Nous avions préparé la projection de ce film  grâce à la "fiche élève" distribuée par "Lycéens et apprentis au cinéma" avant les vacances de Noël.

Comme une première projection avait été annulée, nous avons pu enfin voir le film le vendredi 5 février au "Centre d'Art", soit une semaine après "Nulle part, terre promise", ce qui n'était pas idéal.
Nous sommes revenus dessus dans une séance de module en français : le premier groupe a choisi un débat autour des thèmes principaux (le racisme, la différence d'âge, la construction en deux parties, le sens de la fin), le deuxième de regarder le court-métrage que François Ozon a fait en montant des scènes alternées de "Tout ce que le ciel permet" de Douglas Sirk (1955), le mélodrame dont Fassbider s'est inspiré, et de "Tous les autres s'appellent Ali" (on peut le trouver parmi les bonus du DVD collector de "Tout ce que le ciel permet").

Pour ne pas surcharger les élèves dans cette période où le bac blanc arrive, il leur a été proposé de rédiger une critique soit de "Nulle part, terre promise", soit de "Tous les autres s'appellent Ali".

CB