"L'esprit d'obsidienne", 405

Olivier, âgé de 14 ans, rencontre un esprit étrange. S'en suis une aventure comique et passionnante, ponctué de parodie

L’esprit d’Obsidienne

 

« Olivier !». C’était le cri du principal, M.Louchack. J’avais encore coursé Abdel (le gros asthmatique) dans les couloirs pour m’amuser. Sauf que Louchak nous attendait derrière le virage. Il m’a chopé par le T-shirt et m’a traîné jusqu’à son bureau. Le pire, c’est qu’il était en pleine réunion avec le maire de la ville. Ils étaient tous là : Mme.Bouffis (la principale adjointe), M.Girondelle (le prof de sport), Mme.Lafève (la prof de maths et adjointe au maire), M.Gérard (le député du département) et le plus gênant pour moi : M.Leumas (le maire de la ville et, mon père). Il me toisa d’un regard noir, plus sombre que la mort et l’air de dire « Toi, mon fillot (comme il m’appelait souvent), ce soir, T’es mort !». M.Louchak prit la parole : « Voilà ! s’écria-t-il, l’élève le plus PER-TUR-BA-TEUR du collège ! C’est au moins la 30ème fois qu’il court après mon fi...euh Abdel dans les couloirs ! Il est asthmatique en plus !». A ce moment-là, je priais intérieurement Dieu (s’il en existe un) pour que je me sorte de cette situation. A ce moment précis, Rato (mon meilleur pote) débarque dans la salle et crie : « Y’a une baston dans la cour ! - Entre qui et qui ? demande Louchak en transpirant. - Entre Jean-Paul et Abdel ! - Pourquoi mon fi...euh Abdel se bat ? - Parce que J.P. lui a échangé son yaourt périmé contre du porc. Il avait certifié à Abdel que c’était du halal ! Ils se battent au réfectoire ! Moi aussi, j’ai mangé un peu du yaourt et j’ai participé à l’échange, ajouta-t-il tout bas, mais assez fort pour qu’on l’entende. » En même temps qu’il parlait, M.Louchak suait de peur pour sa réputation. Je sentais qu’il relâchait son emprise sur mon T-shirt. J’en profitai pour partir sans un bruit. Mais un détail me chiffonnait : les yeux de Rato n’étaient pas bleus comme à leur habitude, ils avaient un teint noir violacé. On aurait dit de l’obsidienne. De plus sa voix était plus grave, comme si quelqu’un ou quelque chose le contrôlait. Pour finir, le connaissant bien, il n’aurait jamais avoué qu’il avait participé à ça. Dès que je fus dans le couloir, je fonçai au réfectoire pour voir la baston. Sans étonnement, JP n’avait eu aucun souci à maîtriser Abdel. Ce dernier était au tapis, K.O. Mais je remarquai également que JP et Abdel avaient eux aussi mangé de ce yaourt et qu’ils avaient les yeux de la même couleur que ceux de Rato. Tout le monde à part moi avait remarqué ce détail. Quand M. Louchak débarqua, les élèves s’écartèrent et le laissèrent passer. En voyant son fils par terre, il cria aux élèves de s’en aller. Comme d’habitude, il allait encore accuser Poireau (le nouveau surveillant que M. Louchak déteste). Heureusement, il ne m’a pas repéré car je me suis éclipsé discrètement hors du réfectoire pour aller dans la cour. Tout le monde parlait de l’évènement et chacun racontait à ceux qui ne l’avait pas vu ce qui s’était passé. Quant à lui, Poireau marchait tranquillement dans la cour. Deux heures plus tard, je retrouvais Rato dans les couloirs pour aller en classe. Je le remerciai pour son intervention cruciale tout à l’heure. « Quelle intervention ? demanda-t-il Bah… quand t’es venu chez Louchak tout à l’heure, lui répondis-je. Même que tu t’es dénoncé à lui alors que d’habitude tu ne le fais jamais. Non, je ne m’en souviens pas, je n’ai jamais fait ça, me soutenait-il. Mais si lui, rétorquais-je, Tu ne t’en souviens vraiment pas ? Je ne vois toujours pas de quoi tu parles. De toute façon, on doit aller en cour, me répondit-il sèchement. » Je fus surpris par