QUATRIEMES

 

 

 

Thème 2 : Le vivant et son évolution

 


Chapitre 2 : La reproduction des êtres-vivants

 

 

 

IV) La diversité de la reproduction sexuée

 

 

 

 

Problème : Comment expliquer que les poissons produisent plus de cellules reproductrices que les cerfs ?

 

 

 

 

 

Activité : maintien de l’espèce

 

 

Pour résoudre ce problème voici quelques documents à étudier :

 

 

 

(Source : Manuel de SVT Magnard)

 

 

 

DOC 2 :

Les cellules-oeufs de grenouilles sont abandonnées dans le milieu extérieur et servent parfois de repas à d’autres animaux……

(Source : Manuel de SVT Magnard)

 

 

 

 

DOC 3 :

La femelle du cerf est la biche et leur petit est un faon, ce sont des mammifères.
Chez les mammifères, comme la fécondation est interne, le petit se développe bien protégé dans l’utérus de sa mère.

 

 

 

Non.... si les poissons produisent plus de cellules reproductrices que les cerfs ce n'est pas parce que les poissons veulent dominer le monde.....

 

 

 

Je vois (doc 1) que les poissons et les oursins produisent beaucoup de cellules reproductrices et que peu de ces cellules donneront un adulte...
Je vois (doc 2) que les oeufs, cellules-oeufs, de poissons peuvent servir de nourriture…. Etant rejeté(e)s dans le milieu extérieur ils sont en danger….


Je vois (doc 1) que le cerf et la fleur produisent peu de cellules reproductrices et que la plupart de ces cellules reproductrices donneront un adulte.
Je vois (doc 3) que les petits de la biche et du cerf sont protégés dans l’utérus de leur mère chez les mammifères.


Je sais que les poissons et oursins sont des animaux aquatiques qui ont une fécondation externe.
Je sais que les cerfs et les plantes à fleurs réalisent une fécondation interne.
(Je sais que chez les fleurs la plantule se développe dans une graine, renfermée dans un fruit, qui s’est formé par transformation de l’ovaire de la fleur. Donc le développement est protégé)


J’en déduis que pour assurer le maintien de l’espèce, les êtres-vivants à fécondation externe doivent produire beaucoup de cellules reproductrices pour s’assurer que certaines arrivent à donner un adulte et faire perdurer l’espèce.

Et les êtres-vivants à fécondation interne ne produisent pas plus de cellules reproductrices et de petits car ils sont limités par la place disponible dans l'organe femelle pour développer les cellules-oeufs (utérus chez les animaux, ovaire chez les végétaux).

 

 

 


Bilan :


Pour assurer le maintien de l’espèce, les êtres-vivants à fécondation externe doivent produire plus de cellules reproductrices que les êtres-vivants à fécondation interne, puisque leurs cellules-oeufs se développent dans le milieu extérieur et n’arrivent pas toutes à donner un adulte.


Pour assurer le maintien de l’espèce, les êtres-vivants à fécondation interne doivent produire moins de cellules reproductrices que les êtres-vivants à fécondation externe, puisque leurs cellules-oeufs se développent protégées dans l‘organisme femelle.