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texte argumentatif améliorer du Colonel Chabert

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Le Colonel Chabert est un roman écrit par Honoré de Balzac au XIXème siècle. Et dont le courant littéraire est le réalisme. (structure de la phrase)

Tout d'abord, je n'ai pas aimé le roman car le début du livre est incompréhensible, ce n'est pas clair. L'auteur parle de "clerc", ce qui n'a rien à voir avec le titre du livre. Comme par exemple dans la citation suivante: "Cette exclamation échappait à un clerc". (structure de la phrase)

Néanmoins par la suite, on commence à comprendre l'histoire. L'auteur parle du personnage principal : ce fameux Colonel Chabert. Effectivement dans le passage suivant, non seulement l'auteur parle du Colonel Chabert mais il le décrit aussi : "Le vieux soldat était sec et maigre. Son front, volontairement caché sous les cheveux de sa perruque lisse, lui donnait quelque chose de mystérieux".

Ensuite, le langage m'a beaucoup perturbée. Le vocabulaire argotique utilisé par Honoré de Balzac dans le livre est difficile à comprendre. Notamment quelques passages du texte, comme celui-ci : "Allons! encore notre vieux carrick". Dans cette phrase le mot "carrick" me perturbe. En revanche Balzac a utilisé des citations très touchantes comme celle-ci : "le vrai silence du tombeau". Cette citation m'a marquée car on a l'impression qu'il a ressuscité, c'est-à-dire qu'il avait déjà entendu le silence du tombeau quand il était mort puis il ne l'a plus jamais entendu quand il est revenu à la vie.

De plus, l'histoire est très triste et se finit mal. Tout au long du livre, j'espérais que le Colonel Chabert  regagne l'amour de sa femme et son argent. Or, cette dernière est malhonnête et matérialiste. Elle est mariée au comte Ferraud et a deux enfants avec ce dernier. Comme le montre le passage suivant (structure de la phrase) : "Un soir, en voyant cette mère au milieu de ses enfants, le soldat fut séduit par les touchantes grâces d'un tableau de famille, à la campagne, dans l'ombre et le silence". Finalement, ce pauvre Colonel Chabert se retrouve à la rue et sans argent. Il commence à perdre la tête. En effet, selon le passage suivant nous avons la preuve qu'il n'a plus aucun espoir, aucune envie de vivre:

"Bonjour, colonel Chabert, lui dit Derville.

- Pas Chabert ! pas Chabert ! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant".

Pour conclure, Je n'ai pas aimé le livre écrit par Honoré de Balzac néanmoins certaines citations me touchent et me font ressentir de la peine et de la pitié envers le Colonel Chabert. Son histoire est tragique. Ce pauvre homme s'est battu mais a tout perdu. Ce roman ne m'a pas plu car il ne m'a pas beaucoup captivée.


Commentaires

1. Le 25 novembre 2014, 17:30 par Amandine Baillion (Lycée Saint-Exupéry, Mantes-la-Jolie (78))

Les fautes de langue ont été bien corrigées, mais je ne vois pas de réelle différence entre les deux versions de votre texte.

Note définitive : 7/10.