sa réponse violente et surtout parce qu’il nie tout alors que d’habitude, il se vante presque. Je me dis que ce n’est pas grave et que je remercierais JP. Lui, au moins s’en souviendra. Par la même occasion je lui demanderais s’il n’a pas trop reçu de coup. Abdel n’a qu’à bien se tenir la prochaine fois. Arrivé en cour, je le remerciais pour la baston qui m’a sauvé la vie. « Alors, chuchotais-je, pas trop de bleu ? - Non, ça va, pourquoi ? me répondit-il. - Bah, pour la baston ? - Quelle baston ? me demanda-t-il en fronçant les sourcils. - Mais t’es amnésique ou quoi ? Lui rétorquais-je en plaisantant. » Malheureusement, JP le prit au premier degré. Il se leva de sa chaise et retroussa ses manches. Il me prit par le col et se prépara à frapper. Heureusement pour moi, Mme Blanquet s’interposa entre nous deux et les élèves aussi. La prof demanda à Antoine-Daniel d’aller chercher un surveillant, de préférence, Mme Tazer. Je fus choqué de la réaction de Rato. Un peu plus, il m’aurait balancé par la fenêtre du 3ème étage. Et encore plus étrange, c’est que ses yeux étaient noirs violacés. «Driiiiiiinnnnngggg» fit la sonnerie de la fin des cours. Cette étrange journée était enfin finie. J’imaginai la raclé que j’allais prendre au soir par mon père. Soudain, au tournant d’une rue, une ombre surgit derrière moi. Elle était noire, du même noir violacé que les yeux de JP, Abdel et Rato. Elle portait un long manteau de soie noir criblé de petit cristaux couleur obsidienne. Cette espèce de spectre portait sur sa tête une longue capuche en soie qui ne permettait pas de voir son visage. Une aura violet sombre émanait de sa silhouette. On aurait dit une âme toute droit sortie des enfers. Ce spectre me fit crier d’une façon pas très virile. Je ne sais pourquoi le corps humain fonctionne ainsi : quand un sentiment de peur était éprouvé, cette peur doit être évacuée par un endroit dans le corps. J’en ai fait l’expérience à ce moment-là. Je suis gêné de le raconté mais mon pantalon était tout humide au niveau de mes parties génitales. Le pire dans tout ça c’est que je m’enfuie en brayant de toute mes forces : « A l’aide ». En courant vers le de marché Nosi K., une mémé me toisa d’un air de dire : « je n’aimerais pas être sa mère » Je courus vers la cabine téléphonique de la gare. J’appelais le premier numéro qui me venait à l’esprit : 3630. Pour moi, j’appelais la police mais quand j’entendis : « Bienvenue à la maison du Père Noël » je lâchait le téléphone et je rougis de ma bêtise : je réfléchis et, finalement, je lui racontais mon histoire. Quand j’eus terminé, la voix me dit de patienté 5 minutes. Le temps impartit écouler, j’entendis des gyrophares. Persuadé qu’il s’agissait de la police, je fonçais vers eux en agitant les bras. Mais dès que je vis la camisole de force je compris que le gars dans le téléphone m’avait pris pour un fou. Je compris également que ce n’était pas la police que j’avais devant moi, mais les ambulanciers de l’asile psychiatrique. Je courus, encore une fois, dans la direction opposée. « Claque ». C’était la portière de la Peugeot 508 de mon père. J’allai me prendre une double raclée. Mais alors que je m’attendais à un sermon, il me dit : « fils on a plus de pain à la chocolatine ». Même dans le rétroviseur, il vit ma tête d’incompréhension. Je lui répondis : « Hein ?? Ça veut dire quoi ! C’est ma nouvelle devise pour dire que j’ai faim et que je te gronderais après un bon goûter. Tiens tant que tu y es, va me prendre un pain à la chocolatine. » J’étais dérouté de sa réaction. S’en était même exaspérant et je me lassais de ses devises à deux balles. Sur le chemin du retour, je sentais que quelque chose n’allait pas : j’avais