Admirant sans le voir

Les entrées de l'outrage

Qui commence dans le noir

Les regards s’enlacent

Les pensées se déchaînent

Faisant fondre une glace

Qui sépare les merveilles

Face à face déjoué,

Le jeu prend son sens

Dans l'ardeur pressée

Qui anime la danse

Deux corps se touchent

Se caressent et se respirent

Apportant une touche

A la frayeur qu'ils expirent.

samuel leuchter