond et enfin y arriva.
Au sommet de la montagne, il faisait froid, un vent glacial soufflait. Il sentit le
sol trembler, s’accrocha fortement à un rocher et attendit la fin du tremblement de
terre avec impatience. Soulagé il repensa à tous les efforts qu’il avait fournis, à tous
les passages difficiles qu’il avait pu croiser avant d’arriver à la fin. Enfin il avait une
vue magnifique : c’était le paradis, un bonheur le submergeait. Il avait réussi ! Peu
à peu un nuage obscurcit sa vue, il faisait sombre, il ne voyait plus rien. Il
approcha ses affaires de lui, il se recroquevilla sur lui-même et attendit… et
attendit... Malheureusement, il faisait toujours noir, il commençait à s’inquiéter. Il se
demandait ce qui allait se passait.
Couvert. Il commença à l’escalader tout doucement pour ne pas se fatiguer.
Parfois, quelques branches lui barraient la route, ce qui lui faisait perdre beaucoup
de temps.
Après avoir traversé une vallée enneigée, il décida de se reposer quelques
minutes. Le paysage était splendide,il ne regardait pas le sol car il avait le vertige.
Etonné par ce qu’il avait déjà parcouru, il repris sa marche. Il n’avait qu’une seule
question en tête : “Quelle serait la réaction de ses parents, arrivé au sommet ?
Commençant à être fatigué il refit une pause mais cette fois plus longue. Il était
heureux mais avait peur de ne pas y arriver. Il se demandait si le lendemain il
serait courbaturé. Après s’être desaltéré et avoir repris son souffle, il décida de
quitter son lieu de repos pour pouvoir arriver au sommet.
Plus tard, il entendit des cris d’oiseaux mais n’arrivait pas à distinguer de
quelle espèce venait ces cris si bruyants. Perturbé par cette belle musique, il
trébucha. Il s’était pris un caillou sur le pied et avait mal. Son pied était tout
engourdi donc il avait quelques difficultés à marcher. Il était de plus en plus
stressé.
Il n’avait vraiment pas de chance, le soleil l’éblouissait : il ne voyait plus rien.
Mais il devait continuer. Il ne restait que quelques mètres pour enfin arriver au
sommet du mont Couvert. Il se donnait à fond et enfin y arriva.
Au sommet de la montagne, il faisait froid, un vent glacial soufflait. Il sentit le
sol trembler, s’accrocha fortement à un rocher et attendit la fin du tremblement de
terre avec impatience. Soulagé il repensa à tous les efforts qu’il avait fournis, à tous
les passages difficiles qu’il avait pu croiser avant d’arriver à la fin. Enfin il avait une
vue magnifique : c’était le paradis, un bonheur le submergeait. Il avait réussi ! Peu
à peu un nuage obscurcit sa vue, il faisait sombre, il ne voyait plus rien. Il
approcha ses affaires de lui, il se recroquevilla sur lui-même et attendit… et
attendit... Malheureusement, il faisait toujours noir, il commençait à s’inquiéter. Il se
demandait ce qui allait se passait.
La petite fille cria machinalement d’une voix tonitruante :
“Maman, maman, j’ai tué une fourmi !”
Pascal n’était plus de ce monde.
Pascal n’était plus de ce monde.
Commentaires
Une chute surprenante. Un travail sur les sensations que vous êtes parvenus à détailler.