sans cesse l’impression que l’on m’épiait et j’avais froid dans le dos. Comme convenu, je suis allé lui acheter son pain à la chocolatine chez Fani, la boulangère. En lui achetant ce qu’il voulait, je priais intérieurement pour qu’il oubli ma sanction. En y sortant, je cru y voir la même ombre du spectre qu’en rentrant du collège. Je restais sur mes gardes. Quand je rentrais enfin à ma maison, il faisait nuit noire. Je fus puni de dessert pour ma bêtise. Je pense qu’il avait oublié ce que j’avais fait. Je me suis couché sans dire mot. J’ai essayé de m’endormir mais le sommeil ne venait pas. Cette nuit-là, je le revis : ce spectre malfaisant qui apportait peur et misère. Au début, je crus que je faisais un cauchemar, donc je restais devant sans bouger en attendant que ça passe. Mon air exaspéré choqua le spectre. Je me rendis conte que c’était réelle que lorsqu’elle plongea sur moi. Je m’attendais à me réveiller en sueurs mais ce fus pire : le spectre était rentré dans mon corps. Je fus pris de convulsions et ma vue se troubla. Je ne contrôlais plus mon corps ! Je voulus crier : aucun son ne sortit de ma bouche. Je voulus taper du pied contre les murs pour réveiller mon père : tout ce que je réussi à faire, c’est de zozoter comme un débile et de remuer dans tous les sens. Heureusement que ce n’était pas filmé, sinon je serais la risée de toute le terre. Mais, étrangement, je ne fus pas terrorisé. Je ressentis même un soulagement quand la douleur passa. L’ombre et moi ne faisions qu’un. Tous les jours et toutes les nuits qui suivirent furent moins violentes et étranges. Finalement, avoir un spectre maléfique a des avantages : quand ton emploie du temps est bloqué jusqu’au mois de mai, tu as quelqu’un avec qui parler. Mais attention, pas à haute voix sinon les gens vont te prendre pour un fou. Il faut chuchoter des questions et l’ombre te répondra dans ta tête. Il faut s’habituer à sa voix. Mais forcément, comme ma vie est un aimant à problème, un jour, le spectre réagit brutalement. Je sortais des cours habituelles, par une journée habituelle : j’avais eu une heure de colle par Mme Lafève car j’avais fait rire mes camarades et je m’étais moqué d’elle. Quand elle avait annoncé : « Le signe pi est égal à environ 3,14. », je m’étais écrié : « et le nombre pipi M’dame, il est égal à combien ? ». J’adorais ce moment non pas parce que je faisais rire les élèves, mais parce que c’était Olivier Leumas qui parlait, et non Olivier Lespectre. J’avais aussi été renvoyé de cours par M. Girondelle : Je lui avais dit : « M’sieur, réflexe ! » en lui lançant le ballon de basket. Malheureusement, il n’avait eu aucun réflexe et il se l’était pris en pleine tête. Il m’avait exclu du cours et j’ai failli me prendre un rapport. En sortant donc de cette habituelle journée, le spectre pris entièrement le contrôle de mon corps : je n’étais plus mon propre maître. Cela étant déjà arrivé, je me laissais faire. Mes pas se dirigèrent vers le puits de Carotte-Bouillie. Une onde violette s’en échappait. Mes sens se mirent en alerte lorsque je descendis dans le puits. Par tous les moyens j’essayais de remonter mais rien à faire, le spectre était plus fort que moi. À force de lutter contre l’esprit, je me fatiguais. Je décidai alors d’économiser le plus d’énergie possible. En descendant dans le puits, je découvris un passage secret : un des côtés de ce dernier était creux. Je (ou plutôt il (le spectre)) m’avançais vers ce côté et le poussais. Une grande galerie y était creusée. Malgré mes efforts pour remonter ou crier, mon corps continuait sa route, toujours en s’enfonçant dans l’obscurité. Pour me rassurer, je me remémorais la fin de tous les films d’horreur que j’ai