Par Lina WANG
29 janvier 2017
Par Lina WANG
Par Aurélie BERJOT
As-tu déjà joué dans plusieurs pièces ? Quel est le rôle qui t’a le plus marquée et pourquoi ?
Oui, j’ai déjà fait plusieurs représentations en dix ans de théâtre ! Mais officiellement, c’est depuis l’année dernière que j’ai eu l’occasion de jouer réellement une pièce en entier, et avec un grand rôle, le tout en ayant intégré une compagnie versaillaise qui fait des représentations au Mois Molière. Le rôle qui m’a le plus marqué c’est celui de Jacqueline dans "Boeing Boeing", que j’ai joué cette année. C’est un rôle qui me correspond notamment dans la personnalité du personnage qui me ressemble beaucoup ! Mon professeur m’a beaucoup fait travailler pour accentuer les émotions, et cela n’a pas toujours été facile pour moi.
12 janvier 2017
Adaptation et m.e.s. d'Arnaud Beunaiche
Production de la Compagnie EMPORTE-VOIX
Comédiens Marie Bouvier et Serge Dupuy
Le lien ici vers le site de la compagnie !
11 décembre 2016
10 octobre 2016
Par Marie SOURDILLON
La voix du comédien au théâtre est chargée de porter jusqu’aux spectateurs les mots de la pièce. Elle relie le corps et le sens, immatériel, du texte, scène et salle. C’est une vibration qui va de la scène à la salle, à la fois porteuse du sens des mots et chargée d’expressivité, d’une certaine sensualité. On sent dans la voix la corporalité de l’acteur. Elle est une extension, un prolongement du corps de l’acteur, « la signature intime du comédien » écrivait Barthes. (On la distingue par son timbre, sa hauteur, sa puissance, on parle du « grain d’une voix »). Elle est donc très importante au théâtre.
Par Marie SOURDILLON
« Faire théâtre de tout » (Antoine Vitez, 1970)
Dans les années 1970, on cherche à bousculer les habitudes, à remettre en question tout ce qui fait autorité.
Au théâtre, cela se traduit par des initiatives variées : on expérimente d’autres lieux que les salles de théâtre : des caves, une salle de catch (L’Elysée Montmartre), une patinoire (le futur Théâtre du Rond Point), des usines désaffectées, (la Cartoucherie de Vincennes en est un exemple). On adapte pour la scène des textes qui ne sont pas destinés à être joués. On fait « théâtre de tout » : notamment des poèmes, et surtout des romans. En s’ouvrant aux expérimentations théâtrales, la ville pour ses lieux, la littérature, pour ses textes, offrent un champ d’investigation aux metteurs en scène désireux d’une liberté nouvelle (dans la continuité des revendications de mai 68).
Par Claire B.
Premier spectacle auquel nous assistons cette année ! Un grand merci à Marie Nicolardot pour son accueil chaleureux dans ce beau théâtre à l'italienne.
Au cours de cette séance, nous avons pu avoir plus d’informations sur la pièce que nous allons voir la semaine du mercredi 12 octobre : une adaptation du livre Anna Karénine de Léon Tolstoï. Après un cours sur le roman au théâtre fait par Madame Sourdillon, Madame Blettery a présenté ce grand (et long !) roman russe, et l'actrice iranienne Golshifteh Farahani, qui joue le rôle d'Anna dans la mise en scène de Gaëtan Vassart.
Une fois Natacha arrivée, nous avons travaillé notre « voix de tête » ainsi que notre « voix de gorge ». Pendant un instant, la rotonde s’est transformée en ruche. Ensuite, nous avons travaillé en improvisation sur des extraits d’une pièce choisie "totalement par hasard" (je me demande si l’ironie de cette remarque est aussi flagrante à l’écrit qu'à l'oral) ! Quelle est cette pièce ? Du Musset... A suivre !
Nous avons enfin pu voir les extraits de « Ariane où l’âge d’or » par Philippe Caubère promis par Madame Sourdillon (merci à Monsieur Moreau pour l’aide technique).
Nous avons tous hâte de revoir les acteurs du Théâtre Du Cristal qui nous avaient tant fait rire avec leur spectacle de cabaret. Le prochain article rendra compte des impressions des élèves sur la pièce précédemment citée.
Angélique et Claire B.
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