Antigone Tous candidats au bonheur ?
Adaptation et m.e.s. d'Arnaud Beunaiche
Production de la Compagnie EMPORTE-VOIX
Comédiens Marie Bouvier et Serge Dupuy
Le lien ici vers le site de la compagnie !
12 janvier 2017
Adaptation et m.e.s. d'Arnaud Beunaiche
Production de la Compagnie EMPORTE-VOIX
Comédiens Marie Bouvier et Serge Dupuy
Le lien ici vers le site de la compagnie !
10 octobre 2016
Par Claire B.
Premier spectacle auquel nous assistons cette année ! Un grand merci à Marie Nicolardot pour son accueil chaleureux dans ce beau théâtre à l'italienne.
06 mars 2016
« Pour monter l’Illusion comique je choisis de respecter l’ingénieux cheminement dramatique machiné par Corneille : la magie est opérante, la grotte est le lieu du sortilège, la fausse mort de Clindor est crédible. L’Illusion appartient au répertoire restreint du très grand théâtre populaire qui captive le spectateur pour mieux l’amener à la révélation d’une vérité profonde. Son interprétation requiert une sorte de « naïveté lucide » s’adressant autant au grand public qu’aux connaisseurs. Les comédiens doivent susciter le rire et les larmes, jouer le premier degré de l’intrigue, tout en ayant la pleine conscience des jeux de miroirs de l’esthétique baroque, de l’originalité poétique propre à Corneille et des mystérieuses perspectives que l’œuvre révèle. Elles sont autant de portes que la mise en scène doit inviter le spectateur à franchir, sans chercher à rétrécir ou trop préciser le sens et la nature des paysages ainsi entrevus. »
Vincent Tavernier
Photos sur la page de présentation du spectacle ICI !
Photo sur le site du Théâtre Montansier.
Texte de présentation du spectacle :
En attendant Godot résonne aujourd’hui avec une forme d’évidence. En ces temps de flux migratoires, où des populations entières accomplissent le chemin mouvementé de l’exil,
il en est qui, lors du trajet, s’empêtrent dans des lieux sans identité, pour toute une série de raisons : attente du passeur, attente d’un visa, attente d’un renvoi, attente d’une sœur ou d’un fils. Ces situations où le but recherché s’efface devant la nécessité de rester là nous ramènent au cœur du texte de Beckett. Vladimir et Estragon pourraient être ces migrants, collés à une route et sous un arbre, dans l’attente de quelque chose ou de quelqu’un qui leur est indispensable pour aller ailleurs, vers la vie rêvée. Des êtres qui, pour rendre supportable l’insupportable, s’inventent des jeux, des dialogues, des lunes, des nuits et des jours.
En attendant Godot n’a rien d’absurde, si ce n’est l’absurde du monde à l’intérieur duquel on cherche à créer du sens. Ancrer la pièce, sans en réduire la portée universelle, dans la tragédie d’aventures humaines qui se déroulent à nos portes.
Montage des extraits en cliquant ICI !
Présentation du spectacle sur le site du Théâtre Montansier (Versailles) :
Le Malade Imaginaire est représenté pour la première fois au Théâtre du Palais Royal, le 10 Février 1673.Molière ne le sait pas encore mais Le Malade Imaginaire est son œuvre testament. Il y met tout son art et tout son savoir-faire. Sa langue et son esprit sont alors au sommet. Argan est une sorte de fou qui engage toute sa fortune et sa passion dans la pharmacie, la médecine et les soins permanents à sa personne. Il veut des infirmières et des docteurs autour de lui à chaque instant. Pour ce pamphlet philosophique contre l’action des médecins, Michel Didym imagine un personnage régressif, puéril et maniaque dont l’hypocondrie incommode son entourage et déclenche le rire du public.
Michel Didym : « Mon objectif n’est pas de sursignifier ma lecture par une mise en scène ostentatoire. Un chef d’œuvre absolu mérite tout le respect dû aux chefs-d’œuvre.»
10 mai 2015
Un soir ordinaire dans une famille ordinaire. Helen et son mari Danny dînent en tête-à-tête quand Liam, le frère d’Helen, débarque couvert de sang. Et la vie ordinaire va virer au cauchemar.
Le jeune homme, élevé par sa sœur à la mort des parents, prétend avoir aidé l’étranger blessé qui se tient dehors. Mais son histoire ne tient pas debout.27 février 2015
Sortie novembre 2014
C’est l’histoire d’un pays entouré de lacs et de montagnes. Dans ce
pays, un gouverneur nommé Gessler, au service de l’empereur, fait régner
la terreur pour soumettre le peuple à son autorité. Les injustices se
multiplient, le sang coule. Le peuple commence à se rassembler pour
résister. Un jour, sur la place du village, un chapeau est dressé sur un
mât. Les citoyens ont pour ordre de saluer ce chapeau pour prouver leur
obéissance à l’autorité de l’empereur. Celui qui ne saluera pas, sera
arrêté.
Un homme passe et ne salue pas le chapeau. Cet
homme s’appelle Guillaume Tell. Il est arrêté. Pour le punir de son
outrage, Gessler fait poser une pomme sur la tête de l’enfant préféré de
Guillaume. Le père doit toucher la pomme d’une flèche sans blesser
l’enfant. S’il réussit, il aura la vie sauve. La flèche tirée, la pomme
se sépare en deux, l’enfant est sauvé… Guillaume Tell deviendra le
symbole de l’homme libre.
Nora Granovsky, metteur en scène,
rassemble un collectif de neuf comédiens-musiciens pour explorer cette
fable sur l’humanité qui met en résonance notre propre capacité
aujourd’hui à nous indigner et à résister pour changer le monde.