pu voir. Le héros triomphait toujours (ou presque) donc je m’imaginais que c’était moi. Plus je m’enfonçais dans cette galerie de l’enfer, plus mon degré de peur augmentait. Sur une échelle de 1 à 10, je me trouvais à 12. Enfin j’arrivais au bout de la galerie, elle débouchait sur une vaste plaine. Là, l’esprit commença à s’agiter dans mon corps : je ne marchais plus, je courrais. Ma course fut digne d’un sketch comique. J’avais enfin repris un petit peu le contrôle de moi-même. Enfin, plutôt de ma jambe droite. Malheureusement, ma jambe gauche était contrôlée par l’autre (dorénavant, je l’appelais ainsi), ce qui donnait une course à en tomber de rire : ma jambe droite freinait le reste de mon corps. L’autre se servait de mes bras pour la lever et la tenir. Je marchais à cloche-pied, mais toujours dans le sens de l’autre. Alors, je tapais la jambe gauche pour qu’elle tombe. À partir de là, une bataille étonnamment surprenante et hilare s’en suivit : mes bras tapaient ma jambe droite. Cette dernière, pour se défendre avait pris un bras et le tordait. Résultat, je me trouvais dans une position que même les champions de yoga professionnel n’auraient pas réussi à faire. Le pire de tout ça, c’est que l’autre décida juste à ce moment-là d’arrêter de contrôler mon corps. Ce qui fait que j’étais parfaitement conscient et que j’étais coincé. Je fis ce que je fais le mieux : appeler à l’aide. Les jours qui suivirent, l’autre continuait de prendre possession de mon corps après les cours et de m’emmener refaire le chemin toujours plus loin. Mais à chaque fois, il était stoppé au même endroit. Malgré tout, l’autre et moi nous nous sommes « réconciliés » : quand il prend possession de mon corps, il me laisse certaines libertés (ex : je peux dire bonjour à des personnes, ou encore je peux me gratter quelque part quand j’en ressens le besoin). Nous vécûmes de bons moments et je commençais à l’apprécier. Je lui fis découvrir de nombreuses choses et lui aussi. Les personnes qui m’entouraient me prenait pour un fou en me voyant me parler à moi-même, mais je m’en fichais. Ce manège continua tous les jours qui suivirent cet évènement jusqu’au jour où, poussé par la curiosité, je décidais de l’aider à aller jusqu’au bout. Après avoir passé le puits, la galerie et le champ, l’autre m’emmena dans une résidence. Celle-ci appartenait à une certaine Jessica Nular. L’autre me fit entrer dans la demeure et me mena au garage. Du garage, il tapa (avec ma main) un code sur un clavier numérique et une porte s’ouvrit : elle était camouflée par les ronces, c’est pour ça que je ne l’avait pas vue. Derrière la porte, un tunnel s’étendait devant moi. Au bout du tunnel, une espèce de donuts géant était posé. Je m’écriais en fonçais vers l’objet en criant : « Un donut géant » Je voulu sauter dessus sauf que l’autre m’en empêcha : il me bloqua les jambes, ce qui me fit tomber et je m’étalais par terre. Je voulus le réprimander quand je me rendis conte que je n’étais pas seul dans cette pièce : d’autres personnes y étaient. Ou plutôt d’autres esprits. L’autre sortit de mon corps et je m’écroulai par terre. Quand je me réveillais, je n’étais ni attaché ni prisonnier de ces personnes. Et pour cause : ils n’étaient pas humains, mais des esprits de toutes les couleurs, comme L’autre. Il y en avait des bleus, des rouges, des verts…cela me faisait tourner la tête tellement il y en avait. Mais un seul se détachait du groupe : il était d’un jaune or, flamboyant comme le soleil et plus grand que les autres. De plus, ce que j’avais pris pour un donut géant était en réalité une soucoupe volante. Le « chef » (celui qui était d’or) s’avança vers moi. Il me parla dans une langue que je