Il serait temps de réaliser.
L’Ame dans la pénombre
Offre à l’Ombre vagabonde
De sortir du noir,
Et de se contempler dans ses miroirs.
C’est terrible,
L’Ombre s’attache,
C’est terrible,
L’Ombre s’attache.
Et l’Ombre pleure,
Et l’Ame rit,
Et l’Ombre dans sa torpeur,
Se tord de douleur.
L’Ame, sur elle souffle,
Et le voile de brume,
Tout doucement s’essouffle,
L’Ombre est éblouie,
L’Ame lui sourit,
Le doute s'évanouit,
La peur est partie.
Rien ne se ressemble,
Rien n’est plus pareil.
Camille.h