FanTasTiques NouVelles

L’hôpital Jeu de Paume 

J’entends des chuchotements d’hommes et de femmes. J’entrouvre les yeux et aperçois des infirmières et un médecins. Ils me jettent des regardes suspicieux, je regarde autour de moi sans apercevoir ni ma femme ni mon enfant. «Où se trouvent Marie et Alice?»dis-je d’une petite voie. Une infirmière s’approchait à pas léger de moi que je croyais ne pas les entendre,mon imagination devais me jouer des tours. Elle me regardait simplement et me dit d’une voie plutôt froide et macabre: -Dans la chambre d’à coté M.Venois. Elle repartait avec ce pas inaudible.Je me levais et partis dans la chambre d’à coté ,quand j’entrais je les voyais toutes les deux sur un lit entrains de parlaient. -Bonjour mon chéri, dit Marie avec un beau sourire aux lèvres. -Papa tu enfin révélait,dit Alice avec une voie presque sourdre . Ma fille s’approchait de moi, ses pas m’était inaudibles comme l’infirmière de tout à l’heure. -Papa jouons à un jeu,dit ma fille en me sortant de mes pensées. À se moment là, j’avais un flash «J’étais dans une voiture accompagnée de Marie et d’Alice qui étaient a l’arrière .J’eus une douleur à la tête, je cligna des yeux».Alice me touchait la jambe avec sa main...me faisais revenir dans la réalité: -Papa on joue ? -Oui, oui ma puce ,dis-je.Elle me prenait la main je me rendais conte que sa main était glacée. -Il fait froid dans c’était hôpital, dit Marie. La porte s’ouvrit on découvre une infirmière: -Votre mère va passer à la table d’opération. J’avais un sourire , je sorti dans le couloir avec Marie et Alice , dans le couloir nous croisions un homme qui me regarde bizarrement. -Vous aller bien Monsieur?dit l’homme. Je disais à ma femme: -Bizarre c’était homme. Elle me souriait simplement.Nous contions notre route vers le bloc opération, nous nous asseyons sur les chaises en face du bloc.Des hommes nous ont emmené dans la salle de réveil où était ma mère.Quand nous rentrions je voyais ma mère. Juste avant d’arrivés je sentais un souffle froid s’évapore derrière moi. J’arrivais jusqu’à ma mère et je lui dit: -Maman tu nous a manqués. -Commença nous il n’y a personnes avec toi,me dit-elle. Je me retournais et je ne voyais ni ma fille ni ma femme ni l’infirmière qui nous accompagnée depuis le début. FIN