-sans titre-
Le monde s'est fané,
Il flamboie et resplendis
D'une culture inachevée
Que par-fois les hommes ont détruit
Chercher n'est pas
A ce jour le chemin
Rallonge ton pas
Et admire ton destin
Ton regard s’arrête
A la frontière d'un monde
C'est celui qui te jette
Dans la fournaise féconde
Humain tu n'est plus
Qu'un pâle passage
Bientôt, conte imbu
De lui même et de sa rage
Dérange l'agonie
Qui flotte colorée
Celle qui se tapis
Sous son nom de patrie
Alors à chacun
Qui t'entoure invisible
Offre toi serein
Pour l'amour si facile
Désire ton être
Resplendissant de nature
Fais lui connaître
L'ardeur du futur
N'arrête plus l'homme
Mais seulement son dogme
Et à jamais soi fière
De celui qui sera ton frère
Alors à la vie, à la mort
L'homme verra
Car c'est en brûlant ses tords
Que l'homme vivra.
samuel leuchter