Alors que nous survolions le Brésil en hélicoptère pour un voyage d’affaires, une tempête éclata. Tout à coup le ciel devint grisâtre et de gros nuages noirs nous menaçaient. Quelques instants plus tard la pluie s’abattit sur nous, amenant avec elle des éclairs qui touchèrent notre hélicoptère. Le réacteur s'enflamma, nous entraînant dans une chute libre de plus de cinquante mètres avec comme seul alliés nos parachutes. Nous atterrissions sur un dôme de bambous quelque peut étrange, sous nos pieds se trouvait une véritable merveille…

 

Nous descendions de cette voûte, puis nous arrivions dans une forêt de bambou, nous nous faufilions à travers ces branchages. Une fois les bambou passer, nous avancions sans remarquer un phacochère sur lequel je trébuchai, une course poursuite débuta. Un buisson nous servi de réfuge. Le lendemain nous nous réveillons dans une forêt dense, entourés d'arbuste, au loin nous apercevions un petit village, puis nous nous approchions avançant pas a pas, un habitant s'approcher de nous:

«-Bonjour, je m'appelle Mike Rodney

- Bonjour, nous sommes arriver sur cette île par hasard, je m'appelle Juliette,

- Et moi Lola, pouvez-vous nous dire comment se loger?

- Pas de problème!Mais avant je vais vous faire visiter l'île.»

 

Il nous fit visiter cette île qui s’appelait Boliva elle se situait vers la côte brésilienne, elle était majestueusement belle, un dôme de bambou laissait passait lumière et la chaleur mais protéger des tempêtes du vents et de la pluie. Le dessous de l'île était une coupole de verre où passait la lumière et la chaleur pour entretenir les racines de bambous. Cette archipel était extrêmement bien

conçue la coupole de verre abritait des bureaux où des ingénieurs travailler au bon fonctionnement de Boliva, un système d'électricité très particulier fessait fonctionner l'île grâce a une cuve qui récupérer l'eau pour ensuite qu'elle arrive dans une hélice qui tournait à une allure considérable qui produisait de l'énergie électrique, ce réservoir servait aussi à hydrater les habitants de Boliva en traitant l'eau qu'elle récupérer de l’océan. Sa superficie était de 3100 hectares. Pour vivre dans l'archipel il fallait aimait la nature les maisons était des fermes entourer de jardin tous plus beau les uns que les autres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fois Boliva visitée, nous nous dirigions dans la partie des ordinateurs pour découvrir le métier d’ingénieur. Lorsque que nous arrivions dans ces locaux cette atmosphère nous plus beaucoup. Et nous décidâmes de passer un entretien d'embauche. L’entretien fût positif et nous nous firent recruter, aussi on nous donna deux maisons, et très vite les habitants nous acceptèrent.