ne connaissais pas. En voyant mon incompréhension, il ordonna à L’autre de rentrer dans mon corps. Et là, tout devint limpide, comme à chaque cours de langues : je comprenais tout. Il disait : - « Terrien, comme tu as protégé et instruit mon fils, je te dois une fière chandelle. Oh, pardon. J’oublie les bonnes manières. Je suis Xorn, roi de la Planète Lucifer, chef des troupes des Alpha. Je suis une âme de rubis, donc de la dynastie royale. Mon fils, ici présent dans ton corps, est un esprit d’obsidienne. Un descendant direct de la lignée royale. Nous sommes en compagnie des plus grandes âmes de la galaxie : âme de jade (très observateur), âme de saphir (très bon guerrier) et bien d’autres. Nous sommes en reconnaissance sur terre pour l’extraction de matériaux capable de créer des nouveaux membres de notre espèce. » Au fur et à mesure qu’il parlait, je comprenais maintenant la raison de toutes les aventures que j’ai vécu récemment : Si L’autre était dans mon corps, c’était pour tester le sang : un matériau capable de donner la vie. Lors de notre première rencontre, il était aussi dans un manteau de soie, comme matériau capable de conserver la vie. Beaucoup d’autres éléments se mirent en place dans ma tête comme le yaourt du début. Quand Xorn eut finit son récit, il déclara : - « le meilleur présent que l’on puisse te faire, c’est de te faire oublier tout ça. Notre vaisseau est prêt et mes soldats m’attendent. Mais n’oublie pas ceci : Tu es le bienvenu sur Lucifer. Sinon, L’autre, comme tu l’appelles, t’a laissé un petit cadeau. Adieu Olivier. » Et il me planta là. Il monta à bord de la soucoupe et décolla. Bientôt, elle ne fut qu’un point minuscule dans le ciel avant de disparaître. Je me dirigeais vers le cadeau qu’il m’avait laissé et découvris un donut. Tout content, je le mangeai avant de tomber dans les pommes. Je me réveillai une heure plus tard, sous le bruit des sirènes de police avec un terrible mal de tête. En partant de la maison pour rejoindre le commissariat, je trébuchais sur un câble. En le suivant, je découvris un vidéo projecteur holographique. Je fus confus par cette découverte : cela voudrait-il dire que ce n’était qu’une mise en scène ? « Non, c’est impossible, me résonnais-je dans ma tête, je n’ai pas rêvé. C’était bien trop réelle. Mais de toute façon, les flics ne me croiront pas si je leur raconte ça. Au moins, le secret sera toujours gardé. » Et je partis de cette maison en gardant mes doutes pour moi. Pourtant, non loin de là ( à plus de 36 années lumières d’ici ) le sacrement de L’autre existait bel et bien, ce n’était pas une illusion.

Commentaires

1. Le 15 mars 2020, 22:41 par frazix

"L'esprit d'obsidienne" est une des rares nouvelles qui m'a fait rire et qui a aussi su m'enchanter par son histoire étonnante et plein d'imagination.Ma première impression,en voyant ce récit a été que l'auteur (ou les auteurs) avait choisi la quantité à la qualité, mais à ma grande surprise il y a très peu de fautes d'orthographe et de conjugaison ou encore de grammaire.J'ai bien aimé l'idée d'esprits qui viennent d'ailleurs ,mais la phrase de fin étouffe le suspense du réel ,ou du merveilleux.Mais sinon l'ensemble est incroyable ,l'histoire est tournée d'une façon intéressante bien que la nouvelle ne soit pas coupé en plusieurs parties, ce qui fait par conséquent un immense paragraphe.

2. Le 01 avril 2020, 12:57 par Hooney.cn

Cette histoire est très drôle et à la fois fantastique, dommage qu’à la fin nous en savons un peu trop. c’est a la fois réaliste car les noms de familles sont asser mélanger et nous pouvons avoir certaines informations sur certaines personnes.

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