9 avril 2021, un homme voulut tenter une expérience, de survivre sur une île pendant un mois. Pour ça il décida de ne prendre qu’un couteau, un sac à dos, une gourde et une marmite pour cuire les aliments. Il y alla en barque qu’il avait construite lui-même. Il ne se nourrit que d'eau, de cannes à sucre et de noix de coco. Cet homme se rendit compte que la malnutrition commença à s’installer au bout de 15 jours. Mais il voulut réussir son paris alors il prit sur lui et ne mangea qu’une fois par jour. Il n’en pu plus de se nourrir si peu donc il prit l’initiative de naviguer jusqu'à la terre ferme et sa a porté ses fruits. Puis il courut vers un hôpital. Il raconta son histoire.
Je me nomme Laila, je suis médecine et architecte. Le maire et ses collègues visitèrent cette île mystérieuse et c'est ainsi que l'on se servit de cette île pour réaliser des expériences inédites. Je visitai l'île avec mon ami d'enfance qui a plein de connaissances en nature et on remarqua de suite que ce bout de terre avait une particularité, que l'air était très riche en oxygène, plus riche que sur Terre. On constata que les arbres étaient en auto suffisance, que l'herbe était haute, verte et bien fraîche. Et qu'il n'y avait aucun animal présent sur cette île, cela nous faisait un bénéfice pour réaliser nos expériences sans crainte qu'un animal vienne nous interrompre. Il n’y avait que des arbres, de l’herbe et du sable; c’était en faite une île comme les autres les deux avantages c’était son auto suffisance et l’absence d’animaux. Elle était parfaite pour l’idée.
On revint sur la terre, puis on divulgua notre découverte ce qui conforta le maire pour son idée. Le gouverneur de ce concept me donna la tâche de prendre en charge cette île. Je commençai par appeler toute mon équipe d'architecte et je leur demandai de dessiner une grande salle vierge où l'on pourrait effectuer des essais. Ils eurent terminés après une semaine de dessin, et deux mois de construction. Alors je revisitai cette île refaite et j'étais impressionné par sa métamorphose. Je commençai déjà à écrire mes idées d’expériences sur mon nouveau cahier que je nommai « khibra » c’est un mot arabe (car je suis d’origine marocaine) qui signifie en français: expérience. J’ai d’abord écrit la notion de pouvoir ressusciter des personnes décédées. Pour ça il faudrait trouver une substance qui redonne la vie mais seulement avant 24heures sinon ce serait abondamment laborieux. Alors j’ai interrogé mes collègues médecins pour savoir quelle produit pourrait-on utiliser pour mon idée et ils m’ont tous dit qu’ils ne savaient pas du tout comment faire, qu’ils n’avaient même pas une hypothèse en tête ni notée. J’étais bien embarrassée mais je ne baissais pas les bras pour autant.
Je fis quelques recherches sur internet et je vis que la mort est la seule maladie qui ne peut pas être guérie mais je n'en étais vraiment pas convaincue. Mes recherches terminées ne savaient à rien. Comme je suis médecine je fis mes recherches seule. Enfin, je découvrit que le sang d'animaux, la sève ainsi que le sang d'humain pouvaient ressusciter une personne. Alors je fis un mélange des trois. Ils avaient une texture très gluante au point de me dégoûter mais il fallait bien souffrir pour revivre. Je couru jusqu'à l'hôpital et le docteur me préviens le décès d'une personne. J'étais triste pour la personne mais à la fois contente que je puisse peut être la ressusciter. Pas le temps d'être triste que je devais vite faire mon essai sur cette personne. Je le fis et j’attendis une heure mais rien à faire à la personne qui semblait manquer d'oxygène. Et la je prit conscience que l'île était l'élément parfait pour réussir cette expérience. Alors on transporta le mort jusqu'à l'île. On l'installa directement puis on recommença et tout d'un coup le mort revint en vie. J'étais tellement heureuse que j'en pleura. C'est ainsi que l'on prit mon remède comme médicament pour la mort et ce qui changea complètement notre vie. Mais bien sûr il y avait quand même des gens très méchants pour laisser les « morts » mourir. Et c'est ainsi que j’appelais cette île: « khibra » comme mon cahier. Et je vivais maintenant là-bas.