Egalité, égalité, égalité

DIAN FOSSEY

                                    (1932 -1985)                                     

Son monde, la planète des singes

     Dian Fossey est née le 16 janvier 1932, à San Francisco, en Californie, aux Etats-Unis. Zoologue, elle a consacré sa vie aux gorilles. En 1963, elle choisit de vivre en osmose avec eux. Dian est tout de suite attendrie par cette espèce en voie de disparition qu'elle pense amicale et délicate ; elle mène un combat contre les braconniers entre le Rwanda et le Congo. Au Rwanda, sa lutte pour la survie des gorilles des montagnes n'avait pas convaincu le gouvernement. L'éthologue engagée fut assassinée en 1985 dans des conditions qui restent toujours inconnues à ce jour.   

     Dian Fossey a fait plusieurs découvertes sur les gorilles : pendant le temps passé en leur compagnie, elle a observé une hiérarchie au sein des groupes de gorilles ; notamment les changements de groupes des femelles gorilles et la façon dont le mâle à dos argenté tue les petits en bas âge afin que les femelles puissent porter ses propres enfants, mais également comment les gorilles recyclent des substances nutritives.

Sources :

Marguerite Kloeckner. www.lefigaro.fr. 16/01/2014, consulté le 8/11/2016. Dian Fossey, celle qui vivait sur la planète des singes. Disponible sur : http://www.lefigaro.fr/culture/2014/01/16/03004-20140116ARTFIG00368-dian-fossey-celle-qui-vivait-sur-la-planete-des-singes.php

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

STEPHANIE KWOLEK

(1923 - 2014)

source :Chemical Heritage Foundation [CC BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Stephanie_Kwolek_by_Harry_Kalish.png ​​​​​​​
  

Stéphanie Kwolek découvre en 1960 le Kevlar.

Son père, naturaliste, lui a transmis sa passion pour la chimie. En 1946, Stéphanie obtient un diplôme de chimie au Margaret Morrison Carnegie College, à Pittsburgh. Elle décide alors de travailler temporairement dans la chimie pour obtenir de quoi payer des études médicales et devenir médecin. Elle rejoint l’équipe « Pioneering Research Laboratory » à Buffalo, dans l’État de New York. Son travail l’intéresse au point qu’elle renonce finalement à ses ambitions médicales. En 1950, elle poursuit sa carrière à Wilmington, dans le Delaware. En 1959, elle remporte un prix de la Société américaine de chimie, American Chemical Society.

Elle est connue pour avoir découvert accidentellement le poly-paraphénylène téréphtalamide, c'est-à-dire le Kevlar, en 1960. C'est un polymère thermoplastique constitué de noyaux aromatiques séparés par des groupes amides qui fait partie de la famille des fibres. Le Kevlar possède différentes propriétés intéressantes, telles la résistance à la chaleur. Il est utilisé pour les gilets pare-balles, les casques, les renforts de vêtements plus ou moins importants en fonction de la personne, les voiles et coques de bateaux, les ailes d'avions…ou encore pour utilisées par les sapeurs-pompiers.

Sources : 

Le monde.fr. 21 juillet 2014 [consulté le 8 novembre 2016]. Stéphanie Kwolek, l'inventrice du kevlar, est morte.

Disponible sur : http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/06/21/l-inventrice-du-kevlar-est-morte_4442701_3382.html

Dans cette partie de notre enquête nous avons voulu savoir vers quelles filières post-bac se dirigent nos filles de terminale.

Dans la majorité, nos filles scientifiques investissent des filières d'étude à vocation scientifiques (santé, sciences, sciences de la vie).

On les retrouve en aussi en gestion, mais elles délaissent droit - langues.

Cela semblerait montrer un choix pertinent des filles de la filière scientifique choisie, un choix pour s'engager dans un projet d'étude scientifique.

Étude proposée par William Achfak.

Nous nous sommes intéressés aux durées de poursuites d'études envisagées par nos élèves de Terminales du lycée.

Le nombre de garçons de Term L (4) n'est pas suffisant pour que le résultat affiché soit significatif.

On envisage les études les plus longues en ES et S, et en ES se sont les filles qui se projettent le plus sur un BAC+5.

On se projette autant sur un BAC+5 qu'on soit fille ou garçon en S.

Sur l'ensemble du lycée, il n'y a pas de différence notable sur les durées d'études envisagées entre les filles et les garçons.

Une proposition de graphique de Makbule, Fiona et Jules.

A partir de l'enquête statistique.

Nous allons voir le pourcentage de filles et de garçons en terminale à l'aise dans leur filière.
Les filles sont généralement plus à l'aise dans leurs filière. Cependant, en filière scientifique, le pourcentage de garçons à l'aise dans sa filière (64%) est légèrement supérieur à celui des filles (61%). La filière STMG GF et scientifique sont celles où les élèves se sentent le moins à l'aise.

On remarque également que le pourcentage de garçon à l'aise en filière littéraire est inexistant tandis que celui des filles est de 73%.

Généralement, en STMG, les filles se sentent plus à l'aise que les garçons.
On constate aussi que le pourcentage d'élèves à l'aise en STMG MK et ES sont pratiquement les mêmes pour les filles (90%) comme pour les garçons(83% en moyenne).
    
En conclusion les filles sont plus à l'aise que les garçons dans le lycée.

Texte écrit par Camille, Elsa, Armelle. Graphique joint au texte.